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Mobilité
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(24/03/2010 16:10:30)
iGroups : un réseau social original pour iPhone et iPad
Selon les informations du blog, Patently Apple, spécialisé dans les brevets déposés par Apple Basé sur un système spécifique de cryptage des données permettant de sécuriser les informations privées, iGroups permettrait à Apple de développer un système de réseau social exclusif aux utilisateurs d'iPhone en premier lieu, puis étendu à d'autres terminaux par la suite. Avec ce service, il suffit de créer un groupe et d'y inviter des participants. Les utilisateurs peuvent détecter un groupe lorsqu'ils sont physiquement proches de son créateur. Paramétrés pour être effectifs un certain laps de temps, les iGroups permettent à un membre de communiquer à tous les autres en simultané, par sms ou e-mail. Le scénario mis en avant est celui d'un concert de rock, où les possesseurs d'iphone peuvent constituer pendant l'événement un groupe éphémère et s'échanger des commentaires.
Un service qui va au-delà des produits Apple
Si d'autres options comme le partage de fichiers et de calendriers sont évoquées, la véritable révolution d'iGroup consiste dans la possibilité d'inclure d'autres participants non-détenteurs d'un iPhone, le bluetooth ou le wifi étant suffisant pour les ajouter à la liste des membres et leur envoyer des messages. Plus encore, iGroups permettrait, via un système de mini-routeur, d'agglomérer une multitude d'appareils ne disposant pas d'une balise GPS en utilisant les connexions des autres terminaux. Ainsi, si un téléphone détecte dix autres appareils grâce au bluetooth, l'iPhone qui héberge le groupe pourra également les inclure dans son réseau.
iGroups serait donc un créateur de réseau social ponctuel n'impliquant ni web, ni création de compte. Prévu pour arriver avec iPhone OS 4.0, l'utilisation d'une telle fonctionnalité impliquerait donc une mise à jour du système d'exploitation des précédentes générations de smartphones.
Crédit Photo: Patently Apple
(...)(19/03/2010 11:50:36)Ne l'appelez plus Nexus One
Google s'est vu refuser par l'Office américain de gestion des marques et des brevets (USPTO) le droit d'utiliser l'appellation "Nexus One" pour son smartphone, selon une information révélée par le Wall Street Journal. Le terme a déjà été déposé par une société américaine de télécoms, Integra Telecom, pour un service de partage de bande passante. Le géant du Web, qui commercialise cet appareil depuis janvier 2010 aux Etats-Unis, devra donc changer le nom de son terminal, contester cette décision en appel dans les six prochains mois, ou alors trouver un accord à l'amiable avec Integra Telecom, à l'image de l'arrangement conclu entre Apple et Cisco pour l'appellation "iPhone". Fabriqué par HTC mais vendu sous la marque Google, le Nexus One n'est pour l'heure pas officiellement distribué en France. On trouve toutefois dans certaines boutiques et chez certain MVNO. (...)
(19/03/2010 09:32:11)Microsoft fait la chasse aux iPhone
Si les employés de Microsoft sont majoritairement des passionnés de technologie, il reste un objet impossible à évoquer au sein de leur compagnie : l'iPhone. Représentant le rival le plus agressif de la firme de Redmond, le téléphone d'Apple est pourtant possédé par 10 000 de ses employés, soit environ 10% de la force de travail de l'entreprise. Ce succès n'est pas sans irriter le PDG Steve Ballmer qui a même été surpris, lors d'une conférence Microsoft, en train de simuler le piétinement de l'iPhone d'un de ses employés. Provenant d'une source anonyme qui l'aurait entendue de la bouche d'un responsable, cette statistique coïncide avec la décision du leader des logiciels de supprimer l'indemnisation téléphonique pour ses employés n'utilisant pas un appareil fonctionnant avec Windows Mobile, le système d'exploitation pour smartphones de l'entreprise. Parallèlement, les employés de la firme à la pomme s'avèrent plus « dévoués » : de nombreux collaborateurs d'Apple ont en effet révélé qu'ils ne connaissaient personne sans iPhone chez Apple. Il est vrai qu'Apple avait offert un iPhone v1 (Edge donc) à ses employés, il y a deux ans. [[page]] Que ce soit sur les systèmes d'exploitation ou les baladeurs de musique, les deux titans de l'informatique sont aujourd'hui concurrents dans de nombreux secteurs. Pour un responsable de Redmond, voir quelqu'un utiliser un iPhone au sein de son entreprise équivaudrait à la réaction qu'aurait un responsable Coca Cola devant un de ses subalternes buvant du Pepsi. Plus encore depuis la sortie de Windows Mobile 6.5, la firme de Steve Ballmer est constamment questionnée sur l'usage de l'appareil d'Apple en son sein. Robbie Bach, le président du développement de Windows Phone s'est un jour défendu en affirmant que si les chercheurs de Microsoft utilisaient souvent des produits de leurs concurrents, c'était pour mieux cerner les enjeux de la compétition. Microsoft n'est pourtant pas prêt d'interdire l'usage de produits Apple à ses employés, les Macintoshs sont en effet légion chez les designers produits et dans la section Mac de leur équipe de développement. Il est vrai qu'il est également possible d'installer Windows sur un Mac pour rester « corporate ». Il n'y a guère que le sujet des smartphones qui fâche et cela pour une bonne raison : entre novembre 2009 et janvier 2010, l'iPhone représentait 25,1% des ventes de smartphones aux États-Unis, contre 15,7% pour les appareils fonctionnant avec Windows Mobile. (...)
(19/03/2010 09:32:05)SFR recycle à son tour les téléphones portables
Après d'autres, SFR permet aux détenteurs de mobiles usagés, quel que soit l'opérateur, de les faire valoriser contre une compensation financière se présentant sous la forme d'un bon d'achat. Les clients SFR, ou non, peuvent connaître la valeur de rachat de leur mobile usagé sur Sfr.fr, ou directement en boutique. Cet argus, remis à jour tous les mois, permet de reprendre l'appareil contre 200 euros maximum, offerts en bons d'achat à valoir le jour même dans le point de vente SFR concerné. Pour chaque mobile valorisé, SFR reversera 4 euros à des associations partenaires comme La Voix de l'Enfant ou Fondaterra. Les portables réutilisables seront, eux, remis en état par l'entreprise Anovo pour être redistribués dans les pays en voie de développement, ou par les Ateliers du Bocage pour être remis à Emmaüs France. Les mobiles en fin de vie seront recyclés "dans le respect de l'environnement", promet l'opérateur de téléphonie mobile. SFR emboîte ainsi le pas à d'autres acteurs qui eux aussi ont annoncé le même type de service en début d'année. Bouygues Telecom, La Poste, ou encore plus récemment Mobilorama.com proposent de racheter les portables usagés. Dans le cas de La Poste, le propriétaire se voit remettre un chèque au montant du rachat. Dans le cas de Bouygues, il peut opter pour un don, déductible des impôts, à Surfrider Foundation ou pour un avoir à valoir en boutique ou sur sa facture, s'il est client de l'opérateur. Mobilorama.com rachète également les mobiles inutilités. Le montant du rachat peut aussi être reversé à Médecins du monde. (...)
(17/03/2010 09:30:37)Trop de systèmes d'exploitation mobiles entretient la confusion sur le marché
(Source EuroTMT ) La problématique des OS n'est pas nouvelle car ce marché a toujours connu une pléthore de systèmes concurrents, longtemps dominés par Symbian qui équipait plus de 80 % des téléphones mobiles. Mais si le sujet occupe aujourd'hui le devant de la scène c'est parce que, avec l'explosion des smartphones, l'OS est devenu un élément différenciateur pour tous les acteurs du marché, qu'ils soient constructeurs, opérateurs et même fournisseurs de services. Sans compter l'arrivée de grands noms comme Apple, Google ou Samsung, ce qui exacerbe un peu plus la concurrence.
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C'est ainsi que le marché se retrouve dans une situation paradoxale voire absurde. Il y a une demande pour des plateformes ouvertes voire standardisées qui permettent aux développeurs de travailler plus rapidement et surtout plus économiquement, car développer une application pour plusieurs systèmes coûte cher (et donc les développeurs préfèrent se limiter à une ou deux plateformes).
Or on assiste à la naissance régulière de nouveaux OS que leurs concepteurs justifient comme étant « plus stables, plus ouverts, plus puissants ... ». Ainsi, à Barcelone, les visiteurs ont-ils pu assister à l'éclosion de Bada, la nouvelle plateforme de Samsung. De leur côté Intel et Nokia ont uni leurs forces pour créer MeeGo, une fusion du Maemo de Nokia avec le Moblin d'Intel.
A cela, il faut ajouter la décision prise par une quinzaine d'opérateurs mondiaux (AT&T, T-Mobile, Orange, NTT Docomo, Telecom Italia...) et trois fabricants (Samsung, LG et Sony-Ericsson) de créer une plateforme ouverte pour des applications mobiles. Mais aussi le lancement du nouvel OS de Microsoft (Windows Phone 7) ainsi que l'omniprésence (sur les stands) d'Androïd, l'OS de Google, et de l'iPhone (dans les poches des visiteurs).
Et on ne peut oublier dans ce recensement, ...
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(Source EuroTMT ) ... RIM et ses Blackberry, Palm et son OS « maison » et quelques autres solutions Linux. Cette profusion est-elle réellement bénéfique pour l'industrie ? Difficile de répondre par l'affirmative car le marché va surement encore beaucoup évoluer.
Si l'on prend les derniers chiffres du Gartner, Symbian est toujours le numéro un des OS pour Smartphones avec 47% de parts de marché devant RIM (20%), l'iPhone (14,4 %) et Windows Mobile (8,7 %). Mais le système porté par Nokia perd beaucoup de terrain par rapport à ses adversaires : -5,5 points en un an alors que l'iPhone gagne 6,2 points et RIM +3,3 points.
Sans compter Androïd qui en un an est passé de 0,5 % à 3,9 % de parts de marché. L'avenir de Symbian est d'autant plus sombre qu'après l'abandon par LG l'année dernière, il se murmure que Samsung pourrait également cesser d'intégrer cet OS dans ses terminaux au profit de Bada, mais aussi de Windows Mobile ou d'Androïd. Par ailleurs, Nokia n'est pas le fer de lance du marché des smartphones, comme il le fut pour les simples téléphones, et, en promouvant d'autres plateformes, le fabricant finlandais entretient lui-même la confusion.
Si tous les analystes pensent que le marché des OS va se consolider et que certains concepteurs devraient cesser leur développement (mais ils ne peuvent dire à quelle échéance), ils ne savent pas quel modèle émergera entre la plateforme propriétaire, comme celle d'Apple, ou ouverte comme Androïd. A moins que les différents systèmes continuent de coexister pour couvrir l'hétérogénéité de la demande mondiale. En tout cas, selon les analystes de Strand Consult, le premier vainqueur de cette bataille serait d'ores et déjà le consommateur qui ne se retrouve pas face à un seul fournisseur dominant et peut donc choisir librement son système.
Certes mais ce choix se résume bien souvent pour le consommateur à vérifier la simplicité d'utilisation d'un smartphone et, surtout, à s'assurer de la richesse de son écosystème. Ce qui explique, sûrement, le succès de l'iPhone d'Apple, qui donne accès à la plus riche boutique d'applications. (...)
Mix10 : Les quatre priorités de Microsoft pour Windows Phone 7
Reste que le dernier rapport de Comscore montre que les parts de marché de l'actuel Windows Mobile continuent de chuter de manière spectaculaire. Ainsi, sur les 42,7 millions d'utilisateurs de smartphone aux États-Unis, le nombre de ceux qui tournent sous Windows Mobile a chuté de 4 points, passant de 19,7% en octobre 2009 à 15,7% en janvier 2010, Research in Motion demeure, pour sa part, le principal fournisseur de systèmes d'exploitation pour smartphone aux États-Unis : avec 43% de personnes utilisant son logiciel pour BlackBerry, le système de RIM a gagné encore 1,7% au cours de cette même période. Quant à Apple, il détient la 2e place, à 25,1% pour l'iPhone, mais avec un taux de croissance beaucoup plus lent de seulement 0,3%.
Compte tenu de ces chiffres, Microsoft doit donc impérativement prouver sa capacité à refondre l'environnement de développement qu'elle va mettre autour de son système mobile, comme elle l'a fait dans le cas de l'interface utilisateur de Windows Phone 7.
Voici donc, sur la base des sessions prévues au Mix10 pour Windows Phone et des explications des responsables de Microsoft France, les priorités et les défis à relever.
1. La plate-forme Windows Phone 7 dans les starting-blocks
Quatre séances du Mix10 sont consacrées à décortiquer les éléments techniques de Windows Phone 7, et plus précisément le noyau sous-jacent Windows Embedded CE 6.0 R3 sur lequel repose l'interface utilisateur de Windows Phone.
Malgré la nouvelle interface utilisateur entièrement remodelée, les développeurs continueront à s'appuyer sur les outils et les technologies habituels de Microsoft pour écrire les applications qui exploitent l'interface, y compris. NET, Silverlight, Microsoft Expression Blend 3, et XNA Game Studio pour le développement de jeux. Windows Phone 7 intègre un nouveau modèle d'application, de nouveaux modèles d'entrée (y compris le multi-touch), des API pour accéder aux fonctionnalités du téléphone et des applications, et de nouveaux services web.
Lors d'un point presse téléphonique, Thomas Serval, directeur de la division plate-forme et écosystème de Microsoft France, a précisé que l'éditeur poursuivait sa stratégie 3 écrans / un nuage avec la mise à disposition gratuite de Visual Studio Express 2010 pour aider les développeurs à concevoir des applications pour la plate-forme Windows mobile 7. Extraction Blend aidera également les programmeurs à créer des interfaces utilisateurs. Enfin, un plug-in permettra également d'intégrer du code .Net dans Visual Studio Express. Une machine virtuelle Windows Phone 7 est également à disposition des développeurs pour concevoir et tester plus rapidement leurs logiciels. Reste que ces annonces sur les outils et les technologies Microsoft posent aussi la question de savoir à quel point la plate-forme Windows Phone 7 sera ouverte à des outils et des technologies extérieures.
Sébastien Berten, président de Backelite, qui a envoyé son directeur technique suivre les sessions du Mix10 à Las Vegas, rapporte que les développeurs ont fait un bon accueil aux annonces de Microsoft (voir encadré). « Le monde de l'entreprise et même les particuliers cherchent à maximiser leur temps. Et les annonces de Windows Phone 7 vont dans ce sens. »
Seul bémol, et de taille pour une nouvelle plate-forme, « Windows Mobile 7 ne sait pas faire fonctionner des applications de manière concurrente » précise Thomas Serval. Pour être plus clair, le multitâche n'est pas à l'ordre du jour alors qu'il est déjà supporté par Android OS et qu'Apple le proposera en juin avec l'arrivée d'iPhone OS 4.0. « Des exceptions seront toutefois possibles » explique Thomas Serval « mais elles ne concerneront que des applications premium qui seront intégrées à nos hubs ».
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2. Silverlight illumine le chemin de la mobilité
Silverlight fait référence à la technologie et aux outils de Microsoft pour construire des applications très performantes, riches et interactives pour le Web. Il est conçu comme un environnement de développement principal pour Windows Phone, et au moins six sessions de la conférence y sont consacrées (d'autres sessions sont consacrées à Silverlight 4 RC, dévoilé en novembre en bêta et qui sera livré en version finale en juin 2010). Les développeurs d'applications mobiles en apprendront davantage sur les nouveaux modèles d'entrée, y compris le multi-touch et le clavier soft, et sur les API qui permettent l'utilisation d'applications comme le numéroteur téléphonique et la gestion des emails. Également au programme : les exigences de Silverlight en matière d'application vidéo, y compris le support pour la diffusion à grande échelle.
Thomas Serval, nous a également expliqué que Silverlight allait devenir un premier choix pour développer des applications « rich média » pour Windows Phone. Lors de cette conférence, Microsoft a ainsi divulgué le nouveau modèle d'application et les services web de Windows Phone, qui permettront aux applications Silverlight de fonctionner sur mobile. Les développeurs doivent s'attendre à une plus grande intégration et interopérabilité avec les contenus Silverlight sur les ordinateurs Windows et via de nouveaux services Web qui seront proposés Microsoft et ses partenaires. Des applications en mode Saas pourront par exemple être déployées avec les mobiles Windows précise Nicolas Petit, directeur de la division mobilité de Microsoft France. Un mix sera opéré entre client léger et client riche pour répondre aux besoins applicatifs des marchés verticaux.
Une plate-forme à relancer dans les entreprises
Hier bien introduite dans les entreprises, la plate-forme Windows Mobile souffre aujourd'hui de la concurrence du smartphone d'Apple qui entre en phase de qualification dans de nombreux appels d'offres pour le renouvellement des parcs de Blackberry. Les mêmes personnes qui ont imposé les smartphones de Rim, il y a 5 ans, poussent aujourd'hui l'iPhone. On assiste ainsi à une profonde évolution avec le passage d'un terminal typé messagerie à un terminal web, beaucoup plus souple et tout autant sécurisé à l'usage. Comment Windows Phone résistera à cette vague alors que l'éditeur repart de zéro puisque les applications Windows Mobile 7 ne seront pas compatibles avec les terminaux 6.5 et que ces derniers ne pourront pas passer à la nouvelle version du système d'exploitation mobile ?
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3. Les jeux sur mobile et leur implication pour l'entreprise
Comme dans le cas de sa nouvelle interface utilisateur, l'environnement de jeu de Windows Phone fait partie de la stratégie de « consumérisation » du système d'exploitation mobile de Microsoft. Cela implique de proposer à l'utilisateur une expérience mobile souple, balayant un large éventail de centres d'intérêts, de passions et de besoins. Plusieurs sessions et ateliers traitent de l'utilisation de XNA Game Studio 4 pour créer des jeux pour Windows Phone 7, et leur intégration à Xbox Live, l'environnement de jeu en ligne de Microsoft.
Parmi les changements, le XNA est devenu ce que Microsoft appelle maintenant une plate-forme à « code géré », par référence au code qui s'exécute sous machine virtuelle Common Language Runtime. Selon Microsoft, le « code géré » permet aux développeurs de créer des applications plus rapidement, d'être plus productifs, et de se concentrer davantage sur des objectifs de design plus sophistiqués. Microsoft indique au passage que les jeux existants ne devront pas être entièrement réécrits pour fonctionner sur Windows Phone 7.
De la même manière, un jeu d'abord écrit pour Windows Phone pourra être ensuite adapté pour la Xbox 360. Il est possible que ces deux capacités de développement de la plate-forme de jeux - code géré et adaptation des applications existantes - soient intégrées à l'approche globale pour la création d'applications Windows Phone. Les entreprises ne développeront pas des jeux mobiles au même titre que des applications d'entreprise. Mais le matériel et les logiciels nécessaires pour supporter à la fois des applications en local et en réseau (comme les jeux) très interactives, capables de faire du calcul intensif, de la haute définition et riches sur le plan des medias, servira à montrer les possibilités que peut apporter le nouvel OS aux smartphones.
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4. Un marché applicatif en "révolution " ?
En dehors des écrous et des boulons nécessaires à la construction des applications, Microsoft va aussi rééquiper le catalogue en ligne de Windows Phone. L'entreprise affirme que la nouvelle approche de « Marketplace » va «révolutionner » la manière dont les applications Windows Phone 7, jeux compris, sont distribuées et «vendues ». Marketplace, en service depuis cet automne seulement à seulement 4000 applications, a enchainé les mises à jour et les améliorations. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder directement au site web pour y acheter et y télécharger des applications de téléphonie mobile.
Certains des changements concernent l'amélioration de la navigation des utilisateurs, une meilleure promotion des nouvelles applications et la possibilité de télécharger de grosses applications sur la carte mémoire du téléphone. D'autres concernent la manière dont les développeurs peuvent proposer et mettre en ligne leurs applications, de façon à rationaliser et à réduire certains coûts de développement.
Conscient de la faiblesse de son offre applicative, Nicolas Petit botte en touche en expliquant que Microsoft « veut sortir du débat unique sur combien d'applications. Sur Android, 99% des applications sont gratuites et beaucoup viennent simplement compléter une expérience. Pour notre part nous misons sur la qualité des services proposés par nos hubs où plusieurs applications sont disponibles en même temps. Le hub People (réseau social) vient par exemple avec Windows Live et Facebook. » Reste la non-compatibilité des applications déjà existantes (voir encadré) est un frein à l'adoption de Windows Phone 7 même si Microsoft semble décider à mettre les bouchées doubles pour rattraper son retard sur l'App Store (Apple), l'Android Market (Google), l'Ovi Store (Nokia) ou l'App World (Rim). (...)
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