L'utility computing - cher à IBM avec sa stratégie on-demand ou à Sun avec N1 - ne ferait pas encore recette auprès des responsables de systèmes d'information selon Phil Sargeant, analyste de Gartner.
En cause selon lui l'immaturité des technologies associées à ce modèle de paiement à l'usage et notamment des outils de virtualisation, des grilles de calculs "commerciales" et des architectures distribuées.
Les véritables infrastructures fondées sur le modèle "utility" ne devraient voir le jour qu'à l'horizon 2009.
Peut-être l'une des raisons pour lesquelles HP a récemment reculé, renonçant à son programme Utility Data Center, la commercialisation comme modèle global n'ayant pas franchement convaincu.