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(15/06/2011 10:02:32)

Les solutions RH en mode SaaS utilisées mais ciblées selon Markess

Environ 10% des organisations ont recours à une solution RH en mode SaaS en France en 2011 selon une récente étude de Markess International. Mais ce recours reste centré sur les processus administratifs (paie, administration du personnel et recrutement en priorité). Moins les processus sont administratifs, moins ils sont sujet à être gérés en SaaS. Gestion des frais professionnels ou de la formation restent ainsi dans les domaines encore gérés en SaaS par un grand nombre d'entreprises, la gestion des carrières ou des emplois et des compétences, domaines à hautes valeurs managériales, ne le sont pratiquement pas.

SaaS or not SaaS : still the question

La notion de Saas est inconnue de la majorité des décideurs non-rattachés à la DSI mais est, heureusement, maîtrisée par tous ceux qui sont liés à la DSI. Autant les avantages du mode SaaS sont clairement plébiscités (accès pur web sans client lourd, maintenance évolutive incluse, mode locatif sans licences initiales, installation simple et rapide sans investissement matériel, flexibilité...), la mutualisation avec d'autres organisations est rejetée. La sensibilité des données traitées implique un nécessaire cloisonnement total entre organisations utilisatrices.

Les points sensibles soulevés par les répondants l'enquête sont classiques : la réversibilité de la solution, la sécurité, le niveau de service, la confidentialité des données... Et, bien évidemment, le coût de la solution reste une préoccupation majeure.

Le Saas devrait malgré tout continuer de se développer si l'on en croit les répondants à l'enquête. Mais personnalisation et automatisation ne sont pas du tout les axes de ce développement qui reposera plutôt sur l'élargissement du périmètre et la sophistication des fonctionnalités. Selon Markess International, le marché des logiciels et services RH devrait croître de 8% par an entre 2011 et 2013 pour passer de 1,9 milliard d'euros à 2,2 mais le créneau des solutions SaaS devrait, lui, croître de 26%/an sur la même période, passant de 190 millions d'euros à 300.

(...)

(14/06/2011 16:47:03)

VMware acquiert Digital Fuel, spécialiste de la facturation des services clouds

Le vice-président du marketing de VMware, Ramin Sayar, a déclaré dans un post sur son blog de la filiale d'EMC sa volonté d'acquérir la compagnie Digital Fuel Technologies, basée à San Mateo, en Californie, pour proposer de meilleurs outils pour gérer les systèmes IT.

Digital Fuel fournit aux entreprises des outils pour mesurer le coût de leurs infrastructures et applications à travers des clouds publics, privés ou dans des environnements traditionnels. Les directions métiers peuvent alors être facturées pour leur utilisation réelle des applications et des ressources.

« Avec des applications déplacées d'une VM (machine virtuelle) à l'autre, celles-ci pouvant être à leur tour déplacée d'un hébergeur à un autre, affecter financièrement l'ensemble de ces montages à une division métier est incroyablement difficile », a déclaré Ramin Sayar.

Yisrael Dancziger, PDG de Digital Fuel, a expliqué sur son blog, que sa société avait besoin de s'adosser à un grand groupe pour proposer ses solutions à des entreprises de plus grandes tailles. Les collaborateurs, y compris Yisrael Dancziger, continueront à travailler chez VMware.

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(10/06/2011 10:05:35)

Oodrive s'étoffe dans le SaaS avec Omnikles

Oodrive n'en est pas à sa première opération de croissance externe. En 2006, l'éditeur de logiciels en mode SaaS avait déjà racheté son homologue Mayetic, un fournisseur d'espaces de travail collaboratifs, puis, deux ans plus tard, le belge BlueBackUp et son produit de sauvegarde en ligne. Aujourd'hui, c'est au tour d'Omnikles d'entrer dans son giron. Menant également l'ensemble de son activité dans le domaine du SaaS, cette société de 20 personnes édite des solutions d'échanges électroniques à valeur probante. Son parc clients de 2000 entreprises, dont un bon nombre opère dans le secteur de la santé, lui a permis de dégager un chiffre d'affaires de 2 M€ en 2010.

« Omnikles propose, comme Oodrive, un service de partage de fichiers mais accompagné de fonctions verticalisées d'horodatage, d'authentification forte et d'archivage à valeur légale », explique Stanislas de Rémur, le président d'Oodrive. Les complémentarités entre les deux sociétés s'entendent également en termes de cible de clientèle. Oodrive est en effet peu présent dans le domaine de la santé tandis que sa nouvelle filiale fait l'impasse sur les secteurs du BTP, de l'industrie ou encore du Luxe où l'acquéreur dit occuper de bonnes positions. En pratique, le nouvel ensemble va désormais s'attacher à diffuser les services de sauvegarde en ligne et de partage de fichiers d'Oddrive vers les clients d'Omnikles et inversement pour les solutions d'échanges électroniques à valeur probante du second.

Un rachat qui profite aussi aux revendeurs

L'enrichissement du portefeuille de services d'Oodrive va également profiter aux 1200 revendeurs de l'éditeur qui vont pouvoir commercialiser une nouvelle offre. Jusqu'ici, la stratégie commerciale d'Omnikles était en effet à 100% en direct. De son côté, Oodrive réalise environ 50% de ses ventes à travers son réseau de distribution, si l'on omet ses offres en marque blanche que distribuent des « partenaires stratégiques » comme la Fnac. Grâce à cette stratégie de vente, Oodrive a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 13 M€ et table pour 2011 sur des revenus compris entre 17 et 18 M€. La croissance de l'entreprise devrait d'ailleurs continuer de se nourrir en partie d'acquisitions puisque Stanislas de Rémur ne cache pas qu'Oodrive devrait réaliser prochainement un nouveau rachat.

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(08/06/2011 11:45:15)

Pour analyser les retours clients, Vente-Privée a choisi Viavoo en SaaS

En dix ans, Vente-Privee.com est devenu le spécialiste de la vente événementielle. Avec une clientèle de 12,3 millions de membres, 41 millions de produits vendus en 2010 et 75 000 colis expédiés par jour, il revendique une place de leader dans sa spécialité. La relation de confiance tissée avec ses membres est un facteur essentiel de son succès depuis sa création. Or il devait faire face, avec le succès, à une croissance forte des interactions clients, sans oublier le développement de l'expression publique des clients sur les médias sociaux (Twitter, Facebook, blogs, forums...). Le service doit ainsi gérer 100 000 contacts clients par jour.

Le service Relations Membres intégré de Vente-Privee.com souhaitait soigner son facteur de différenciation, la qualité de sa relation avec ses membres, ce qui supposait de bien comprendre les opinions et les sentiments de ceux-ci. L'objectif était de remonter autant les tendances dans les incidents que les facteurs de satisfaction ou le suivi d'indicateurs de qualité de service.

Un social-CRM en mode SaaS

Pour cela, Vente-Privee.com a choisi de recourir à une solution en mode SaaS, Smarter Feedback de l'éditeur français Viavoo. Cet outil collecte tous les canaux d'expression des clients (e-mails directs, dialogues dans les chats de relation-clients, forums, blogs, Facebook, Twitter...), les analyse et les restitue sous forme d'états décisionnels. 
Au contraire d'outils plus classiques d'intelligence économique qui procèdent par remontées de mots clés, Smarter Feedback réalise à la fois une analyse sémantique (des termes employés) et une analyse syntaxique (place des termes dans la phrase et sens impliqué), ce qui permet de différencier, par exemple, « ceci ne vaut rien » de « rien ne vaut ceci ». La restitution, de type décisionnelle, se base sur une catégorisation et une quantification des concepts avec une capacité de filtrage sur critères. 
Il est ainsi possible de différencier l'avis des clients selon le canal (Facebook ou les e-mails entrants par exemple). Enfin, le système gère des alertes en cas d'incidents comme il permet de suivre des indicateurs de progression de la qualité de service. Par exemple, il est possible de détecter si un type d'incident (déception sur la qualité des produits...) est systématiquement lié à un fournisseur donné.

Une injection vers la GRC classique encore théorique

Viavoo indique que son service est capable d'interagir avec des GRC traditionnelles grâce à ses API, y compris en injectant des données issues de l'expression sur Twitter ou Facebook dans les comptes clients concernés, sous réserve que l'entreprise dispose des pseudos employés par ses clients sur ces services. Mais ce service est de ce fait complexe à mettre en oeuvre. Il n'est pas à ce jour opérationnel chez un client réel.

Le budget du projet est confidentiel mais Viavoo indique que son offre est disponible à partir de 1500 euros/mois en version de base, les tarifs évoluant en fonction du nombre d'accès et des volumes traités (jusqu'à un peu moins de 200 000 euros/an, 3000 euros/mois étant fréquent). La DSI doit uniquement mettre en place les flux internes vers Viavoo et la mise en production d'un projet se fait donc en moins de deux mois à partir de la commande.

Crédit photo : Copyright vente-privee.com
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(01/06/2011 11:04:01)

Ecocloud, un centre européen du cloud à Lausanne

L'EPFL à lancé aujourd'hui son projet Ecocloud, un consortium de 12 laboratoires travaillant à des projets de recherche dans le domaine du cloud computing et des centres de données. Doté d'un budget annuel de 1,4 millions de francs, le centre compte également plusieurs entreprises privées affiliées parmi lesquelles HP, IBM, Intel, Microsoft, Oracle ou encore Credit Suisse. Babak Falsafi, directeur du projet et professeur au Laboratoire d'architecture de systèmes parallèles de l'EPFL, espère faire d'Ecocloud «un centre de compétences reconnu au niveau européen dans le domaine du cloud computing».

Améliorer l'efficacité énergétique

Réunis au Rolex Learning Center, les intervenants ont expliqué combien l'essor du cloud computing répondait à une production et à une demande croissantes de données de la part des particuliers, des entreprises et du monde académique. Un développement supporté en arrière-plan par des centres de données consommant des quantités toujours plus importantes d'énergie.

Le projet d'Ecocloud est ainsi de développer des technologies permettant d'améliorer l'efficacité énergétique globale de cette nouvelle informatique et donc de garantir le développement durable du secteur. Un défi de taille étant donné que l'évolution des processeurs ces dernières années ne s'accompagne plus de gains en efficience. «Nous sommes face à un mur énergétique», explique Babak Falsafi.

Gestion des données, spécialisation et intégration verticale

Le projet Ecocloud comprend plusieurs axes de recherche, parmi lesquels la gestion de données sous la direction d'Anastasia Ailamaki (Data-Intensive Applications and Systems Lab) et l'efficacité énergétique sous la direction de David Alienza (Embedded Systems Lab). Dans le domaine de la gestion de données, les recherches se centrent sur le développement de middleware associant l'extensibilité caractéristique du cloud (big data, no SQL) et les atouts des bases de données classiques (robustesse, sécurité).

En ce qui concerne l'efficience énergétique, plusieurs pistes sont explorées. D'abord l'amélioration des composants eux-mêmes (refroidissement liquide des processeurs, matériel spécialisé pour certaines tâches, prévisibilité des défaillances). Ensuite, une meilleure intégration des couches de composants de façon à optimiser leur consommation énergétique totale, par exemple en permettant aux équipements réseau de recevoir des informations des applications sur leurs besoins en connectivité. A terme, la vision d'Ecocloud est de pousser l'intégration sur l'ensemble de la chaîne, du terminal à l'approvisionnement énergétique.

Illustration principale : Pour la keynote, Ecocloud a pu compter sur Jim Larus, directeur du groupe de recherche extreme computing chez Microsoft 


www.ictjournal.ch

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(31/05/2011 11:20:47)

Sage vise des déploiements étendus avec son ERP X3

La solution de gestion Sage ERP X3 poursuit sa conquête internationale. Il y a un peu plus d'un an, cette suite intégrée d'origine française a été choisie pour porter les couleurs du groupe britannique Sage sur les différents continents, auprès d'entreprises de taille moyenne. Avec un certain succès si l'on en juge par les 3 000 clients revendiqués à ce jour par l'éditeur. Celui-ci va continuer à développer cette offre sur son actuelle base installée, en étendant son périmètre d'utilisation.

Il veut aussi la faire croître auprès des entreprises ayant des visées mondiales, sur le haut du segment visé, le « upper midmarket », ainsi que le désigne Guy Berruyer, CEO de Sage depuis juillet 2010. « C'est un marché encore très fragmenté », contrairement aux segments des grands comptes et des TPE/PME, où certains acteurs sont localement très bien implantés [Sage en particulier, dans les petites structures], a-t-il rappelé la semaine, lors de la conférence web présentant la version 6.2 de l'offre ERP X3.

Une conférence tenue en anglais et orchestrée « à l'américaine », tambour battant au cours de laquelle Guy Berruyer a annoncé que sa société avait réalisé une progression à deux chiffres sur son activité ERP X3. Christophe Letellier, directeur général de l'offre au niveau mondial, décompte une centaine de nouveaux clients chaque trimestre, soit deux fois plus qu'il y a un an. Pour doper ce développement, Sage confirme sa volonté d'attirer de nouveaux partenaires (il en compte 200 à ce jour, soit un tiers de plus que l'an dernier), qu'il s'agisse de revendeurs, d'intégrateurs, de consultants ou d'éditeurs indépendants (ISV).

Au passage, Christophe Letellier a tenu à insister sur le niveau d'exigence apporté à ce recrutement. « Nous avons réalisé une forte progression aux Etats-Unis et au Royaume-Uni », a-t-il précisé. Un nouveau programme de certification de partenaires est mis en place au niveau mondial, avec notamment l'objectif de constituer des offres axées sur certains secteurs d'activité, en particulier la distribution, les industries (d'assemblage et de flux/process) et les entreprises de services, en complément des fonctions métiers déjà disponibles dans ERP X3. La première offre verticale à être livrée s'adressera au secteur des services.

Un support « premium » au niveau mondial

Les ISV peuvent développer des solutions métiers en s'appuyant sur la plateforme technologique SAFE X3 sur laquelle repose la suite de gestion ERP X3. SAFE X3 donne accès aux mécanismes de workflow, ainsi qu'à des fonctions de Business Intelligence. Dans la version 6.2 de l'offre, cette plateforme s'enrichit d'une méthodologie pour exposer les services web et d'une infrastructure de portail.

Parmi les autres initiatives de Sage figure la disponibilité d'un service de support « premium » pour ERP X3, complété d'une méthodologie de déploiement de sa solution à l'échelle mondiale (*) et, là aussi, d'un programme de certification de consultants.

Illustration : Guy Berruyer, CEO de Sage Group plc, lors de la conférence web du 26 mai 2011.

(*) Méthodologie baptisée Isigma (International Sage Implementation Global Methodology Approach)[[page]]

Du côté de l'ERP proprement dit, des améliorations fonctionnelles ont été apportées à plusieurs modules, principalement la finance, le suivi de production et la gestion commerciale. La version 6.2 est disponible pour l'édition Standard de l'offre, en Europe et aux Etats-Unis (la Standard Edition est destinée aux entreprises déployant l'ERP localement et aux filiales de groupe). 

Lors de la conférence web, Emmanuel Obadia, vice-président senior de Sage ERP X3, a annoncé ou rappelé les différents accords OEM noués avec les éditeurs français Talend, Netvibes et Exalead (filiale de Dassault Systèmes), respectivement spécialisés dans l'intégration de données, la personnalisation de tableaux de bord (avec agrégation de widgets) et les moteurs de recherche. La technologie Exalead CloudView a été choisie par Sage pour l'option de recherche qu'il propose dans ERP X3 6.2, sous la forme d'un widget s'insérant dans son portail (ce dernier étant intégré à SAFE X3). A partir de cette fenêtre de saisie, les utilisateurs pourront effectuer des requêtes en langage naturel pour retrouver des informations gérées dans les bases Sage (données et métadonnées).

ERP X3 peut fonctionner avec Oracle Exadata

La collaboration avec Netvibes, plus ancienne, avait déjà débouché sur la mise à disposition du composant Enterprise Webtop, sous la forme d'un service en ligne. Celui-ci permet de se connecter de façon sécurisée à ERP X3 et à ses workflows, à partir de tableaux de bord personnalisés qui comporteront aussi des informations venant de flux RSS et de médias sociaux (affichés à travers des widgets). L'intérêt est de pouvoir donner accès à l'ERP à partir d'un terminal mobile, non seulement aux collaborateurs, mais également aux fournisseurs ou partenaires. Guy Berruyer a rappelé que la stratégie cloud de Sage ne consistait pas à réécrire ses applications mais à proposer à ses clients des extensions fonctionnelles dans le cloud.

Quant à Talend, il travaille autour du protocole de communication SData2 (**) destiné à relier entre elles les applications de Sage. Dans ce domaine, la dernière intégration en date rapproche ERP X3 et la solution de CRM SalesLogix. Un autre accord OEM, avec l'éditeur Version One, permet désormais à Sage de proposer une solution de gestion électronique de document (EDM), sous la forme d'une extension à sa suite intégrée.

Enfin, le groupe britannique a annoncé la semaine dernière qu'il avait renforcé l'intégration de Sage ERP X3 avec la base de données Oracle 11g et que son offre pouvait être installée sur la plateforme de stockage Oracle Exadata, optimisée à la fois pour les applications de datawarehouse et transactionnelles.

Illustration : Guy Berruyer, CEO de Sage Group plc, lors de la conférence web du 26 mai 2011.

(*) Méthodologie baptisée Isigma (International Sage Implementation Global Methodology Approach)

(**) SData (Sage Data) permet aussi l'intégration avec le web. Il s'appuie sur HTML et le format de syndication ATOM apparenté à XML.

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(26/05/2011 11:56:47)

Le marché des logiciels de CRM a crû de près de 8% en France, selon PAC

Les logiciels de gestion de la relation client constituent toujours un sujet d'actualité dans leurs quatre constituants : automatisation de la vente, marketing, assistance client, analyse des données. Loin de se fondre dans la masse du marché global, la croissance du secteur du CRM (pour customer relationship management) reste largement supérieure à celle du marché des applications de gestion, selon une étude du cabinet Pierre Audoin Consultant.

En France, la croissance des acteurs du CRM a ainsi été de 8% en 2010, selon PAC, et elle devrait se maintenir en moyenne aux environs de 7% par an jusqu'en 2014, contre seulement 4% pour les applications de gestion. Le créneau du SaaS (software as a service) croit encore plus vite, d'un facteur cinq.

Marché du CRM en France selon PAC (2010-2014)

Deux axes de travail : PME et grands comptes

Les soutiens de la croissance du CRM sont de deux ordres. D'une part, les PME sont en voie d'adoption de ces outils. D'autre part, les grandes entreprises font évoluer les applications existantes, notamment en migrant vers des solutions SaaS (15% du marché du CRM), et en augmentant le nombre de licences et d'accès aux outils. Cette augmentation du périmètre est notamment liée à la place croissante de « nouveaux » canaux, comme le e-commerce. Les quantités de données générées par les interactions réalisées avec les clients sont également en forte croissance et les traitements nécessaires ou souhaités nécessitent donc des améliorations applicatives.

Côté offre, la règle reste la dispersion. L'acteur dominant est Oracle (acquéreur en son temps de l'offre Siebel) avec seulement 15% du marché français, suivi de SAP avec 10%. Quant au pure-player SaaS (et créateur de ce modèle) Salesforce.com, il ne pèse encore que 4%, malgré sa notoriété. (...)

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