Il faut sans cesse accélérer le rythme des innovations, donc des mises à jour logicielles. Et, pour 89 % des DSI interrogés par le cabinet Vanson Bourne pour le compte de Dynatrace, le rythme va encore s'accroître dans les années à venir. Mais, pour 73 %, cette accélération menace la qualité de l'expérience client. Il en résulte, pour 64 %, une nécessité de compromis entre la nécessité d'accélérer le rythme de l'innovation et de garantir la performance logicielle optimale. Délivrer rapidement tout en garantissant une industrialisation ? L'architecture nativement cloud semble adaptée pour répondre à ce défi.

Mais ce n'est pas si simple ! 67 % juge qu'une migration dans le cloud ne peut pas s'envisager si l'on ne peut pas s'assurer que la performance logicielle ne sera pas affectée. Pour 57 %, il faut aussi déterminer si l'application migrée continue de fournir le bénéfice attendu. 55 % jugent nécessaire de s'assurer préalablement qu'une application est compatible avec le cloud. Seulement 51 % jugent ainsi nécessaire d'envisager de refondre l'architecture applicative avant la migration. Enfin, 48 % veulent garantir que la migration n'affectera pas l'expérience utilisateurs.