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(09/05/2012 12:58:31)

Mise à jour Visual Studio 11 : Microsoft remanie l'interface utilisateur

Les modifications apportées à l'interface de Visual Studio 11 portent notamment sur les couleurs, sur la convivialité du système par icône, et le « look and feel » Metro. Ces changements apparaîtront dans la prochaine Release Candidate de la suite de logiciels de développement pour Windows, dont la disponibilité n'a pas été précisée. Cette mise à jour tourne autour de la couleur et des contrastes audacieux, de l'usage réduit de la capitalisation pour optimiser la lisibilité, et de l'apparence générale, plus vive, pour donner plus de peps à l'environnement de travail, comme l'a souligné un représentant de Microsoft. La nouvelle version de l'IDE porte bien le nom de Visual Studio 11, mais certaines rumeurs laissent entendre qu'elle pourrait prendre la dénomitation de Visual Studio 2012 au moment de la sortie officielle.

Un message posté mardi par Monty Hammontree, en charge de l'expérience utilisateur au sein de la division Developer Tools de Microsoft, décrit en détail les améliorations apportées. « Cette bêta a fait l'objet de nombreux commentaires, et beaucoup pointaient la tristesse de l'interface utilisateur. Nous avons pris en compte ces remarques et nous avons donné plus de vitalité à cette interface. Nous avons fait en sorte de rendre l'expérience utilisateur plus lumineuse et plus claire en introduisant notamment des palettes plus audacieuses et des couleurs d'arrière-plan plus lumineuses. »

Améliorer le contraste de l'interface

Microsoft va éclaircir le gris de l'interface de l'IDE et forcer un peu sur la couleur de la fenêtre chrome pour donner plus de vitalité et de lisibilité au cadre de travail. La barre d'état sera également colorée : « Les variations dans la couleur de la barre d'état vont permettre d'ajouter des informations fonctionnelles sur l'IDE, et indiquer par exemple quand il est en mode debug », a écrit Monty Hammontree. Par ailleurs, Microsoft va enrichir ses thèmes pour permettre une utilisation plus large et plus audacieuse des couleurs, et la personnalisation des outils et des onglets en tête de fenêtre.

Pour ce qui est du « look and feel » Metro, au coeur du système Windows 8 à venir, les changements opérés par Microsoft visent à mieux structurer et à mettre en évidence certaines zones de l'écran, comme les barres d'outils des fenêtres, le masquage automatique des onglets, le regroupement des onglets, et les séparateurs, qui ne nécessitent pas de titres en majuscules. Avec Metro, Microsoft veut proposer un style de navigation qui convient aussi bien aux tablettes tactiles, qu'aux téléphones mobiles et aux ordinateurs. Toujours en ce qui concerne Metro et la Release candidate de Visual Studio 11, Microsoft a supprimé la capitalisation des titres pour les fenêtres, les onglets et les groupes d'onglets. Dans cette version, les capitales seront uniquement réservées aux titres des menus de niveau supérieur.

Plus de Metro dans l'inetrface

Microsoft veut aussi renforcer le style Metro dans les thèmes et permettre la personnalisation de chrome, le terme choisi par l'éditeur pour désigner le cadre qui entoure l'espace de travail dans une fenêtre. « Grâce à cette fenêtre chrome personnalisée, nous avons réussi à rendre l'usage de l'espace de travail plus efficace et à rendre plus présent le style Metro », a encore écrit Monty Hammontree.

Pour répondre à la demande de convivialité, Microsoft a réintroduit la couleur pour la sélection des commandes, IntelliSense et la hiérarchie des icônes dans Solution Explorer. « Dans cette post-bêta, nous avons utilisé un ensemble de règles simples combinant la sélection heuristique des icônes pour les actions courantes et des conventions liées au contenu, avec cinq palettes de couleurs », a déclaré le responsable de l'expérience utilisateur au sein de la division Developer Tools de Microsoft . « L'ensemble de ces règles permet d'appliquer de la couleur d'une manière très simple et très cohérente ».

(...)

(17/04/2012 16:12:05)

Avec my-Channels, Software AG acquiert la plateforme MOM Nirvana

Software AG a annoncé hier l'acquisition de l'éditeur britannique my-Channel qui développe, sous le nom de Nirvana, des logiciels de messagerie interapplicative à faible latence. Ceux-ci seront utilisés pour étendre l'offre de solutions middleware du groupe allemand. Ce dernier n'a communiqué aucun détail financier sur la transaction, indiquant simplement que le prix du rachat se situait dans la fourchette basse d'un montant à deux chiffres en millions d'euros...

La plateforme Nirvana, solution de middleware orienté message (MOM), permet d'échanger des données entre n'importe quelle combinaison de systèmes informatiques internes et externes ou clients. Elle est capable de diffuser des centaines de milliers de messages vers plusieurs milliers de systèmes clients en l'espace de micro-secondes, souligne son acquéreur.

Compatible JMS, MQTT, HTML5/webSockets

Nirvana est compatible avec les standards de messagerie interapplicative tels que JMS (Java Message Service), MQTT (Message Queue Telemetry Transport) et HTML5/webSockets. Software AG considère qu'elle convient parfaitement aux prochaines générations d'applications cloud et mobiles, ainsi qu'à celles déployées sur le terrain des réseaux sociaux ou des big data. L'éditeur allemand prévoit de certifier l'interopérabilité de Nirvana avec sa suite d'intégration webMethods de façon à ce que sa disponibilité coïncide avec la sortie de la version 7 de la plateforme de my-Channels, dans le courant de ce deuxième trimestre.

La première version intégrée des offres est planifiée pour le quatrième trimestre de cette année. Cela offrira entreprises utilisatrices des solutions de Software AG un choix d'options de messagerie au sein de leur projets webMethods, pointe l'éditeur. Dans un communiqué FAQ, il précise qu'il continuera à investir dans la plateforme de my-Channels. Le développement de l'actuelle messagerie applicative de Software AG, webMethods Broker, sera également poursuivi et sa maintenance assurée puisqu'il s'agit de la technologie intégrée à la suite webMethods, est-il par ailleurs rappelé. (...)

(26/03/2012 08:41:00)

Grand emprunt : 25 millions d'euros iront au Big Data

Les Investissements d'avenir (ex Grand emprunt) concernent de plus en plus le numérique. Le dernier appel à projets lancé s'intéresse au big data avec une enveloppe de 25 millions d'euros. Le Gouvernement veut soutenir à la fois des projets de R&D et une ou deux plate formes d'expérimentation. Cet appel à projets s'intègre dans le volet cloud computing des investissements  d'avenir. Il sera clos le 13 juillet prochain à midi.

- Le cahier des charges de cet appel à projets
(...)

(07/03/2012 17:14:40)

Avec SQL Server 2012, Microsoft courtise le marché big data

La nouvelle version de la base de données relationnelle SQL Server 2012 de Microsoft doit permettre aux entreprises d'analyser de grandes quantités de données non structurées, une pratique connue sous le nom de big data et de plus en plus répandue. « Du fait de la baisse constante des coûts en matière de stockage et de calcul informatique, il devient de plus en plus intéressant pour les entreprises de stocker toutes leurs données », a déclaré Doug Leland, directeur général Business Platform Marketing Group de Microsoft. « Le défi est de savoir comment tirer parti de cette tendance. » Et de démocratiser l'usage d'Hadoop dans toutes les stacks de l'entreprise.

SQL Server 2012 est « une plate-forme de données moderne destinée aussi bien au traitement des données structurées traditionnelles, qu'à celui des grandes quantités de données non structurées », a ajouté Doug Leland. La base de données doit permettre « aux utilisateurs de coller au changement et d'évoluer au rythme de leurs besoins. » C'est la première mise à jour importante du produit depuis 2010, date de la sortie de SQL Server 2008 R2. Selon l'éditeur, cette version apporte des améliorations dans trois grands domaines : une meilleure préparation aux applications critiques, de meilleurs outils de business intelligence (BI) et une plus grande compatibilité avec le cloud computing. En outre, selon Microsoft, avec cette mise à jour, SQL Server devient un outil de premier ordre pour l'analyse des données à grande échelle. SQL Server peut agir comme lien entre les plates-formes de données non structurées comme Hadoop et les outils BI plus traditionnels utilisés dans l'entreposage de données et proposés par Microsoft. Les clients qui combineront SQL Server avec Hadoop « pourront tirer des analyses de ces données, notamment avec des outils comme Excel PowerPivot et Power View inclu avec SQL Server 2012 » a ajouté le DG de Microsoft.

Une association étroite avec Hadoop

SQL Server 2012 a été modifié pour fonctionner avec l'intégration de la distribution Apache Hadoop dans Windows Azure. En octobre dernier, l'entreprise de Redmond avait lancé une déclinaison d'Hadoop sur son cloud en version de test limitée (Hadoop On Azure). Pour la sortie de SQL Server 2012, ce service Hadoop On Azure a été élargi à 2 000 noeuds, contre 400, lors du lancement initial, nous a indiqué Jean-Marc Monfort, chef de produit SQL Server chez Microsoft France. L'entreprise prévoit de livrer une version complète de son service d'ici la fin du mois de juin. « Les clients n'auront pas à assumer le coût de la mise en oeuvre de Hadoop dans le datacenter. Ils peuvent s'abonner à l'offre de service géré», a ajouté Doug Leland. Microsoft prévoit également de fournir un connecteur qui permettra à SQL Server d'accéder à Hadoop via Windows Server 8. « Nous travaillons également sur un serveur de distribution Hadoop pour Windows Server, que les clients pourront utiliser dans leur propre centre de calcul, » a ajouté le DG de Microsoft.

Parmi les premiers utilisateurs de SQL Server 2012 pour le traitement de grandes quantités de données, on trouve le service Klout qui mesure l'influence sur les réseaux sociaux. Klout utilise Hadoop pour analyser environ 350 Go de données issues des réseaux sociaux chaque jour. L'entreprise utilise chaque jour Microsoft SQL Server Analysis Services (AS) pour préparer 600 millions de lignes de données tirées de la composante Hive d'Hadoop et les intégrer dans ses requêtes. « Nous utilisons AS comme moteur de requête analytique, car Hive et Hadoop sont moins performants pour effectuer des requêtes interactives variables », a déclaré David Mariani, vice-président de l'ingénierie chez Klout. « Microsoft SQL Server Analysis Services permet de traiter des milliards de lignes de requêtes en moins de 10 secondes et de tester un grand nombre de scénarios très rapidement. »
Et parmi les premiers utilisateurs de la préversion de SQL Server 2012 en France, Jérôme Trédan, directeur des produits serveurs et plateformes cloud computing chez Microsoft France, nous a signalé Areva et Orange.

Une solution disponible le 2 avril

Mais tout le monde n'est pas d'avis que SQL Server pourra s'imposer comme un outil d'analyse de big data incontournable. « Cette version permet à Microsoft de se mettre à niveau dans le big data, » a déclaré Curt Monash, de Monash Research. SQL Server 2012 sera sans doute bien accueilli chez les vendeurs de solutions Microsoft, où le personnel IT comprend déjà comment travailler avec les technologies Microsoft. Pour les autres, il n'y a guère que quelques fonctionnalités uniques qui font la différence avec les bases relationnelles non-Microsoft. « Microsoft SQL Server est adapté si vous n'avez pas peur de vous trouver enfermé dans la pile Microsoft, » a estimé Curt Monash.

Le 8 mars, Microsoft mettra en ligne un tutoriel expliquant aux utilisateurs potentiels comment se familiariser avec les nouvelles fonctionnalités de SQL Server 2012. La nouvelle version sera disponible à l'achat à partir du 2 avril.

(...)

(22/02/2012 15:38:07)

Teradata va travailler avec Hortonworks sur Hadoop

L'intérêt croissant dans les entreprises pour le big data décisionnel amène des partenariats entre les fournisseurs de technologie spécialisés dans les bases de données traditionnelles et le framework java Open Source Apache Hadoop. Le dernier exemple en date est Teradata, qui a annoncé qu'il travaillerait à l'avenir avec Hortonworks pour livrer des produits et des services visant à aider les entreprises à construire de grandes plates-formes d'analyses de données basées sur la solution Hadoop. Basé à Sunnyvale en Californie, Hortonworks est une spin-off de Yahoo qui distribue et supporte une version commerciale de Hadoop.

Dans le cadre de ce partenariat, Teradata et Hortonworks déploieront conjointement des produits en associant leur ingénierie et leurs capacités de développement pour fournir une architecture de référence que les entreprises pourront utiliser pour comprendre les cas d'usage les plus courants de Hadoop, a déclaré sur un blog Arun Murthy, co-fondateur de Hortonworks. L'objectif sera ici d'aider les entreprises à utiliser Hadoop en conjonction avec leurs bases de données Teradata et l'outil d'analyse décisionnelle Aster Data (une récente acquisition de Teradata).

Associer les compétences particulières des deux entreprises


L'annonce entre Teradata et Hortonworks arrive moins d'un mois après qu'Oracle ait annoncé faire équipe avec la distribution rivale de Hortonworks, Cloudera, pour offrir des appliances dédiées aux big data. En octobre dernier, Microsoft a également indiqué qu'il travaillerait désormais avec Hortonworks sur une mise en oeuvre d'Apache Hadoop pour les plates-formes Windows Server et Windows Azure.

Ces partenariats sont dictés par l'intérêt croissant des entreprises pour les solutions Hadoop, une technologie qui permet de capturer et d'analyser rapidement de très grandes quantités de données structurées et non structurées. Et ce avec un coût beaucoup plus compétitif que les systèmes de gestion de bases de données traditionnels.

Développée à l'origine pour le web


La technologie Hadoop a été développée par Yahoo et, jusqu'à récemment, a été presque exclusivement utilisée par des géants du web. Au cours des 18 derniers mois cependant, un nombre croissant d'entreprises traditionnelles ont commencé à évaluer l'utilisation de Hadoop pour les médias sociaux, l'analyse des tendances, la détection des fraudes et la gestion des désabonnements. La principale demande allait vers des outils capables d'aider les entreprises à exploiter rapidement des solutions Hadoop, sans avoir à tout concevoir et tout construire eux-mêmes.

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Un grand nombre des clients de Teradata, par exemple, sont susceptibles de s'appuyer sur ces technologies d'analyses de données si elles sont faciles à implémenter et à utiliser, a déclaré Tony Baer, ​​analyste chez Ovum.

De nombreuses entreprises ont commencé à voir la valeur réelle de leurs données historiques, a-t-il dit. « Mais il peut devenir très couteux de traiter des pétaoctets de données sur une plate-forme Teradata [SGBDR]» a-t-il ajouté. « La solution Hadoop est beaucoup moins onéreuse. » Hadoop permet aux entreprises de recueillir, de stocker et d'affiner une grande variété d'informations, qu'ils peuvent ensuite déplacer vers une autre base de données pour analyse, a-t-il dit. De nombreuses entreprises ont également commencé à utiliser directement des applications d'analyse de données directement au-dessus de leurs environnements Hadoop, souligne-t-il.

« Les grands fournisseurs d'outils d'analyse n'ont certainement pas besoin d'avoir une distribution Hadoop, mais il est plus urgent d'avoir une stratégie Hadoop » conclut-il.

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(16/01/2012 14:33:58)

Oracle va livrer 78 correctifs, dont 27 pour MySQL

Oracle proposera le mardi 17 janvier 78 correctifs de sécurité pour corriger les vulnérabilités de sa base de données, de son middleware et de ses applications, selon un communiqué posté sur le site aperçu de l'entreprise.

27 de ces correctifs concernent la base de données MySQL. Une des vulnérabilités peut être exploitée sur un réseau sans droits d'administration. Le plus haut CVSS (Common Vulnerability Scoring System) parmi les bogues MySQL est noté 5,5, ce qui le classe dans la gamme de risques «moyens». Deux autres correctifs sont destinés à Oracle database et l'éditeur a également prévu de délivrer 11 patchs pour Fusion Middleware. Cinq de ces bogues concernent des failles qui peuvent être exploitées à distance sans que l'authentification de l'utilisateur soit requise.

Sur le front applicatif, la suite E-Business de l'éditeur va recevoir trois patchs, le logiciel de gestion de l'approvisionnement un seul, PeopleSoft six correctifs, et JD Edwards huit. Par ailleurs, 17 patchs seront destinés aux produits Sun, avec 6 failles qui peuvent être exploitées à distance sans authentification préalable. Les produits affectés comprennent GlassFish Enterprise Server et le système d'exploitation Solaris. Enfin, trois autres patchs sont affectés aux technologies de virtualisation d'Oracle, notamment la machine virtuelle VirtualBox. Le langage de programmation Java n'est toutefois pas concerné par cette annonce. Sa dernière mise à jour datait de Décembre 2011.

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(13/01/2012 10:53:36)

Objectif-C, 5ème langage de programmation le plus utilisé selon Tiobe

Selon l'indice calculé par Tiobe, le langage de programmation Objective-C, utilisé pour le développement d'applications pour iOS, a connu une très forte croissance en 2011. Il se hisserait à la cinquième place derrière Java, C, C# et C++, dépassant désormais PHP, Basic/Visual Basic et Python. Ce langage atteindrait ainsi 6,9% de parts de marché.

L'indice Tiobe est calculé mensuellement en tenant compte de l'utilisation des différents langages dans différents projets, de mots clés identifiés dans les moteurs de recherches, ou encore du nombre de développeurs, de logiciels et d'offres de formation répertoriés.

ICTjournal.ch (...)

(05/01/2012 11:46:08)

IBM acquiert Green Hat, spécialiste de logiciel de tests

Pour renforcer son offre d'outils de test, IBM vient de racheter Green Hat. Cette dernière propose une plateforme virtuelle de tests. Elle donne aux développeurs les moyens de tester les applications sans avoir besoin de configurer physiquement des environnements de tests. Cela permet d'économiser du temps et de l'argent souligne IBM. Le constructeur ajoute que les cycles de développement sont devenus plus rapides avec l'essor des smartphones et des tablettes.

Les produits de Green Hat seront intégrés  au sein de la division Rational d' IBM, qui offre déjà plusieurs logiciels et outils de tests. Alors quel est le sens de ce rachat, « je pense que Green Hat va étendre  les capacités actuelles de  Rational Quality Manager », déclare Jeffrey Hammond analyste chez Forrester Research et de mentionner à titre d'exemple « le support de Netweaver de SAP et Fusion Middleware d'Oracle ». Le site de Green Hat rajoute dans la liste les middleware de Tibco, Software AG et Progress Software, etc. Jeffrey Hammond précise « le support des tests sur les services REST (Representational State Transfer) apportera une valeur ajoutée pour Rational. Avec l'augmentation des services web basés sur XML et JSON, nous constatons que de plus en plus d'entreprises construisent des plateformes de tests pour s'assurer de la fonctionnalité des API ».

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(05/01/2012 11:24:45)

Facebook lance sa 3ème Hacker Cup

Pour mettre au défi les programmeurs dans le monde, Facebook a lancé son concours Hacker Cup. C'est la troisième édition de cette compétition un peu particulière. « Le hacking est au coeur de notre façon de développer sur Facebook », a écrit David Alves, ingénieur chez Facebook, sur le blog annonçant le concours. Les sociétés reposant sur des ingénieurs sont « toujours à la recherche de solutions de type hacking pour résoudre les problèmes », a-t-il dit.

Facebook se sert de la définition originale de «hacker», se référant non pas à quelqu'un qui s'introduit illégalement dans les systèmes informatiques, mais plutôt à une personne qui « aime explorer en détail les programmes et essaye d'étendre leurs capacités », pour emprunter la définition publiée par la bible du jargon informatique, le dictionnaire anglo-saxon The Jargon File.

Les quatre premières manches du concours se dérouleront en ligne, à partir du 28 janvier. Les 25 finalistes seront invités au siège de Facebook pour une dernière épreuve le 27 mars prochain. Le gagnant repartira avec 5 000 dollars, et les trois autres finalistes recevront aussi une récompense pécuniaire. Le concours se compose d'une série successive de problèmes algorithmiques de plus en plus difficiles. La notation sera basée sur la précision et la rapidité des développeurs à résoudre les casse-têtes.

Des casse-têtes très geek

L'année dernière,  les principaux défis portaient sur la détermination du nombre optimal de générateurs de boucliers et de guerriers Protoss qu'un joueur devait construire au jeu Starcraft II et l'estimation de la meilleure stratégie de course dans un jeu de voitures avec un nombre variable de concurrents, tout en gérant la probabilité d'accidents. Pour chaque problème, les participants reçoivent un ensemble de données et une explication du problème. Ils ont ensuite six minutes pour proposer une réponse, avec le code source utilisé pour résoudre le problème. Les participants peuvent recourir à n'importe quel langage de programmation, ainsi que des bibliothèques de code et même des programmes complets, comme un tableur.

L'année dernière, la Hacker Cup a connu un démarrage difficile. Sur le site de réseautage social Quora, certains candidats s'étaient plaints que les procédures du concours étaient confuses et parfois contradictoires. Pour cette nouvelle édition, le géant des réseaux sociaux a revu les processus pour améliorer la première sélection.

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(14/12/2011 14:42:13)

Base de données : SAP vise désormais la place de numéro 2

Le projet HANA, dont la paternité revient au fondateur de SAP, Hasso Plattner, et au CTO, Vishal Sikka, a été initialement présenté au milieu de l'année 2010 comme une plateforme permettant d'exécuter des charges de travail analytique beaucoup plus rapidement qu'avec les bases de données traditionnelles. Selon SAP, ce mode de fonctionnement où le système inscrit les données qu'il doit traiter en RAM, au lieu de les lire sur les disques, permet des gains en performance significatifs, voire très impressionnants.

Mais, rapidement, SAP a commencé à évoquer la capacité de HANA à gérer des charges de travail transactionnelles dans le domaine de l'ERP (Enterprise Resource Planning) et dans d'autres types d'applications, le positionnant comme une alternative éventuelle à certains produits, notamment la base de données phare d'Oracle. « C'est une opportunité très stimulante, parce qu'elle ouvre sur la possibilité de développer des applications totalement nouvelles », a déclaré Vishal Sikka à la keynote qu'il a donné à l'Influencer Summit de Boston. Sur une diapositive, il a montré la future pile logicielle basée sur HANA. À la base de la pile se trouvent HANA et les services d'infrastructure et de gestion du cycle de vie associés. Viennent ensuite les services d'applications, puis ABAP et les services de la plateforme Java, surmontés par les environnements de développement, et enfin les applications construites par SAP et celles des vendeurs tiers.

SAP bientôt numéro 2 dans les SGBD ?

SAP trace aussi d'autres perspectives, annonçant une série d'initiatives en relation avec HANA de la part de vendeurs de middleware et d'analytiques comme Tibco, du fournisseur d'ERP UFIDA, du vendeur de visualisation de données BI (business intelligence) Tableau and Jive Software, connu pour ses solutions de réseau social pour l'entreprise. « Dorénavant, SAP entend disposer d'un « écosystème tout à fait ouvert » pour HANA, » a indiqué Vishal Sikka. Cela paraît logique, bien sûr, étant donné que HANA est un produit relativement nouveau qui a beaucoup de choses à rattraper pour se mettre au niveau d'Oracle et d'autres.  Cela n'a pas empêché un autre responsable de SAP de faire une prédiction très optimiste, mardi, après la keynote de Vishal Sikka. « Retenez-ce que je vais vous dire : en 2015, nous serons le deuxième vendeur de bases de données sur le marché, » a déclaré Steve Lucas, Global General Manager Business analytics and technology. « Je sais qui nous devons dépasser. Ce ne sont pas de petits acteurs. Il va nous falloir quelques années et beaucoup d'ingénierie pour y arriver. Mais nous le ferons. »

« SAP va également chercher à conclure des partenariats avec des éditeurs de logiciels qui intégreront HANA dans leurs produits, » a ajouté Steve Lucas. Une autre bonne manière pour SAP d'avancer vers son objectif serait d'ajouter le support HANA pour son logiciel phare Business Suite, dont de nombreuses mises en oeuvre fonctionnent sur Oracle. « Ce travail est en cours, et comme aucune date d'achèvement n'a été fixée, on peut s'attendre à une mise à jour pour la conférence Sapphire de l'année prochaine, » a déclaré Sethu Meenakshisundaram, CTO adjoint de SAP. « C'est un projet de première importance et nous avançons. » SAP n'a pas encore décidé « si elle vendra aussi HANA comme base de données autonome, » a encore déclaré Vishal Sikka dans une interview.

Déjà 100 millions de dollars de vente pour HANA

« En attendant, SAP a récemment franchi une étape avec HANA, dépassant les 100 millions de dollars de ventes, » comme l'a révélé le directeur technique de SAP au cours de sa keynote. HANA est vendu sous forme d'appliance par un certain nombre de fabricants. « Les 100 millions de dollars ne prennent en compte que les revenus de licence du logiciel de SAP, » a aussi précisé Vishal  Sikka dans son interview. « Autre signe du succès de HANA, dans toutes les régions du monde, les clients ont racheté d'autres produits intégrant le système, » a ajouté le dirigeant. « CSC, l'un des leaders mondiaux dans le conseil, l'intégration de solutions d'entreprise et l'externalisation devrait adopter HANA, » a déclaré David McCue, vice-président et CIO de CSC, dans une interview. « La première instance de production concernera environ 1 téraoctet de données, mais CSC réfléchit, encore à quel type d'usage elle sera affectée, » a-t-il ajouté.

« HANA est un produit jeune, mais c'est aussi une solution viable, » a encore déclaré le CIO de CSC. « Nous sommes suffisamment confiants pour l'acheter, et nous réaliserons plusieurs mises en oeuvre pour le compte de nos clients, » a-t-il ajouté. Ce dernier a aussi donné un point de vue mesuré sur le projet à long terme envisagé par SAP pour HANA. « S'il est matériellement réalisé, le produit aura un très bon retour, » a-t-il estimé. « Sans aucun doute, HANA a montré dans sa version actuelle qu'il avait assez de ressources pour qu'on s'y intéresse. Mais comme toute prospective à long terme, celle-ci pourrait être contredite par les événements. »

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Hier à Boston, SAP a également abordé la question de sa stratégie logicielle dans le cloud computing, récemment agitée par le rachat de SuccessFactors pour 3,4 milliards de dollars. C'est le PDG du vendeur de logiciels de gestion des ressources humaines à la demande, Lars Dalgaard, qui sera placé à tête de l'activité cloud de SAP une fois la transaction achevée. Cette acquisition intervient après plusieurs années pendant lesquelles SAP s'est employé à peaufiner précisément son approche du logiciel dans le cloud. Cela n'a pas été une mince affaire pour un éditeur comme SAP, dépendant du modèle de logiciel sur site et du flux de revenus prévisibles et lucratifs rapportés par le renouvellement perpétuel des licences et les services de maintenance. Ce concept a du être bouleversé et remplacé par un système d'abonnement, devenu le standard du cloud.

« Mais SAP a encore le temps de voir venir, et l'expérience de SuccessFactors va être un atout majeur, » a déclaré Jim Hagemann Snabe, le co-CEO, lors d'un discours liminaire. « 80% des clients importants n'ont pas fait leur choix de stratégie pour le cloud, et pensent encore en terme de cloud privé. On voit aussi que les applications de pointe sont encore confiées à des services de cloud public. » « La combinaison de nos actifs et de SuccessFactors transforme une entreprise qui a essayé de bien faire les choses... en une entreprise qui va croitre rapidement dans le monde, » a-t-il ajouté. « Nous passons aussi d'un mode défensif, à un mode offensif. »

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