Le DSI n'est pas qu'un technicien ? Certes, c'est (normalement) un acquis. Mais pour être un « partenaire stratégique », le DSI doit avoir les compétences associées. Selon une récente étude du cabinet Robert Half, les « soft skills » (compétences de savoir-être) sont indispensables et en deuxième position pour une courte majorité de DSI (53%). Les compétences techniques restent évidemment en première position pour 58 % des répondants à l'enquête. Les compétences de type « business et commerciales » sont elles en troisième position (47 % des répondants).

Au sein des « soft skills », les compétences attendues se classent nettement. Ainsi, la capacité d'analyse est en tête avec 64 % des répondants la jugeant importante, suivie de la vision stratégique (51%) et de l'adaptabilité / flexibilité (42%), la communication (34%), le leadership (33%) et les aptitudes à influencer le management (33%). Selon Robert Half, le positionnement du DSI dans l'organigramme doit être orientée vers la contribution à la valeur globale de l'entreprise et certainement pas sur les compétences techniques ou fonctionnelles.