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(14/01/2008 17:27:14)

Le président Sarkozy veut taxer Internet

Lors de sa dernière conférence de presse, datée du 8 janvier dernier, le président de la République Nicolas Sarkozy a évoqué une possible suppression de la publicité sur les chaînes publiques afin de « libérer le service public de critères purement mercantiles » au profit de la qualité. Or la publicité rapporte à ces chaîne 800 M€ chaque année. Pour combler cet énorme manque à gagner (la redevance audiovisuelle ne serait pas suffisante), le président a proposé d'instaurer « une taxe infinitésimale sur le chiffre d'affaires des nouveaux moyens de communication comme la téléphonie mobile et l'accès à Internet ainsi qu'une taxe sur les recettes publicitaires accrues des chaînes privées ». Ce projet de loi reste encore très vague, nul ne sait comment cette taxe s'appliquerait, sur quelle base elle serait calculée, ni quelles répercussions elle aurait sur les abonnés. Pour rappel, un projet de « modernisation de la diffusion audiovisuelle et de la télévision du futur » avait déjà été étudié par l'Assemblée nationale l'année dernière. Ce projet envisageait de taxer les fournisseurs d'accès Internet (jusqu'à 4,5% de leur chiffre d'affaires) pour cofinancer le Cosip (compte de soutien de l'industrie des programmes audiovisuels). Cette proposition avait été très mal accueillie par les FAI, notamment Free qui craignait que cette mesure ait un impact économique sur les internautes. Le projet avait finalement été abandonné par le Sénat. Ni Free ni l'AFA (association des fournisseurs d'accès et de services Internet) n'ont souhaité commenter cette annonce, estimant « ne pas connaître les modalités exactes de cette mesure ». (...)

(14/01/2008 17:26:28)

Bruxelles ouvre deux enquêtes contre Microsoft

Les ennuis de Microsoft face à la Commission européenne sont loin d'être terminés : l'exécutif communautaire vient en effet d'ouvrir deux enquêtes sur de supposés agissements anti-concurrentiels de l'éditeur. Les récriminations sont classiques et ne surprendront pas les observateurs habitués des pérégrinations judiciaires de Microsoft. La première investigation fait suite à une plainte déposée le mois dernier auprès de la Commission par l'Ecis (European committee for interoperable systems). Le groupe bruxellois reproche à Microsoft le manque d'interopérabilité de Windows avec d'autres produits. La seconde enquête cherche à faire la lumière sur la stratégie de Microsoft consistant à inclure certains outils dans les OS Windows. Une initiative qui répond à la plainte déposée le mois dernier par Opera. L'éditeur norvégien du navigateur Internet éponyme reproche à Microsoft de livrer ses OS avec Internet Explorer préinstallé, profitant ainsi de son monopole sur les systèmes d'exploitation pour noyauter la concurrence sur le terrain des navigateurs. Quarterdeck puis Netscape s'y sont cassés les dents avant Opera. (...)

(14/01/2008 17:20:36)

EMC s'intéresse aux disques à mémoire flash

Selon Abhrajit Bhattacharjee, porte-parole d'EMC à Singapour, la société s'apprête à lancer une gamme de disques basés sur de la mémoire flash (ou SSD pour Solid State Disk) pour remplacer certains disques durs de ses baies de stockage haut de gamme Symmetrix. Ces disques auront une capacité de 73 Go et de 146 Go. Ils seront disponibles au premier trimestre 2008, uniquement en tant qu'option sur cette gamme. De plus, s'il s'est refusé à donner un prix de vente, Abhrajit Bhattacharjee avance que le remplacement de quatre disques durs à 146 Go par quatre disques SSD à 73 Go dans une baie contenant 100 disques n'en augmenterait que de 10 % le coût total. En effet, les disques SSD sont plus chers que les disques durs magnétiques traditionnels. Ils sont également plus résistants et plus rapides. Ce qui peut pousser certains consommateurs à payer un surcoût, selon Abhrajit Bhattacharjee. D'autant plus que les disques SSD d'EMC seront basés sur une mémoire flash unicellulaire stockant un bit d'information par cellule de mémoire et non multicellulaire comme dans les disques SSD plus économiques utilisés par les baladeurs MP3 et les appareils photos. Les disques unicellulaires ont également une capacité moyenne de 100 000 écritures/lectures contre 10 000 pour les disques multicelluraire, et sans limitation pour les disques durs classiques (dont les têtes de lectures peuvent toutefois se casser). Si certaines techniques peuvent augmenter les capacités des disques SSD jusqu'à 2 millions d'écritures/lectures, EMC n'a fourni aucune indication sur la durée de vie de ses futurs disques. (...)

(14/01/2008 16:56:56)

Virtualisation : Accord marketing entre Virtual Iron et Falconstor

L'accord entre Virtual Iron, spécialiste de virtualisation des serveurs, et FalconStor, très impliqué dans la virtualisation du stockage indique la voie : Même si, pour des raisons pratiques, il vaut mieux commencer par virtualiser les serveurs, le stockage doit suivre. D'ailleurs, si la virtualisation du stockage intervient dans un second temps, l'étape préalable à la virtualisation des serveurs est bien celle de la mise en place d'un SAN en remplacement de ressources de stockage attachées. L'accord entre Virtual Iron et FalconStor porte sur un partenariat pour la commercialisation de leurs produits respectifs. Notons qu'IpStore de FalconsStor est un grand méconnu. Il est utilisé en OEM par IBM, Hewlett-Packard, Sun Microsystems, MPC et EMC. (...)

(14/01/2008 16:41:27)

Le Munci partiellement rassuré sur le contrat à objet défini

Syndicats et patronat ont achevé, vendredi 11 janvier, la négociation sur la « modernisation » du marché du travail. Après quatre mois de discussions, les partenaires sociaux et les organisations patronales sont finalement parvenus à un projet d'accord. Les syndicats devront toutefois se prononcer cette semaine sur l'éventuelle signature d'un accord, le gouvernement ayant annoncé qu'un texte de loi reprenant tout ou partie du document finalisé vendredi, serait présenté à la fin du premier semestre 2008. Ce document est marqué par le grand retour du contrat de projet, initialement issu du rapport de Virville, et rebaptisé « contrat à objet défini ». Ce CDD, destiné aux ingénieurs et cadres, court sur une durée d'au moins 18 mois qui prendra fin une fois achevée la mission pour laquelle le salarié a été embauché. Tout en regrettant ce qui constitue dans tous les cas un nouveau contrat précaire destiné spécialement aux cadres et ingénieurs, le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens), qui craignait dans un premier temps que ce CDD n'entraîne un manque de protection des salariés, s'estime partiellement rassuré à la lecture de la version finale du projet, en raison de certains aménagements : « L'accord du 11 janvier 2008 sur la modernisation du marché de travail donne des précisions sur « l'objet défini », un point qui a toute son importance, relève Régis Granarolo, président de l'association professionnelle. De plus, le recours à ce contrat particulier n'est possible que lorsque la durée envisagée pour la réalisation du projet pour lequel il est conclu est de 18 mois minimum. Considérant qu'il existe assez peu de projets d'une durée supérieure à 18 mois dans la branche, ce contrat ne devrait donc pas avoir trop de répercussions négatives sur les informaticiens ». Une commission de suivi contre d'éventuelles dérives Autre garde-fou pour le président de l'association professionnelle : la mise en place d'une commission spéciale, instaurée au titre de l'expérimentation du projet : « Compte tenu du caractère expérimental du dispositif, un comité de suivi, composé des représentants des signataires du projet, sera mis en place au niveau national interprofessionnel dès l'entrée en vigueur de l'accord, ajoute Régis Granarolo. Cette commission se réunira tous les six mois, ce qui devrait permettre de contrer toute forme de dérive. » De plus, dans le document final, le recours au contrat à objet unique devra être encadré par un accord de branche. Ce qui, selon Régis Granarolo, devrait permettre de couper court à d'éventuels accords abusifs dans les entreprises. Enfin, la mise en place d'une indemnité de rupture s'élevant à 10% de la rémunération totale brute du salarié ainsi que la création de différentes mesures d'accompagnement à destination du salarié (DIF, VAE, passeport formation) constituent autant de garanties au yeux du président de l'association. Après la décision de leurs instances - lundi pour FO et la CFTC, mardi pour la CFE-CGC et jeudi pour la CFDT - les éventuels signataires seront reçus par le ministre du Travail qui prévoit de présenter un texte de loi à la fin du premier semestre 2008. La CGT doit officiellement trancher le 30 janvier mais a déjà annoncé qu'elle refusait de signer l'accord. En savoir plus : Le site du Figaro propose un fac similé de l'accord du 11 janvier 2008 sur le marché du travail. Plus d'informations sur le contrat à objet défini sur le site du Munci (...)

(14/01/2008 16:10:56)

Résultats préliminaires d'IBM : +8% sur son CA en 2007

IBM vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 28,9 Md$ sur son quatrième trimestre fiscal, en hausse de 10% et supérieur aux attentes. Il s'agit de résultats préliminaires, le constructeur et fournisseur de services informatiques annonçant pour le 17 janvier prochain ses résultats financiers détaillés. Sur l'ensemble de l'exercice 2007, le chiffre d'affaires d'IBM s'établirait à 98,8 Md$, soit une augmentation de +8%. Le fournisseur attribue ces bons résultats aux performances qu'il a réalisées en Asie, en Europe et dans les pays émergents. (...)

(14/01/2008 14:56:49)

Les extensions humaines de BPEL ont leur comité à l'Oasis

Neuf mois après l'approbation de la version 2.0 du standard BPEL par l'Oasis, voilà que se profile à l'horizon l'extension pour les tâches humaines. BPEL, ou Business Process Execution Language, est un langage destiné à écrire les enchaînements de services formant des processus. Il n'a pas pour but de gérer des interactions avec les utilisateurs. En revanche, des travaux sur cet aspect de BPEL, appelés BPEL4People, existent depuis longtemps. Active Endpoints, Adobe, BEA, IBM, Oracle et SAP ont ainsi élaboré les spécifications WS-BPEL Extension for People et WS-HumanTask. Co-président du comité BPEL de l'Oasis (Organization for the Advancement of Structured Information Standards, qui gère un grand nombre de standards ouverts liés à XML et aux services Web) depuis sa création en 1993, John Evdemon, de Microsoft, vient d'annoncer que l'Oasis créait un sous-comité pour étudier ces spécifications, et permettre à terme d'inclure ces tâches humaines au sein des processus et de les exposer en tant que services Web. (...)

(14/01/2008 14:37:19)

Un million de sites en .fr

L'ouverture aux particuliers profite au .fr. L'Afnic vient d'annoncer que l'extension, créée en 1986, a franchi l'emblématique barre du million d'enregistrements en janvier 2008, après avoir connu une progression de 40% en 2007. Le 'registrar' - instance d'enregistrement des noms de domaine - indique dans un communiqué que le succès du .fr est notamment dû à « l'assouplissement des conditions d'enregistrements, jusqu'à leur ouverture aux particuliers en juin 2006 ». Avant cette date, seules les entreprises pouvaient s'offrir le suffixe régional. L'Afnic explique également que les tarifs compétitifs et les procédures automatisées d'enregistrement ont contribué à la popularité du .fr. (...)

(14/01/2008 14:36:02)

Le Gartner identifie les 30 pays de l'offshore de demain

Le Gartner a publié une étude recensant les trente pays qui seront les plus sollicités par l'offshore dans les années à venir (services de maintenance, développement, engineering, implémentation...). Le cabinet s'est penché sur 65 pays et a analysé leur capacité à développer des services d'externalisation. En Europe, les pays de l'Est font partie du palmarès (République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Pologne, Roumanie, Russie, et Ukraine). Sans surprise, l'Inde reste le grand leader. La Chine, l'Israël, le Vietnam, l'Irlande, l'Afrique du sud ou encore l'Amérique du sud figurent également dans la liste. Le Gartner s'est servi de dix critères pour sélectionner ces trente pays. Il s'agit par exemple de la langue, des niveaux de compétences, du respect des délais, de la compétitivité des tarifs, de la sécurisation de l'infrastructure mais aussi de l'environnement politique. L'étude souligne par ailleurs que les entreprises se tournant vers l'externalisation sont de plus en plus nombreuses. Pour 2008, le Gartner prévoie une progression de l'offshore de 60% en Europe et de 40% aux Etats-Unis. (...)

(14/01/2008 12:10:52)

IBM libère des brevets éco-responsables

IBM vient d'inaugurer le programme Eco-Patent Commons (EPC), en donnant librement au public quelques-uns de ses brevets encadrant des technologies, bonnes pratiques ainsi que des procédés liés à l'informatique verte. Quelque 31 brevets ont ainsi été publiés dans le cadre de ce projet, co-fondé par Big Blue et aidé dans sa tâche par Sony, Nokia et Pintey-Bowes. EPC, qui reste ouvert aux contributions, vise à former un portefeuille de brevets aidant à résoudre les problèmes environnementaux que rencontrent actuellement les entreprises. L'idée, selon le site Internet du projet, est également de s'inspirer du modèle collaboratif et participatif de l'Open Source pour promouvoir l'innovation dans la protection de l'environnement. « Les entreprises peuvent détenir des brevets qui profitent à l'environnement, mais qui ne représentent pas une ressource essentielle pour leur coeur de métier. Si ces technologies peuvent toutefois représenter un potentiel exclusif, elles peuvent créer davantage de valeur en étant publiques », indique le site du World Business Council for Sustainable Development, association (200 entreprises membres) qui milite pour le développement durable et qui héberge le projet EPC. Parmi les 31 brevets mis à disposition, on retrouve des technologies de réduction d'énergie, de traitement de produits chimiques, de recyclage de disques durs, d'imprimantes et de composants polluants. Notons enfin que IBM reste le détenteur n°1 de brevets sur le marché de l'informatique et a mis en place son programme d'un milliard de dollars Big Green pour promouvoir les réponses aux problématiques environnementales. (...)

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