Au fur et à mesure que le calme revient après le tremblement de terre (entre 8,4 et 8,9 sur l'échelle de Richter) et le tsunami qui en a résulté, les réseaux sociaux et les acteurs de l'Internet se mobilisent pour apporter leur savoir-faire. Facebook et Twitter se chargent de transmettre les informations des abonnés sur leur ressenti et leur vécu de la catastrophe. Des groupes se sont constitués pour poster des messages de soutien.

Google de son côté a activé son outil de recherche de personnes, Google Finder Earthquake. Il s'agit de la même solution qui a été utilisé lors du tremblement de terre à Haïti et plus récemment encore en Nouvelle-Zélande. L'objectif est de recenser et d'apporter des informations sur des personnes disparues. A la différence d'Haïti, les réseaux de télécommunications au Japon fonctionnent, même si dans les endroits les plus touchés, des réseaux satellitaires d'urgence vont être mis en place.