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(12/01/2007 17:55:15)

Microsoft peaufine la version hébergée de Dynamics CRM

D'ici l'été prochain, Dynamics CRM, le logiciel de gestion de la relation clients (GRC) de Microsoft, sera proposé sous la forme d'une offre en ligne, proposée directement par son éditeur. Cette offre hébergée exploitera la version 4.0 du produit, jusque-là désignée sous le nom de code Titan. Elle portera le nom de Dynamics CRM Live, emboîtant ainsi le pas aux autres outils de Microsoft fournis comme un service : Office Live et Windows Live. Mais Dynamics CRM 4.0 sera également proposé « à la demande » par des hébergeurs indépendants et disponible de façon classique, sous forme de licences. C'est la première version à permettre le lancement de plusieurs instances du logiciel sur le même serveur, ce qui permet de répondre dans de bonnes conditions aux exigences requises par l'hébergement et d'en réduire les coûts d'accès. Microsoft prévoit de donner le produit en test à trois cents de ses partenaires au cours de ce premier trimestre, et d'élargir progressivement cette phase de test à un millier de partenaires au cours du deuxième trimestre. L'éditeur souhaite que les hébergeurs puissent se familiariser avec cette version multi-instance et il espère aussi susciter le développement d'extensions fonctionnelles autour de l'offre. Un programme de prise en main par les clients est également prévu. Il sera mis en route plus tard, un peu avant la livraison effective. Dans un premier temps, l'offre hébergée Dynamics CRM Live sera disponible uniquement sur le continent nord américain. Elle sera diffusée plus largement quand l'éditeur aura pris ses marques. Il est prévu d'inviter les partenaires à venir y proposer des extensions, un peu à la façon dont Salesforce.com a constitué sa plate-forme AppExchange. Dans un mouvement identique à celui engagé par SAP et Oracle, Microsoft cherche donc à diversifier les façons d'utiliser son logiciel de GRC (en ligne depuis un navigateur Web, à partir du client de messagerie MS Office Outlook, ou sur différents types de terminaux mobiles). En proposant à son tour une version hébergée, l'éditeur s'aligne un mode de diffusion popularisé par Salesforce.com depuis plusieurs années. Dynamics CRM 4.0 sera disponible dans vingt-quatre langues et supportera plusieurs langues sur un même déploiement, ce qui n'était pas le cas jusque-là et posait un problème aux entreprises qui l'utilisaient sur plusieurs pays. Pour l'anecdote, Microsoft poursuit par ailleurs la mise en place en interne de Dynamics CRM, en remplacement de Siebel CRM. 3 000 de ses collaborateurs l'utiliseront d'ici fin juin et 10 000 d'ici 2008. (...)

(12/01/2007 16:46:13)

Résultats SAP : les objectifs 2006 largement manqués

Moins 10%. Le chiffre claque comme une sanction après l'annonce par SAP de ses pré-résultats 2006. L'éditeur allemand de progiciels a fortement déçu en publiant des chiffres largement en retrait par rapport aux attentes des analystes et à ses propres projections, pourtant effectuées il y seulement trois mois. Ainsi, alors que le groupe d'outre-Rhin prévoyait, au mois d'octobre, des ventes de licences comprises entre 15 et 17% pour l'ensemble de l'exercice 2006, il vient d'annoncer que ce taux n'atteindrait finalement que 11%, soit un chiffre d'affaires de 3,10 Md€. Sur le seul quatrième trimestre, les ventes de licences n'augmentent que de 7%, à 1,26 Md€, bien loin du consensus des analystes, qui s'établissait à 1,35 Md€. C'est donc un véritable double échec pour SAP : non seulement le groupe a failli sur un indicateur d'autant plus important - et suivi par les analystes avec attention - qu'il est révélateur de la santé à court terme de l'entreprise, mais il s'est montré en outre incapable de prévoir, trois mois à l'avance, quel serait l'état de ses revenus. A la décharge de SAP, les résultats des trois premiers trimestres pouvaient laisser augurer une belle fin d'année. C'était sans compter sur une dernière période noire : les ventes de produits n'augmentent que de 8% entre le troisième et le quatrième trimestre ; le chiffre d'affaires total progresse, quant à lui, de 7%. Accident de parcours ou début d'une période noire ? SAP n'a pas fourni d'explication permettant de comprendre ces piètres résultats, d'estimer qu'ils ne constituent qu'un simple accident de parcours ou, au contraire, qu'ils s'inscrivent dans une tendance plus globale touchant le secteur des applications d'entreprises. Rappelons qu'Oracle, un des principaux concurrents de SAP, avait également déçu le mois dernier sur ses ventes de licences. Nuançons cependant ces constatations en soulignant que, si les prévisions ne sont pas atteintes, les éditeurs parviennent tout de même à réaliser une croissance supérieure à 10%. C'est néanmoins insuffisant pour les actionnaires. En réaction, ils se sont ainsi rués vers les places de marché pour échanger leurs titres. De fait, l'action SAP enregistre une vertigineuse chute de plus de 10%, la plus importante enregistrée par l'éditeur en quatre ans. Dans la foulée, et également en conséquence de l'avertissement lancé par AMD sur ses résultats, de nombreux acteurs IT voyaient la valeur de leur titre reculer également. Il en allait ainsi pour Atos, Capgemini, STMicro, Dassault Systèmes, ou Soitec, le fournisseur d'AMD. Pour remonter la pente, SAP devrait pouvoir compter sur son PDG Henning Kagermann. Son contrat expire en décembre 2007 mais devrait être renouvelé pour au moins une année supplémentaire. C'est du moins le souhait du conseil de surveillance qui souhaite faire prolonger le bail de celui qui dirige le groupe depuis 1993 et qui a fêté ses 60 ans en juin 2006. La décision devrait être prise en février. (...)

(12/01/2007 12:22:10)

La banque, élue reine de la dépense informatique

9 milliards d'euros: tel est le montant des dépenses informatiques du secteur financier français en 2006, révèle une étude menée par IDC. Ce qui correspond à un accroissement proche du double de la moyenne professionnelle. Les banques, les assurances et la finance ont su rattraper leur retard. Après deux années consécutives de gel des dépenses informatiques dues aux échecs des gros projets de refonte, 2006 marque la reprise des projets informatiques. Parmi les entreprises les plus dépensières dans ce domaine, la palme d'or revient aux banques avec une hausse de 5,9 % par rapport à 2005, suivies des assurances (4 %). Cette dynamique des investissements générés autour des systèmes d'information des établissements financiers est tirée par les logiciels, éléments essentiels pour la mise en conformité réglementaire des systèmes d'information. Aujourd'hui, le marché du logiciel représente 18% de la dépense informatique du secteur financier. Il connaît la plus forte dynamique (+7,6% de croissance) en 2006, alors que la croissance des investissements en matériel tend à stagner, avec une hausse seulement de 3,3 %. Ce sont principalement les évolutions métiers et les échéances de conformité réglementaire (Bâle II, SEPA, MIFID) qui conduisent les établissements financiers à revoir leur informatique. Dans le secteur bancaire, la rapidité et l'internationalisation des flux financiers renforcent les besoins des banques autour des solutions de sécurité. Sur la partie back office, le système de paiement figure au coeur des projets de transformation des systèmes opérationnels, devant les activités de gestion de cash et de titres. Les projets informatiques autour des activités de front office ne sont pas en reste, puisque la relation client devrait constituer en 2007 la première priorité applicative des banques en France, relayée par des projets informatiques visant à renforcer les canaux de distribution des services bancaires. (...)

(11/01/2007 17:44:31)

Et l'encre RFID fut

L'Américain Somark Innovations annonce avoir mené à bien une batterie de tests visant à utiliser la technologie d'identification par radio-fréquence (RFID) sans puce émettrice. Le procédé mis au point par Somark repose sur l'utilisation d'une encre biocompatible RFID, injectée sous la peau, pour l'heure testée sur du bétail et des rats de laboratoire. De fait, l'usage de cette technologie est réservé aux animaux - troupeaux de bovins, chiens, chats, etc. - mais pourrait également intéresser les militaires. L'entreprise explique que son procédé a été initialement pensé pour tracer les bêtes atteintes d'ESB (la maladie de la vache folle) et endiguer leur exportation. Mais le champ des applications semble sans limite : l'encre peut ainsi servir à remplacer les tatouages des animaux de compagnie, à empêcher la revente de bétail volé, à certifier la traçabilité d'une pièce de viande, etc. L'encre utilisée, dont la composition reste un mystère, peut être colorée ou invisible et Somark certifie qu'elle est inoffensive. Elle s'implante et est lue sans que les poils des animaux n'aient besoin d'être rasés. Si le système semble séduisant et que son concepteur atteste de son caractère inoffensif, il reste qu'il faudra convaincre les consommateurs d'ingérer des aliments ayant contenu l'encre marqueuse. (...)

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