- Samsung prêt à lancer son très cher Galaxy Fold 2. Après l'échec d'une première version, Samsung a pris le temps de corriger le tir avec la deuxième mouture de son smartphone haut de gamme pliable, le Galaxy Fold 2. Attendu pour le 18 septembre 2020, pour un tarif dépassant les 1 600 €HT (2020 €TTC), ce terminal est doté d'un double écran, externe (6,2 pouces de 2260X816 pixels) et externe (7,6 pouces de 2208X1768 pixels) disposant d'un mode 120 Hz adaptatif. Embarquant des composants à la hauteur de ses ambitions, ce smartphone est motorisé par un Snapdragon 865+, 12 Go de RAM, et jusqu'à 512 Go de stockage. Sa batterie grimpe à 4500 mAh et un compatibilité 5G est de la partie alors même qu'aucun réseau, en France tout du moins, n'est encore commercialement disponible auprès des opérateurs nationaux.

Pas de fibre entre L.A. et Hong-Kong. Facebook et Google doivent renoncer à tirer la fibre de leur projet PLCN (Pacific Light Cable Network) jusqu’à Hong-Kong. Le sujet n’est pas du goût de la Federal Communications Commission (FCC). Le câble de 12 800 km qui devait relier Los Angeles à Hong-Kong se contentera des Etats-Unis, de Taiwan et des Philippines.  

- Bouygues Telecom attaque le décret anti-Huawei. L’opérateur poursuit son travail de pression sur le gouvernement en demandant, selon l’Express, au Conseil d’Etat d’annuler le décret d’application de la loi anti-Huawei, promulgué à l’été 2019. Ce dispositif prévoit que le Premier ministre, via l’ANSSI, donne son autorisation ou non au déploiement d’équipements 5G destinées aux opérateurs télécoms. Surtout afin de « préserver les intérêts de la défense et de la sécurité nationale de la France dans le cadre de l'exploitation des réseaux radioélectriques mobiles ». Dans ce cadre, Bouygues Telecom a été forcé par l’Etat de démonter plus de 3000 antennes (3G/4G) dans des zones très denses. Mais sur la 5G, l’opérateur aimerait pouvoir utiliser des solutions Huawei, d’où l’attaque du décret.