Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 22971 à 22980.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/10/2006 18:20:24)

Brevets logiciels, le retour

La question de la brevetabilité des inventions mises en oeuvre à l'aide de l'outil informatique - dont notamment les logiciels - semble en passe de revenir dans les débats. Le commissaire européen Charlie McCreevy vient en effet de présenter son projet d'accord européen pour le règlement des litiges sur les brevets (European Patent Litigation Agreement, EPLA). Pour mémoire, le parlement européen a rejeté le projet de directive portant sur la brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur en juillet 2005, après quatre ans de procédure. Pour l'heure, ce sont donc les offices nationaux et le bureau européen des brevets (European Patent Office, EPO) qui délivrent les brevets. Les logiciels purs sont actuellement exclus expressément du champ des brevets délivrés par l'EPO, mais pas les composants logiciels comme ceux utilisés, par exemple, pour faire fonctionner les téléphones mobiles. L'EPLA doit fournir un cadre européen au règlement des litiges. Pour les opposants au brevet logiciel comme la FFII, l'EPLA constitue une véritable porte dérobée pour l'introduction de ce type de brevet. Le projet de Charlie McCreevy découle de la consultation publique lancée fin février par la Commission européenne sur le droit européen des brevets. Le projet n'a pas été détaillé mais Charlie McCreevy a indiqué être sensible aux inquiétudes des opposants aux brevets logiciels : « je reconnais qu'il y a des inquiétudes et des doutes légitimes - le coût de procédure, l'impact des règles de procédure et l'indépendance des juges de l'EPLA ». Florian Mueller, fondateur de la campagne NoSoftwarePatent a salué, sur son blog, cette ouverture d'esprit : « durant le long débat sur la directive relative aux brevets logiciels, nos préoccupations étaient systématiquement ridiculisées par la Commission, nous faisant passer pour des paranoïaques. Les temps semblent avoir changé. » Selon Florian Mueller, Charlie McCreevy estime en outre que l'EPLA laisse grandement à désirer, en l'état. Pour autant, le fondateur de la campagne NoSoftwarePatent reste prudent et relève que Charlie McCreevy a souligné l'importance de l'EPLA dans son discours. Le groupe parlementaire européen des Verts a exprimé ses craintes vis à vis du projet de Charlie McCreevy, soulignant que la « Commission ne doit pas introduit le brevet européen par la porte de derrière. » De son côté, l'association patronale des petites et moyennes entreprises européennes, l'UEAPME, a également exprimé son inquiétude de voir réintroduit le brevet logiciel par le biais de l'EPLA. Le projet de Charlie McCreevy sera soumis au vote du parlement européen le 12 octobre prochain. (...)

(02/10/2006 18:21:26)

Le cadastre français numérisé par Thalès d'ici à 2007

La direction générale des impôts mettra en ligne, à partir du dernier trimestre 2007, un service de consultation des plans cadastraux. L'Administration a choisi Thalès pour numériser et mettre en place ce service qui s'inscrit dans la suite logique du projet PCI (plan cadastral informatisé) lancé en 2002. L'outil sera mis à disposition gratuite des administrés sur impots.gouv.fr, mais l'achat et l'impression des relevés seront payants. Thalès assure que le service, qui "s'inscrit dans la logique du développement de la relation à distance avec les citoyens" assurera un "temps de réponse record et une lisibilité optimisée". Dans un premier temps, 600 000 documents seront numérisés - soit 220 Go de données - puis, chaque année, un million de plans supplémentaires rejoindront la base. (...)

(02/10/2006 18:23:18)

Effondrement des bénéfices : Altran incrimine ses salaires

Altran a enregistré un bénéfice net de 8,2 ME au premier semestre, contre 17,7 ME pour la même période en 2005. Dans un communiqué, la SSII explique ce mauvais résultat par une « accélération des augmentations de salaire qui, compte tenu du marché, ne peut pas être répercutée sur les prix » ainsi que des frais de restructuration exceptionnels pour un montant de 11,6 ME. De fait le bénéfice opérationnel d'Altran a sensiblement reculé au premier semestre 2006 pour s'établir à 32,1 ME contre 48,5 ME un an plus tôt. Et l'activité d'Altran ne semble pas avoir reculé, au contraire : le chiffre d'affaires de la SSII pour la période est de 745,9 ME contre 724 ME au premier semestre 2005, et 710,5 ME au second semestre 2005. Néanmoins, l'activité française d'Altran a enregistré un recul de 6 % au premier semestre, selon la SSII. Cette dernière prévoit d'accélérer la réorganisation de ses entités dans l'Hexagone. La convocation d'une assemblée générale extraordinaire est d'ailleurs prévue d'ici à la fin de l'année. Altran soumettra alors à ses actionnaires son plan de restructuration pour la France sous la présidence de Yves de Chaisemartin. Plus globalement, la SSII estime que ses efforts d'amélioration des marges opérationnelles devraient générer une économie de 49 ME au moins en 2006. Altran maintient ses objectifs d'économie de 54 à 60 ME pour 2007. (...)

(02/10/2006 18:21:50)

Fujitsu et Acer vont eux aussi rappeler des batteries Sony

La valse des rappels de batteries défectueuses de Sony se poursuit avec cette fois-ci l'annonce par Fujitsu du rappel de batteries incluses dans 19 de ses modèles de PC portables et l'étude par Acer d'un éventuel rappel de batteries Sony incorporées dans ses portatifs. Depuis cet été, les ennuis se multiplient pour Sony, avec le rappel par Dell de près de 4,2 millions de batteries, le retrait par Apple de 1,8 millions de batteries et l'annonce la semaine passé par Toshiba et Lenovo du rappel de plusieurs centaines de milliers d'accumulateurs (1,17 million Toshiba et 526 000 pour Lenovo). Désormais ce sont près de 7,7 millions de batteries Sony, fabriquées entre 2004 et 2006 qui ont été rappelées par les fabricants. Le chiffre pourrait rapidement franchir la barre des 8 millions avec le rappel de Fujitsu et si Acer se décide lui aussi à rappeler certains de ces accumulateurs. Fujitsu a indiqué que son rappel touchait les gammes LifeBook 1510, P1510D, P7120, P7120D, S7020, S7020D, S7025, S7025D, C1320, C1320D hors du Japon. Dans l'archipel nippon, le rappel est encore plus large puisqu'il frappe les gammes FMV Biblo Loox P-series P70R et P70S et les gammes Biblo Loox T-series T50M, T50R, T50RN, T50S, T50SN, T70M, T70M/T, T70MN, T70R, T70R/T, T70RN, T70S, T70S/V et T70SN. Fujitsu reste pour l'instant discret sur le nombre total de machines affectées. Acer est encore plus évasif. Selon une porte-parole du constructeur à Taipei, Stella Chou, Acer "pensait que ses batteries ne souffrait pas de problème. Désormais nous sommes en discussion avec Sony pour nous en assurer". Deux autres clients de Sony, HP et Gateway, restent enfin à l'écart des rappels et indiquent n'avoir pas détecté de problème à ce jour. Entre 1 et 2 millions de portables HP seraient équipés de batteries Sony produites durant la période incriminée, même si le constructeur écarte pour l'instant tout problème. Gateway, de son côté, estime à ce jour que ses batteries ne posent pas de soucis, Mais il n'exclut pas de changer d'avis en cas de notification du contraire par Sony. (...)

(02/10/2006 18:22:42)

Google Talk s'affranchit d'un compte Gmail

Google Talk, le client de messagerie instantanée du gargantuesque moteur de recherche, compatible XMPP et basé sur le protocole Open Source Jabber, n'est plus réservé aux détenteurs d'un compte Gmail. Désormais, annonce Google sur son blog officiel, n'importe quelle adresse email permettra de créer un compte Gmail et d'utiliser le client de messagerie. Rappelons que les poids lourds de la messagerie instantanée, MSN et Yahoo Messenger, permettent l'interopérabilité de leurs clients depuis le mois de juillet. Google s'est lancé tardivement dans le domaine de la messagerie instantanée et doit combler un écart important avec ses concurrents. Selon l'institut ComScore, 49% des internautes européens et 37% des connectés nord-américains utilisent un client de chat. Dans ces deux régions, les messageries de MSN, de Yahoo et d'AOL (AIM) concentrent chacune entre 27 et 37% des utilisateurs. (...)

(02/10/2006 18:19:27)

Icann / DoC : divorce programmé en 2009 ?

Un grand pas vers l'autonomie. C'est en ces termes que Paul Twomey, président de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), a qualifié le nouvel accord signé avec le gouvernement américain sur la gouvernance d'Internet. Le très décrié moratoire qui liait les deux organismes depuis 1998 est prolongé de trois ans, mais en une version révisée qui semble délier un peu plus les mains de l'Icann. Pour la première fois, on entend officiellement parler d'indépendance et de modèle à intérêts multiples. Les liens étroits entre l'Icann et le DoC (Department of Commerce, ministère du commerce américain ) sont à l'origine très critiqués par les registres de nom de domaines nationaux (comme l'Afnic) de par leur caractère centralisé. Rappelons que l'Icann -et donc le DoC- a la main-mise sur la gestion de DNS ainsi que sur les treize serveurs racines disséminés à travers le monde. Un de leurs arguments est que cette organisation ne prendrait que partiellement en compte leurs intérêts. Leur solution, transférer le contrôle sur un terrain plus international, comme l'ONU. Finalement, l'Icann pourrait jouer ce rôle. Une prise en compte d'une gestion à intérêts multiples Dans un communiqué, Paul Twomey garantit que le DoC a finalement validé "le système de gestion à intérêts multiples des DNS, et que l'Icann est l'organisation la mieux à même d'assumer cette responsabilité". Cet accord valide la collaboration des registres nationaux dans la gestion de l'Internet. Et permet de désormais parler de "communauté de l'Icann". Une première. Parmi les autres avancées, l'accord prévoit que le gouvernement américain n'intervienne plus en amont des prises de décisions de l'Icann. En clair, l'organisme décidera seule de sa politique, sans intervention préalable du gouvernement américain. L'Icann ne doit également plus rendre compte au DoC comme il était de coutume, tous les six mois. Mais travaillera à partager ses travaux avec la "communauté Internet". Cet accord reste toutefois sujet à une période d'essai de 18 mois, durant laquelle la ré-organisation devra faire la preuve qu'elle peut "rendre l'Icann plus stable, transparente et responsable", indique le gouvernement américain. De son côté, il s'engage à accompagner l'Icann dans sa démarche. Le DoC, comme l'indique une clause de l'accord (voir encadré), préserve son droit de surveillance de la sécurité des serveurs racines. La Commission Européenne, qui a salué cette initiative, estime que "cet accord de trois ans entre l'Icann et le gouvernement américain pourrait bien être le dernier". Réponse en 2009. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >