Flux RSS

Mobilité

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

3327 documents trouvés, affichage des résultats 1231 à 1240.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/10/2010 15:43:08)

Samsung teste le Wimax 2 au Japon

Le constructeur s'est associé avec UQ Communications pour construire un réseau WiMax 2 basé sur la norme IEEE 802.16m. Il autorise un débit théorique de  de 330 Mbit/s. Les deux sociétés vont tester une transmission simultanée de 16 flux vidéo en Full HD à travers cette technologie sans fil. Le Wimax 2 se veut plus efficace et plus rapide que la première génération, souligne Samsung. Ce dernier souligne que cette technologie sera disponible sur les stations de base Wimax déjà déployées.  Cette évolution s'effectuera par l'intégration de nouvelles cartes et d'une mise à jour logicielle. La disponibilité commerciale du WiMax 2 n'est pas prévue avant la fin 2011. Samsung a déclaré que cette technologie serait standardisée d'ici novembre 2010.

(...)

(01/10/2010 11:16:28)

Les équipementiers se lancent dans l'optimisation des réseaux mobiles

(Source EuroTMT) Ce n'est pas que l'avenir de la planète soit devenu moins important, mais entre les impératifs économiques et la « green attitude », chacun s'est aperçu qu'il y avait des urgences plus actuelles à traiter. En l'occurrence, pour les opérateurs de téléphonie mobile, le risque à court terme, c'est de voir leurs réseaux saturés à la suite de l'explosion du trafic de données.  Que l'on en juge, selon l'association des fournisseurs de solutions mobiles, le GSA, le trafic mobile mondial va être multiplié par 9 dans les quatre ans qui viennent ! Le volume de données devrait ainsi passer d'un peu plus de 2 Exaoctets cette année à plus de 18 Exaoctets en 2014. La raison de cette explosion est liée à l'appétence des consommateurs pour les smartphones et autres clés 3G ou tablettes. Pour mémoire, 60 millions de ces terminaux ont été vendus au deuxième trimestre 2010 dans le monde. 

C'est ainsi que, paradoxalement, après avoir déploré le démarrage tardif de la 3G, les opérateurs en sont maintenant à se demander s'ils vont pouvoir tenir le rythme. Les équipementiers en profitent pour se repositionner face à ce nouveau défi. Notamment en expliquant aux opérateurs que tous leurs problèmes ne viennent pas forcément de la bande passante, mais aussi du coeur de réseau et donc qu'une solution logicielle peut parfois suffire. 

Une prise de conscience et des solutions

En juin dernier, Nokia-Siemens en avait fait son credo. C'est désormais au tour du chinois Huawei de présenter sa solution en la matière baptisée Smart Signaling Solution. « Le principe est de réduire le nombre de messages de signalisation [Environ une trentaine de messages en téléphonie mobile contre 4 dans la téléphonie fixe, NDLR] qui transitent entre le smartphone et le réseau. Or ces messages passent très fréquemment : dès que l'on réveille un terminal qui est en veille (se déclenchant au bout d'environ six secondes) ou même lorsque le téléphone est simplement allumé sans utilisation du service de données. Car il continue de communiquer avec les serveurs. Cette signalisation crée donc de la charge sur le réseau et a un impact important sur les performances de la batterie » explique Michael Jolly, Directeur Solutions chez Huawei. 

L'équipementier a donc travaillé sur une solution permettant de diminuer d'au moins 40 % la signalisation. La Smart Signaling Solution propose de placer le téléphone en mode Cell-PCH avant que le terminal ne se mette en veille, réduisant ainsi le nombre de messages qui transitent sur le réseau et améliorant jusqu'à 98 % la performance des batteries, selon le fournisseur.  Pour distinguer leur solution de celle de la concurrence, les ingénieurs de Huawei expliquent qu'elle peut s'appliquer à quasiment tous les smartphones du marché en fonction de la configuration mise en place par l'opérateur. Un opérateur, bien sûr qui doit déjà avoir du matériel Huawei à l'image du singapourien Starhub qui selon l'équipementier chinois aurait réduit de 56 % sa signalisation grâce à la Smart Signaling Solution sans devoir investir sur de nouveaux RNC (Radio Network Controller). Quant aux clients français de Huawei (Bouygues Telecom et SFR), ils seraient intéressés par la solution, mais difficile d'en savoir plus pour le moment.

(...)

(30/09/2010 17:41:39)

Le multi-threading arrive sur les puces ARM

ARM, qui conçoit des architectures processeurs, vend ensuite ses licences aux fabricants de puces. On retrouve notamment les puces à base d'ARM dans la plupart des smartphones commercialisés dans le monde. L'entreprise qui souhaite pénétrer de nouveaux secteurs, notamment ceux des serveurs, des réseaux et des télécommunications, cherche à booster les performances de ses processeurs. Le multi-threading permet d'exécuter plusieurs lignes d'instructions simultanées sur le coeur d'un processeur unique pour stimuler les performances des applications. Les calculs peuvent ainsi être répartis entre plusieurs lignes pour accélérer les opérations et obtenir plus rapidement les résultats.

« ARM n'a pas d'autre choix que de passer au multi-threading, surtout depuis qu'elle intègre de plus en plus de coeurs dans ses processeurs et qu'elle pénètre des environnements comme celui des serveurs, où les ordinateurs doivent exécuter beaucoup plus d'opérations, » explique Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates. « Bien sûr, elle doit aussi faire en sorte que les différents systèmes d'exploitation tirent pleinement parti du multi-threading, mais je pense que cela se fera facilement, » a-t-il ajouté. « Les capacités multi-threading permettent de mieux gérer les architectures à coeurs multiples et sont bien adaptées aux environnements virtualisés, » estime-t-il. « Enfin, ARM doit rester compétitif. Intel offre le multi-threading. ARM doit donc l'ajouter, » a-t-il encore déclaré. En effet, les processeurs Intel pour ordinateurs de bureau et PC portables utilisent déjà le multi-threading ; IBM et Oracle/Sun ont également inclus des capacités multi-threading dans leurs processeurs.

1er marché visé : le réseau

Kumaran Siva a déclaré que l'adoption du multi-threading dépendra du marché pour lequel ARM conçoit des processeurs.  « Le premier secteur concerné pourrait être celui des réseaux, » a-t-il dit. « Nous cherchons actuellement à voir comment ce segment pourrait bénéficier de l'usage du multi-threading», a-t-il ajouté. « Le multi-threading pourrait notamment aider les processeurs réseau - responsables du traitement des données circulant sur le réseau - à concentrer les données plus rapidement et à réaliser un travail d'adressage mémoire plus efficace entre les applications, » a-t-il expliqué.

Celui-ci a refusé de dire si le multi-threading serait élargi aux processeurs pour appareils mobiles. Ceux-ci ont rarement besoin du multi-threading, et la plupart des téléphones mobiles font tourner leurs applications en thread unique ou incluent éventuellement plusieurs coeurs afin d'exécuter des tâches simultanément.

Une migration difficile

Pour l'instant, ARM n'a pas encore validé le support du multi-threading dans le coeur du processeur Cortex-A15 annoncé en septembre, lequel serait cinq fois plus rapide que ses prédécesseurs. Selon Kumaran Siva, « les avantages ne justifient pas le coût. » Le passage d'une architecture mono-thread à une conception multi-thread a également des conséquences lourdes sur le développement logiciel. "De notre point de vue, sur le plan du développement des logiciels et de la maintenance, le multi-threading implique beaucoup de contraintes. Il est difficile par exemple de faire migrer un code conçu pour une microarchitecture multi-thread," a-t-il déclaré. Celui-ci n'a pas donné de date de sortie pour ces futurs processeurs.

(...)

(30/09/2010 17:18:19)

La virtualisation s'invite sur les tablettes et les smartphones

Les prochaines générations de smartphones et de tablettes tactiles pourront exécuter plusieurs systèmes d'exploitation et faire tourner de puissantes applications cloud comme des jeux en HD, grâce à l'utilisation progressive de machines virtuelles sur les appareils mobiles. C'est ce qu'ont déclaré certains experts cette semaine lors de la conférence Tech Linley Processor qui se tient à San José, Californie. "Des processeurs plus rapides permettront à ces appareils d'exécuter les applications plus rapidement, et la virtualisation pourra aider à une consolidation des applications, c'est-à-dire à un usage optimisé des ressources," a déclaré Linley Gwennap, analyste pour le Groupe Linley.

Déjà largement adoptée dans les centres de calcul, la virtualisation a contribué à optimiser les serveurs et à réduire les coûts énergétiques. La technologie pourrait maintenant avoir un impact sur les appareils mobiles comme les smartphones, aider à la gestion de tâches critiques en temps réel et à la sécurisation des environnements logiciels hétérogènes. Les utilisateurs devraient pouvoir profiter des avantages de cette future génération d'appareils mobiles plus puissants à la fin de l'année. LG Electronics, par exemple, a déjà annoncé un smartphone Optimus avec processeur Arm double coeurs cadencé à 1 GHz, capable également de lire des vidéos HD en 1080p. Le terminal sera disponible au quatrième trimestre 2010. Ce n'est qu'un des exemples de ces futurs gadgets mobiles qui pourraient tirer parti de la virtualisation.  

Une autre utilisation des plates-formes mobiles

"La virtualisation pourrait également entraîner une diminution du coût des smartphones et une augmentation de leur autonomie," a déclaré Steve Subar, PDG et fondateur de l'Open Kernel Labs, qui développe une technologie de virtualisation pour les systèmes embarqués. La virtualisation permet d'économiser aussi sur le coût des puces intégrées au smartphone, puisqu'elle demande moins de RAM et de mémoire Flash, notamment. Jusqu'à présent, l'évolution des smartphones a été contrariée par une puissance de traitement limitée qui imposait aux appareils de ne faire tourner qu'un ensemble d'applications spécifiques. Mais, à mesure que les appareils mobiles gagneront en puissance de traitement, la virtualisation pourra également permettre aux utilisateurs de charger et d'exécuter plusieurs systèmes d'exploitation et de bénéficier de puissantes applications de cloud computing sur leurs appareils mobiles.

Les smartphones et les tablettes sont avant tout des outils de communication et de réception pour la vidéo, les données et les services Internet hébergés. "Il sera possible de créer un environnement virtualisé pour fournir un service cloud spécifique, ou pour échanger des données avec un PC," a déclaré Les Forth, ingénieur chez le fondeur Freescale. Par exemple, les utilisateurs seront en mesure d'établir une connexion à distance avec des ordinateurs à domicile pour exécuter des applications ou lire des fichiers multimédias en temps réel. "En utilisant un environnement distinct, la virtualisation pourrait également aider les utilisateurs à participer à des jeux multijoueurs en haute définition à travers le cloud," a-t-il ajouté. L'environnement virtualisé pourra permettre de surmonter le fait que la plupart des applications sont écrites dans un code qui n'est pas compatible avec les systèmes d'exploitation des appareils mobiles.

Un impact négatif sur les batteries

La virtualisation contribue déjà à fournir des communications en temps réel et des fonctions réseau essentielles au fonctionnement des smartphones. Elle facilite déjà l'usage de plusieurs systèmes d'exploitation et le cloisonnement des environnements pour exécuter des logiciels en toute sécurité. "On peut faire tourner un système d'exploitation en temps réel sur une partition virtuelle qui fournit une réponse en temps réel pour les tâches essentielles, et exécuter Android sur une autre partition," explique Linley Gwennap.

Mais faire tourner trop de systèmes et de logiciels puissants aurait pour effet de limiter la durée de vie de la batterie. L'hyperviseur de type 1, qui isole les systèmes d'exploitation et les fonctions exécutées par les différents logiciels, est un élément important de la virtualisation. "Les hyperviseurs logiciels utilisés sur de nombreux smartphones consommeraient trop de cycles processeurs : ils passeraient beaucoup de temps à balayer le code et à gérer les protocoles de virtualisation, avec un impact sévère sur la durée de vie de la batterie," explique encore Linley Gwennap. "D'ici à ce que l'on trouve des moyens pour préserver l'autonomie des batteries, les fabricants d'appareils mobiles peuvent d'ores et déjà envisager de charger les OS et les logiciels sur plusieurs coeurs," a-t-il suggéré. Les Forth de Freescale confirme que l'intégration de deux systèmes d'exploitation sur des noyaux distincts pourrait minimiser l'effet sur la durée de vie de la batterie. "Actuellement, la plupart des smartphones et des tablettes tactiles sont équipés de processeurs Arm à coeur unique. Il faudrait limiter le système d'exploitation au strict minimum pour le faire tourner aux côtés d'un gros système comme Android, sans affecter la vie de la batterie. Dans un sens, on revient au problème classique que posent les grosses machines, sauf qu'il est maintenant déplacé au niveau des appareils de petite taille", poursuit l'ingénieur.

Pas avant 3 à 5 ans

Le hardware est déjà en cours d'amélioration pour rendre possible l'arrivée de ces technologies de virtualisation dans les appareils basse énergie. Les processeurs mobiles sont par exemple conçus avec des extensions permettant la mise en oeuvre de la virtualisation, notamment pour aider à réduire le nombre de cycles CPU. ARM a annoncé début septembre une puce Cortex-A15 MPCore capable d'exécuter plusieurs systèmes d'exploitation virtualisés.

Mais Steve Subar d'OKL fait remarquer que certains smartphones exécutaient déjà plusieurs OS sur des noyaux distincts, ce qui augmente effectivement le coût des systèmes et consomme de la batterie. Mais d'un autre côté, la virtualisation permet de réduire les matériels redondants pour réduire les coûts. "En outre, avec les processeurs multicores pour mobiles, la virtualisation supporte la gestion du chargement et permet la mise en veille des processeurs, ce qui pourrait contribuer à réduire la consommation d'énergie," a déclaré Steve Subar. Regardant vers l'avenir, les observateurs pensent que la technologie de virtualisation pourrait changer, dans les trois à cinq ans, la façon dont on utilise les appareils mobiles. "Nous allons finir par tenir dans nos mains des ordinateurs de poche avec les capacités des PC actuels," conclut Les Forth.



Démonstration de la solution de virtualisation de VMware pour smartphones lors du salon WMworld 2009.

(...)

(28/09/2010 15:05:53)

Un virus sur smartphone pirate les comptes bancaires

Le cheval de Troie (Trojan) Zeus qui sévissait déjà sur le PC vient d'être identifié sur téléphone mobile. Nommé pour l'occasion Zitmo, ce virus pirate le compte bancaire du possesseur du portable, informe Fortinet, spécialisé dans la sécurité réseau, ce mardi 28 septembre.

Concrètement, ce virus se déclenche quand un internaute consulte son compte bancaire en ligne. Mot de passe et nom d'utilisateur sont récupérés par le logiciel malveillant. Ensuite, ce dernier intègre un faux formulaire dans le navigateur pour récupérer le numéro de téléphone de l'internaute.

Dans un deuxième temps, l'internaute reçoit un SMS avec un lien pour installer un "certificat", qui se révèle être le virus Zitmo. Une fois installé, les pirates peuvent accéder au compte et effectuer des transactions.

(...)

(28/09/2010 14:31:14)

Android a le vent en poupe chez les développeurs

Un article paru sur le blog d'Appcelerator, détaillant les résultats de l'enquête, illustre la bataille que se mènent Android et iOS. "L'une des conclusions les plus discutées de l'enquête réalisée par Appcelerator en juin 2010 concerne les perspectives à long terme des deux plateformes, considérées meilleures sur Android par 54 % des développeurs contre 40,4% pour iOS. En trois mois, malgré le lancement réussi de l'iPhone 4 et la récente annonce d'Apple selon laquelle elle assouplirait les restrictions relatives au développement, cet écart s'est creusé de 10,1 points. Aujourd'hui 58,6 % des personnes interrogées lors d'un nouveau sondage pensent qu'Android a de meilleures perspectives à long terme que iOS (34,9 %)." Il y a un an, un tel résultat aurait pu paraître ridicule - voire même frauduleux. La iCulture Apple était solidement ancrée et disposait d'une confortable avance. Même avec son succès de départ dépassant les BlackBerry et les plates-formes de téléchargement d'applications WebOS, l'Android Market de Google faisait figure de piètre challenger face au formidable succès de l'App Store d'Apple.

Appcelerator explique "que les développeurs déclarent à 72 % leur préférence pour Android, contre 25% pour iOS," parce qu'ils estiment que la plateforme de Google sera la mieux placée dans l'avenir pour alimenter un grand nombre et une grande variété d'appareils mobiles." De plus, une majorité d'entre eux considère qu'" Android est la plateforme la plus ouverte, même après les récents changements dans la politique d'Apple qui a clarifié son processus d'approbation et a ouvert iOS à d'autres outils et langages de développement."

Des développeurs pragmatiques

Les résultats du sondage semblent indiquer que les développeurs ont un point de vue pragmatique et prennent en compte qu'un jour Android dominera iOS comme Windows domine Mac OS X sur le marché des PC. Même si les aficionados des deux plates-formes continueront à s'opposer pour expliquer les subtilités qui les différencient et fondent la supériorité de l'une ou sur l'autre, la victoire attendue d'Android repose plus sur le volume et la logistique que sur la suprématie technique du système d'exploitation. Le statut de plate-forme mobile Open Source pour Android signifie aussi que son potentiel se trouve essentiellement entre les mains des développeurs, et que ses limites dépendront de la créativité de ceux qui s'emploieront à construire et à développer ses capacités.

Comparativement, iOS est fermé et propriétaire. Ses capacités sont limitées à la manière dont Apple les définit, son potentiel limité aux périphériques que la firme de Cupertino juge digne de lui associer, et son utilisation protégée par des accords de licence et de droits d'auteur. De la même manière que le business modèle d'Apple a limité le potentiel de Mac OS X, le caractère restrictif d'iOS garantit pratiquement à Android de dépasser le système d'exploitation mobile de son concurrent pour devenir la plate-forme mobile dominante. Cela dit, malgré ses 5% de part de marché dans le secteur des ordinateurs, Apple continue à avoir ses fidèles, comme elle continuera probablement à avoir un public pour son iPhone et son iPad, et à générer des revenus substantiels et des bénéfices. Même si, éventuellement, elle risque de perdre la guerre des parts de marché sur le terrain des systèmes d'exploitation mobiles.

(...)

(27/09/2010 18:53:40)

Apple échappe à deux enquêtes de Bruxelles sur l'iPhone

Bruxelles pointait d'abord la politique de garantie appliquée à l'iPhone au sein de l'Union européenne. Les services de réparation étaient uniquement disponibles dans le pays où le smartphone avait été acheté, ce qui en rendait l'accès difficile pour les clients l'ayant acquis sur un autre territoire que celui de leur résidence. La Commission Européenne craignait que cette disposition ne conduise à un cloisonnement du marché en dissuadant les consommateurs d'acheter hors de leurs frontières.

L'autre sujet de mécontentement concernait la décision d'Apple, en avril 2010, de restreindre ses conditions de licences sur ses outils de développement destinés au système d'exploitation iOS. La société de Steve Jobs refusait en particulier l'usage d'outils concurrents tels que ceux d'Adobe pour créer des applications pour l'iPhone.

Dans un communiqué diffusé samedi dernier, la Commission Européenne prend acte du changement de cap du constructeur. Apple n'applique plus la règle bornant la garantie au pays d'achat au sein de l'UE et a recruté des fournisseurs indépendants pour proposer des services transfrontières dans les pays où la société ne prend pas directement en charge les réparations.

Il y a une quinzaine de jours déjà, Apple avait supprimé certaines des restrictions portant sur ses outils de développement destinés à créer des applications pour l'iPhone.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >