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Architecture logicielle

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(04/09/2006 18:00:32)
Vers une gestion des ressources en Java
Le Java Community Process, organisme gérant l'évolution de la plate-forme Java, votera en novembre sur l'élaboration d'un mécanisme standard pour gérer les ressources en Java. D'après le premier jet de cette requête de spécification (JSR 284), il s'agit de pouvoir interroger le système pour connaître la disponibilité des ressources telles que la mémoire ou la bande passante, afin de les répartir entre les différentes applications. Sponsor de cette JSR, Grzegorz Czajkowski, ingénieur chez Google, explique que jusqu'à présent, s'il est possible d'écrire des contrôles pour gérer les relations entre la machine virtuelle Java (JVM) et le système d'exploitation, « on ne peut pas faire grand chose au sein de la JVM elle-même ». L'idée est donc de supprimer la nécessité de développer des solutions ad hoc en fournissant un moyen standardisé de gérer la répartition des ressources entre les applications Java. (...)
(31/08/2006 18:02:32)Cure d'amincissement problématique pour la plate-forme Java
Ingénieur en chef de la plate-forme Java Standard Edition (J2SE), Mark Reinhold attire l'attention des développeurs sur son blog sur un changement récent apporté aux spécifications de Mustang, la prochaine version de J2SE : la plate-forme va enfin pouvoir maigrir. Comme l'explique Mark Reinhold, depuis ses débuts l'environnement d'exécution de Java, le JRE (Java Runtime Environment), n'a fait que croître avec l'ajout de nouvelles fonctions. Une politique qui présente l'immense avantage d'assurer la compatibilité avec tous les développements en Java. Inconvénient, la taille à télécharger du JRE n'a fait que croître elle aussi. Pour une installation en mode déconnecté sur un Windows, par exemple, il faut compter aujourd'hui 16 Mo. La spécification 270, qui définit Mustang, devrait donc instaurer un processus de retrait de fonctionnalités. Dans la mesure où un tel retrait risque évidemment d'introduire des problèmes de compatibilité, ce processus sera très encadré, soumis à l'approbation d'au moins deux groupes d'experts. Etant entendu que « chacun devrait lancer une large consultation auprès de la communauté », afin de s'assurer qu'un consensus se dégage. Par ailleurs, les fonctions retirées seront toujours présentées comme des composants optionnels. Du coup, le nombre de fonctions retirées pourrait être très réduit. Pour l'heure, seul le package Midi (pour écouter des sons) fait l'objet d'un certain consensus, et cela ne représente qu'un demi-mégaoctet. (...)
(30/08/2006 18:15:32)L'observatoire Comm'Back trace un portrait morose du secteur informatique en France
L'observatoire du marché informatique réalisé par le cabinet Comm'Back trace un portrait relativement contrasté du marché français avec notamment un fort dynamisme du secteur des outils de gestion d'infrastructure (SGBD, administration de réseaux et de systèmes...), une stagnation des grands projets applicatifs et de gestion d'entreprise, et un recul général des investissements en termes de matériel et de réseaux. L'étude, réalisée sur le premier semestre 2006, porte sur un échantillon de 33000 entreprises de plus de 50 salariés. Dans le domaine des applicatifs métiers, ce sont les progiciels de gestion intégrés (PGI) qui tirent le marché avec une progression de 11% par rapport à l'an passé. Cette progression des PGI se fait au détriment des progiciels indépendants avec notamment un fort recul des outils de gestion et de comptabilité (-20%), de gestion financière (-36%), et de ressources humaines (-36%). Pour ce qui est de la gestion d'entreprise, Comm'back note une augmentation sensible des projets de gestion de la relation client (+21%), de la gestion de projets (+17%), mais une quasi-stagnation des projets en décisionnel. Pour le matériel, l'ambiance générale est morose, à l'exception des outils de mobilité. Comm'back note ainsi une chute de 47 % des ventes de systèmes Unix et un recul de 21% des serveurs Windows entre le premier semestre 2005 et le premier semestre 2006. Des baisses équivalentes sont constatées sur le marché du stockage ou de l'impression. Le marché de la micro serait quant à lui en recul de près de 25% sur un an. De même Comm'back note une baisse générale du nombre de projets dans le domaine des réseaux locaux, et dans les projets Internet. Côté services enfin, les activités traditionnelles de maintenance ne se portent pas bien mais les offres de formation, bureautique et réseaux en particulier, se développent bien. (...)
(30/08/2006 18:20:31)WebObjects bascule dans l'open source
Après dix ans d'existence, WebObjects, premier serveur d'applications orienté web racheté -et porté sur Java- par Apple à NeXT, devrait basculer dans l'open source dès sa prochaine version 5.4 (prévue pour l'année prochaine). L'équipe de développeurs travaillant sur le projet a affirmé sur une mailing-list qu'Apple se bornera désormais à faire évoluer l'environnement d'exécution (Runtime), et non plus le framework, alors livré à la communauté open source. Selon eux, en offrant WebObjects à l'open source, Apple compte s'appuyer sur les méthodes communautaires pour accélérer les développements du serveur d'applications, en proie à la stagnation chez Apple. Selon des sources proches, seule une petite équipe s'attelait au projet chez l'éditeur. En décembre 2005, WebObjects était 10e du classement annuel des serveurs d'applications réalisé par BZ Research, avec une part de marché de 1,8% (à comparer aux 37% d'IBM et de JBoss et aux 27% de BEA et Oracle). Apple compte collaborer avec la communauté en leur fournissant notamment le support technique ainsi que les spécifications. (...)
(30/08/2006 09:30:10)Oracle assure un futur à ses outils de développement express
Le lancement de la version 2.2 de Oracle Application Express (Apex) n'est pas seulement la mise à jour de l'outil de développement rapide de l'éditeur de la base de données. Il symbolise aussi l'engagement d'Oracle à fournir un outil simple pour concevoir des applications Web à partir des tables de données contenues dans ses bases 10g et 9iR2 - et à le faire évoluer à l'avenir. Oracle offrait auparavant Web DB, un outil qui a cessé d'évoluer. Il a été plus ou moins remplacé par HTML DB en 2004, l'ancêtre d'Apex. « Oracle n'a jamais tué, ni amélioré, Web DB, reconnaît Mike Hichwa, vice-président du développement logiciel chez Oracle. Nous avons créé un nouveau produit, Apex. La filiation a été rompue, puis reprise. Je m'excuse auprès des utilisateurs. Nous n'avons aucune intention de refaire ce genre de choses. » A la différence de son prédécesseur, Apex 2.2 peut bâtir une application entière, et pas simplement des bouts de code. Le support d'Ajax (emploi de scripts Javascript asynchrones et du langage XML pour modifier le comportement d'une page et ses données sans avoir à rafraîchir toute la page) est encore limité, il sera complété avec la version 3.0, attendue pour l'été 2007. Toutefois, Oracle explique faire exprès de ne pas aller trop vite sur ce point, dans la mesure où la compatibilité avec les différents navigateurs pourrait poser des problèmes. (...)
(29/08/2006 12:38:01)Zend reçoit 20 M$ pour mieux asseoir son offre
Vingt nouveaux millions de dollars à dépenser : le père Noël est passé cet été chez Zend Technologies. L'éditeur d'outils de développement pour PHP a fait entrer dans son capital Greylock Partners, une firme d'investissement dans les entreprises de haute technologie. Elle vient rejoindre Azure Capital Partners, Index Ventures, Intel Capital, Platinum Venture Capital, SAP Ventures et Walden Israel Venture Capital. Sachant que les deux premiers de cette liste ont eux-mêmes rejoint Zend il y a deux ans (au moment du lancement de la plate-forme PHP 5) à l'occasion du précédent tour de table, de 8 M$. A l'époque, il s'agissait d'attaquer le marché américain, en déplaçant le siège à Cupertino, en Californie. Aujourd'hui, les 20 M$ devraient servir à « s'étendre plus vite dans les marchés géographiquement émergents, accélérer notre développement de produits et étendre l'organisation des services de façon à satisfaire le nombre croissant de clients PHP en entreprise », indique Zend dans un communiqué. Zend estime que son moteur Web est utilisé par 15 millions de sites aujourd'hui (selon une estimation de Netcraft). La société revendique 8000 clients dans plus de 6000 entreprises de par le monde. Récemment, elle a signé des accords importants avec IBM et Oracle pour adapter son offre aux middlewares de ces géants. (...)
(28/08/2006 18:13:59)Oracle doit encore réaliser plus de la moitié du développement de Fusion
Lorsque les responsables d'Oracle ont, en janvier dernier, décrit comme achevé à 50 % le développement d'une nouvelle suite d'applications d'entreprise baptisée Fusion, ils faisaient en fait allusion à la partie middleware de l'offre d'Oracle et non pas à la composante applicative de l'offre d'Oracle, dont l'objectif est de fusionner le meilleur des applications d'Oracle, PeopleSoft et Siebel au sein d'une suite unifiée. "En fait nous n'en sommes pas tout à fait encore à la moitié du chemin", a expliqué la semaine passée John Wookey à nos confrères d'IDG News Service. Wookey a toutefois été prudent en indiquant que les travaux réalisés sur la suite de Middleware Fusion seront une composante essentielle de Fusion, la suite applicative. Pour Oracle, l'enjeu de Fusion est de se hisser à la hauteur du numéro un mondial des progiciels, l'Allemand SAP. Selon l'éditeur, la première mouture de Fusion devrait voir le jour en 2008 et s'appuiera sur le middleware J2EE de la firme et sur une architecture orientée services (SOA), permettant une réutilisation optimale des composants applicatifs. Pour l'instant, Fusion reste un grand chantier qui implique des milliers de développeurs Oracle. L'enjeu, il est vrai, est de taille. Oracle espère que la "grande majorité de ses clients" migreront vers Fusion, au fur et à mesure qu'il se désengageront de leurs applications historiques (que l'éditeur s'est par ailleurs engagé à maintenir et à faire évoluer). Dans ce gigantesque chantier, Wookey estime qu'une des réussites clés d'Oracle est d'être parvenu à conserver près de 90% des équipes de développement et de support de PeopleSoft et Siebel. "Il y a eu mésentente lorsque nous avons dit que Fusion serait bâtie sur E-Business Suite (la suite applicative actuelle d'Oracle, NDLR). En fait, nous l'avons utilisée comme base de départ". Selon Wookey, Oracle Fusion s'appuiera sur les meilleures idées glanées dans E-Business Suite, PeopleSoft et Siebel CRM : "Sur la partie gestion de la relation client, par exemple, C'est Siebel qui sert de base de travail au développement des futurs composants CRM, même si la technologie et les réflexions de Peoplesoft sont utilisées en matière d'interface utilisateur". D'ici à la fin de l'année, Oracle devrait avoir terminé son chantier d'architecture et de conception sur Fusion. 2007 sera l'année où s'effectuera l'essentiel des développements clés pour concrétiser la vision de l'éditeur. Avec China Martens, notre correspondant d'IDG News Service à Boston Titre de l'encadré: (...)
(28/08/2006 17:55:48)Intel aide les développeurs à exploiter le multi-coeur
Intel prévoit de publier un kit de développement pour exploiter les caractéristiques de ses processeurs multi-coeurs. L'idée, explique le constructeur, est de simplifier l'optimisation des applications pour le multi-threading (routine en parallèle), composante essentielle des processeurs à plusieurs coeurs. L'outil, baptisé "Threading Building Blocks" (disponible pour MacOS, Linux et Windows), est une extension au langage C++, censée fluidifier les développements de routines parallèles dans les applications. Une aubaine pour les éditeurs, Intel prévoyant de migrer plus de deux-tiers de ses gammes de processeurs vers le multi-c?ur -dont le dernier en date, le Tulsa. (...)
(28/08/2006 17:49:37)Services hébergés: Google marque Microsoft à la culotte
Google dégaine sa réponse à Office Live. Le pharaonique moteur de recherche inaugure aujourd'hui, lundi 28 août, une version de test de "Google Apps for Your Domain", un ensemble de services hébergés gratuits destiné notamment aux PME et aux universités. Une version payante est à l'étude pour les grands comptes. L'offre compile quatre services de la marque : une messagerie email basé le service Gmail, un calendrier en ligne (Calendar), un client de messagerie instantanée et de téléphonie sur Internet (GTalk), et enfin un outil de publication et d'hébergement de pages Web (Page Creator). Outre la possibilité de renforcer leur présence sur Internet, les abonnés pourront utiliser leur propre nom de domaine sur Gmail, transformant l'outil en une messagerie disposant de 2 Go de stockage. Goggle Apps for Your Domain sera à terme décliné en deux versions. Une première gratuite, mais sponsorisée par le système de publicité contextualisée de la marque. Seul Gmail embarquera les liens commerciaux, indique Google. Une seconde baptisée Premium (et donc payante, sans publicité) que l'éditeur compte formater aux besoins des grands comptes en lui ajoutant d'autres applications, sans en préciser la nature. Google SpreadSheet et Writely, respectivement tableur et traitement de texte en ligne, sont toutefois subodorés. En février 2006, Google avait débuté les tests de "Gmail for your domain", en réponse à un service identique de Microsoft, "Windows Live Custom Domain". Dans la guerre des services hébergés, "Google Apps for your domain" arrive en frontal contre l'offre Basic de Microsoft Office Live. Cette dernière, encore en bêta, devrait fournir des services identiques. (...)
(24/08/2006 18:08:34)BEA commence à s'émanciper de Systinet
Dans un monde dominé par les concepts des architectures orientées services (SOA), il est normal de penser qu'au coeur du dispositif figure un référentiel de ces services, afin de pouvoir s'y retrouver. Ces dispositifs sont pourtant seulement en train d'émerger, comme le témoigne le rachat par BEA de Flashline, éditeur d'un outil de gestion des actifs logiciels basé sur les métadonnées. Le produit, « Flashline for SOA », sera intégré au référentiel inclus dans la ligne de produits Aqualogic, la suite middleware de BEA qui doit servir de fondation à une SOA. Il s'agit de faciliter les déploiements à travers toute l'entreprise, explique le directeur technique de BEA, Rob Levy. De tels référentiels permettent de tenir à jour la liste et la nature des logiciels et des services déployés dans une entreprise, ainsi que leurs interrelations et les règles qui les gouvernent. C'est cette gestion des règles que BEA recherche en rachetant Flashline. Cela permettra, indique l'éditeur, de gérer le cycle de vie complet des applications déployées en SOA : analyser les interdépendances, les plates-formes, les versions, les règles de gestion, et recueillir les métriques sur le fonctionnement des services, le tout depuis un point central unique. Du travail pour délimiter les zones de recouvrement Jusqu'alors, l'offre de référentiel d'Aqualogic reposait uniquement sur Systinet, qui s'est fait racheter par Mercury en janvier dernier, lequel vient lui-même d'être absorbé par HP. Sachant qu'IBM est en train de développer son offre, et qu'un concurrent comme WebMethods vient de racheter Cerebra, il devenait urgent pour BEA de disposer d'une offre en propre. Pour l'heure, souligne Jess Thompson, vice-président de la recherche à Gartner, BEA va avoir du pain sur la planche pour définir les aires de compétences de chaque produit : « Il y a des zones de recouvrement, en terme de métadonnées sur les règles de gestion ; dans ce cas, où doivent-elles être stockées ? Dans l'annuaire, dans le référentiel ou dans les deux ? » Pas assez complet pour se passer de Systinet Ensuite, il s'agira probablement de couper définitivement le cordon avec Systinet, ce qui demandera soit d'améliorer l'offre, soit de procéder à un autre achat, dans la mesure où, commente Ronald Schmelzer, analyste senior de Zapthink, le produit de Flashline ne remplit pas toutes les fonctions : « D'autres éditeurs comme Infravio ou LogicLibrary ont une offre plus complète en matière de référentiel, de management des métadonnées et de gouvernance de la SOA. BEA devra donc se mettre au niveau de ces capacités, ou bien conserver ses relations avec Systinet. » Dans tous les cas, poursuit Jess Thompson, de Gartner, cette annonce montre bien que les jours des fournisseurs indépendants de référentiels sont comptés. L'heure de se revendre a sonné. (...)
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