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Mobilité
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(16/06/2010 09:53:14)
En 2014, un Français sur quatre sera mobinaute
Le cabinet d'audit et de conseil estime que 18 millions de Français en 2014 seront équipés pour se connecter à Internet avec leur terminal mobile. Selon cette étude, l'industrie des médias et des loisirs devrait croître de 5% par an entre 2010 et 2014 (contre -3% en 2009), pour atteindre 1,690 milliards de dollars à l'échelle mondiale. Cette reprise est notamment liée au rôle croissant du numérique dans la société, selon PwC.
En 2009, douze pays ont eu des dépenses en médias et loisirs supérieures à 20 milliards de dollars. Les Etats-Unis arrivent en tête avec 428 milliards de dollars, devant le Japon (164 milliards) et l'Allemagne, qui devrait céder sa place à la Chine d'ici 2014. La France restera 6e du classement en 2014, avec 72,7 milliards de dollars dépensés pour la consommation de médias et loisirs.
Crédit photo Ssguy
(...)(14/06/2010 17:12:39)Y- a-t-il encore un avenir pour Windows Mobile 7 ?
Pour consulter l'intégralité de ce sujet, rendez-vous dans notre rubrique Dossiers (...)(11/06/2010 15:55:08)
Nokia Siemens Network entre optimisation et test LTE
Face à l'engorgement inévitable des réseaux 3G actuels dû au succès des accès à internet depuis des smartphones, il devient nécessaire d'identifier de nouvelles solutions pour les opérateurs et les équipementiers. Ainsi, selon Marc Rouanne : « Cela faisait 10 ans que l'on ne parlait plus de réseau. Depuis ce qu'il s'est passé avec O2 [NDLR, l'opérateur anglais a eu une saturation de son réseau sur Londres en raison d'une forte utilisation des iPhones], on en reparle comme un asset primordial ». L'objectif des opérateurs est de s'orienter vers l'optimisation des réseaux comme le justifie Marc Rouanne : « Les terminaux vont vers des débits de connexion très élevés et nous ne sommes pas capables de les maîtriser. [...] La clé est à l'anticipation et à l'optimisation réseau. »
L'équipementier évoque même la possibilité de créer les fameuses classes de service : Gold, Silver et Bronze afin de servir une qualité de service différenciée selon le coût de l'abonnement de l'utilisateur.
La bascule vers le single RAN et le LTE
En réponse à cette problématique d'optimisation du réseau, NSN a présenté ses solutions LTE et sa station de base Flexi BTS qui est une plateforme multi-radio (2G/3G/LTE) tout IP, permettant selon le constructeur d'optimiser les réseaux par une consolidation des services sur un même équipement. Dans la foulée, cette plateforme a servi à réaliser une démonstration de la technologie LTE. Deux stations de base ont donné une idée des performances en transfert de données et du handover.
Un PC portable, équipé d'une clé 4G d'origine Samsung (la seule que nous ayons vu fonctionner jusqu'à présent dans la réalité, et qui est employée dans les déploiements de Telia Sonera à Oslo et Stockholm), a été placé entre les deux stations de base LTE. Le transfert de données, via un téléchargement de vidéo en streaming, a permis de constater un débit descendant de 104 Mbit/s. Le handover, (passage d'une cellule à une autre sans rupture) entre les 2 stations de base, a prouvé la rapidité du passage de relais entre ces dernières (séparées, il est vrai, de seulement 5 mètres). Quant au temps de latence moyen, il se situe entre 20 et 25 millisecondes.
Ces résultats sont largement à titre indicatif car réalisés sur un réseau de démonstration avec seulement un utilisateur.
L'iPhone 4 est-il prêt pour l'entreprise ?
Dans les mois qui viennent, Matt Morse, principal administrateur informatique de Varian Medical, un fabricant californien d'appareils médicaux et de logiciels pour les hôpitaux et les cliniques présent dans 60 pays, prévoit de vivre une valise à la main et de parcourir le monde dans le seul but de mettre en place l'utilisation de l'iPhone (et peut-être de l'iPad) dans son entreprise. Il va consacrer du temps à élaborer, pour l'iPhone, une stratégie qui s'inscrive dans l'infrastructure informatique existante et réponde aux exigences de sécurité et de budget. Il a même prévu de faire suivre cette mise en place par des tests pratiques. Et si tout va bien, l'an prochain, il commencera à déployer l'iPhone auprès de ses employés qui travaillent sur le terrain, en remplacement du BlackBerry. « Je pense que cette phase d'expérimentation et de validation du concept prendra au moins six mois, » a déclaré Matt Morse. « Il y a tellement de choses à apprécier dans une nouvelle plate-forme ! »
Lorsque Steve Jobs, le PDG d'Apple, a dévoilé l'iOS 4, anciennement iPhone OS 4.0, les PDG et les analystes techniques se sont réjouis des fonctionnalités que ce système d'exploitation apporterait au monde de l'entreprise. Il offre la possibilité de distribuer en interne des applications en mode sans fil, le multitâche, la protection des données pour les applications et le courrier électronique, la possibilité de réaliser les mises à jour des appareils mobiles, et le support du SSL VPN via des applications Juniper et Cisco, entre autres. Mais l'iOS 4 qui sera livré au grand public cet été ne suffira pas à ouvrir immédiatement les portes de l'entreprise à l'iPhone. Au contraire, ce ne sera que le début de la longue marche que le smartphone de la pomme va devoir entreprendre pour conquérir le monde professionnel. Et pour des spécialistes comme Matt Morse, « il reste encore beaucoup à faire. »
L'équation de la sécurité
Au cours des cinq dernières années, les salariés de Varian ont eu des BlackBerry à leur disposition pour les aider dans leur travail. En première ligne sur le terrain, aussi bien pour les ventes que pour le service, ils se sont appuyés sur le système de messagerie collaboratif Microsoft Exchange, réalisant quelques incursions dans SharePoint, Office Communicator et VoIP. Par ailleurs, grâce au logiciel propriétaire de services mobiles en ligne appelé MSO (Mobile Services Online) qu'a développé Varian, les techniciens de terrain équipés de BlackBerry peuvent se connecter en toute sécurité à leur back-office SAP. Avec MSO, ils peuvent notamment gérer les billets émis pour le service à la clientèle sans avoir à ouvrir un ordinateur portable, consulter les plannings, les ordres d'expédition, répartir les ressources, pour finalement assurer un temps de réponse « dans les 10 minutes. »
« Il y a trois ans, lorsque l'iPhone est arrivé, les cadres de Varian ont été séduits par l'interface. Et chaque année, les employés ont réclamé de plus en plus d'iPhone, » raconte Matt Morse. Avec la sortie de l'iPhone 3G, lui et son équipe ont dû officiellement assurer la prise en charge du mobile d'Apple. Aujourd'hui, chez Varian, un mobile sur trois est un iPhone. Mais aucun des techniciens travaillant sur le terrain - soit environ 1 600 dans le monde - n'est autorisé à remplacer son BlackBerry par un iPhone. Du moins, pas pour l'instant. Essentiellement parce que, pour travailler, les techniciens dépendent impérativement de MSO et celui-ci n'existe pas encore sur iPhone en raison de questions de sécurité persistantes, de fiabilité et de problèmes de gestion. « Avec EBS, le BlackBerry permet l'intégration aux systèmes de l'entreprise, et nous procure le niveau de sécurité nécessaire comme il nous permet de gérer les mobiles à distance, » explique Matt Morse. « Nous pouvons modifier nos politiques d'accès, garantir une plus grande disponibilité de service et assurer une meilleure surveillance que nous ne le pourrions avec un dispositif de type Active Sync pour l'iPhone. »
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« Mais avec ses promesses de sécurité et de fonctionnalités de gestion, iOS 4 place potentiellement l'iPhone à parité avec le BlackBerry, » estime Matt Morse. Bien sûr, il faudra attendre la sortie de la version finale pour le savoir avec certitude. « J'ai évalué une préversion du SDK, mais ici nous ne jouons pas avec les versions bêta, » a-t-il convenu. « L'iPhone 4.0 nous offre l'occasion de démarrer une véritable expérimentation des possibilités de ce matériel. » Autre facteur qui va dans le sens de ce déploiement : Varian a utilisé MobileManager de Zenprise pour effectuer la gestion des BlackBerry, qui permet aux départements informatiques d'identifier l'utilisateur de l'appareil mobile, comment il accède au réseau, et avec quelle version de l'OS il travaille. Or MobileManager de Zenprise prend désormais en charge l'iPhone.

Avant que Matt Morse ne donne le feu vert à ses techniciens sur le terrain les autorisant à utiliser le smartphone d'Apple, il devra également généraliser l'iPhone 3GS en raison de son dispositif de cryptage, la normalisation en cours sur l'iPhone 3G ne suffisant pas aux techniciens de terrain qui ont besoin d'un niveau plus élevé de sécurité.
Objectif final : des Web Apps rapides à déployer
Cependant, la sécurité et la gestion ne sont qu'une partie de l'enjeu pour le choix de l'iPhone dans l'entreprise. Ce terminal mobile propose une plate-forme très riche en matière de développement et d'architecture de services. Et Matt Morse explique qu'il doit considérer non seulement ce que l'iPhone apporte, mais aussi « ce qu'il pourra permettre de faire à l'avenir « (et si Apple et l'iPhone seront en mesure d'y faire face). « C'est une vraie question. »
Mais il n'hésite pas à s'emballer, par exemple, sur le potentiel de l'iPhone comme débouché pour les applications en ligne « Ce qui est très attractif avec les applications web, c'est leur possibilité de développement rapide et donc de mise à jour. Imaginez un logiciel MSO dynamique : les iPhone et les iPad deviendraient des rock stars en matière de solution, » assure-t-il. «Nous ne parlons pas seulement d'appareil mobile avec une technologie dotée d'une interface glamour, nous parlons d'un appareil qui permet aux gens de faire leur travail, de résoudre des problèmes, et pour lesquels nous pouvons constamment faire évoluer l'outil principal. »
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D'ici là, Matt Morse devra rencontrer les managers de terrain, les ingénieurs et les installateurs de son entreprise partout dans le monde pour apprécier dans quelle mesure un iPhone ou un iPad peuvent améliorer leur travail. Est-ce que la géo-localisation de l'iPhone permettra de mieux répartir les ressources? Est-ce que les réseaux sociaux mobiles seront plus efficaces ? Quelles sont les données que l'iPhone devra traiter ? Va t-il faciliter l'interaction avec le client ? «Il y a un nombre de choses étonnant à découvrir parce que les capacités de l'iPhone sont énormes,» dit-il. « Cela nous oblige aussi à réduire notre champ à des applications viables, et à ne pas nous laisser disperser, où nous ne réussirions jamais à réaliser ce déploiement. »
Exchange et SharePoint toujours en version 2007 dans le cloud
La messagerie Exchange 2010 a été livrée en novembre 2009 par Microsoft et la version 2010 du portail SharePoint est sortie en mai dernier. En revanche, les versions cloud de ces offres, accessibles à travers l'offre BPOS (Business Productivity Online Services), fonctionnent toujours sur la base des versions 2007.
L'objectif de Microsoft est d'offrir en ligne à ses clients, à l'identique, les fonctions qu'ils pourraient déployer en interne sur leurs serveurs. Mais... « Cela nous prend un peu de temps de mettre à jour les datacenters avec les nouvelles versions d'Exchange Server et de SharePoint Server », a récemment reconnu Chris Capossela, senior vice président du groupe Information Worker Product Management, chez Microsoft. « A la fin de l'année, nos plus importants clients en ligne disposeront des versions mises à jour, qui fonctionnent avec les serveurs 2010 ».
BPOS évolue chaque trimestre
Interrogé de nouveau sur ce point, cette semaine, par nos confrères de Network World, Microsoft a fourni une estimation légèrement différente, mais qui situe toujours l'essentiel de la mise à jour pour la fin de l'année. « BPOS est complété tous les trimestres de nouvelles fonctions et possibilités », a expliqué un porte-parole de Microsoft dans un courriel. Il confirme que l'éditeur a déjà mis à disposition des fonctions de la version 2010 pour ses plus grands clients en ligne. « Nous poursuivrons la livraison de la technnologie 2010 plus largement à l'ensemble de notre base client qui peut tabler sur une 'preview' de ces fonctions un peu plus tard dans l'année ».
Les entreprises qui attendent impatiemment d'exploiter Exchange 2010 et SharePoint 2010 dans le cloud peuvent s'adresser à un prestataire qui propose déjà des versions hébergées des technologies 2010.
Sur TechEd 2010, cette semaine, Microsoft a montré quelques-unes des possibilités qu'offrira Communications Server 14, dont la livraison est prévue pour le deuxième semestre. Des fonctions que les utilisateurs de BPOS ne verront que l'an prochain.
Illustration : Microsoft Exchange Online
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