Les projets réussis débouchent souvent sur des conclusions assez similaires, qui sont bien identifiées dans les organisations (comme la présence d'une équipe solide ou l'engagement d'un sponsor). En revanche, ceux qui tournent mal peuvent fournir d'excellentes occasions d'apprentissage.

Le procès Hertz vs. Accenture, intenté l'année dernière, fournit quelques enseignements très précieux. Ce cas, qui concerne une transformation digitale, nous apprend qu'il est important de connaître les bonnes pratiques pour engager la responsabilité des fournisseurs, en particulier quand vous cherchez à être agile sur grande échelle. En s'appuyant sur toute l'information publiquement disponible, nos collègues de CIO Etats-Unis ont recensé ce qui n'a pas fonctionné dans le projet de Hertz et Accenture, et les raisons de cet échec.

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