Gagner en agilité et permettre l’accès à distance

Partager et collaborer en télétravail, protéger les données sensibles et assurer les services à distance sont autant de défis auxquels la crise du coronavirus a confronté les administrations locales et territoriales. Afin de permettre l’accès à distance et d’ainsi gagner en agilité, le cloud Azure de Microsoft propose parmi sa large gamme de services, Windows Virtual Desktop : une solution de bureau virtuel de « Desktop-as-a-service » permettant d’accéder aux applications métier de l’organisation à partir de n’importe quel appareil.     

Microsoft propose également le System Center Configuration Manager, qui facilite le déploiement et la gestion d’ordinateurs, d’appareils mobiles et d’applications à distance, ainsi que la mise à jour logicielle de services. Ces solutions soutiennent le développement des entités publiques face à la crise sanitaire, tout en les aidant à se projeter dans une stratégie plus globale de transformation.

Des solutions Open source sont également embarquées nativement (RedHat open Shift, Hadoop, Posture SQL…), et proposées dans le cloud Azure. Pour les entités publiques, souvent amenées à exploiter d’importants volumes de données de différentes sources d’information, ces solutions permettent :

  • D’exploiter ces données et ainsi d’aider les agents à prendre des décisions
  • De fournir des services personnalisés et automatisés aux usagers
  • De développer des applications dans des milieux préexistants, souvent extrêmement hétérogènes.

De même, les outils de développement (PaaS) d’Azure permettent de développer, d’actualiser et de déployer des applications en conteneur, notamment grâce au logiciel Kubernetes.

Assurer la sécurité et protéger les données

L’ANSSI a constaté quatre fois plus de cyber-attaques en 2020 qu’en 2019[1]. Ces cyber-attaques ciblent particulièrement les services publics : assurer la sécurité des données des administrations est donc plus que jamais une priorité. Pour repérer et arrêter les menaces avant qu’elles n’engendrent des dommages, Microsoft a développé SIEM Azure Sentinel, qui fournit une visibilité élargie sur le périmètre IT et s'intègre à tout type de solutions de sécurité de tiers et partenaires. Dotée d’une capacité d’intelligence artificielle, Sentinel détecte rapidement les menaces et y répond, sans que les entités aient à se soucier de la configuration et de la maintenance de leur infrastructure, la mise à échelle se faisant automatiquement.

Pour assurer leur sécurité, les données sont par ailleurs hébergées sur des datacenters certifiés Hébergeurs de données santé, ISO27001/GDPR et GSMA. Afin de satisfaire les critères d’exigence de l’Etat, ces datacenters sont déployés dans deux régions françaises. La réversibilité est également garantie.

Enfin Microsoft a annoncé récemment dans son plan EU Data Boundary for the Microsoft Cloud, la volonté d’aller plus loin sur la protection des données des clients européens pour ses services en ligne (Microsoft 365, Dynamics 365, Azure), avec au cœur l’engagement de ‘cantonner’ les données au sein de l’UE d’ici à la fin de l’année 2022.

Optimiser le budget et alléger son empreinte carbone

La migration des données vers le cloud conduit à changer de modèle économique et basculer d’un modèle de dépenses d’investissement initiales à un modèle de paiement à l’utilisation plus flexible : les dépenses s’ajustent alors sur les besoins de chaque administration et collectivité, permettant une optimisation du budget. De nouvelles dispositions légales ont accompagné ces transformations (les collectivités pouvant désormais récupérer la TVA sur leur dépense d’infrastructure IaaS).

Le déploiement d’infrastructures pour assurer des politiques de Plan de Reprise Activité et Plan de Continuité Activité est également rendu possible à moindre frais, ce qui multiplie les possibilités de développer un site en back-up, de libérer des initiatives de développement ou de faciliter les projets de rupture. Dans la même logique, la mise à l’échelle est aisée une fois le Proof Of Concept établi.

En réduisant leur besoin en infrastructures, passer au cloud permet aux entités publiques de diminuer leur empreinte écologique. Microsoft a mis en place une calculatrice pour quantifier l’impact carbone de chaque abonnement Azure et comparer le volume de réduction des émissions de gaz à effet de serre exécutées dans le cloud par rapport aux centres de données locaux.

Inscrire le cloud dans le local, à échelle humaine

Le cloud de Microsoft est déjà plébiscité par les entités publiques pour son offre collaborative Office 365 et notamment la solution Teams. En faisant du cloud leur méthode d’hébergement par défaut, les administrations pourront aller plus loin dans la facilitation de leurs relations entre elles et vis-à-vis des citoyens, en toute sécurité.

Pour accompagner les entités publiques de l’établissement de la stratégie cloud à l’exploitation des solutions, Microsoft Azure s’appuie sur un écosystème de 8500 partenaires régionaux et nationaux spécialisés dans leurs problématiques. Le but ? Inscrire la démarche de migration des administrations dans leur environnement proche. Et pour transmettre toutes les bonnes pratiques liées au cloud et faciliter la prise en main, Microsoft accompagne ses utilisateurs à travers une vaste gamme de formations adaptées aux décideurs ou populations IT. La migration vers le cloud s’effectue donc à échelle locale et humaine.

 

[1] Source : Emmanuel Macron veut mettre le paquet sur la cybersécurité | À la une | Acteurs Publics « L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) n’a de cesse de tirer la sonnette d’alarme, année après année, jusqu’à annoncer avoir recensé en 2020 une hausse de 250 % du nombre de cyberattaques par rapport à l’année précédente. »