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(27/09/2011 09:48:10)
Alain Roumilhac prend la direction de Proservia
Alain Roumilhac devient PDG de Proservia en remplacement du fondateur Thierry Congard qui a vendu la majorité des parts à Manpower. Alain Roumilhac est directeur général Europe du sud des marques Experis et Manpower Group Solutions. Il a rejoint le groupe Manpower au mois de juin dernier.
Auparavant, Alain Roumilhac a eu une longue expérience des SSII. Il fut directeur et fondateur du cabinet Clemadel Conseil, directeur général d'Osiatis et auparavant vice-président intégration de services chez IBM global services. Il a début chez IBM en tant qu'ingénieur.
Resom veut regrouper des partenaires pour adapter les produits aux besoins des clients
Le groupement Resom n'est pas dans une logique d'achat, c'est le rôle des grossistes, ou de marketing, c'est celui des constructeurs. Il veut se spécialiser sur un point précis : la conception des produits. Plus précisément, il veut que les intégrateurs pèsent auprès des constructeurs pour bien adapter leurs produits aux clients, notamment pour les constructeurs étrangers vis-à-vis du marché français.
« Ce nouveau réseau veut concevoir avec les constructeurs des produits en fonction des besoins clients » explique Silvano Trotta P-dg de l'intégrateur Atelio, beaucoup de SSII et de SSTR sont intéressées partout en France ». Le but est de réunir des partenaires partageant la même philosophie et présentant le même niveau technique, donc plus homogène que les groupements classiques, dédiés d'abord à l'achat. Le groupement compte également sous missionner aux appels d'offres nationaux.
Modification des produits avec le constructeur
Atelio, à l'initiative de ce projet, a déjà éprouvé ce mode de fonctionnement. Sans contourner les grossistes, Atelio entretient des relations directes avec certains constructeurs. Avec Funkwerk par exemple, dont l'usine n'est qu'à deux heures de route de l'intégrateur alsacien. Atelio a obtenu des modifications sur le poste Dect D4 Office, en particulier son auto programmation. Le client n'a plus à facturer un technicien pour l'intégrer. Atelio compte en vendre 15 000 d'ici la fin de l'année partout en France, Il a l'exclusivité en France de cette version qu'il a contribué à définir.
Même opération avec Novalink pour des boîtiers sous IP qui sont multifonctions (alarmes, appels mobiles). Novalink est un constructeur allemand. Outre-rhin une multitude de constructeurs se sont développés, très innovants, présents sur les grands salons allemands (10 fois plus grands que les salons français spécialisés), ils cherchent à se distribuer en France.
Trimestriels : Ventes de licences en hausse pour Oracle, Red Hat et Tibco
Les bons résultats trimestriels de trois fournisseurs de logiciels, Oracle, Red Hat et Tibco, sont passés un peu sous silence la semaine dernière, l'actualité ayant été en partie monopolisée par le remplacement de Léo Apotheker par Meg Whitman à la tête du groupe Hewlett-Packard. Le chiffre d'affaires et les bénéfices affichés par ces éditeurs montrent que la demande pour les logiciels d'entreprise est restée forte, soulignent nos confrères d'IDG News Service, même si les inquiétudes macro-économiques maintiennent à un niveau assez bas l'action de certains éditeurs par comparaison avec le début d'année (cf comparaison ci-dessous, source Google Finance).
Oracle a réalisé un bénéfice net de 1,8 milliard de dollars sur son premier trimestre fiscal (clos le 31 août 2011), en hausse de 28,6% comparé à la même période il y a un an. Entre début juin et fin août, la société de Larry Ellison a engrangé un chiffre d'affaires de 8,37 milliards de dollars, contre 7,5 Md$ un an plus tôt, soit une progression de 12% (5% à taux de change constant). Sur ce total, les ventes de logiciels ont augmenté de 17%, à 5,5 Md$, dont 1,5 Md$ sur de nouvelles licences, le reste provenant du support et des mises à jour. Les revenus des services ont atteint 1,18 Md$ (+10%), tandis que le matériel montre des résultats en léger recul à 1,67 Md$ (-1%). Si les ventes affichent des progressions à deux chiffres sur les serveurs Exadata, Exalogic et Sparc M-Series, elles ont baissé sur les serveurs d'entrée de gamme, a reconnu Mark Hurd, président d'Oracle. « En mettant de côté les matériels à faible marge et en nous concentrant sur les serveurs haut de gamme, nous avons augmenté les marges brutes de nos matériels de 48% à 54% », a-t-il précisé. « La stratégie consistant à faire progresser la partie profitable de l'activité s'avère payante ».
+29% sur les ventes de licences chez Tibco
D'autres éditeurs de logiciels ont également annoncé des résultats meilleurs qu'attendus. C'est le cas de Tibco, par exemple, spécialisé dans les solutions d'intégration, qui affiche un bénéfice net de 23,5 M$ sur son troisième trimestre fiscal (clos le 28 août), contre 17,4 M$ un an plus tôt, soit une hausse de 35%. Son chiffre d'affaires a progressé de 24,1% à 229 millions de dollars par rapport à son troisième trimestre 2010. Il est surtout supérieur de 9 M$ aux prévisions des analystes. La société a enregistré une hausse de 29% sur ses ventes de nouvelles licences. Elle a généré un bénéfice de 0,23 cent par action, dépassant de 0,02 cent les prévisions de Thomson Reuters.
« Les marchés vont monter, ils vont baisser, mais certains changements sont irrésistibles », a déclaré Vivek Ranadivé, le PDG de Tibco, lors de l'annonce des résultats, en faisant référence au recours croissant des entreprises aux plateformes logicielles permettant des traitements en temps réel. « Si vous vendez des produits dont les gens ont besoin, vous êtes en forme ».
Le bénéfice net de Red Hat grimpe de 69%
Parmi les éditeurs ayant réalisé de bonnes performances figure aussi Red Hat, spécialisé sur les systèmes d'exploitation Linux et les logiciels d'infrastructure en Open Source. Sur son deuxième trimestre fiscal (au 31 août), il affiche une progression de 28% sur son chiffre d'affaires, à 281,3 millions de dollars. Son bénéfice net a bondi de 69% à 40 millions de dollars.
Adobe, enfin, montre des ventes en légère progression, à 1,01 milliard de dollars (+2,3%) sur son troisième trimestre. En revanche, ses bénéfices baissent. Ils s'élèvent à 195 M$ sur la période, contre 230 M$ un an plus tôt, au 3e trimestre 2010.
A la clôture du Nasdaq, vendredi dernier, l'action d'Oracle valait 28,90 dollars, en hausse de 0,56 $. Celle de Tibco avait gagné 1,40 $, à 23,37 dollars et celle de Red Hat était coté 42,32 dollars, en hausse de 0,83 $. Celle d'Adobe avait gagné 0,57 $, à 24,88 dollars. A l'inverse, celle de HP avait perdu 0,48 $, à 22,32 dollars, son plus bas niveau en six ans.
Lundi 26 septembre, Oracle affichait une capitalisation boursière de 150,29 milliards de dollars. Celle d'Adobe s'élevait à 12,38 milliards de dollars, celle de Red Hat à 8,39 Md$ et celle de Tibco Software à 3,71 Md$.
Illustration : Cotations comparées sur Google Finance pour le lundi 26 septembre 2011.
Selon le Gartner, les services informatique à bas coût sont appelés à se développer
Selon le cabinet d'études, les responsables IT doivent désormais considérer l'adoption de services IT industrialisés à bas coût (ILCS pourIndustrialized low-cost IT services) afin d'accroître la compétitivité de leur département tout en conservant la maîtrise du risque, de l'intégration et de la personnalisation des services fournis. L'étude révèle d'ailleurs que la prise en compte de ce type de service, liée notamment à la nécessité de réduire les coûts, fait partie des priorités 2011 des responsables informatique interrogés.
Selon Claudio Da Rold, vice-président et analyste chez Gartner : «Il existe de nombreuses façons de réduire le coût d'un service IT et d'accroître la valeur de l'informatique. Toutefois, pour certains services de base, les modèles industrialisés low cost, plus efficaces et moins onéreux, vont peu à peu s'imposer.» Selon Gartner, ce secteur embryonnaire représentera plus de 30% des services IT et cloud en 2015, pour atteindre un chiffre d'affaires annuel de 177 milliards de dollars. Gartner note également que la combinaison entre services industrialisés et cloud présente un potentiel très intéressant pour offrir des services low cost.
Croissance annuelle de 30%
Selon l'étude, les services de messagerie électronique, pour lesquels des offres cloud très concurrentielles existent déjà, sont un secteur qui montre des signes clairs d'industrialisation. Autre exemple : l'utilisation de services d'infrastructures pour SAP (IU4SAP). Développés selon des principes industriels (standardisation, virtualisation, automatisation), ces produits offrent un service de bonne qualité à bas coût, et devraient atteindre un taux de croissance annuel de 30% ces trois prochaines années.
Gartner note toutefois que si le coût d'un service industrialisé low cost peut être nettement inférieur aux coûts internes, le coût total peut être bien plus élevé en fonction des efforts de customisation, d'intégration et de gestion du risque que l'entreprise doit consentir.
«A l'avenir, certains services informatiques resteront gérés en interne. Toutefois, les services industrialisés représentent l'avenir du secteur des services IT, car ils englobent tous les niveaux de la chaîne des valeurs: infrastructure, applications et processus business. Globalement, nous estimons que la situation de l'industrie des services IT est similaire à celle de l'industrie de l'aviation en 2000, et qu'elle désormais prête à subir une mutation en profondeur grâce au modèle ILCS», a indiqué Frank Ridder, vice-président de la recherche chez Gartner.
Crédit photo D.R.
ICTJournal.ch (...)
Le marché IT continue à progresser en 2011 et 2012, selon Forrester
Le cabinet d'études Forrester a indiqué la semaine dernière que les dépenses technologiques mondiales progresseraient de 11,5% (7,5% à taux de change constant) sur l'année 2011 pour atteindre 2 042 milliards de dollars, malgré la fragilité actuelle de l'économie. Selon lui, toutes les catégories de produits (logiciels, matériel et services associés) montrent une progression à deux chiffres, logiciels en tête avec +11,9%. La faiblesse économique qui est apparue en juillet et août ne ralentira pas la croissance technologique d'ici le quatrième trimestre, estime Andrew Bartels dans un billet de blog accompagnant le rapport du cabinet d'études, même si le risque d'une nouvelle récession a effectivement augmenté.
En 2012, en revanche, la croissance des dépenses IT va marquer le pas dans toutes les catégories, Forrester prévoyant une progression globale de 5,5%, les entreprises et les administrations se montrant prudentes dans leurs achats IT, tant aux Etats-Unis qu'en Europe.
Illustration : Andrew Bartels, analyste chez Forrester. (...)
Microsoft veut-il utiliser l'UEFI pour bloquer Linux sur les PC Windows 8
Microsoft se sert-il de la technologie de démarrage sécurisée de Windows 8 pour bloquer l'utilisation de Linux et d'autres OS sur certains ordinateurs ? Si l'éditeur a démenti une telle intention, Matthew Garrett, un développeur de Red Hat, soutient que cela pourrait être néanmoins le cas. Avec Windows 8, Microsoft est en train d'imposer l'utilisation de la technologie UEFI (Unified Extensible Firmware Interface) qui sécurise le boot du système de telle manière que « l'utilisateur final n'est plus en mesure de contrôler son PC », accuse le développeur de Red Hat sur un blog. Mais Microsoft affirme que cette accusation repose sur un malentendu. « À la fin de la journée, le client peut retrouver le contrôle de son PC, » assure en réponse Tony Mangefeste, manager programme chez Microsoft, dans un blog de la firme de Redmont.
La controverse a débuté mardi dernier quand Matthew Garrett a fait remarquer dans un blog que les ordinateurs certifiés exécutant Windows 8 ne seraient peut-être pas en mesure d'exécuter d'autres systèmes d'exploitation, comme Linux. Selon le développeur, les utilisateurs ne pourraient pas installer Linux comme second OS, ou remplacer Windows avec une copie de Linux. Matthew Garrett affirme que Windows 8 aura besoin de l'ordinateur hôte pour utiliser UEFI, l'interface bas niveau située entre le firmware de l'ordinateur et le système d'exploitation. Présenté comme un remplacement du BIOS, l'UEFI contient un protocole de démarrage sécurisé, qui demande au système d'exploitation une clé numérique avant qu'il soit chargé par la machine. Sans cette signature, l'UEFI peut bloquer le fonctionnement de tous les programmes ou de tous les pilotes. Ce protocole doit empêcher les logiciels malveillants d'infecter les machines au moment du boot et protège le processus de démarrage.
Des clefs numériques pour installer l'OS
Avec Windows 8, Microsoft va exiger des fabricants de matériel (ceux qui souhaitent afficher le logo Windows sur leurs machines) de livrer des ordinateurs avec ce processus de démarrage sécurisé actif. Chaque machine nécessiterait alors une clé numérique fournie par Microsoft, par le fabricant ou, si elle utilise un autre OS, une clé sécurisée pour cet OS. « Les utilisateurs qui personnalisent leurs propres versions de Linux, ou utilisent un OS générique qui ne nécessite pas de clé ne seront peut-être pas en mesure d'exécuter ces OS sur les machines avec ce processus de boot sécurisé, » explique Matthew Garrett. Par ailleurs, il n'y a aucune garantie que les OEM (Original Equipment Manufacturers) proposent aux utilisateurs l'option d'ajouter leurs propres clés, ou de laisser les utilisateurs démarrer avec d'autres systèmes d'exploitation sans clé.
Le billet de Matthew Garrett a suscité un débat nourri dans la presse spécialisée et les communautés d'utilisateurs de Linux. Répondant à la polémique, Microsoft a nié que son intention était d'exclure Linux de ces machines. Bien qu'il n'ait pas mentionné Linux directement, Steven Sinofsky, président de Windows et de la Windows Live Division, fait valoir dans un article publié sur un blog que certains commentaires s'appuient sur des éléments « qui n'ont rien à voir avec la réalité » pour « élaborer leurs scénarios. » Une autre partie du billet, rédigé par Tony Mangefeste, avance le fait que seul Windows 8 sera protégé par ce mode de démarrage sécurisé, et que les équipementiers seront libres d'intégrer une option pour désactiver ce boot protégé pour exécuter d'autres systèmes sans clé numérique. Il précise également que les autres fournisseurs de système d'exploitation seront chargés de fournir les clés pour leurs OS.
Une option pour installer les vieux OS
« Pour les passionnés qui veulent faire tourner des systèmes d'exploitation plus anciens, une option leur permettra d'installer le système souhaité, » a écrit le manager programme. « Cependant, la désactivation du démarrage sécurisé se fera aux risques de l'utilisateur, » a-t-il ajouté. « La réfutation de Microsoft est tout à fait exacte dans les faits. Mais elle est également trompeuse», a répondu le développeur dans un autre billet de blog, posté vendredi. Selon l'accord de licence, l'équipementier n'a aucune obligation de fournir aux utilisateurs la possibilité de désactiver le démarrage sécurisé. Il faut toutefois tempérer ce débat en rappelant que Windows 8 sera livré avec Hyper-V, l'hyperviseur de Microsoft qui permettra d'installer des OS dans une machine virtuelle.
Mis à part l'option de pouvoir installer des systèmes d'exploitation tiers, ce verrouillage pourrait également empêcher les utilisateurs de modifier certains composants de la machine comme les cartes graphiques par exemple, car il n'y a pas obligation pour le fabricant de permettre à l'utilisateur d'installer des clefs supplémentaires. « La vérité, c'est que la technologie de démarrage sécurisé UEFI est une caractéristique précieuse et utile que Microsoft peut utiliser pour avoir un contrôle plus serré sur le marché, » continue d'accuser Matthew Garrett.
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