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(02/05/2012 11:04:48)

Apple Inside : le culte du secret avant tout

Que nous apprend Adam Lashinsky ? Qu'Apple fonctionne à l'inverse des autres. Les exemples abondent.

Le recrutement sinueux où le candidat ne sait pas pour quel poste on le rencontre, il le découvrira parfois après des semaines d'intégration. « Malgré les multiples entretiens éprouvants auxquels ils ont survécu, de nombreux salariés sont engagés pour des postes factices, des fonctions qui ne leur sont jamais clairement explicitées avant leur arrivée. »

Le climat fermé. Chez Apple, nul n'a le droit de parler à l'extérieur sous peine de sanctions. La cantine est payante, c'est l'inverse de chez Google, l'ambiance est tendue chez Apple plus décontractée chez Google (même si au final dans chacune d'elle on travaille come des brutes).

La pression interne est particulièrement forte.  Chaque jour est un combat décisif, on ne peut se déconcentrer un instant, ce serait ralentir l'équipe. Parallèlement, on ne vient pas pour gagner beaucoup d'argent ni pour s'amuser.  De plus, Apple offre peu de mobilité interne et ne favorise pas d'activité extra professionnelle. Le cimat paranoïaque ne favorise rien de tel. Résultat :  « Quelqu'un qui quitte Apple, c'est comme s'il sort de prison, il ne connaît plus personne. « 

Pas d'amis. Les gens d'Internet se connaissent tous dans la Silicon Valley, mais Apple vit dans son monde, ses salariés ont peur de parler à l'extérieur. « Etre renvoyé pour bavardage est une réelle inquiétude pour les salariés ». 

Le secret d'abord. Apple cultive le secret à une époque où la tendance dans les affaires est à la transparence. Loin d'être autonomes, les salariés opèrent dans un spectre très étroit de responsabilités. Pour participer à une réunion interne par exemple, il faut être affranchi, par un process contraignant, c'est-à-dire autorisé à parler du sujet ou à entendre d'autres en parler. Les employés d'Apple sont tenus de suivre les ordres et non d'émettre des opinions. Mais certains, à l'intérieur d'Apple, avouent que le culte du secret et la paranoïa internes sont aussi un jeu, une manière de les maintenir sous pression. Un petit groupe d'ingénieurs a toutefois un statut à part, des vieux compagnons de Jobs qui l'ont suivi depuis ses débuts : on les appelle les DEST, Distinguished engineer scientist technologist.

Autre effet du culte du secret, l'attente à l'extérieur est très forte pour les sorties produits. Le secret tient en haleine le monde de l'IT et les consommateurs. C'est le buzz. Il évite à Apple de dépenser des fortunes en publicité !


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Chacun dans son couloir

Tout le monde travaille dans un couloir fermé, vers un seul objectif, sans contact avec d'autres unités. Chacun reporte à son chef de projet, mais reste rivé sur son développement, son objectif produit. Les chefs de projets sont soumis à une concurrence terrible entre eux.

Le plus étonnant, c'est l'absence de responsabilité budgétaire ou marketing des cadres intermédiaires. Contrairement à toutes les autres grandes entreprises. Chaque cadre doit se concentrer sur son projet, ses collaborateurs aussi, il ne peut être distrait par des considérations budgétaires ou autres. Les responsables financiers s'occupent de finances, les responsables techniques des produits, le marketing du marketing. Chacun dans son couloir, comme un sprinter en athlétisme. C'est le concept de DRI Directly responsible individual. Chaque personne est affectée à une tâche et à une seule.

Au sommet de l'entreprise, le schéma est là encore inédit, Tim Cook est au centre d'une toile avec des vice-présidents en étoile qui lui rendent des comptes. Pas de notion très pyramidale donc, mais une extrême centralisation et spécialisation à tous les niveaux et au sommet.

Apple est une machine entièrement vouée à l'innovation technique et design. Derrière, c'est une machine à exécuter. C'est l'une des raisons de l'ascension de Tim Cook (passé chez IBM  et Compaq) l'homme de la logistique et des sous-traitants, qui a ainsi gagné ses galons, en déchargeant Steve Jobs du back office pour qu'il se concentre sur les produits. Apple est une formidable entreprise de mise sur le marché de produits innovants, mais derrière, l'exigence de gestion est aussi implacable.

Pour la sortie des produits, l'organisation et le climat sont quasi militaires. Concentration  totale vers l'objectif produit, tout est testé de multiples fois, avec une attention extrême aux détails, inoculée par Steve Jobs, lui-même obsessionnel et dictatorial. Un manuel interne, le Apple new product process, ANPP, établit par étape le processus (c'est le même chez Xerox et HP). « Apple est obsédé par l'expérience utilisateur, pas par l'optimisation des revenus ». 


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Apple veut ignorer Wall Street

Ne pas se comparer. Apple évite soigneusement d'être mis en parallèle avec les autres géants de l'IT. Elle ne participe pas aux classements des magazines technologiques et économiques, alors que ses résultats lui permettraient d'y bien figurer. Apple veut ignorer Wall Street, ses jugements et sa pression. Si Apple avait pour habitude de conserver ses bénéfices, Cook vient de commencer à distribuer du dividende. Une première brèche dans l'héritage. Il s'est également rendu en Chine surveiller les pratiques des sous-traitants. Tim Cook semble être attentif à l'image de l'entreprise.

Notre avis : Ce livre démonte la machine Apple et met en valeur d'autres personnalités fortes, écrasées par l'aura et la poigne de fer de Steve Jobs comme Scott Forstal, patron des logiciels pour mobiles ou Jonathan Ive, designer en chef. Adam Lashinsky appelle un chat un chat, avant lui, Apple intimidait tellement et bénéficiait d'une telle aura que les observateurs surveillaient leurs propos.

C'est un livre de management, mais valable pour un cas unique, celui d'Apple et encore, l'Apple de Steve Jobs. On le lit avec avidité, sans savoir quelles leçons en tirer pour d'autres entreprises et en attendant la suite avec impatience. Tim Cook et son équipe arriveront-ils à prolonger la destinée hors normes d'Apple ?

(*) Adam Lashinsky  est journaliste à Fortune, le magazine économique américain, il est basé à San Francisco depuis 1997, anime des conférences et tient un blog : http://tech.fortune.cnn.com/author/adamlashinsky/

 

 

 

 

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(02/05/2012 10:18:17)

Piloter, bientôt, sa xBox avec les yeux grâce à Kinect

La prochaine évolution de Kinect pourrait comprendre la détection des mouvements des yeux en plus de ceux du corps des joueurs, selon le site GameBlog. Le périphérique est attendu avec la prochaine console de jeu de Microsoft, nom de code "Xbox 720".

Pour asseoir sa projection, Gameblog évoque une collaboration entre Microsoft et la société Tobii, spécialisée dans la commande oculaire. Des tests auraient ainsi déjà été menés sur smartphones et tablettes équipés du futur système d'exploitation Windows 8. En ce qui concerne sa future console, Microsoft se heurterait à un problème lié à la distance séparant Kinect de l'utilisateur.

Pour le moment, ce projet n'en est qu'au stade de rumeur, Microsoft n'ayant pas confirmé l'information.

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(30/04/2012 14:39:27)

Flashback fait surtout des ravages chez les utilisateurs de Mac OS X 10.6

Selon Doctor Web, parmi les ordinateurs Macs infectés par le malware Flashback, près des deux tiers sont sous OS X 10.6, mieux connu sous le nom de Snow Leopard. Le vendeur de solutions antivirus russe avait été le premier à lancer l'alerte sur cette attaque de malware d'une ampleur inédite contre les ordinateurs tournant sous l'OS d'Apple, après avoir analysé des données envoyées depuis des ordinateurs infectés.

Avec l'aide d'autres vendeurs de solutions de sécurité, l'entreprise avait utilisé la technique du « sinkholing » pour empêcher les domaines de commande et de contrôle (C&C) dirigés par le botnet Flashback d'émettre des ordres ou de mettre à jour son code d'attaque. Elle a pu aussi estimer la taille du botnet et surtout perturber son fonctionnement. En fin de semaine dernière, Doctor Web a publié sur son blogune analyse portant sur les communications établies entre 95 000 Macs infectées par le malware Flashback et les domaines détournés. Les tentatives de communication effectuées par le botnet ont eu lieu le 13 avril, soit plus d'une semaine après la révélation de l'existence d'un énorme botnet Flashback par Doctor Web. Le malware utilisait une vulnérabilité critique dans Java pour infecter les ordinateurs Mac. Apple, qui continue à effectuer le support de Java pour ses utilisateurs sous OS X, a corrigé la vulnérabilité début avril, soit sept semaines après la découverte de la faille par Oracle et la livraison de mises à jour de Java pour Windows et Linux.

95 000 Mac infectés faute de mise à jour Java


Sans surprise, 63,4% des machines infectées par Flashback tournent sous OS X 10.6 Snow Leopard, la plus récente version du système d'exploitation d'Apple fournie avec Java. Selon Net Application, qui mesure les parts occupées par les systèmes d'exploitation sur Internet, le mois dernier, Snow Leopard était le système Mac OS X le plus représenté. Ce qui en fait la cible privilégiée de Flashback. Leopard, alias OS X 10.5, est le second système Mac OS X le plus infecté par Flashback, selon Doctor Web. Le vendeur a établi que 25,5% des 95 000 Mac hébergeant le malware tournaient avec l'édition 2007 de l'OS d'Apple. Leopard était aussi livré avec Java, mais contrairement à Snow Leopard et à Lion, ce système d'exploitation ne bénéficie plus de mises à jour de sécurité, et ne reçoit donc plus de correctifs Java pour ces versions. Enfin, le mois dernier, Leopard tournait sur 13,6% de tous les ordinateurs Mac.

Mais, alors que le taux d'infection des Mac sous Snow Leopard et sous Leopard est plus élevé que la part qu'ils occupent en terme d'utilisation, l'inverse est aussi vrai pour Mac OS X 10.7 Lion. Le mois dernier, le système d'exploitation sorti en 2011 représentait 39,6% de tous les systèmes Mac OS X en cours d'exécution, mais ne représentait que 11,2% des Mac infectés par le malware Flashback. Cette disparité semble conforter la décision prise en 2010 par Apple de « déprécier » Java, et d'arrêter de le coupler avec son système Mac OS X. Lion a été le premier système livré sans Java, laissant aux utilisateurs la liberté de le télécharger et de l'installer eux-mêmes.


Mac OS X Lion (à l'extrême droite) est le système le moins infecté par le malware Flasback. La décision d'Apple de ne plus coupler son OS avec Java semble avoir été la bonne. (Données : Doctor Web et Net Applications)

Même si Doctor Web ne tire pas ces conclusions de ses données, les chiffres indiquent clairement que les versions de Mac OS X livrés avec Java - Snow Leopard et Leopard - ont beaucoup plus de chance d'être touchées par Flashback. À l'inverse, Lion - livré sans Java par défaut - est beaucoup mieux protégé contre le malware. Les données du vendeur montrent également que de nombreux utilisateurs Mac ne mettent pas leurs systèmes à jour, ce que Ed Bott, de ZDNet, fait aussi remarquer dans son blog. Ainsi, 24% des Mac infectés sous Snow Leopard sont en retard d'au moins une mise à jour, 10,4% en ont trois ou plus en retard, et 8,5% sont à quatre mises à jour en retard et plus. Les utilisateurs de Mac OS X Lion ne sont pas bien meilleurs : 28% ont une ou plusieurs mises à jour de retard.

En matière d'application de correctifs, les utilisateurs de Windows ne sont pas mieux placés. Selon Qualys, qui examine régulièrement plusieurs centaines de milliers de PC, dans l'entreprise, 5% à 10% des machines sous Windows ne sont jamais mises à jour, et certaines mises à jour livrées par Microsoft sont ignorées par 20 à 30% des PC sous Windows, jusqu'à quatre mois ou plus après leur sortie. selon les données de Doctor Web, les utilisateurs Mac ne sont pas très rapides non plus pour mettre leurs machines à jour, voire pour ne rien faire du tout. L'OS X 10.6.7, l'avant avant-dernière mise à jour de Snow Leopard, a été livrée il y a 13 mois, mais seuls 9% des Macs sous Snow Leopard infectés par le malware tourne avec cet update.

Mise à jour simple mais indispensable

Afin d'empêcher Flashback d'exploiter la faille Java dans les systèmes Snow Leopard et Lion, les utilisateurs doivent lancer « Mise à jour de logiciels» à partir du menu Apple et télécharger les correctifs pour Java livrés ce mois-ci. La fonction « Mise à jour de logiciels » permet également d'installer la dernière version disponible des systèmes d'exploitation sur des Macs exécutant des versions plus anciennes. En ce qui concerne les machines tournant sous Leopard, les utilisateurs peuvent désactiver Java dans leurs navigateurs afin d'empêcher les attaques.

Plus tard cette année, Oracle doit sortir une version 7 de Java pour les utilisateurs sous Mac OS X. Ceux qui feront la mise à jour vers Java 7 recevront alors des mises à jour de sécurité régulières directement d'Oracle, et non plus d'Apple.


 

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(30/04/2012 12:02:43)

Mission sur Mars : la NASA teste ses batteries avec l'outil XLfit d'IDBS

La NASA a utilisé le logiciel d'IDBS pour analyser des centaines de milliers de données et prévoir les besoins en énergie de sa mission spatiale sur Mars programmée en 2012. Lors de cette mission, un Rover, nommé «Curiosity», sera déposé sur la planète Mars. Celui-ci devra effectuer les analyses chimiques d'échantillons prélevés dans le sol pendant au moins 687 jours, afin de déterminer si l'environnement de Mars a été ou pourrait être propice à la vie.

Le Rover « Curiosity » transportera deux fois plus d'instruments que ses prédécesseurs, notamment des caméras, un spectromètre à rayons X et des détecteurs de rayonnements radioactifs. Pour être sûr que son générateur fournira suffisamment d'énergie aux batteries pour tenir la charge pendant toute la période de la mission, en tenant compte de son poids et des températures extrêmes, la NASA a utilisé le logiciel XLfit d'IDBS pour effectuer ses tests.

Anticiper la durée de vie des batteries sur Mars

Andy Vines, responsable produit chez IDBS, a expliqué pourquoi il était important d'anticiper les besoins des batteries. Utilisées par la NASA depuis une quarantaine d'années, ces batteries fonctionnent par désintégration de radio-isotopes qui génèrent de la chaleur, laquelle est ensuite transformée pour fournir de l'énergie. « L'état de ces batteries est essentiel, parce que la mission elle-même va avoir lieu dans des conditions extrêmes. En cas de chaleur ou de froid extrême, une batterie normale se décharge complètement ou tombe définitivement en panne », a-t-il déclaré. La NASA a réalisé plusieurs expériences pour exposer la batterie à différentes conditions. « Les chercheurs ont collecté des données sur la tension en sortie et sur l'efficacité de la batterie ». Cependant, l'agence spatiale américaine n'a pas pu tester toutes les configurations qui peuvent se présenter sur Mars, cela aurait demandé des milliers d'expériences.

Grâce à XLfit, la NASA a pu extrapoler les données sur la tension pour estimer ce qui se passerait dans des zones qui n'ont pas été testées. L'agence spatiale a utilisé un modèle mathématique pondéré par un coefficient, qui a permis aux chercheurs de prédire le comportement de la batterie dans certaines conditions. « Ils avaient bien récolté des milliers de données pendant leurs expériences, mais ce n'était pas suffisant. Ils avaient besoin d'extrapoler la durée de vie de la batterie en utilisant ces données », a déclaré Andy Vines. « Et il fallait que leurs prévisions tiennent sur au moins 680 jours, ce qui demandait effectivement d'ajuster la courbe réalisée à partir des données. Après ça, ils ont pu disposer de tous les paramètres dont ils avaient besoin et ont pu voir comment fonctionnerait l'alimentation en énergie ».

Nécessaire de passer de 32 à 64 bits

XLfit tourne dans Microsoft Excel, mais apporte des capacités de calcul mathématique et statistique supplémentaires. Le logiciel est généralement utilisé avec une version 32-bits d'Excel, mais étant donné la quantité de données que devait analyser la NASA, IDBS a dû transformer son logiciel pour le rendre compatible avec une version 64-bits du tableur de Microsoft. « La version 32-bits n'était pas assez puissante pour analyser les groupes de données collectés. Nous avons pu développer une version 64-bits de XLfit pour la NASA en moins d'un mois, pour apporter des capacités de calcul beaucoup plus grandes », a ajouté le responsable produit d'IDBS. La version 64-bits de Microsoft Excel permet de faire passer le nombre de lignes par feuille de calcul de 65 546 à plus d'un million, et le nombre de colonnes de 256 à 16 384.

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(27/04/2012 13:47:43)

Tester un jeu de Formule 1 grâce à la bêta privée

Grâce à l'accord exclusif établi avec la Formula One World Championship Limited, toutes les voitures, pilotes et circuits officiels sont accessibles sur F1 Online : The Game.

Toutefois, les joueurs pourront créer leur propre écurie (conception du bolide, du casque et du logo) et améliorer les performances de leur voiture au gré des courses. En plus de l'aspect simulation automobile, pour viabiliser son écurie, le joueur devra monter et développer son siège social, avec différents départements comme celui consacré à la recherche et au développement.

Les internautes qui auront été acceptés pour tester cette version bêta conserveront certaines récompenses gagnées, lorsque que le jeu sera disponible. La date de la version finale n'est pas encore annoncée, mais Codemasters annonce d'ores et déjà qu'elle permettra le mode multi-joueurs. Pour s'inscrire à la version bêta fermée de F1 Online : www.F1OnlineTheGame.com

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(26/04/2012 10:57:04)

La suite de Call of Duty/Black Ops attendue en mai prochain

Le prochain épisode de Call of Duty, qui constituera la suite direct de Black Ops, sorti en 2010, pourrait bien faire l'objet d'une annonce officielle le 2 mai de la part d'Activision, d'après une affiche préliminaire obtenue par le site Kotaku.

Les logos de l'éditeur Activision et de l'un des cinq développeurs du jeu, Treyarch, figurent sur l'affiche ; à noter que Treyarch faisait déjà partie des cinq développeurs qui avaient travaillé sur Modern Warfare 3 (2011), avec Infinity Ward, Sledgehammer Games, Neversoft et Raven Software.

La date de sortie d'Halo 4 a récemment été annoncée pour le 6 novembre, et Assassin's Creed III sortira le 30 octobre, soit un peu plus tôt dans l'année que ses prédécesseurs, afin d'éviter la concurrence avec Call of Duty, dont les titres sortent habituellement début novembre. Kotaku avait récemment dévoilé des visuels promotionnels pour Assassin's Creed III ainsi que des infos sur le jeu Call of Duty: Modern Warfare 3 en amont des annonces officielles des éditeurs.

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(25/04/2012 16:44:31)

Intel lance ses puces Core i5 et i7 Ivy Bridge gravées en 22 nm

Intel a annoncé comme prévu ses premiers processeurs Core de troisième génération, nom de code Ivy Bridge, qui sont plus rapides et plus économes en énergie que les processeurs actuellement utilisés dans les ordinateurs de bureau et les PC portables. La gamme Ivy Bridge initiale comprend 13 processeurs quad-core pour les ordinateurs de bureau, les PC portables et les tout-en-un, a déclaré Kirk Skaugen, vice-président corporate et directeur général du groupe Intel PC client lors d'un événement à San Francisco.

Le fondeur de Santa Clara annoncera d'autres puces Ivy Bridges pour les ultrabooks, les PC portables et les ordinateurs de bureau grand public dans les prochains mois, a-t-il dit. La société compte 570 concepts de PC - 270 ordinateurs de bureau et tout-en-un et 300 PC portables - en plus des 100 projets d'ultrabooks exploitant la plate-forme Ivy Bridge.

Les dual-core arriveront plus tard

Les puces destinées aux ultrabooks seront de type dual-core et basse consommation, et assez petites pour équiper les châssis très minces des prochains ultrabooks, 18 millimètres  environ soit 0,7 pouce.  Il y a eu « des demandes prioritaires « pour la fabrication de puces Ivy Bridge destinées à des ultrabook très minces, et la production de ces processeurs va monter en puissance très rapidement, a indiqué M. Skaugen. Intel espère bien que les futurs ultrabooks Ivy Bridge pourront bouger les lignes entre les PC portables et les tablettes grâce à leur écran tactile, une batterie longue durée et  plus de  connectivité. Intel a indiqué que le prix de départ des ultrabooks sera ramené à 699 dollars HT d'ici la fin de l'année.


Le MSI GT70 500

Les premières puces Ivy Bridge commercialisées sont de type quatre coeurs et comprennent huit modèles Core i7, cinq Core i5 (2,8 à 3,4 GHz) et un i7-3920XM Extreme Edition cadencé à 3,5 GHz (1,4 milliard de transistors sur un die d'une surface de 160 mm2), une version avec le coefficient multiplicateur débloqué, que M. Skaugen appelle le processeur le plus rapide du monde. Acer a déjà annoncé des PC de bureau basés sur les processeurs Core i5 et i7, à des prix compris entre 699 et 1 199 dollars HT.

La plupart des PC portables et des ordinateurs de bureau sur le marché sont livrés avec les processeurs Core, utilisant la micro-architecture  Sandy Bridge et introduits en début d'année dernière. Les puces Ivy Bridge  fournissent jusqu'à deux fois plus de performances graphiques, en 2D et 3D avec notamment le support de DirectX 11,  et gagnent 20% pour la partie puissance CPU, selon M. Skaugen.

Première utilisation de transistors 3D

L'utilisation de transistors 3D Tri-Gate est un des facteurs majeurs dans l'amélioration des performances des puces Ivy Bridge. Ces transistors soignent les performances graphiques et applicatives tout en préservant l'autonomie de la batterie. Intel a ainsi déclaré que les transistors 3D - qui reposent sur un processus de fabrication en 22 nanomètres - permettent de consommer moitié moins d'énergie et sont jusqu'à 37% plus véloces que les puces gravées en 32-nm utilisant des transistors 2D. La technologie des transistors 3D, un mince aileron en trois dimensions qui sort verticalement du substrat de silicium (voir illustration), vient avantageusement remplacer l'agencement des transistors 2D.

Lors de la refonte de sa micro-architecture, le fondeur mis en place un sous-système graphique avec doublant le nombre de transistors pour booster les performances graphiques, précise le dirigeant d'Intel. Les noyaux graphiques HD 4000 (650 MHz)et HD 2500 supportent par exemple jusqu'à trois moniteurs en même temps.

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L'interface Thunderbolt va également se développer sur les cartes mères puisqu'elle est supportée nativement par les Ivy Bridge. Introduite il y a un an, cette technologie de connecteur à haute vitesse concurrence l'USB 3.0 pour déplacer plus rapidement des données entre des ordinateurs et des périphériques de stockage. On la retrouve aujourd'hui principalement sur les Macintosh d'Apple. Les PC portables Thunderbolt sont attendus plus tard cette année chez les principaux constructeurs tels que HP, Lenovo (ci-dessous le tout-en-un A720 AIO 2), Acer et Asus.



Intel a également mis en oeuvre la technologie QuickSync 2.0 sur ses puces Ivy Bridge pour accélérer la conversion vidéo à des formats spécifiques. QuickSync 2.0 permettait de transcoder la vidéo 23 fois plus rapidement qu'avec un PC vieux de trois ans, selon M. Skaugen . QuickSync 2.0 est deux fois plus performante que la technologie apparue l'année dernière avec les  Sandy Bridge.

Plus de sécurité

La firme de Santa Clara a également introduit des fonctionnalités de sécurité pour protéger les PC au niveau du système d'exploitation. Les outils OS Key et OS Guard sont censés prévenir les attaques de logiciels malveillants et seront disponibles sur les PC à  venir animés par les systèmes d'exploitation Windows 8 ou Linux, a précisé M. Skaugen. Intel indique également avoir mis en oeuvre une technologie antivol pour bloquer les ordinateurs dérobés et la prochaine version sera en mesure de déverrouiller les systèmes via SMS.

Il y a enfin quelques autres améliorations au niveau matériel. Le support du PCI-Express 3.0, qui peut transférer des données à 8 Gigabits/s contre 5 Gigabits/s pour le PCIe 2.0, devrait offrir un autre bond de performances pour le traitement des données.

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(25/04/2012 11:33:23)

Un analyste chinois prédit la fin du MacBook Pro 17" chez Apple

Selon Ming-Chi Kuo, analyste chez KGI, Apple arrêtera la production du MacBook Pro 17 pouces au moment de la sortie des prochains modèles de MacBook, plus mince et plus puissant. D'après MacRumors, Ming-Chi Kuo, déjà connu pour avoir annoncé à l'avance la sortie d'un iPod Touch blanc et la fin du MacBook, pense que en raison des faibles ventes de la version 17 pouces du MacBook Pro, Apple a décidé de sortir ce modèle de son catalogue. Dans un document publié le 22 Avril, l'analyste affirme qu' « au début du troisième trimestre 2012, Apple va remplacer le MacBook Pro 17 pouces par un MacBook entièrement nouveau, très performant et facile à transporter, qui devrait combiner les avantages du MacBook Air et du MacBook Pro. »

Toujours selon Ming-Chi Kuo, «même si Apple sort de nouveaux produits, le constructeur devrait arrêter la production du MacBook Pro 17 pouces cette année, du fait d'un ralentissement dans la demande pour ce produit et maintenir une stratégie très cohérente». Par ailleurs, l'analyste de KGI prévoit une poussée des ventes de Mac au second trimestre 2012, pour trois raisons principales. En premier lieu, le lancement, en juin, du système d'exploitation Mountain Lion, qui intègre des fonctionnalités d'iOS dans Mac OS, et une fonction d'interaction avec la TV d'Apple. Ensuite, la sortie des processeurs Ivy Bridge d'Intel. Enfin, une forte demande dans le secteur de l'éducation. « D'après nous, Apple va vendre 5,32 millions d'ordinateurs de cette nouvelle ligne (en hausse de 28,5 % à trimestre égal et de 35,2 % en glissement annuel) au second trimestre 2012. Celle ligne de produit va devenir son principal moteur de croissance. », a déclaré l'analyste.

Un MacBook Ivy Bridge plus fin avec SSD


Les rumeurs concernant la sortie d'un MacBook complètement remanié circulent depuis un certain temps déjà, et certains rapports indiquent que les ventes de Mac ont été moins importantes que prévues, anticipant en quelque sorte le lancement d'un nouveau modèle de MacBook. Parmi les facteurs qui pourraient stimuler les ventes de Mac, Ming-Chi Kuo mentionne l'arrivée des processeurs Ivy Bridge d'Intel. Le fondeur a annoncé que ses processeurs seraient disponibles le 29 avril, et les experts pensent qu'Apple sera l'un des premiers fabricants à sortir un ordinateur portable équipé de ce processeur.

La prochaine machine, mélange de MacBook Air et de MacBook Pro selon les rumeurs, devrait être plus mince, et pourrait être dotée d'un écran de type Retina. Elle pourrait aussi intégrer des disques SSD, abandonnant définitivement les disques durs traditionnels à plateaux.

Apple a également annoncé ses résultats du second trimestre 2012, nous reviendrons plus tard dans la journée sur ce sujet.

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(23/04/2012 16:33:14)

13 puces Intel Ivy Bridge 4 coeurs attendues cette semaine (MAJ)

Les processeurs Ivy Bridge d'Intel sont attendus cette semaine et promettent d'apporter des améliorations significatives au niveau des performances et de la consommation d'énergie, de prendre en charge l'interface USB 3.0, le tout dans une enveloppe plus compacte que celle des actuelles puces Sandy Bridge. La première vague de puces Ivy Bridge rassemblera 13 processeurs quad-core conçus principalement pour les ordinateurs de bureau et les PC portables. Les processeurs dual-core, destinés aux ultrabooks, aux tablettes hybrides comme le concept Intel Cove Point, et à d'autres types de terminaux mobiles sortiront un "plus tard ce printemps," selon un article de la BBC.

Des transistors 3D sur des puces plus petites


Les prévisions la BBC sont en phase avec  les annonces d'Intel de mercredi dernier qui indiquaient que les premières puces Ivy Bridge ne seraient pas destinées aux ultrabooks. Ces processeurs seront les premiers gravés en 22 nanomètres, contre 32 nm pour les plus volumineux Sandy Bridge. Pour vous donner une idée du travail accompli avec le passage au 22nm, Intel précise qu'il serait possible de déposer 100 millions de transistors en 22 nanomètres sur la tête d'une épingle (environ 0,05 pouces de diamètre, soit 1,27 mm).

Les transistors utilisés dans les processeurs Ivy Bridge diffèrent également de ceux utilisés dans les précédentes puces d'Intel puisqu'elles reposent sur la technologie Tri-gate. En effet, le transistor sMOS (Metal Oxyde Semiconductor) planar classique à deux dimensions est remplacé par un mince aileron en trois dimensions qui sort verticalement du substrat de silicium. Le fondeur a précédemment indiqué que ces nouveaux transistors permettront à ses puces d'être jusqu'à 37% plus rapide que les processeurs précédents. Toutefois, la BBC cite un vice-président d'Intel, Kirk Saugen, qui prétend que les premières puces Ivy Bridge vont améliorer les performances et l'efficacité énergétique de 20% par rapport à Sandy Bridge.

Les ultrabooks Ivy Bridge pas avant juin

Les partenaires d'Intel travailleraient sur plus de 300 produits mobiles, selon M. Saugen, et plus de 270 appareils de bureau différents (y compris de nombreux PC tout-en-un) exploitant la micro-architecture Ivy Bridge. C'est une bonne nouvelle pour les fans de Mac, qui espèrent retrouver rapidement cette génération de puces dans les tout-en-un iMac pour commencer, puis les prochains MacBook Pro. Les serveurs de la firme à la pomme équipés de processeurs Xeon Ivy Bridge sont également attendus avant l'été. Les premières annonces sur les postes de travail Windows reposants sur des processeurs Ivy Bridge, sont donc attendues cette semaine, mais les livraisons en volume de puces aux constructeurs d'ordinateurs portables ne commenceraient qu'en juin. Soit largement avant la rentrée scolaire de septembre, une période propice aux ventes de PC portables.

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