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Open Source
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(26/07/2006 16:38:24)
Ingres rachète l'Allemand Thinking Instruments
Ingres, l'éditeur de bases de données libres récemment séparé de Computer Associates vient de faire l'acquisition de l'intégrateur allemand Thinking Instruments. Selon Ingres, l'acquisition devrait renforcer son implantation en Europe mais aussi sur les marchés du Moyen-Orient. Thinking Instruments est l'un des grands intégrateurs Ingres en Europe et il dispose aussi de compétences multiples sur le portefeuille de produits de CA, notamment en terme de modélisation (gamme Allfusion) et de portails web (CleverPath). Il compte parmi ses références des sociétés comme Siemens, EADS, la Dresdner Bank ou Opel et des comptes publics comme la météo allemande. Ingres dispose d'un bureau en France mais jusqu'alors sa principale implantation en Europe était en Angleterre. (...)
(24/07/2006 16:23:22)La FSF va publier la seconde mouture provisoire de la licence GPLv3
La Free Software Foundation (FSF) devrait publier mardi 25 juillet le second brouillon de la licence GPLv3 (GNU general public license version 3) selon des sources proches de l'organisation. Créée par Richard Stallman en 1989 dans le cadre du projet de système d'exploitation libre GNU, la GPL est une licence populaire pour les logiciels libres et à code ouvert comme le système d'exploitation Linux, la base de données MySQL ou le serveur de fichiers et d'imprimantes Samba. La licence a, pour la dernière fois, été révisée en 1991. Elle permet à chacun d'étudier de copier, de modifier, de réutiliser, de partager et de redistribuer librement le code d'un logiciel. La première mouture de la GPLv3 a été publiée en janvier et deux de ses aspects touchant au débat sur les brevets logiciels et le DRM ont généré un débat très vif. L'une des nouveautés de la GPLv3 prévoit que les grands distributeurs de logiciels qui possèdent des brevets protégent les utilisateurs de leur code contre toute poursuite en justice pour violation de propriété intellectuelle. Une autre empêche l'inclusion de code GPL dans tout logiciel ou dispositif faisant usage de DRM. Cette dernière mesure s'est attirée les foudres de Linus Torvalds, qui a déclaré qu'elle seule justifierait que le noyau Linux n'adopte pas la GPLv3. La discussion sur la GPLv3 devrait vraisemblablement se poursuivre jusqu'à l'automne et la publication d'un dernier brouillon avant validation finale. adapté d'un article en anglais de China Martens, notre correspondant d'IDG News Service à Boston (...)
(19/07/2006 17:14:26)Microsoft et XenSource renforcent leur alliance sur la virtualisation
Microsoft et XenSource, le développeur initial de l'hyperviseur libre Xen, ont annoncé hier un renforcement de leur alliance, pour assurer l'exécution transparente des versions "virtualisées" de Linux au-dessus du futur Hyperviseur de Windows. L'objectif selon les deux sociétés est d'assurer un fonctionnement sans problème des versions virtualisées de Linux, mais aussi d'assurer un niveau de performance optimal de ces distributions au dessus de l'hyperviseur Windows. Connu sous le nom de code Viridian, l'hyperviseur de Windows Longhorn.Server est attendu dans le courant du premier semestre 2008, si la roadmap produit de Microsoft ne dérape pas. En Avril, déjà, XenSource s'était rapproché de Microsoft, pour licencier son format de disque virtuel VHD (Virtual Hard Disk). L'objectif était de permettre l'importation de machines virtuelles créées avec Microsoft Virtual Server par sa future solution de virtualisation XenEnterprise. (...)
(18/07/2006 12:58:08)Les Hackers s'inspirent de l'open source
D'après l'éditeur McAfee Inc, les hackers utilisent les mêmes techniques qui ont fait de Linux ou Apache un succès pour mettre au point leurs vers malicieux. Ceci s'illustre parfaitement dans les « bot » (programmes commandés à distance qui s'installent de façon résidente sur les ordinateurs) qui sont écrits par des groupes communautaires utilisant bien souvent les mêmes outils et techniques que les développeurs open-source. Après étude, il s'avère par exemple que les auteurs de la famille de malware Agobot ont utilisé le logiciel Open-Source CSV (Concurrent Versions System) pour concevoir leurs méfaits. Pour Mc Afee, il ne s'agit pas de discréditer les anti-virus Open Source mais d'éduquer les utilisateurs. (...)
(17/07/2006 17:07:17)Certaines mises à jour de MySQL seront payantes
MySQL, qui a lancé à l'automne dernier la version 5.0 de son système de gestion de bases de données (SGBD), entend cesser de proposer gratuitement des mises à jour et des correctifs pour les versions de son SGBD antérieures à la version 4.1, dès le début de ce mois d'août. L'éditeur estime que ces produits entrent en fin de vie - certains sont près de souffler leur cinquième bougie - et que le support parallèle de plusieurs versions de son SGBD est trop coûteux. Concrètement, dès le premier août, les utilisateurs de MySQL 3.23 devront s'abonner au service MySQL Network pour continuer à profiter des correctifs pour le SGBD. Les utilisateurs de MySQL 4.0 bénéficient d'un délai supplémentaire, jusqu'au premier octobre prochain. L'abonnement au service MySQL Network est facturé à partir de 495 € par serveur. MySQL 4.1 n'est encore concerné mais pourrait l'être dès le premier janvier 2007. Le support de MySQL 5.0 pourrait quant à lui devenir payant à partir du premier janvier 2008. Compte tenu de ces décisions, MySQL s'interroge sur la pertinence de la poursuite de l'hébergement des exécutables compilés des versions en fin de vie de son SGBD. Néanmoins, il ne semble pas faire de doute que le code source de MySQL 3.23 et 4.0 restera disponible en téléchargement. Plus généralement, MySQL entend désormais assurer le support - curatif et évolutif - de ses produits pendant une période de deux ans. Passé ce délai, il ne sera plus question de mises à jour. Des correctifs continueront néanmoins d'être proposés jusqu'au cinquième anniversaire du produit. L'accès à ces correctifs sera cependant conditionné à la souscription du service MySQL Network. Au delà de cinq ans, le produit sera officiellement considéré en fin de vie et cessera d'être supporté. (...)
(07/07/2006 18:18:26)RMLL : les anti-brevets poursuivent leur combat
Grand amphithéâtre archi-comble, hier en fin d'après-midi, pour venir écouter à la tribune une des plus belles brochettes de défenseurs du logiciel libre, parmi lesquels l'eurodéputé Michel Rocard (PS), les députés Richard Cazenave (UMP), François Bayrou (UDF) et Martine Billard (Verts), ainsi que Christophe Espern (initiative EUCD.info), lors du débat animé par François Pelligrini. Où l'on a notamment appris que le camp des « breveteurs » ne baissait pas les bras, suite au refus du Parlement européen de reconnaître les brevets logiciels : il essaye de revenir à l'attaque, en se passant de l'avis des assemblées, par un accord inter-gouvernemental en préparation, l'accord de Londres. Après un rappel de « la brutalité et la voracité des lobbies pro-brevets », Michel Rocard a ainsi appelé à ce que le législateur reprenne le contrôle sur l'Office Européen des Brevets qui « ne rend compte à rien ni à personne, et dont l'évolution du fonctionnement n'est QUE jurisprudentiel, sans aucun contrôle ». De son côté, François Bayrou a répété que le logiciel libre, et le refus des verrous numériques, « n'est pas une question d'étiquette droite-gauche mais bien un choix de civilisation ». Il a en outre prédit que si la loi DADVSI est confirmée en l'état par le Conseil constitutionnel, l'Autorité de régulation des mesures techniques de protection pourra « redonner des cartes en main » aux utilisateurs et petits éditeurs : « les Autorités indépendantes sont attentives à ce qui se fait dans la société, et en agissant sur elle avec vigueur et sincérité, on pourra avoir une influence plus grande que ceux qui ont cru qu'avec elle ils pourraient garder la main-mise sur les mesures techniques de protection ». (...)
(07/07/2006 18:14:49)Aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, Mandriva se ressource
Ambiance studieuse et anglophone pour Mandriva (photo), lors de ces septièmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, actuellement en cours à Vandoeuvre-lès-Nancy (Lorraine). L'éditeur français de la distribution Mandriva Linux a profité de l'évènement pour rassembler le noyau dur de ses programmeurs, ceux-là même qui travaillent sur la version dite Cooker, et donc toujours en développement, de la distribution. Une chance, pour des gens qui ne communiquent en général que par e-mail ou IRC, de se rencontrer dans la vraie vie. Et David Barth, directeur technique chez Mandriva, de confirmer encore une fois qu'il a avec lui « de très bonnes équipes, des gens qui savent très bien leur métier, que j'épaule et planifie. Cette rencontre est l'occasion de remettre de l'humain dans le process ». Cette année, la réflexion a essentiellement porté sur « le rôle des contributeurs extérieurs à l'éditeur, comment déléguer des responsabilités, comment confier la maintenance de logiciels stratégiques à des personnes tierces, et la modernisation de nos plates-formes de développement », résume David Barth. La Corporate Server 4 disponible mi-septembre Mandriva a aussi peaufiné avec ses équipes la future Corporate Server 4 (CS4), sa distribution pour serveurs d'entreprise : « elle sera disponible le 15 septembre. La période de bêta-test, depuis mai, auprès de 300 de nos partenaires et clients, nous a fait remonter de nombreuses félicitations pour les versions choisies des logiciels middlewares et serveurs que nous y avons intégrées », se félicite le directeur technique. Un effort conséquent a aussi été réalisé au niveau de la reconnaissance du matériel : « on est vraiment blindé là-dessus, grâce à la base de la MandrivaLinux 2006, sur laquelle est construite cette Corporate Server 4, indique-t-il. En plus, notre partenariat très fort avec Intel nous a permis de la tester aussi sur des machines Intel à sortir l'année prochaine ». Les partenariats sont d'ailleurs un des points forts de CS4 : le très attendu Oracle est enfin un des éditeurs partenaires officiels de Mandriva, en plus des traditionnels Citrix, Websphere, MySQL, etc... La virtualisation directement dans le noyau « Mandriva CS4 sera aussi la première distribution à intégrer, directement dans son noyau, plusieurs technologies de virtualisation : Vmware et Xen, mais aussi OpenVZ », souligne David Barth. L'idée selon le technicien étant enfin de fournir une brique de base sur laquelle déployer facilement middlewares et services, activables très facilement grâce à une segmentation poussée. Mandriva a également conçu un nouvel installeur adapté à cette logique modulaire : « ce nouvel installeur préfigure ce que sera notre prochaine interface ConsoleWeb : une nouvelle implémentation de Webmin, qui sera d'ailleurs compatible avec les modules existants de ce dernier, mais plus complète car Webmin n'était pas assez évolué pour certains de nos clients », explique David Barth. Enfin, c'est quelques semaines plus tard, fin octobre, que sortira le pendant utilisateur de CS4, à savoir Corporate Desktop 4. Outre une nette amélioration des services LDAP pour le paramétrage centralisé, elle intégrera le dernier serveur graphique Xorg, doté de spectaculaires technologies de bureau 3D : un gadget, certes, « mais qui intéresse beaucoup les entreprises, selon David Barth, car elles facilitent l'adoption de Linux par les utilisateurs finaux en entreprise, parfois réticents à changer d'environnement ». Pour David Barth et ses équipes, la rentrée promet d'être chargée. (...)
(06/07/2006 18:08:05)RMLL : la communauté est au rendez-vous
En se promenant dans les allées du campus de l'Université Henri Poincaré de Vandoeuvre-lès-Nancy, qui héberge les Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, il saute aux yeux qu'on est ici dans un pur événement communautaire, bien plus que commercial. On cherche en effet en vain les stands, présentoirs, hôtesses en tailleur et cadres en cravate qu'on a l'habitude de voir dans un salon comme Solutions Linux. Une orientation clairement revendiquée par les organisateurs de l'événement : "toutes les entrées sont gratuites, les conférenciers ne sont pas rémunérés et toute l'organisation est bénévole" assure Vincent Mollimard, le trésorier. "Je suis surprise de voir autant de grand public arriver, dès le premier jour : ici les utilisateurs rencontrent les contributeurs et développeurs", renchérit Chantal Bernard-Putz, l'organisatrice en chef. Et de se vanter de programmer dix fois plus de conférence que Paris-Capitale du Libre , par exemple : plus de 300 conférences sur une trentaine de thèmes. Mais toutes n'attirent pas le même monde : si celle sur la loi sur les droits d'auteur (DADVSI) a séduit presque une centaine de personnes, d'autres, nettement plus pointues comme les problématiques de clustering, n'en attirent guère plus d'une dizaine. Bonne nouvelle : les salles sur le multimédia (montage et musique) ainsi que celles sur le jeu libre sont combles ! À mi-chemin des Rencontres, les organisateurs prévoyaient au final un total d'environ 2000 visiteurs. (...)
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