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(25/05/2010 16:04:44)

Un appel à projets destiné à favoriser la dématérialisation des échanges

Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie, lance « TIC & PME 2015 », un appel à projets qui vise à améliorer les échanges entre les entreprises, afin de renforcer leurs performance et compétitivité. L'appui de l'Etat - soit 5 M€ - prendra la forme d'un soutien à deux types de projets :  d'une part aux « projets structurants de filières » afin d'établir un cadre favorable au développement des échanges électroniques  : définition de standards ou d'outils d'accompagnement des PME, travail avec les offreurs pour favoriser le développement d'une offre interopérable adaptée aux besoins, etc. D'autre part, aux projets de groupements d'entreprises qui auront mis en place des solutions d'échanges adaptées pour communiquer, outils pouvant conduire leurs fournisseurs PME à modifier leur organisation et processus, et, ainsi, améliorer leurs échanges.


Des processus logistiques plus performants

L'appel à projets « TIC & PME 2015 » soutiendra en particulier la mise en place de processus logistiques plus performants et harmonieux entre clients et fournisseurs afin d'améliorer la productivité et gagner en réactivité (amélioration de la gestion des stocks et des livraisons, notamment). Il portera aussi la création de démarches de traçabilité, afin de répondre aux exigences croissantes de sécurité (protection sanitaire, lutte contre la contrefaçon...) et de confiance des consommateurs. Sera également soutenue, toute démarche de conception collaborative ou de e-design, afin de réduire les erreurs de conception, gagner en qualité et ainsi, faciliter le contrôle des caractéristiques des produits (empreinte environnementale par exemple).

Les déclarations d'intention ou dossiers de candidature devront être envoyées sous forme électronique avant le 7 juillet 2010 à 14h à : tic-et-pme.dgcis@finances.gouv.fr et sous forme papier (cachet de la poste faisant foi), en un exemplaire, signé par le représentant du porteur.

Lancé en 2005, le programme de développement des usages « TIC & PME » s'est fixé pour objectif de renforcer la compétitivité des entreprises françaises de taille moyenne par un meilleur usage du numérique. A noter que Syntec informatique est membre du Comité de pilotage du programme.

(...)

(25/05/2010 14:53:03)

Steve Jobs présidera la WWDC 2010, signe d'annonces surprises

Absent de la WWDC l'an dernier en raison d'un cancer du pancréas qui a nécessité une transplantation, Steve Jobs sera présent sur scène pour lancer l'événement qui durera cinq jours. « Steve Jobs retrouve avec enthousiasme sa place de meilleur présentateur du pays, » a déclaré Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research, à propos du CEO d'Apple qui était revenu devant le public en septembre 2009, pour présenter la nouvelle ligne d'iPod. Tout le monde s'attend, bien sûr, à entendre les éloges du patron d'Apple sur le prochain système d'exploitation 4.0 de l'iPhone, un thème placé au centre de l'événement WWDC 2010, mais espère aussi avoir la primeur sur le smartphone maison de prochaine génération. Cette année cependant, il y aura moins de surprises que par le passé puisque, au cours des quatre dernières semaines, des photographies de deux prototypes de l'iPhone v4 ont été publiés sur Internet, dont celles diffusées par le blog spécialisé en technologie Gizmodo, qui a acheté un modèle de démonstration à un californien pour 5.000 dollars.

De nouveaux services sur iTunes

Plus récemment, un forum vietnamien a même posté des photos d'un iPhone qualifié par un expert en électronique de matériel « sorti de production », ou de quasi-production. « Cela ne veut pas dire que Steve Jobs n'a pas gardé quelques surprises dans son sac, » a déclaré Ezra Gottheil. Selon ce dernier, « on trouve, dans le dernier bilan, quelques indices quant aux annonces possibles. Celles-ci pourraient avoir notamment un rapport avec les services online, comme par exemple, l'intégration de Lala, un petit service de streaming acquis à la fin de l'année dernière et qui sera fermé le 31 mai prochain. Le plus probable concerne l'abonnement à des services de streaming de musique ou de vidéo. »

Steve Jobs lors de la conférence sur iPhone OS 4.0.
Crédits photo : IDG NS, avril 2010.

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Même si la conférence ne semble pas être le lieu idéal pour ce type d'annonce - généralement l'événement se concentre sur des questions concernant directement les développeurs - Ezra Gottheil prévoit une dérogation à cette règle. « Ce ne serait pas tout à fait dans l'esprit de la WWDC, sauf si ça a un rapport avec la programmation, » a reconnu l'analyste. « Mais dans la mesure où Apple arrive avec une plate-forme qui interagit avec le code d'un ou de plusieurs de ses appareils mobiles, il serait logique qu'elle fournisse aussi quelques APIs. » Dans son raisonnement, la firme de Cupertino pourrait être prête à rivaliser avec Amazon et Google - lesquelles offrent toutes deux des services de stockage aux développeurs - en utilisant son grand centre de calcul construit en Caroline du Nord. « Apple n'est pas encore entré dans ce monde, mais comme il souhaite conserver les développeurs de l'iPhone et de l'iPad dans son environnement, » a déclaré l'analyste.

De la visioconférence pour l'iPhone v4

« Des contenus éducatifs, un domaine privilégié de longue date par Apple, pourrait également être hébergés dans ce centre de calcul, » a t-il déclaré. Une autre annonce possible, à la fois autour de l'iPhone et du datacenter de Caroline du Nord, concernerait l'appareil photo frontal aperçu sur les prototypes de l'iPhone, vus ici et là. « Beaucoup de gens utilisent Skype pour les appels vidéo, et seul un nombre restreint fait appel à une technologie haut de gamme pour la visioconférence. Il y a donc un gros potentiel dans ce domaine, »a déclaré Ezra Gottheil. » Steve Jobs pourrait donc révéler des capacités vidéo de l'OS 4.0 de l'iPhone tenues secrètes, avec certaines APIs qui permettraient aux développeurs de s'ancrer à une plate-forme de vidéoconférence reposant sur un cloud. « Apple pourrait dire : voici la base pour créer du chat vidéo, » puis proposer aux développeurs des APIs à développer pour ajouter le chat vidéo à des jeux sur iPhone, par exemple » a t-il ajouté.

A noter qu'Apple ne diffusera pas cette fois la conférence en direct sur le Web.

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(25/05/2010 14:04:09)

Intelligence économique : Total et Doublet SA affichent des stratégies antinomiques

Lors de la deuxième conférence annuelle sur le thème de l'intelligence économique, organisé à Paris par les Échos, deux entreprises françaises, Total et Doublet SA ont exposé leur manière d'appréhender l'intelligence économique et de se prémunir contre les menaces extérieures. Il est intéressant de voir combien ces deux sociétés ont des pratiques différentes, tout en partageant un objectif commun, se protéger.
Autrefois spécialisée dans la fabrication artisanale de drapeaux, Doublet SA s'est aujourd'hui reconvertie dans l'évènementiel. Luc Doublet, président de la société rappelle combien la technologie est une vecteur central de l'entreprise. Au sein de son entité, il a décidé d'adopter le principe de transparence. Il précise : « nous avons ouvert tous nos systèmes d'information, rien n'est caché ». Il ajoute que « pour trouver une information, il faut savoir où elle se trouve car elle est noyée dans la masse, sachant qu'il faut savoir l'interpréter. » Son objectif est avant tout de créer l'échange au sein de son entreprise, qui pour lui sont source d'innovation. « Chaque collaborateur a une vision sur l'entreprise. » En étant totalement transparent, « tout est tracé dans notre entreprise », précise Luc Doublet. Par ailleurs, cette politique leur permet d'être d'autant plus réactif. Le dirigeant donne à ce titre l'exemple d'une commande envoyée par un client un jeudi soir. Des personnes présentes dans les locaux ont intercepté le document et la commande a pu être livrée le vendredi soir comme convenu.

Culture du doute chez Total

De son côté, Jean-Michel Salvadori, directeur intelligence économique du groupe Total, annonce que « chez Total, la diffusion de l'information se fait plutôt sous format papier que par la voie électronique, et peu de destinataires sont généralement concernés. » Ainsi, contrairement à la société Doublet SA, le groupe est très prévoyant quant à la diffusion d'information en interne comme en externe. « Nous devons être en permanence dans une culture du doute », déclare Jean-Michel Salvadori. L'intelligence économique est prise en charge à deux niveaux, le service stratégie et le service Intelligence Economique. Il y a deux ans, une cellule spécialisée composée d'une dizaine de professionnels a été créée, et a pour mission de délivrer des analyses et des informations à leur clientèle interne que sont les directeurs métiers. Jean-Michel Salvadori précise que « l'objectif de l'intelligence économique est d'anticiper et de détecter les menaces, d'aider les directions métiers à faire des choix, et de contribuer à la création d'un avantage concurrentiel. » Il ajoute que ce service traite avec les ONG, les prestataires ainsi que les médias pour obtenir des informations et réaliser des analyses.


Photo : (De gauche à droite) Marc Willeme, responsable dispositif IES au sein du groupe EADS Defense & Communications Systems, Philippe Trouchaud, Associé de PricewaterhouseCoopers, Jean-Michel Salvadori, Directeur Intelligence Economique du Groupe Total, Luc Doublet, Président de Doublet SA et Michel Mollard, Membre du directoire d'Euler Hermes. Crédits DR


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Les entreprises ont donc chacune leur stratégie pour anticiper et éviter les attaques de la part de tiers. Olivier Buquen, délégué interministériel chargé de l'intelligence économique, précise que le plus fréquemment, les entreprises doivent faire face à plusieurs types d'offensives, les risques financiers et informatiques, les intrusions consenties, les atteintes de savoir-faire et de l'image, ainsi que les vulnérabilités humaines. Mais les grandes compagnies ne sont pas les seules concernées, les PME sont également la cible de telles attaques, quelque soit leur secteur d'activité. Il insiste sur le fait que plus de la moitié de ces incidents sont commis sans infraction légale.

5 actions pour renforcer l'intelligence économiques en France


Alors que ces problématiques d'intelligence économique deviennent centrales pour les entreprises, le gouvernement a, à ce titre, fondé une délégation interministérielle chargée d'aider l'Etat à mettre en place des politiques relatives cette question. D'après Olivier Buquen, cette structure a pour objectif de déployer cinq actions prioritaires qui sont de renforcer la protection des informations stratégiques des entreprises, d'élaborer une grille d'évaluation du niveau de protection de l'information dans l'entreprise, de participer activement aux organismes d'Etat qui interagissent avec les sociétés, d'accompagner les instituts de recherche publique dans le lancement d'une dynamique d'intelligence économique et à terme, faire suivre à tous les étudiants un module d'intelligence économique pour acquérir des réflexes d'une veille structurée et de protection des données.


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(25/05/2010 13:01:24)

Au premier trimestre, les ventes mondiales de PC portables ont bondi de 43,4% (MAJ)

En volume, il s'est vendu 49,4 millions de PC sur ce 1er trimestre 2010, en valeur ce marché représente 36 milliards de dollars. C'est essentiellement le marché grand public qui détermine cette croissance. Mais le marché des entreprises devrait repartir, fin 2010 et tout au long de l'année 2011, estime le Gartner. Les mini ordinateurs portables (les netbook) ont assuré la croissance, mais le Gartner assure que les utilisateurs en sont revenus et commencent à comprendre les limites des baisses de prix agressives auxquelles se livrent les constructeurs.

Ces derniers observent d'ailleurs un prix de vente moyen en forte baisse. Selon le Gartner, il s'est retrouvé à 732 dollars au 1er trimestre 2010, en baisse de 15,7% par rapport au même trimestre de l'année précédente (868 dollars). Ce prix devrait se stabiliser et les ventes dans le segment professionnel augmenter prédit le cabinet d'études. Toutefois, le Gartner observe de près l'évolution des segments adjacents, comme celui des smart phones ou des tablettes medias (comme l'iPad), moins pour leurs ventes que pour leurs applications, « Le top des applications qui sont téléchargées en dira beaucoup sur la façon dont ces dispositifs pourraient déplacer des ventes de PC portables à l'avenir », note le cabinet d'études.

Le classement des constructeurs n'offre plus de surprise : HP reste n°1, Acer effectue la plus forte progression. Le californien a vendu 9,45 millions de PCs au 1er trimestre 2010, ce qui représente 19,2% des ventes mondiales, en progression de 23,2%. Acer suit de près, avec 9,12 millions d'unités vendues, 18,5% des parts, une progression de 48,4%. Dell est loin derrière, avec 5,66 millions d'unités vendues, 12,4% des parts et 33,1% de progression. Toshiba a vendu 4,57 millions d'unités, il représente 9,3% des parts, en hausse de 34,7%. Asus affiche 4,32 millions de ventes, 8,8% de parts de marché, une progression de 113%.

 

Crédits photo : Antonis Papantoniou

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(25/05/2010 12:54:57)

5 parcours thématiques aux Assises nationales des TIC

Pour leur  dixième édition, les Assises nationales des TIC proposent un parcours spécialisé avec 5 thématiques : e-Education, développement durable (et fracture numérique), infrastructures, accès et mobilité, systèmes d'information.  La manifestation se tiendra à Marseille, au World Trade Center les 9 et 10 juin prochains.  Elle est organisée comme toujours par le réseau Idéal et vise plus particulièrement les responsables TIC des collectivités locales. (...)

(25/05/2010 12:50:14)

L'Isep intègre deux pôles de compétitivité

2010, c'est l'année de la recherche à l'Isep. L'école parisienne d'ingénieurs en technologies de l'information et communication a rejoint les deux pôles de compétitivité Cap Digital (pour les contenus et services numériques), et System@tic Paris-région. L'équipe de recherche et développement en informatique  de l'établissement travaille actuellement, aux côtés de la SSII Atos Origin et du Secours Catholique, sur le projet « Solimobile » de Cap Digital. Il s'agit d'une offre Internet mobile qui s'adresse à un public précaire, demandeurs d'emploi en difficulté, titulaires du RSA, etc. La solution  vise à offrir l'accès, depuis un téléphone portable, à un portail de services globaux et personnalisés en fonction du profil de chacun. L'Isep se charge d'intervenir sur la recommandation et l'adaptation de l'offre individualisée. Avec System@tic, les chercheurs de l'Isep sont, par ailleurs, mobilisés sur le projet "Mcube", qui doit permettre la supervision d'installations agricoles pour une agriculture raisonnée, ainsi que la supervision de centrales photovoltaïques.

Des modules d'initiation à la recherche

L'Isep n'entend pas s'arrêter là  : depuis 2000, l'école recrute, en interne et en partenariat avec des entreprises, une partie de ses thésards dans les domaines qui sont les siens. En outre, entre 2008-2010, elle a plus que doublé le nombre de  ses enseignants-chercheurs titulaires d'un doctorat, passant ainsi de 8 à  18 professeurs. L'Institut a également créé, dans le cadre de ses parcours pédagogiques de 2e et 3e années du cycle ingénieur, des sessions spécifiques « recherche » pour les élèves intéressés et des modules d'initiation à la recherche pour amener davantage d'étudiants à s'orienter vers la  recherche ; un accord de partenariat avec Supélec a d'ailleurs été passé en 2009 pour un Mastère 2 recherche SAR (Systèmes avancés de radiocommunications). Enfin, l'école sera partenaire d'Iscas 2010, colloque sur les dernières avancées en matière de recherche dans le domaine des circuits et systèmes, qui aura lieu  du 30 mai au 2 juin à Paris.  



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(25/05/2010 12:39:09)

Tablettes Internet : Après le succès de l'iPad, les offres se multiplient

Inattendu pour beaucoup, prévisible pour d'autres, le succès de l'iPad d'Apple ne se dément pas aux États-Unis. Et si les ventes suivent le même mouvement en Europe, on pourra dire que la société californienne aura réussi à créer à elle toute seule un nouveau segment sur le marché des ordinateurs nomades. Beaucoup plus séduisant et rapide que les netbooks, l'ardoise Internet made in Cupertino bénéfice de l'écosystème bâti pour l'iPhone et l'iPod, à savoir les plates-formes iTunes et AppStore. Soit des loisirs à la carte (audio, vidéo et livres électroniques) et des applications pour enrichir sa tablette. Bien qu'il soit parfaitement possible d'installer des logiciels développés à l'origine pour l'iPhone et l'iPod, le catalogue iPad s'étoffe de jour en jour. Les accessoires sont également de plus en plus nombreux pour équiper et protéger la tablette magique.

La stratégie d'Apple passe également par le monde de l'entreprise. Lors de la dernière convention CA World qui a réuni 7000 personnes à Las Vegas en mai dernier, nous avons pu constater que certains dirigeants de CA Technologies, dont Ajei Gopal, le vice-président de la compagnie en charge des produits et de la technologie, utilisait un iPad en lieu et place de son traditionnel PC portable. S'il a refusé de se faire photographier avec son ardoise Apple, il nous a tout de même expliqué qu'il utilisait une solution VDI pour se connecter en Wi-Fi à son notebook resté dans sa chambre d'hôtel. Ainsi, il pouvait accéder à toutes les ressources de sa machine principale avec un tablette de moins d'un kilo.

Le succès d'Apple aiguise bien sûr les appétits et les principaux acteurs du marché informatique ressortent les projets des cartons ou développent à grands pas des alternatives à l'iPad. À peine un mois après sa sortie, le marché est déjà structuré, avec d'un côté l'ardoise et l'écosystème d'Apple et de l'autre les outsiders. Passage en revue.

 

Pour consulter l'intégralité du dossier, cliquer sur ce lien.

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(25/05/2010 09:59:06)

Cisco se renforce dans les réseaux optiques

C'est la seconde annonce de ce genre, publiée récemment, par Cisco, puisqu'elle fait suite à celle de l'acquisition de Moto Development Group consultant et concepteur de produits grand public, pour un montant qui, cette fois, n'a pas été divulgué.

CoreOptics apportera à l'équipementier une expérience dans le Digital Asic Design, les formats de modulation avancés, les systèmes optiques, ainsi que dans les applications et l'architecture réseau. Cisco a indiqué que la société lui permettra de fournir « une technologie de transmission à 100 Gbit/s très avancée » aux prestataires de service pour acheminer de la vidéo sur IP, transporter les services mobiles et les services cloud. Citant ses propres recherches, Cisco estime que, comparé à 2008, le trafic IP global sera multiplié par cinq d'ici à 2013, avec un taux de croissance annuel moyen de 40%. L'entreprise pense que la prochaine génération de réseaux optiques prendra en charge des formats de modulation complexes et des technologies de pointe DSP permettant une transmission efficace de grandes quantités de données sur le réseau optique existant. « De cette manière, les fournisseurs de services pourront aussi moduler leurs dépenses essentielles en adaptant l'augmentation du trafic en fonction de l'infrastructure existante » commente l'équipementier.

Basée à San José (comme son acquéreur), Californie, CoreOptics exerce l'essentiel de son activité à Nuremberg et à Gerlingen, en Allemagne, où se trouvent d'ailleurs la plupart de ses employés, lesquels, au terme de l'acquisition, intègreront le groupe Cisco Service Provider Technology et travailleront aussi bien avec les équipes d'ingénieurs en optique de Monza, en Italie, de Bangalore, en Inde, ou de Richardson, au Texas.

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En plus des 99 millions de dollars cash, Cisco offrira des primes pour retenir les salariés en échange de l'ensemble des actions de l'entreprise. L'acquisition devrait être finalisée au second semestre de cette année.

Une tradition dans l'optique

L'historique des achats de la firme de San José dans le domaine des réseaux optiques a été fluctuant. En 1999, la société a versé 7,4 milliards de dollars pour Cerent, un fabricant de matériel de transmission pour le réseau urbain et Monterey Networks, un fabricant de commutateurs optiques. En 2001, Cisco a abandonné les commutateurs de Monterey et a régulièrement perdu des parts de marché et son expertise dans le domaine des plates-formes de provisionnement optique multiservices Sonet / SDH (MSPP), un marché de 6 milliards de dollars sur lequel est positionné la plate-forme de Cerent. En 1999, elle a également acquis la division de matériels de multiplexage à Pirelli Systems et en particulier une ligne de produits ONS 15808, toujours disponible.

L'équipementier déclare que, avec ces acquisitions, il entend capturer un marché en transition et se placer en première ou en seconde position. Reste que, selon Dell'Oro Group, Cisco demeure en dixième position sur le marché du MSPP. Infonetics Research note cependant que Cisco et Fujitsu ont fait état de gains de part de marché importants au premier trimestre dans le secteur du Packet Optical Networking, sans doute le domaine où sera employée la technologie achetée à CoreOptics.

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(25/05/2010 09:18:44)

IBM rachète Sterling Commerce pour 1,4 milliard de dollars

Au début du mois, Sam Palmisano, le PDG d'IBM, avait déclaré que sa société prévoyait de débourser 20 milliards de dollars dans des opérations d'acquisition au cours des cinq prochaines années. La première de ses transactions porte sur l'éditeur américain Sterling Commerce et s'élève à 1,4 milliard de dollars en numéraire. Cette filiale d'AT&T est spécialisée dans les solutions d'intégration entre applications et les échanges de données interentreprises (transferts de fichiers EDI notamment). Sur ce terrain, elle est en concurrence avec des acteurs comme Axway (fort de Tumbleweed), filiale de la SSII française Sopra qui doit acquérir son autonomie cette année. Elle rencontre aussi des sociétés comme Inovis et le numéro un GXS (Global eXchange Services), à qui IBM avait vendu deux activités portant sur les échanges B-to-B en 2004.

Sterling Commerce édite aussi des suites de gestion logistique (Sterling Order Management, Supply Chain Visibility...) et de gestion des ventes (Sterling Catalog and Offer Management...). La société, dont le siège social se trouve à Dublin, dans l'Ohio, est présente en France.

Sterling Commerce compte 18 000 clients au niveau mondial, dans les services financiers, la distribution, l'industrie manufacturière et plusieurs autres secteurs.

Une offre elle-même constituée par rachat

Il est prévu que l'acquisition par IBM soit réalisée au second semestre de cette année. Environ 2 500 collaborateurs de Sterling Commerce devraient rejoindre la division WebSphere qui gère le large catalogue d'outils d'intégration d'IBM. Le choix de la société rachetée s'est fait sur la base de ses résultats et du niveau de satisfaction de ses clients, a expliqué Craig Hayman, directeur général de l'entité WebSphere, lors d'une conférence téléphonique. Sterling Commerce s'est elle-même constituée par rachat, ayant notamment acquis Yantra, en 2005, spécialisé sur la gestion logistique, et Nistevo, en 2006, éditeur de logiciels de gestion du transport.

IBM prévoit de combiner les technologies rachetées avec les siennes avec l'objectif de supporter ce que les clients de Sterling Commerce ont installé et d'apporter à ses propres utilisateurs ce qu'ils souhaitent mettre en place, a déclaré Craig Hayman.

Pour la société dirigée par Sam Palmisano, c'est le 57e rachat depuis 2003. Le dernier en date, début mai, est celui de Cast Iron Systems. Selon Ken Vollmer, analyste chez Forrester Research, cette transaction était pressentie depuis quelques temps. Il considère que Sterling Commerce est un « solide numéro deux » sur le secteur des solutions B2B, derrière GXS, et qu'il pourrait y avoir d'autres acquisitions sur ce marché dans les prochains mois.

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(25/05/2010 09:02:02)

Le secteur de la high-tech dans le ghota des sociétés

Selon une étude Reputation Institute, Google arrive en tête avec 78,62%, suivi de près par Sony (78,47%) et The Walt Disney Company (77,97%). L'Oreal est la seule compagnie française a figuré dans ce classement, à la 16ème place. Google, Sony, Apple, Nokia, Intel, Microsoft, Panasonic, Philips, IBM, Hewlett-Packard et Samsung, les principaux ténors du marché de la high-tech sont présents dans ce Classement des sociétés les plus réputées au monde. Ces onze compagnies font de ce secteur le plus représenté avec 11 places obtenues sur 28.

Google et Sony occupent même les première et deuxième places. Et sur les dix premières places, la moitié est occupée par des sociétés high-tech. Les deux premières sont accompagnées d'Apple (6ème), Nokia (7ème) et IBM (10ème). The Walt Disney Company prend la troisième place, avec 77,97%. L'Oreal est quant à elle la seule société française à être présente dans ce classement avec un seizième place, et 73,17%. Autre seule représentante dans sa catégorie, Singapore Airlines est l'unique compagnie aérienne du classement (14ème).

Le Classement des sociétés les plus réputées au monde a été obtenu en deux phases. La première qui s'est déroulée en janvier dernier consistait en un classement régional sur 24 pays examinés, dont la France, et sur les 600 sociétés les plus importantes au monde. De cette première étape, 54 sociétés sont parvenues en finale, pour un examen cette fois selon des critères (amour, confiance, admiration et respect) de réputation mondiale. En mai dernier, après un classement de consommateurs, seules 28 compagnies ont obtenu plus 70% de taux de réputation. 181.000 classements ont été recueillis.

Classement des sociétés plus plus réputées au monde :

1 - Google : 78,62%
2 - Sony : 78,47%
3 - The Walt Disney Company
4 - BMW : 77,77
5 - Daimler/Mercedes-Benz : 76,83%
6 - Apple : 76,29%
7 - Nokia : 76%
8 - Ikea : 75,60%
9 - Volkswagen : 75,55%
10 - Intel : 75,39%
11 - Microsoft : 74,47%
12 - Johnson & Johnson : 74,12%
13 - Panasonic : 73,67%
14 - Singapore Airlines : 73,54%
15 - Philips Electronics : 73,31%
16 - L'Oreal : 73,17%
17 - IBM : 73,03%
18 - Hewlett-Packard : 72,67%
19 - Barilla : 72,45%
20 - Nestlé : 72,37%
21 - Ferrero : 72,36%
22 - Samsung Electronics : 71,62%
23 - Fed Ex : 70,84%
24 - Honda Motor : 70,82%
25 - The Coca-Cola Company : 70,40%
26 - Carlsberg : 70,31%
27 - Procter & Gamble : 70,21%
28 - UPS : 70,07%

 

Crédits photo : DR

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