Et si l'hyperconvergence était le remède aux maux des infrastructures IT vieillissantes ? Une ordonnance respectée par l'AP-HP concernant les équipements informatiques de plusieurs SAMU. En effet, l'organisme gérant plus de 39 hôpitaux au sein de 12 groupements hospitaliers a décidé de toiletter l'infrastructure IT de 4 services d'urgences (SMUR). Ces derniers sont localisés à Paris intra-muros (75) avec les hôpitaux Necker, Pitié, Hôtel-Dieu, Lariboisière ; dans les Hauts de Seine (92) avec les hôpitaux Raymond Poincaré et Beaujon ; en Seine-Saint-Denis avec l'hôpital Avicenne et dans le Val de Marne avec l'hôpital Henri-Mondor.

Sur le plan technique, « l'infrastructure de ces quatre organismes comprenait plus d'une dizaine de serveurs reliés au SAN, un environnement Microsoft et Linux. Un système très hétérogène », explique Guy Bensoussan, directeur Infrastructure et Services chez l'AP-HP. La question de la rénovation de l'infrastructure s'est donc posée avec deux options : repartir sur des équipements traditionnels ou aller vers quelque chose de plus innovant. « Il y avait une volonté de virtualiser l'ensemble des environnements », reconnaît le dirigeant et d'ajouter « il existait aussi une contrainte de continuité de service. Quand un SAMU a des problèmes informatiques, la bascule se fait sur un autre SAMU ». Le temps de migration devait être réduit.

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