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(28/04/2010 15:03:01)

L'interface BlackBerry 6 attendue au troisième trimestre

A l'occasion de sa conférence développeurs annuelle, WES 2010, RIM a indiqué, par le biais de son co-directeur général Mike Lazaridis, que l'interface utilisateur BlackBerry 6 sera lancée au troisième trimestre 2010. Cette plate-forme proposera un aspect graphique plus soigné, la navigation par onglets, la prise en charge du multitouch (manipulation de certaines applications par pincement des doigts sur l'écran), des menus pop-ups contextuels, un lecteur médias amélioré, un écran d'accueil avec vues multiples en fonction des contenus, la recherche universelle ou encore une application pour les flux RSS et les réseaux sociaux.



(...)

(26/04/2010 09:57:42)

Le WiMax ne fait pas recette en Italie

(Source EuroTMT)
En Italie, le situation du WiMax est carrément désastreuse. Malgré des prix cassés - 20 € par mois pour l'internet sans fil à haut débit et les appels illimités -, les Italiens n'ont pas cédé aux sirènes des opérateurs. Dans ce dossier d'ailleurs, seul l'Etat a fait une bonne affaire puisque les opérateurs ont du verser 136 millions d'euros pour décrocher les licences, tous sans exception, même ceux qui ne se sont pas lancés sur le marché et qui se contentent, pour le moment, d'admirer leur diplôme accroché au mur façon tableau de chasse.

A l'origine de ce faux départ, des failles évidentes dans la couverture du réseau. Seulement 40 provinces peuvent en effet profiter du WiMax. « Nous sommes dans une situation complètement chaotique ! » déplore Aria, l'opérateur qui a peaufiné un plan industriel de 300 millions d'euros d'investissements étalés sur trois ans. Au départ, l'objectif du groupe était de couvrir les 20 régions italiennes. Hélas, après avoir enregistré des retards en raison de la crise économique et financière qui a retardé le déblocage des financements prévus, Aria a du revoir ses ambitions à la baisse. Mais tout n'est pas perdu et l'opérateur se prépare à repartir du bon pied, jure la direction du groupe.

En mars dernier, les actionnaires ont décidé de recapitaliser la société en injectant 20 millions d'euros et d'amplifier la couverture du réseau à partir du mois de mai prochain. Le fait est qu'Aria, comme les autres opérateurs, est engagé dans une véritable course contre la montre. Le contrat passé avec l'Etat italien prévoit que les opérateurs qui ne seront pas en mesure de tenir leurs engagements, notamment en ce qui concerne la couverture du réseau, devront restituer leur licence en octobre prochain. Du coup, Aria songe à passer un accord sur la fourniture de son service avec Telecom Italia. Pour sa part, Linkem, qui a investi 45 millions d'euros pour décrocher sa licence, a réussi à trouver 24 millions d'euros à travers un consortium placé sous la houlette d'Unicredit.

Illustration D.R.

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Tout comme Aria, Linkem a voté une augmentation de capital de 10 millions d'euros pour débloquer la situation. Cette bouffée d'oxygène devrait permettre, selon la direction du groupe, de convaincre au moins 5 000 Italiens de souscrire un abonnement, l'objectif ciblé par Linkem d'ici 2012. Plusieurs sociétés sont également sur la ligne de départ comme Retelit, qui fait de la sous-traitance avec son WiMax. Enfin, Mandarin qui doit se contenter pour le moment, de son petit millier d'abonnés, plus un million d'utilisateurs potentiels en Sicile, l'une des régions actuellement couverte par le réseau. Du coté des autres, c'est le désert. Rien ne bouge chez MGM, propriétaire de la télévision locale OdeonTV, ou du côté des consortiums Ribes et Assomax.

Dans le milieu, on estime que la situation désastreuse du WiMax en Italie découle du comportement laxiste de l'Etat qui a retardé la vente aux enchères des licences. Pour preuve, veulent croire certains experts de secteur, la situation américaine où les opérateurs tablent sur 120 millions d'abonnés d'ici la fin de l'année. Le Wimax serait-il maudit en Europe, à l'instar de ce qui se passe en France où Bolloré Télécom aura dépensé ses investissements en pure perte.
(...)

(26/04/2010 09:48:37)

Alcatel lance un concours pour l'interface de son 1er GooglePhone

Pour se lancer sur le marché des smartphones Android, plateforme créée par Google, Alcatel fait appel, sous la forme d'un concours, aux développeurs du monde entier pour lui créer son interface.
A la clé, le gagnant remportera 4.000 euros et partira une semaine en Chine pour finaliser l'intégration de l'interface avec les équipes de TCT Mobile, développeur et distributeur d'Alcatel.
Les développeurs inspirés ont tout le mois de mai pour présenter leur projet sur le site Internet dédié, My-alcatel-android-home.com. Dès le mois de juin, le gagnant partira pour la Chine. Le constructeur précise que l'OT-980 sera le premier modèle de la marque à fonctionner sous cette interface.

Crédits photo : Alcatel (...)

(26/04/2010 09:26:29)

TDF s'engage enfin sur la TV sur mobiles

(Source EuroTMT) Geoffroy Roux de Bézieux, le Président d'Omer Telecom, opérateur de téléphonie mobile qui regroupe notamment Virgin Mobile, TELE2 Mobile, Breizh Mobile et Casino Mobile, va-t-il être le sauveur de la Télévision Mobile Personnelle française (TMP) ?
On serait tenté de le croire après l'annonce faite jeudi 22 avril d'un accord entre Omer Telecom et TDF qui consacre Omer Telecom « distributeur mobile exclusif au démarrage de la TMP en France ». Du côté de TDF, on précise que cette exclusivité est temporaire car elle durera « moins de six mois » et les deux nouveaux partenaires rappellent que « ce lancement est soumis à un accord préalable entre TDF et les éditeurs ainsi qu'à l'approbation du CSA ». Un CSA qui a réagi favorablement ce vendredi matin.

La Télévision Mobile Personnelle a donc peut-être des chances de voir le jour car cette nouvelle intervient quelques jours après que le CSA ait autorisé les 16 chaînes sélectionnées pour la TMP à diffuser, à savoir BFM TV, Canal +, Direct 8, Europacorp TV, Eurosport France, I-Télé, M6, NRJ 12, NT1 Remix, Orange Sport Info, TF1, Virgin 17, W9, France 2, France 3 et Arte.
A charge pour elles de présenter d'ici deux mois au CSA « une société chargée d'assurer les opérations techniques nécessaires au lancement de la TMP ». A priori, cette société aura de grandes chances d'être TDF, la seule en lice qui se soit engagée à financer 100 % du réseau et « à couvrir 50 % de la population française métropolitaine lors de son lancement au second semestre 2011, soit plus de 2500 communes, bien au-delà de la couverture de 30 % fixée par le CSA ».

Il ne restait donc plus qu'à trouver un opérateur acceptant de jouer le jeu et c'est donc Omer Telecom qui a décidé d'y aller. Ce qui n'étonne guère Charbel Kfoury, consultant chez Ineum : « Pour faire avancer ce type de dossier, il faut un agitateur d'idée. Dans l'ADSL, ce fût Free. Pour la TMP, ce sera Omer Telecom car de toute façon, les grands opérateurs ne voulaient pas s'engager. »  Avec Omer Telecom, c'est donc TDF qui assurera entièrement les coûts et qui "refacturera à ses clients diffuseurs comme nous", précise Geoffroy Roux de Bézieux, le président d'Omer Telecom. On ne sait pas encore comment Omer Télécom va commercialiser son offre TMP. En effet, Geoffroy Roux de Bézieux précise qu'elle « sera incluse dans les abonnements ». Charbel Kfoury souligne qu'« on peut penser qu'il va y avoir des packs thématiques à l'image de ce qui se fait à la télévision. Cela va sans doute pousser les autres opérateurs à s'engager car on distingue enfin un modèle économique »

Photo : Georges Roux de Bézieux, Président d'Omer Telecom

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Ce genre d'annonce était tellement inespéré, que la Secrétaire d'Etat à l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet s'est immédiatement fendue d'un communiqué de presse rappelant que c'est « une étape décisive pour la Télévision Mobile Personnelle et l'espoir d'un nouveau service qui sera apprécié par les abonnés mobiles ». La satisfaction de la secrétaire d'Etat est d'autant plus compréhensible que cela fait plusieurs mois qu'elle milite en faveur de la TMP et que jusqu'alors ses efforts étaient plutôt restés vains. Prévu en 2009, le lancement de la TMP n'a cessé d'être repoussé, les chaînes de télévision, les opérateurs télécom et les diffuseurs ne parvenant pas à s'accorder sur le modèle économique ni sur la norme technique.

Par ailleurs, les opérateurs télécoms, qui avaient un temps semblé enthousiastes, ont commencé à changer leur fusil d'épaule avec l'avènement de la 3G. Ils se sont en effet aperçus qu'ils pouvaient offrir, sans attendre, de la télévision sur téléphone mobile en utilisant leur propre réseau 3G et en facturant les services au prix fort.
Mais ce modèle connait des limites. Avec l'appétence des Français pour l'internet mobile, les réseaux des opérateurs commencent à saturer et la technologie 4 G est loin d'être prête pour accompagner la croissance de la donnée mobile. La TMP sur la norme de diffusion DVB-H peut donc être un palliatif intéressant surtout avec l'engagement pris par TDF.

« On s'est longtemps demandé s'il fallait investir sur le DVB-H car c'est une norme coûteuse. Mais à partir du moment où TDF va prendre en charge les frais de construction du réseau, les opérateurs vont être davantage enclins à s'engager » estime Charbel Kfoury. Olivier Huart, patron de TDF, espère que suite à l'accord avec Omer Télécom « d'autres distributeurs se joindront à nous, dans les prochaines semaines, dans les prochains mois ».

Quoiqu'il en soit, certains obstacles demeurent encore. Outre l'accord nécessaire entre TDF et les éditeurs de contenus, se pose la question du poids important du financement du réseau qui se monterait, selon certaines sources, à près de 60 millions d'euros par an sur 5 ans. Par ailleurs, même si l'arrivée d'Omer Télécom et de ses packs TV permet d'envisager un nouveau modèle économique, celui-ci est encore loin d'être défini. Qui payera ? Pour quel contenu et pour quel service ? Sur quel type de terminal ? Autant de questions auxquelles il va vite falloir apporter des réponses si l'on veut que la TMP puisse décoller. (...)

(26/04/2010 09:19:53)

La Mairie de Chelles protège son SI des attaques mobiles

Chelles est la première ville du département de Seine-et-Marne avec une superficie de 15,9 km² et plus de 51 000 habitants. 960 postes de travail répartis entre les sites de la Mairie de Chelles et de la Communauté d'Agglomération Marne et Chantereine, qui sont gérés également par la direction des systèmes d'information, se connectent sur le réseau de la collectivité.

Celle-ci souhaitait renforcer la sécurité de son SI face à des attaques menées à partir de périphériques mobiles soit infectés (virus sur clés USB par exemple) soit utilisés sciemment à cette fin (y compris des smartphones comme l'iPhone).

La mairie a choisi la solution de l'éditeur DeviceLock pour atteindre cet objectif. Cette solution permet une surveillance complète de l'accès aux ports locaux. Grâce à DeviceLock, la direction des systèmes d'information de la Mairie de Chelles peut rationnaliser l'utilisation des périphériques de stockage amovibles, tels que les clés USB et les disques durs externes mais aussi la connexion de smartphones.

Une liste des périphériques de stockage autorisés à se connecter au système d'information et opérer des transferts de données a été définie afin que la direction des systèmes d'information puisse suivre de façon fiable l'accès aux ports locaux des ordinateurs. DeviceLock permet ainsi de lutter contre l'intrusion de nouvelles menaces. En parallèle, les nouvelles restrictions ont été clairement définies dans la nouvelle Charte « Internet, Informatique et Téléphonie » présentée aux agents, une étape clé dans l'acceptation de la solution et la responsabilisation des utilisateurs. Une console centrale d'administration permet de gérer l'ensemble du parc de postes de travail et les droits affectés groupe par groupe d'utilisateurs.v (...)

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