- Google renforce ses Chromebook Plus avec l’IA. La gamme intègre plusieurs fonctionnalités, parmi lesquelles un outil de sélection d’écran pour rechercher ou capturer du texte, un outil dédié à l’explication de textes complexes, ainsi que NotebookLM. La fonction Simplify, qui facilite le résumé ou la clarification des contenus, fait également son apparition. Les utilisateurs peuvent aussi profiter de la touche “Quick Insert” pour générer des images ou améliorer leurs écrits. Google offre à tous les utilisateurs de Chromebook Plus un abonnement d’un an au plan Google AI Pro, incluant l’accès à l’application Gemini, aux outils Flow et Whisk, ainsi qu’à Gemini intégré à Gmail, Docs et Chrome. De plus, le dernier Lenovo Chromebook Plus 14 propose deux fonctionnalités exclusives : des recommandations pour organiser onglets et documents, ainsi qu’un éditeur d’images capable de supprimer les arrière-plans ou de créer des stickers. Ce modèle d'une dalle tactile Oled, équipé d’une puce MediaTek Kompanio Ultra, est disponible en versions 12 Go et 16 Go de RAM, proposées respectivement à 649 et 749$ HT. 

- Snowcap Compute lève 23 M$ pour développer des puces IA. La start-up américaine mise sur la supraconductivité pour développer ses produits. Cette technologie, qui permet au courant de circuler sans résistance, promet de multiplier par 25 l’efficacité énergétique des centres de données, même en tenant compte du refroidissement cryogénique nécessaire au fonctionnement des puces. L’arrivée de Pat Gelsinger, ancien CEO d’Intel, au conseil d’administration, souligne l’ambition du projet face à la croissance exponentielle des besoins en calcul pour l’IA. Snowcap prévoit de lancer sa première puce d’ici fin 2026, avec l’objectif de repousser les limites actuelles de la performance tout en réduisant l’empreinte énergétique des datacenters. 

- Mark Zuckerberg recrute des pointures IA. On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Le CEO de Meta-Facebook doit le penser puisqu'il s'investit en première ligne pour recruter les personnes les plus talentueuses pour renforcer ses activités dans l'intelligence artificielle. Selon le Wall Street Journal, le dirigeant passe ses journées à envoyer des courriels et des messages WhatsApp aux plus grands spécialistes de l'IA, dans un effort qualifié de « frénétique pour rattraper le temps perdu. » Il aurait ainsi personnellement contacté des centaines de chercheurs, scientifiques, ingénieurs en infrastructure, et entrepreneurs pour tenter de les convaincre de rejoindre le laboratoire de superintelligence qu'il est en train de mettre en place. Des packages salariaux à 100 M$ ont été évoqués pour appâter les stars de l'IA.