La solution de monitoring de la performance applicative de Dynatrace est désormais disponible sur la marketplace d’Amazon Web Services, à travers l’offre de souscriptions SaaS. Elle permettra aux équipes informatiques des clients d’AWS de surveiller et d’optimiser leurs applications cloud natives et leurs instances de serveurs à travers plusieurs des services proposés sur l’infrastructure de cloud public : les services de compute EC2 et de stockage EBS, Elastic load balancing et la base de données relationnelle RDS.

Dans le domaine couvert par Dynatrace, d’autres solutions concurrentes sont également disponibles en mode SaaS sur la marketplace. Dans un billet, Jeff Barr, évangéliste en chef du fournisseur de services cloud, énumère ainsi Cloudyn, Cloudinary, Datapath.io, New Relic Infrastructure, Solano Labs CI et Solodev Enterprise Cloud. « Vous payez seulement pour le service que vous consommez, sans coût mensuel ni frais d’abonnement », précise-t-il. Le service de Dynatrace sur AWS coûte 0.30 dollar par heure et par hôte. Quatorze autres services SaaS sont proposés dans différentes catégories : sécurité et gestion des logs, stockage, bases de données/BI/big data et média avec notamment NetApp DataSync et Aspera Transfer Service.

Les solutions de monitoring de Dynatrace couvrent aussi OpenStack

Au début du mois, Dynatrace a par ailleurs proposé de tester gratuitement pendant 30 jours ses solutions de suivi de la performance applicative (Application Monitoring) et de l’expérience utilisateur (User Experience Management). Celles-ci fournissent des mesures de performance en temps réel, ainsi qu’une vision de bout en bout sur l’ensemble des transactions et un diagnostic sur les problèmes rencontrés. Par ailleurs, les solutions de monitoring de l'éditeur sont désormais compatibles avec les environnements OpenStack.

Courant octobre, lorsqu’une attaque DDoS a interrompu pendant plusieurs heures l’accès à plusieurs services Internet comme Twitter, Spotify et Airbnb, les systèmes de Dynatrace qui suivent des milliers de sites dans le monde avaient par exemple signalé que l’attaque avait également perturbé l’affichage de certains sites web en France.