Avec une quarantaine de boutiques en France et une quinzaine à l'étranger (Espagne, Italie, Luxembourg, Belgique, Suisse, Londres, New York, Dubaï et Abu Dhabi), la chaîne de restauration rapide d'inspiration japonaise Sushi Shop réalise un volume d'affaires sous enseigne de 150 millions d'euros et un chiffre d'affaires consolidé de 80 millions d'euros. Mais ses 1 300 collaborateurs en France et 300 à l'étranger ne bénéficiaient pas d'un contrôle de gestion satisfaisant. En cause : l'absence d'un véritable reporting. Mais le groupe vient de mettre en oeuvre un décisionnel centralisé.

En effet, l'outil d'encaissement en magasins permettait de créer des rapports en format Excel. Les possibilités d'analyse étaient donc limitées et complexes, tout comme la consolidation. Dans la pratique, celle-ci était donc rare. De plus, la remontée d'information au siège prenait une semaine.

Au premier trimestre 2013, le groupe décide de se munir d'une vraie solution décisionnelle. Il mandate dès lors la SSII Micropole pour le mettre en oeuvre. Celle-ci préconise la solution TM1 d'IBM, qui est retenue pour sa simplicité d'administration et sa légèreté. Des rapports quotidiens, mensuels et annuels sont mis en place sur l'ensemble du périmètre financier. Un contrôle de gestion peut donc s'opérer à partir de données détaillées, produit par produit par exemple, avec une remontée d'information en une journée.

Le coût du projet n'a pas été précisé. Des extensions du décisionnel au marketing et à la GRH sont envisagés.