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(22/02/2008 18:28:33)

GED : Smile distingue Alfresco et Nuxeo

Dans un livre blanc d'une soixantaine de pages, l'intégrateur français Smile passe en revue sept solutions de gestion documentaire (GED) en Open Source, des outils qu'il juge de plus en plus matures. Les offres d'Alfresco, Nuxeo EP et Knowledge Tree ressortent plus particulièrement de cette sélection, avec des atouts qui les rendront plus ou moins adaptés en fonction des contextes. Toutes trois bénéficient d'un très bon niveau de support, tant de leur éditeur, que de leurs intégrateurs et de leur communauté. « Si Alfresco est une solution assez récente, elle a très vite évoluée », relève Thomas Choppy, consultant chez Smile et auteur de ce livre blanc. Il met notamment en avant les fonctions de collaboration de l'offre. « Nuxeo, qui existe depuis plus longtemps, est plus orientée vers la manipulation documentaire au sein d'un système d'information très complet. » Selon lui, cette deuxième offre, portée par un éditeur français, présente aussi l'avantage d'être très modulaire. Il note aussi que, y compris dans un contexte collaboratif, Nuxeo, avec son client riche, peut être choisi de préférence à Alfresco si le projet nécessite d'interagir très fortement avec les contenus, « par exemple s'il s'agit de modifier de gros volumes d'informations ou d'images ». PHP VS Java Quant à Knowledge Tree, il présente la caractéristique d'être développé en PHP, quand la plupart des autres solutions de GED en Open Source sont en Java. Or, « à niveau fonctionnel égal, un développement en PHP est souvent plus rapide à mener qu'un développement en Java », souligne Thomas Choppy. Pas aussi riche que les autres solutions, quoique de bonne facture, cette offre conviendra aux PME, alors qu'une solution Java, plus robuste, aura davantage les faveurs des grands comptes. Le livre blanc de Smile passe aussi en revue la solution Jahia, « pas très connue, mais de bon niveau, avec un portail et des outils de gestion de contenus Web », Maarch, « adaptée à l'archivage de gros volumes d'informations », Freedom, dotée de fonctions de collaboration, et Contineo.

(...)

(22/02/2008 17:12:42)

AMD met en Open Source ses routines d'optimisation

AMD a décidé d'ouvrir les lignes de code de sa librairie de routines d'optimisation des performances de ses processeurs. Au total, ce sont 3200 routines qui constituent la "performance Librairy" d'AMD qui, rebaptisée pour l'occasion "Frameware version 1.0" sont mises à disposition des développeurs. Elles devraient leur faciliter l'exploitation du multithread qui devient leur quotidien avec la généralisation des processeurs multi-coeurs. Chez AMD, on précise que ces routines permettent aussi d'optimiser les performances des applications sur les processeurs de son concurrent, Intel. (...)

(22/02/2008 14:31:42)

L'interopérabilité de Microsoft ne convainc pas le monde du Libre

Pour beaucoup d'analystes, mais également en interne chez l'éditeur, l'annonce de Microsoft donnant librement accès à sa documentation technique apparaît comme un argument pour contrer les procédures engagées par les régulateurs américains, européens et asiatiques contre les positions dominantes de l'éditeur. Ce qui dérange dans ce volet - Microsoft affirme en particulier que son annonce répond aux demandes des régulateurs européens - c'est qu'elle n'est qu'une nouvelle étape, certes importante, dans le conflit qui oppose l'éditeur aux autorités politiques et à ses concurrents, et qu'elle pourrait n'être qu'une nouvelle promesse, proche des précédentes. La Commission européenne a ainsi exprimé son scepticisme, et rappelé que l'annonce n'est pas liée aux procédures et allégations d'abus de position dominante en cours. Il n'est donc pas question pour le moment de revoir ces procédures. De même pour l'ECIS (European Committee for Interoperable Systems) - représentant les intérêts d'IBM, Nokia, Sun, RealNetworks et Oracle - qui maintient la pression et sa plainte. L'annonce de Microsoft devrait cependant servir d'argument aux représentants de l'éditeur. Il se pourrait donc que l'Europe, qui craint l'effet d'annonce, réserve son jugement dans l'attente d'en mesurer les effets sur le long terme... Difficile également de présager de ce qui se déroulera lors de la prochaine réunion de l'ISO (dans quelques jours), dernière ligne droite pour la reconnaissance du format OOXML, qui pourrait se révéler capitale pour Microsoft. A suivre page 2, les avis positifs, et page 3, les négatifs >>> [[page]] L'industrie applaudit à la démarche volontaire de Microsoft L'annonce de Microsoft, qui souhaite dans son discours rassembler les deux mondes, a en tout cas retenu positivement l'attention de l'industrie. L'Afdel, sans surprise et par la voix de Loïc Rivière, son délégué général, n'a pas manqué de se féliciter de l'engagement de l'éditeur. "C'est une excellente nouvelle pour les industriels ! Cette volonté d'ouverture s'inscrit en phase avec les attentes du marché et des utilisateurs. Elle confirme l'évolution déjà amorcée par Microsoft, notamment à travers la normalisation d'Openxml dont les industriels attendent qu'elle aboutisse rapidement." "L'interopérabilité est en effet un enjeu crucial du secteur. Tous les industriels vont pouvoir travailler dans l'environnement Microsoft avec d'avantage de visibilité et de prédictibilité. Microsoft sera désormais l'un des environnements les plus ouverts et accessibles à tous sur un pied d'égalité. C'est donc une initiative très positive et même audacieuse de la part de Microsoft, dont nous espérons qu'elle fera des émules. Car il faut désormais espérer que les autres acteurs 'structurants' du marché suivent la même voie..." L'Open Solutions Alliance (OSA), association dont la vocation est de favoriser l'interoperabilité, par l'intermédiaire de Dominic Sartorio, son président américain, déclare également sa satisfaction, mais reste prudent : "L'OSA croit que la volonté des clients prend toujours le dessus. Les clients apprécient de travailler dans un climat de transparence et d'ouverture en étroite collaboration avec les interlocuteurs qui produisent et se chargent de la maintenance de leurs produits, que ce soit une communauté de développeurs ou une entreprise." "Nous pensons que des fabricants ne travaillant pas de cette façon convergeront vers ce modèle à l'avenir, donc nous accueillons favorablement l'ouverture de Microsoft vers l'interopérabilité. Nous constatons que ceci représente une reconnaissance tacite que l'industrie logicielle est en train de changer et que Microsoft essaie d'évoluer et semble favoriser l'ouverture. Mais nous attendrons de voir comment cela se traduit dans les mois à venir." [[page]] A l'inverse, les premières réactions des communautés sont plutôt négatives La propension de Microsoft à embrasser, moins soudainement que largement, la communauté des développeurs Open Source laisse également sceptique. L'annonce "apparaît soigneusement conçues pour exclure la concurrence de la communauté Open Source", a ainsi déclaré Michael Cunningham, conseil de Red Hat. Du côté de l'April, on affirme que "cette nouvelle stratégie ne va pas au bout de la démarche et continue d'exclure le monde du logiciel libre de l'accès aux formats et aux protocoles utilisés dans les logiciels de Microsoft". L'association met en avant les brevets et licences qui demeurent chez l'éditeur. "La plupart de ces protocoles sont couverts par des brevets, et les licences de ces brevets ne pourront être obtenues qu'à des conditions dites 'raisonnables et non-discriminatoires'. Ce type de licence nécessitant rémunération par copie de programme favorise les monopoles au détriment des PME et exclut de fait l'ensemble des développeurs de logiciels libres. Le communiqué de l'entreprise de Redmond annonce habilement qu'elle ne poursuivra pas en justice les développeurs de logiciels libres qui procèdent au développement et à la distribution non-commerciale de logiciels reposant sur ces protocoles, mais précise bien que toute distribution commerciale devra s'accompagner d'une acquisition de licence de brevet, contre rémunération ." "Dans le monde du logiciel libre, il n'y a pas de distinction entre distribution non-commerciale et distribution commerciale : les développements réalisés par des bénévoles peuvent être vendus par des entreprises, et inversement les développements menés par des entreprises peuvent ensuite être distribués de façon non-commerciale. Toute entrave à la distribution, même commerciale, d'un logiciel, est contraire aux libertés fondamentales du Logiciel libre. La rémunération de licences de brevets est incompatible avec le développement du logiciel libre", a précisé Thomas Petazzoni, administrateur de l'April. "Pour cette raison, les documentations mises à disposition par Microsoft, bien qu'intéressantes sur le plan technique, ne pourront donc très certainement pas être utilisées par la communauté du logiciel libre pour améliorer l'interopérabilité avec les solutions de la firme étatsusienne." (...)

(21/02/2008 17:58:02)

Microsoft ouvre gratuitement les API de ses produits les plus diffusés

Plus besoin de signer de protocoles d'accord, de montrer patte blanche, ou de se plaindre auprès de Bruxelles, Microsoft a décidé d'exposer librement la documentation de ses interfaces de programmation (API) et protocoles de communication de ses produits les plus largement diffusés : Windows Vista, Windows Server 2008, SQL Server 2008, Exchange Server 2007, Sharepoint Server 2007 et Office 2007. Les développeurs tiers pourront ainsi accéder au même niveau d'information que les équipes de Microsoft, a expliqué l'éditeur au cours d'une conférence de presse jeudi soir (heure de Paris), et ce « sans prendre de licence ni payer de royalties ou autres frais d'accès ». Ces informations pourront être utilisées librement - Microsoft prenant l'engagement de ne pas poursuivre les développeurs Open Source -, mais il faudra toutefois obtenir une licence pour une utilisation commerciale. La menace de procès qui pèse sur le monde de l'Open Source (les fameux 235 brevets) n'est donc pas levée. Microsoft indique qu'il souhaite améliorer l'interopérabilité de ses produits, notamment avec ceux de l'Open Source, et promouvoir les standards. L'éditeur affirme par exemple qu'il écrira de nouvelles API pour Office, afin de simplifier l'écriture de plug-in. Ces API permettront par exemple d'ajouter un format de fichier et de le définir comme format d'enregistrement par défaut. A lire sur ce sujet : l'interview de Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France. (...)

(21/02/2008 16:43:29)

Une figure importante d'OpenSolaris claque la porte

Roy Fielding, cofondateur du projet de serveur HTTP Apache, vient de claquer la porte de la communauté OpenSolaris. Raison invoquée : la mainmise trop importante de Sun sur la communauté et les décisions qu'elle est amenée à prendre concernant ce code Unix du système d'exploitation vedette de Sun et des outils associés, publiés en Open Source par petits bouts depuis 2005. C'est en fait une affaire relativement banale de droits associés à un nom, liée au projet de distribution Indiana, qui a provoqué la colère de Roy Fielding. Dans un long courrier posté sur le forum de la communauté, Roy Fielding explique qu'il s'agit de la dernière pilule qu'il avalera, et expose ses griefs par le menu. Citant « le fiasco du JCP » [Java community process, biais par lequel Sun invite les parties intéressées par l'avenir de Java à influer sur son évolution, NDLR] pour dénoncer le comportement de Sun vis à vis des contributeurs, Roy Fielding dit s'être fait avoir : « [Les gens de] Sun ne m'ont pas fait quelques déclarations générales sur OpenSolaris, ils m'ont promis que ce serait un projet de développement ouvert. C'est la seule façon qu'ils avaient d'amener quelqu'un comme moi à travailler gratuitement pour leur bénéfice. » [[page]] Au final, il donne un conseil à Sun : supprimer la charte que l'entreprise a édictée mais qu'elle ne respecterait pas, et adopter un modèle de gouvernance plus clair, comme celui de MySQL, que Sun vient de racheter : « Cet éditeur ne prétend pas laisser la communauté prendre part aux décisions, mais elle se débrouille pour satisfaire la majorité de ses utilisateurs. [...] C'est un modèle Open Source parfaitement valide pour les entreprises qui n'ont pas besoin d'une participation active de la communauté. Au final, le code tend à puer franchement par rapport à des projets communautaires, mais c'est toujours de l'Open Source. » Dans un message officiel, Sun remercie Roy Fielding pour sa contribution, et explique que le fait de s'ouvrir et de vouloir travailler avec différentes communautés expose obligatoirement à prendre des décisions qui ne satisfont pas tout le monde tout le temps. (...)

(20/02/2008 16:48:48)

La SFLC publie un guide juridique du FOSS

Comprendre le modèle de développement de logiciels Libre et Open Source, quelle licence adopter, comment encadrer juridiquement son projet et se prémunir contre d'éventuelles attaques liées à la violation de brevets ou encore comment déposer une marque, c'est, pour résumer, ce à quoi tente de répondre « A Legal Issues Primer for Open Source and Free Software Projects », un guide juridique publié par la Software Freedom Law Center le 14 février dernier. Le SFLC, dont le métier est de proposer des services d'accompagnements juridiques et légaux autour du logiciel Libre, destine avant tout son guide aux personnes qui ne connaissent pas le modèle Libre ou Open Source, mais souhaitent s'y intéresser. « Avec ce guide, nous visons tout public intéressé par une compréhension basique des problèmes légaux qui impactent sur le développement et la distribution de logiciels FOSS [ndlr, Free and Open Source Software] », écrit Eben Moglen, président du SFLC. L'objectif est donc de vulgariser tant les concepts et les enjeux que les risques liés au modèle FOSS, auprès notamment d'avocats, qui pourraient avoir à traiter des dossiers autour de cette problématique. « Il fournit un référent dans le domaine des lois, pour alimenter des débats constructifs entre clients et avocats sur des thèmes juridiques. » Pour cela, le guide dans sa version 1.5 se compartimente en quatre parties : les fondamentaux du copyright, ceux des structures juridiques (comme les principes d'une fondation ou le choix d'un nom), les moyens de défenses de brevets et les problèmes liés au dépôt de marque. (...)

(20/02/2008 10:03:55)

Jet Multimédia propose son CMS mobile sous licence GPL

La communauté Open Source vient de s'enrichir d'un système de gestion et de publication de contenu (CMS, Content management system) pour les téléphones mobiles. Jet Multimédia, prestataire de services dans le domaine du marketing mobile, de l'infogérance et de la relation client, propose en effet sous licence GPL le CMS qu'il a développé, Huria. Conçu pour pouvoir s'installer en environnement Lamp (Linux, Apache, MySQL, PHP), Huria dispose des fonctions classiques d'un CMS pour Internet, plus des outils spécifiques liés aux mobiles, comme la détection du modèle ou l'adaptation de la page. Axel Mery, responsable mobilité de Jet Multimédia, espère que ce don à la communauté servira à « accélérer le développement du marché du marketing mobile ». (...)

(19/02/2008 12:36:12)

Mozilla crée officiellement sa filiale pour héberger Thunderbird

C'est Mozilla Messaging. Depuis septembre dernier, on savait que la fondation Mozilla entendait créer une nouvelle filiale pour gérer le projet de développement de Thunderbird, son logiciel de gestion des courriels (et flux RSS, newsgroups...), et que sa direction serait confiée à David Ascher, connu dans le monde du Libre pour ses travaux au sein de la communauté Python. La chose est désormais finalisée. Mozilla Messaging, filiale de Mozilla Foundation au même titre que l'entité Mozilla Corp., qui gère les développements du navigateur Open Source Firefox, sera dirigée par un conseil d'administration composé de David Ascher (avec le poste de CEO), Chris Beard, le directeur général de Mozilla Labs, et Marten Mickos, le CEO de MySQL. Mozilla avait expliqué cette décision par une volonté de donner à Thunderbird, beaucoup moins populaire que Firefox, toute l'attention que ce produit mérite, par le biais d'une équipe et d'un budget spécifiques. Hormis l'intégration de fonctions d'agenda au sein du client de messagerie, on ne sait pas encore grand-chose des projets pour la version 3 de Thunderbird. A beaucoup d'égards, explique David Ascher, il s'agit d'un re-lancement. De fait, les deux principaux développeurs de Thunderbird avaient quitté le projet en octobre dernier. (...)

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