Contrairement à Facebook, Google+ n'accepte que les profils avec un prénom et un nom réel, sans ajout de suffixe et sans surnom. Tout profil suspect est suspendu voire même supprimé, ce qui a provoqué la colère de nombreux internautes. Suite à de nombreuses plaintes, Google s'engage désormais à envoyer une notification avant la suspension éventuelle d'un compte, afin que l'internaute ait le temps de modifier son profil.

Dans un échange rendu public sur Google+ avec le célèbre blogueur américain Robert Scoble, Vic Gundotra (vice-président en charge du social chez Google) explique qu'il s'agit de suspendre du réseau toutes les personnes qui écrivent leurs noms d'une manière étrange, en y ajoutant un pseudo et des caractères spéciaux, ou qui utilisent un faux nom.

Une gestion plus affinée mise en place

Bradley Horowitz, vice-président chargé du développement de Google+, a également réagi à la polémique en affirmant que dans certains cas, ces violations étaient effectuées de manière involontaire, et que les personnes concernées seraient recontactées afin de pouvoir restaurer leurs comptes utilisateur.

Google+ compte déjà plus de 20 millions d'inscrits, alors que le réseau est toujours accessible uniquement sur invitation.