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(03/11/2010 14:22:58)

Microsoft investit dans la détection des mouvements en 3D

Dans un communiqué publié sur son site Internet, Canesta, annonce céder ses technologies ainsi que ses brevets à Microsoft. Cette société californienne détenait jusque-là une quarantaine de brevets (et des dizaines d'autres en cours) portant notamment sur la détection des mouvements en 3D pour l'informatique, les périphériques électroniques ou les jeux vidéo.

Certaines technologies développées par Canesta permettent par exemple de contrôler les applications d'un ordinateur par le doigt ou la main, sans avoir à appuyer sur un écran, ou manipuler un clavier ou une souris. Le rachat de cette entreprise pourrait permettre à Microsoft d'étendre à l'informatique son système de détection de mouvements pour les jeux vidéo qu'il s'apprête à lancer cette semaine avec l'accessoire Kinect pour sa console Xbox 360.

« Il n'y a guère de doute que nous verrons dans la prochaine décennie la généralisation des interfaces utilisateurs naturelles (NUI) pour accéder à toutes sortes de terminaux » a déclaré Jim Spare, PDG de Canesta. « Avec la diversité du champ d'application de Microsoft de l'entreprise au grand public, sa présence sur le marché et son intérêt pour les NUI, nous sommes certains que notre technologie sera adoptée à travers de nombreuses applications ».

(...)

(03/11/2010 14:16:24)

SAP veut verser à Oracle 120 M$ pour frais d'avocats

SAP accepte de payer 120 millions de dollars à Oracle pour les honoraires d’avocats passés et à venir que ce dernier a déboursé dans le cadre du procès TomorrowNow qui oppose les deux sociétés. C’est ce que stipulent les termes d’un accord déposé lundi à la cour fédérale de Californie du Nord. La plainte d’Oracle pour vol de propriété intellectuelle remonte à 2007.

Suivant l’accord, l’ancienne filiale de SAP, TomorrowNow, prend acte de la plainte d’Oracle pour violation de la loi fédérale relative à la fraude et aux abus informatiques, pour rupture de contrat, atteinte par négligence, concurrence déloyale, atteinte aux biens, enrichissement sans cause, etc. En retour, Oracle ne cherchera pas à obtenir de dommages et intérêts punitifs de TomorrowNow (société fermée en novembre 2008) ou de SAP. Le jury du procès en cours devait être informé en conséquence de considérer uniquement les dommages prévus dans le cadre du Copyright Act. SAP doit payer les 120 millions à Oracle d’ici le 9 novembre 2010. Les termes de l’accord ne s’appliqueront qu’après son approbation par le tribunal et les deux parties peuvent s’en retirer si les dispositions ne sont pas acceptées.

Oracle a évalué la totalité des dommages qu’il avait subis à près de 2 milliards de dollars, tandis que SAP a longtemps maintenu que ceux-ci ne se chiffraient en réalité qu’à quelques dizaines de millions de dollars. Désormais, l’éditeur allemand est prêt à verser à Oracle bien plus que ses propres estimations de départ, avant même que la question des dommages pour violation de propriété intellectuelle n’ait été tranchée, et cela, malgré l’abandon des dommages et intérêts punitifs.

A l’audience, les avocats présentent leur mode de calcul


Hier, mardi 2 novembre, au second jour du procès, les avocats ont plaidé les causes respectives de leurs clients en expliquant de façon très différente la façon dont les dommages et intérêts devaient être calculés. Pour Geoffrey Howard, qui défend Oracle, SAP devrait payer quel que soit le montant de redevance sur les licences qui aurait pu été négocié par les entreprises pour les logiciels téléchargés illégalement. Rappelons que l’éditeur américain vise les 2 Md$. SAP voulait désespérément rivaliser avec Oracle, a déclaré Geoffrey Howard. « Il aurait pu choisir de livrer une concurrence loyale. Au lieu de cela, il a choisi d’acquérir TomorrowNow ». Or, a poursuivi l’homme de loi, le comité exécutif de SAP savait que la société qu’il rachetait exerçait une concurrence déloyale.

Pour l’avocat de l’éditeur allemand, Bob Mittelstaedt, la façon de calculer d’Oracle est fantaisiste. [[page]]Son client ne doit payer que pour les ventes de logiciels perdues à cause du comportement illégal de sa filiale, ainsi que pour l’argent qu’il a gagné avec les clients qui sont passés des logiciels d’Oracle à ceux de SAP. Dans les deux cas, il s’agit de sommes assez faibles parce que les clients qui se sont tournés alors vers l’éditeur allemand à ce moment l’ont fait en raison du climat d’incertitude qui entourait alors Oracle (en cours de rachat de PeopleSoft et JD Edwards). Selon l’avocat, la société de Larry Ellison profite d’une aubaine. « Elle veut récupérer un pactole hors de proportion avec le mal dont elle a souffert ».

Seuls 86 clients gagnés dont 84 quittaient déjà Oracle


Le plaignant a fait valoir que SAP savait, en rachetant TomorrowNow, qu’il pouvait être attaqué à tout moment par Oracle. Une vidéo a été présentée dans laquelle Henning Kagermann, ancien PDG de SAP, reconnaissait que ce rachat comportait des risques. Un courriel de Shai Agassi, ancien directeur technique du groupe, a également été évoqué dans lequel il était dit que le cours de l’action Oracle chuterait sans doute de 10% lorsque les investisseurs apprendraient que SAP prévoyait d’acquérir TomorrowNow pour récupérer des clients d’Oracle. « Voilà l’impact que SAP attendait de cette acquisition en janvier 2005 », a martelé Geoffrey Howard.

De son côté, Bob Mittelstaedt a rappelé que l’éditeur allemand n’avait guère gagné d’argent avec TomorrowNow. Seuls 86 entreprises sur les 9 900 clients PeopleSoft d’Oracle se sont tournés vers des applications SAP, « parmi lesquels 84 s’apprêtaient de toutes façons à quitter Oracle ».

Les audiences du procès se tiennent de 8h30 à 13h30 (PDT) chaque jour sauf le mercredi. Il est prévu que le dossier soit communiqué au jury pour délibération le 29 novembre. (...)

(03/11/2010 11:11:44)

Information Builders France nomme son DG

Stéphane Jouaux devient directeur général d'Information Builders France. Ce dernier fournit des solutions de Business Intelligence (WebFOCUS) et d'intégration (iWay Software). Il succède à Jean-Pascal Ancelin. Stéphane Jouaux était directeur commercial et services de SAS France, où il est entré en 2005. Auparavant, il avait évolué chez Novell, Datapoint et Recognition. Il est âgé de 49 ans.

Jean-Pascal Ancelin est devenu directeur général de Microstrategy au début de l'été.

(...)

(03/11/2010 11:11:59)

Les ventes de smartphones progressent

Selon l'étude GfK Retail and Technology, le marché français du mobile a connu une croissance globale de 10% en juillet-août, et de 7% de janvier à août. Cette progression est surtout liée à l'explosion des smartphones, qui affichent une croissance de 133% en juillet-août, et de 138% depuis le début de l'année.

Sur la période estivale, 27,8% des mobiles vendus en France étaient des smartphones. Ce taux n'était que de 13,1% un an plus tôt. A titre de comparaison, le cabinet ABI research estime les smartphones représentent 19% des ventes mondiales de mobiles. « Les lancements successifs de trois appareils par des acteurs majeurs du secteur ont stimulé le marché », explique GfK dans un communiqué. "Globalement, les gammes des différents fabricants se sont étoffées et les opérateurs ont renforcé leur communication autour de ces produits haut-de-gamme.»

Les subventions accélèrent le mouvement


Un boom qui s'explique également par une chute des prix des modèles proposés. En moyenne, les smartphones vendus sur la période juillet-août 2010 étaient commercialisés à 382 euros (hors packs opérateurs), contre 535 euros un an plus tôt. Avec la subvention d'un opérateur, « les consommateurs ayant acheté un smartphone ont déboursé en moyenne 154 euros (...), soit près de 70 euros de moins qu'en été 2009 », souligne Matthieu Cortesse, directeur de clientèle télécom chez GfK.

L'institut indique par ailleurs que les Français acheteurs de smartphones ont tendance à privilégier les écrans tactiles de grande taille (3,5 pouces ou plus). « Les jeux et les applications sont les stars du marché des contenus mobiles, contrairement aux sonneries et images qui subissent à nouveau cette année un recul de leurs ventes », explique Frédéric Patissier, chef du groupe contenus mobiles chez GfK.

Les smartphones, terminaux multimédias connectés à Internet et équipés d'un écran tactile et/ou d'un clavier physique complet, ont représenté 3,6 millions de ventes en 2009, contre 1,8 million en 2008. En début d'année, GfK tablait dans ses estimations sur 4,6 millions d'unités vendues en France sur l'ensemble de l'année 2010.

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(02/11/2010 17:00:03)

Fortinet dément les rumeurs de rachat par IBM

Lundi après-midi, les actions du spécialiste de la sécurité Fortinet ont fait une envolée suite aux rumeurs du rachat potentiel de la société par IBM. Cette information a aussitôt été démentie par l'éditeur de solutions de sécurité pour les réseaux. Dans un communiqué, la société a précisé qu'elle entendait se concentrer sur le développement d'une entreprise indépendante et forte et qu'il n'était nullement question d'un rapprochement avec IBM. De son côté, un porte parole de Big Blue n'a pas souhaiter commenter ces informations.

Des solutions appelées à progresser fortement

La valeur du cours de l'action Fortinet a récemment augmenté de 6,2% a 31,85 dollars, pour atteindre son plus au niveau, à 36,27 dollars. Depuis cette année, le cours de l'action s'est apprécié de  quelque 81%. Pour la société d'investissement William Blair & Co,  Fortinet pourrait être une cible  de choix en raison d'une vaste palette d'outils de sécurité, des solutions appelées à progresser fortement et rapidement. Il y a eu une multitude de rachats dans le secteur de la sécurité, avec dernièrement l'annonce de l'acquisition d'ArcSight par HP, et le rachat, en août dernier, de Mc Afee par Intel. Ces transactions interviennent au moment où les entreprises IT cherchent à adresser un nombre croissant de menaces émergentes et que les habitudes des utilisateurs de PC ont été amenées à changer. En outre, le développement du cloud computing et la prolifération des terminaux d'accès (tablettes, mobiles, netbooks) nécessitent des besoins supplémentaires en matière de sécurité.
Lors de la publication de ses résultats du troisième trimestre 2010, Fortinet avait engrangé 85 M$ de  chiffre d'affaires, en hausse de 29% par rapport à la même période l'année passée.

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(02/11/2010 16:49:58)

Avec ATG, Oracle se paie un des pionniers du e-commerce

Oracle va débourser 1 milliard de dollars pour s'offrir Art Technology Group, que l'on connait plus couramment sous le nom d'ATG. Ce pionnier des applications de commerce électronique, installé à Cambridge (Massachussetts) a généré un chiffre d'affaires de 50,3 millions de dollars (M$) au troisième trimestre 2010, en progression de 16% par rapport à l'an dernier. Il affiche un bénéfice net de 4,2 M$ (+5%). Sur neuf mois, son chiffre d'affaires progresse de 11% à 129,7 M$.

Le groupe de Larry Ellison lui propose 6 dollars par action, soit un bonus de 46% par rapport à la valeur du titre ATG à la fermeture de la Bourse lundi soir. Cette valorisation n'avait pas été atteinte par la société depuis 2001 alors que se dégonflait la bulle Internet. ATG a survécu à l'éclatement. L'éditeur a continué à développer ses solutions axées sur les moyens de convertir en clients les visiteurs des sites web, de les fidéliser et d'augmenter la valeur de leurs transactions.

Personnalisation des interactions avec le client


Outre sa plateforme de commerce électronique (catalogue, panier d'achat, moteur de personnalisation, gestion de contenus...) permettant de gérer plusieurs sites de façon centralisée, ATG dispose d'une offre OnDemand, de solutions de merchandising et de gestion des campagnes marketing et de solutions analytiques. Il propose aussi une large palette d'outils pour optimiser les interactions avec les clients sur les différents canaux de vente, médias sociaux inclus (suivi des contacts, gestion des réponses électroniques, appels sur un clic depuis un site web ou une vidéo...). L'éditeur a par ailleurs développé le programme Catalyst qui favorise, entre ses clients et partenaires, l'échange de code et de modules d'extension à sa suite d'e-commerce. Parmi ses clients figurent notamment Best Buy, l'une des grandes chaînes de magasins spécialisés aux Etats-Unis, mais aussi Tommy Hilfiger, Louis Vuitton, Vodafone, Expedia.com, T-Mobile, Continental Airlines et AT&T.

A noter que la suite e-commerce d'ATG se complète aussi d'un module B-to-B (Business-to-Business) pour les fournisseurs qui vendent aux entreprises ou en mode indirect aux consommateurs. En mai dernier, IBM avait de son côté racheté Sterling Commerce, spécialiste des solutions d'échanges interentreprises qui possède également des solutions de gestion des ventes et de la logistique.

Des solutions complémentaires au CRM


Oracle considère que l'offre d'ATG est très complémentaire de ses logiciels de gestion de la relation client (CRM), mais aussi de ses progiciels intégrés (ERP), de ses solutions spécialisées sur le secteur de la distribution, en particulier celle de Retek, et ses logiciels de gestion de la chaîne logistique (SCM). Les produits collent aussi avec ses technologies middleware et décisionnelles. Pour Thomas Kurian, vice-président exécutif d'Oracle pour le développement, le rapprochement de ces technologies complémentaires débouchera sur la prochaine génération de solutions unifiées de commerce cross-canal et de CRM.

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(02/11/2010 14:39:01)

Apple met le multi-touch au coeur d'un procès contre Motorola

Au total, dans les deux procès intentés contre Motorola, Apple revendique pas moins de six brevets (on peut en lire le détail dans le document Patently Apple). La procédure fait aussi office de contre-attaque contre Motorola, qui avait affirmé au mois d'octobre qu'Apple violait 20 de ses brevets.

Deux brevets attirent l'attention du non spécialiste : le United States Patent 7812828, intitulé Ellipse Fitting for Multi-Touch Surfaces ou Structure en Ellipse pour surfaces multitouch. Celui-ci concerne «  les fonctions se rapportant au suivi simultané par plusieurs doigts ou résultant des contacts avec la paume de la main au moment où celle-ci se rapproche de l'appareil, le toucher et le glissement induit par le système de détection de mouvement de proximité, le multipoint de surface. L'identification des configurations et la caractérisation des déplacements manuels intuitifs permettant une intégration sans équivalent de la frappe, de la pause, du pointage, du défilement, de la manipulation d'images 3D, et de l'écriture sur un appareil informatique ergonomique et polyvalent. » L'autre brevet concerne le Multipoint Touchscreen, c'est à dire l'écran multipoint. Celui-ci est décrit comme « un écran tactile ayant une interface transparente capable de détecter les frappes multiples ou les quasi frappes pouvant se produire simultanément et à des endroits distincts sur le plan de l'écran tactile et capable de produire des signaux distincts en fonction de la localisation de la frappe sur la surface de l'écran tactile, chacun étant associé à une frappe. »

Utiliser Motorola pour intimider Google ?


Autrement résumée, cette description pour juriste concerne dans les deux cas le toucher sur un écran avec plusieurs doigts en même temps. Jusque là, la firme de Cupertino n'avait jamais impliqué ses brevets dans des procédures engagées contre des fabricants de smartphone. Par exemples, les actions judiciaires menées contre HTC et Nokia ne ciblaient pas spécifiquement le multi-touch. Dans le passé, ce qu'Apple a, au plus, revendiqué, à la fois contre les deux constructeurs, concernait « un appareil à écran tactile, la méthode, et l'interface utilisateur graphique pour la détermination des commandes résultant de l'application de calculs heuristiques». Cette définition avait été alors reconnue comme le brevet clef d'Apple en matière de multi-touch. Mais comme l'a souligné Nilay Patel du site Engadget, elle ne décrit en rien ce qui ressemble vraiment au multipoint. Le brevet couvre simplement la manière dont un iPhone réagit quand on lui demande de faire défiler une fenêtre de haut en bas, ou d'un côté à l'autre de l'écran, selon l'angle de frappe du doigt sur l'écran.

Cela semble assez irréel aujourd'hui, mais il y a bien eu un temps où les smartphones, hormis l'iPhone, ne disposaient pas du multi-touch. Palm avait ouvert la voie avec son Pre, sans être poursuivi. Android avait suivi. Maintenant ce procédé fait partie des caractéristiques communes à tout smartphone. Selon la rumeur, Google aurait conclu un gentleman's agreement avec Apple, par lequel elle s'engageait à ne pas utiliser ce système sur Android. Mais depuis Apple et Google sont devenus d'âpres rivaux sur le marché du smartphone, si bien que l'accord, passé dans le cadre d'un partenariat fragile, a sans doute échoué. Apple n'attaquera probablement pas directement Google en justice. Si bien que pour l'instant seul Motorola se retrouve au banc des accusés pour d'avoir utilisé l'une des fonctionnalités les plus importantes de l'iPhone et les conséquences pourraient s'avérer importantes. Mais comme dans tous les procès actuellement en cours où la propriété de brevets est en jeu, celui-ci ne devrait pas être résolu de sitôt.

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(02/11/2010 12:12:44)

OS mobile : Symbian plastronne, Android cartonne, Apple ambitionne

Au troisième trimestre 2010, les ventes mondiales de smartphones ont pratiquement doublé par rapport à la même période en 2009. Au total, 80,9 millions de mobiles "intelligents" ont été écoulés de juillet à septembre (+95%).

Dans le classement par systèmes d'exploitation, le logiciel Symbian, utilisé en majorité par Nokia, est l'OS mobile le plus vendu sur le marché des smartphones. Un smartphone sur trois vendu dans le monde (33%) fonctionne sous Symbian. Numéro deux du marché, le système Android proposé gratuitement par Google à ses partenaires (Samsung, Motorola, HTC, LG, Sony Ericsson, Acer, etc.). Au troisième trimestre, cette plateforme a équipé un quart des smartphones vendus dans le monde (25%). 20 millions de « Google Phone » ont été acheté de juillet à septembre, contre 1,4 million il y a un an, soit un bond de 1 309%. L'iOS d'Apple, qui anime le célèbre iPhone, s'adjuge 17% de parts de marché, et se positionne devant les BlackBerry du fabricant canadien Research In Motion (15%).

Aux Etats-Unis, premier marché des smartphones au monde avec 20,9 millions d'unités au 3ème trimestre, c'est Android qui domine le secteur avec pas moins de 9,1 millions de terminaux vendus (43,6% de parts de marché). Apple arrive en seconde position avec 5,5 millions, ce qui fait de l'iPhone le modèle de smartphone le plus vendu aux Etats-Unis. RIM est troisième avec 5,1 millions de BlackBerry écoulés sur la période. Microsoft est quatrième (0,6 million).

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