Fondée par des professionnels de la cybersécurité et du management, la Cybersecurity Business School (CSB School) propose un modèle pédagogique basé sur l’alternance dès la première année d'étude.  Implantée en plein cœur du quartier des affaires de Lyon, dans un immeuble de 2 400m2 à quelques minutes de la Gare Lyon Part-Dieu, l’école accueillera ses premiers étudiants - plus d’une centaine attendue - dès septembre prochain. Son ambition : former des managers, entrepreneurs et dirigeants dans les différents domaines de la sécurité informatique et industrielle. Dans le cadre de sa formation initiale, l’établissement propose aujourd’hui un Bachelor (Bac+3) avec spécialisations en cybersécurité informatique (IT) ou cybersécurité industrielle (OT). Figure également à son catalogue un cursus de type Master (M1 & M2), accessible après licence, avec 4 spécialisations possibles : au menu, management de la cybersécurité informatique et industrielle, gestion de crise et des incidents (SOC), et gouvernance, risque et conformité (GRC).

Jugeant que l’apprentissage de la cybersécurité passe avant tout par la pratique, les fondateurs de l’établissement ont décidé de dédier plus de 350m2 à un simulateur répliquant les environnements tertiaires et industriels que l’on retrouve en milieu professionnel afin de reproduire librement des incidents. Dispensées sans cours magistraux, les formations reposent à 70% sur de la mise en application, du test et de l’entraînement. Elles intègrent la préparation et le passage de certifications cyber mondialement reconnues comme le CEH ou le CISSP.  

Un campus ouvert aux visiteurs

Le processus d’admission est en cours pour les étudiants qui rejoindront la CSB School pour la 3ème année de Bachelor et les 2 années de Master qui ouvriront à la rentrée de septembre 2022. Afin de mettre en lumière ce qu’est la cybersécurité, le campus sera accessible et ouvert à tous, toute l’année. Patrice Chelim, son directeur général, réfléchit en plus de celle de septembre, à l’opportunité d’une seconde rentrée, décalée celle-ci à février prochain. A terme, il envisage de dupliquer ce modèle en France, et de le décliner plus tard à l’international.