La DSI est sous pression à l'heure où l'utilisateur se comporte de plus en plus comme un consommateur de services informatiques. Face à cet utilisateur exigeant et juge arbitre de la performance, la DSI trouve sa légitimité dans la délivrance de services à valeur ajoutée métier, bâtis sur sa connaissance intime de l'entreprise et de ses enjeux.

Cette problématique s'illustre notamment via la recherche de la délivrance d'une qualité de service optimale au meilleur coût. C'est l'objet du dossier de CIO.PDF 52. Celui-ci comprend les témoignages de : Rémy Berthou (SNCF et ITSMF), Thierry Chamfrault (Technip Corporate Services et ITSMF), Jean-Pierre Dehez (EOA), Christophe Roussel (SAUR), Sabine Boyé-Gonçalves (Aide et Action), Yves Cavarec (Project Management Institut), Régine Diyani (Agence pour l'informatique financière de l'Etat) et Jocelyne Viazzo (Groupement des Mousquetaires).

Réussir ses projets pour satisfaire encore les utilisateurs

Mais, comme le rappelle Jean-Christophe Hamani, président du chapitre francilien du PMI, la première responsabilité d'un DSI est tout de même de réussir ses projets informatiques. Cela suppose de disposer du savoir-faire nécessaire et d'appliquer des bonnes pratiques pour satisfaire les directions métier.

La satisfaction des utilisateurs passe également par celle des partenaires voire des citoyens. Le GIP MDS a ainsi en charge la simplification des relations entre entreprises et organismes sociaux. Au coeur de la complexité, il est responsable de la simplicité de l'usage.
Et comme si cela ne suffisait toujours pas, le DSI devient naturellement responsable de l'innovation dans son entreprise. Nos confrères américains de CIO.com ont enquêté sur le sujet.

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