Flux RSS

Applications métier

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1671 documents trouvés, affichage des résultats 1211 à 1220.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(05/07/2006 18:13:03)

Microsoft renforce ses liens avec Atos Origin

La SSII Atos Origin et Microsoft annoncent renforcer leur alliance internationale autour de la solution Atos Workplace Solutions, poste de travail virtuel accessible à distance développé par la SSII. Selon les termes de l'accord, Atos s'engage à utiliser les technologies futures de Microsoft dans sa solution Workplace Solutions. Cette dernière, qui repose actuellement sur Windows XP, BackOffice et la technologie Intel Vpro (un jeu de composants intégré au processeur censé faciliter l'administration de parc de PC), supportera désormais Vista, LongHorn Server et Office 2007. "Cette alliance couvre également d'autres solutions, à venir, précise José de Vries, porte-parole d'Atos. Elle permet de garantir une qualité de service à nos clients. Elle rassure le marché et surtout ouvre des opportunités futures pour nos clients." En outre, cet accord englobe une collaboration marketing, commerciale et comprend une offre de formation client. Cela reste toutefois beaucoup plus limité que l'accord entre Microsoft et Accenture: les deux ont fondé une co-entreprise de services en 2000, Avanade (...)

(05/07/2006 18:31:55)

La BSA se félicite d'avoir épinglé une PME

La BSA exulte : elle a trouvé une PME strasbourgeoise dont 62% du parc logiciel serait « en situation irrégulière ». Un niveau extrêmement élevé, donc, sur un parc de... neuf ordinateurs. La Business Software Alliance est un syndicat privé d'éditeurs de logiciels (Microsoft, Avid, Symantec, Apple, Adobe...) qui cherche principalement à faire prendre conscience aux entreprises de la nécessité d'acheter les licences des logiciels qu'elles utilisent. Cependant, ses méthodes sont sujettes à controverse : communiqués alarmistes (« en France, 47% des logiciels utilisés par les entreprises sont des copies illégales »), menaçants (« jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 1,5 million d'euros d'amende »)... Et il est très difficile de savoir comment elle en vient à avoir suffisamment d'éléments d'information sur un possible cas de piratage pour obtenir une ordonnance du tribunal de Grande instance, indispensable pour opérer la vérification sur site. Le problème initial : un achat d'occasion Au final, ce sont surtout des revendeurs (tel Macway) qui sont sanctionnés par la justice, mais rarement une entreprise utilisatrice. C'est en tout cas ce qui est arrivé fin 2004 à Advisa, une petite société spécialisée dans le graphisme et la conception de sites Internet, qui a reçu la visite inopinée d'un expert et d'un huissier - sans même un courrier d'avertissement. « Je n'ai pas compris pourquoi nous avons été contrôlés, explique Olivier Kubler, gérant d'Advisa. Nous avons créé l'entreprise suite au dépôt de bilan de la société qui nous employait en 2002, et nous avons racheté les 9 ordinateurs sur lesquels nous travaillions au liquidateur - sans se douter que les licences n'étaient pas cessibles. J'avais prévu un plan sur trois ans pour avoir un parc à jour, à la fois sur le plan matériel et le plan logiciel. Nous avons été contrôlés au bout de deux ans et demi. Ce n'est vraiment pas de chance. » "Un faisceau d'indices concordants" Pourquoi le couperet est-il tombé là ? "D'une façon générale, j'ignore comment les membres de la BSA sélectionnent les entreprises", explique Thomas Limousin-Lamothe, avocat du cabinet De Gaulle Fleurance et associés, mandaté par la BSA. Et d'indiquer qu'il n'y a pas besoin de démontrer au juge l'existence du piratage, puisque c'est justement ce que la saisie par l'huissier doit prouver. "Cela repose sur un faisceau d'indices concordants, qui se vérifie d'ailleurs à 90% lors des saisies-contrefaçons." Accord sur le fond, pas sur le décompte En tant que concepteur de produits logiciels, Olivier Kubler ne conteste pas la démarche de la BSA. « Je les comprends, je suis pour la protection du droit d'auteur, mais je trouve étonnant d'avoir été contrôlé. » Par ailleurs, le gérant d'Advisa n'est pas d'accord sur le nombre de logiciels en infraction (essentiellement du Windows et des outils de la suite Macromedia) : « Pour nous, il n'y en avait que 30%. » Menacé de procès, Olivier Kubler a préféré la solution à l'amiable proposée par BSA France : payer toutes les licences au prix fort, autoriser la BSA à publier un communiqué, et lui fournir pendant une période probatoire de deux à trois ans un listing de son parc logiciel. « J'ai une entreprise à gérer, une famille, je ne voulais passer du temps dans les tribunaux, payer des avocats, etc. » D'autant que les moyens de la BSA sont sans commune mesure. (...)

(04/07/2006 17:48:50)

Sopra teste les soirées SAP

Les SSII sont unanimes. Trouver des profils qualifiés sur SAP relève du casse-tête en ce moment, tant ils sont déjà mobilisés sur des projets. Pour attirer les candidats, Sopra tente donc d'être créatif. La SSII organise des « soirées SAP » dédiées à faire connaître ses activités autour du logiciel de gestion de l'éditeur allemand. La première s'est déroulée le 22 juin, la seconde a lieu le 6 juillet. Ces manifestations qui sont programmées en fin de journée ont pour but d'exposer aux candidats invités les projets menés chez les grands clients et les métiers que propose le groupe au sein de sa « communauté SAP ». Ce dernier recrute en particulier pour deux types de fonction: la conduite de projets d'intégration du PGI et du consulting, soit l'accompagnement du client en amont des projets pour la mise à plat de ses processus de gestion. L'enjeu de recrutement est important. « Nous souhaitons embaucher une bonne cinquantaine de consultants SAP cette année et le même nombre l'année prochaine », précise Muriel Ducros Abisur, responsable du recrutement pour Sopra Group, qui reste toutefois circonspecte sur l'issue des soirées qui sont considérées comme des manifestations test. « Sur la première, nous avons réuni une quinzaine de personnes, plutôt des jeunes avec une première expérience. Il est trop tôt pour faire un bilan et savoir combien d'entre eux s'inscriront dans un processus de recrutement ». (...)

(04/07/2006 12:46:16)

Mercury republie ses résultats 2002-2004 sous la pression de la SEC

Les scandales financiers, republications de résultats et démissions de dirigeants mis en cause ne sont pas réservés à CA. Mercury doit, à son tour, composer avec ces éléments. Huit mois après s'être séparé de trois de ses dirigeants dont son PDG, mis en cause dans les pratiques illégales de stock-options antidatées, le groupe a republié ses résultats pour les exercices 2002 à 2004. Les chiffres corrigés font apparaître un recul du résultat brut de 566,7 M$ pour la période 2002-2004. Pour la seule année fiscale 2004, le résultat chute à 64,6 M$ contre 107 M$ lors de la première publication de résultat. Pire, sur l'exercice 2005, alors que le groupe avait publié un bénéfice net de 41,5 M$, il doit désormais composer avec une perte nette de 62,6 M$. Mercury prépare en outre la republication de ses résultats pour le premier trimestre 2005. Après que la SEC, le gendarme américain de la Bourse, eut ouvert, en novembre 2004, une enquête sur la comptabilité des stock-options, Mercury décidait en juin 2005 de former un comité spécial chargé de faire la lumière en interne sur les éventuelles malversations. En novembre, le comité remettait ses conclusions : le groupe aurait antidaté des stock-options, au moins à 49 reprises, de façon à ce que la date indiquée sur le titre garantisse un cours d'achat favorable au porteur. Dans la foulée, le directoire acceptait les démissions du PDG, du directeur financier et du conseil général. La liste des personnalités impliquées dans les malversations semble ne pas s'arrêter à ces trois dirigeants. La SEC a ainsi indiqué qu'elle pourrait poursuivre pénalement trois actuels membres du directoire, Igale Kohavi, Yair Shamir et Giora Yaron. Le régulateur de Wall Street estime que chacun d'eux connaissait, ou était en mesure de connaître, l'existence des manoeuvres frauduleuses. Des accusations sans fondement pour les intéressés qui nient avoir participé, ou même eu connaissance, à la commission des infractions. Les mis en cause n'ont pas démissionné mais le groupe a accepté qu'ils sursoient à participer aux activités du directoire. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >