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(25/06/2009 17:09:30)

Le Fonds stratégique d'investissement va miser sur les éditeurs de logiciels

Créé pour soutenir les PME de croissance, le Fonds stratégique d'investissement (FSI) a inscrit les acteurs du logiciel au nombre des industries innovantes qu'il veut soutenir. Il vient d'annoncer, conjointement avec l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, un partenariat pour établir les enjeux du secteur et favoriser une mise en relation avec les entreprises intéressées. Ce fonds, constitué fin 2008, intervient en fonds propres avec des prises de participation directes dans les entreprises. Détenu à 49% par l'Etat et à 51% par la Caisse des Dépôts, il dispose de 20 milliards d'euros d'actifs dont 6 milliards de liquidités immédiatement mobilisables. Pour Loïc Rivière, délégué général de l'Afdel, l'engagement du FSI aux côtés des éditeurs de logiciels constitue « le début de quelque chose d'exceptionnel ». Il rappelle que la problématique de financement est cruciale dans le processus de développement des éditeurs : « investir pendant trois ans en R&D suppose des fonds conséquents ». L'objectif du FSI consistera à prendre des parts minoritaires dans des entreprises présentant un fort potentiel. Plusieurs dossiers d'éditeurs figurant parmi les cinquante premiers du logiciel en France lui ont déjà été transmis par l'Afdel. Il s'agit notamment de sociétés ayant « une problématique de croissance externe, voire de développement à l'international », précise Loïc Rivière. Le montant minimum d'investissement du FSI dans les entreprises pourrait s'élever à 5 M€. Les dossiers correspondants à des besoins d'investissement d'un montant inférieur devraient être redirigés vers France Investissement. Il est prévu que les participations du FSI soient limitées dans le temps, à moyen et long terme. L'Afdel compte transmettre par courriel une information sur ces possibilités de financement à 500 éditeurs de logiciels français pour leur suggérer de faire remonter leurs projets de développement. (...)

(25/06/2009 16:48:43)

Les femmes toujours sous-représentées dans les TIC en Europe

Une étude réalisée par EUN Schoolnet montre sans surprise que les femmes sont sous-représentées dans le secteur des TIC en Europe. En France, l'analyse révèle que si 49% des étudiantes se déclarent intéressées par une carrière dans ce domaine, elles ne sont plus que le quart à poursuivre dans cette voie. Le facteur le plus démotivant est le sentiment que les TIC constituent un secteur d'activité essentiellement réservé aux hommes. L'étude pointe du doigt une déperdition des talents pour l'industrie informatique. Moins d'un tiers des responsables informatiques sont des femmes. Parmi les ingénieurs en informatique, on dénombre seulement 9,6% de femmes. Et dans l'enseignement supérieur, seules 5,8% de femmes occupent des postes de professeurs dans le domaine informatique. Pour les jeunes filles en phase d'orientation, le nombre de modèles à qui elles pourraient s'identifier est donc fort restreint. Selon l'étude, pouvoirs publics et industries devraient collaborer afin de faire évoluer la perception des TIC auprès des étudiantes car, à défaut d'éducation, de soutien et d'encouragement, cette situation devrait perdurer. (...)

(25/06/2009 15:58:59)

Annuels : Oracle résiste mieux à la crise que prévu grâce à la maintenance

Wall Street a apprécié les résultats du dernier trimestre d'Oracle. L'éditeur, aussi talentueux dans la vente de ses produits que dans sa communication financière, a annoncé un CA en baisse de 5% à 6,86 Md$, assorti d'un résultat net en recul de 4% à 1,9 Md$. Deux chiffres supérieurs aux prévisions des boursiers qui se régalent toujours des 51% de marge opérationnelle du groupe. De plus, sans les effets de change, Oracle aurait vu son net progresser de 9%. Sur l'année, le CA progresse de 3,7%, à 23,25 Md$ et le net de 1%, à 5,6 Md$. Oracle résiste donc plutôt bien à la crise, en grande partie grâce aux revenus récurrents que lui rapporte la maintenance de sa base installée : 3 Md$, +8% (44% du CA) sur son dernier trimestre. En revanche, dans le même temps, il enregistre une baisse de 13% de ses ventes de nouvelles licences à 2,7 Md$ (44% du CA). Ses dirigeants se focalisent sur la meilleure façon de réussir l'intégration de Sun, dont le modèle économique est nettement moins rentable que celui d'Oracle. Ce dernier est spécialiste des absorptions - depuis 2005, il a dépensé 30 Md$ pour acquérir 55 autres éditeurs. Celle de Sun est un nouveau défi que Larry Ellison relève déjà avec sa fougue habituelle. Il a ainsi consacré la moitié de son temps de parole à faire l'apologie de la "Database Machine". Ce système tout-en-un, lancé fin 2008, se compose de logiciels Oracle, de serveurs HP et du système de stockage Exadata. Le message est clair : cette Database Machine indique le sens dans lequel Oracle travaille à l'intégration de Sun. Si l'on s'intéresse aux lignes de produits, le quatrième trimestre a été marqué par une baisse des ventes de licences SGBD et middleware de 10%, à 1,9 Md$, alors que celles pour les applications ont enregistré une chute de 19%, à 805 M$. Le groupe revendique 32 000 clients. Au cours du quatrième trimestre, le CA réalisé en Europe a baissé plus nettement (-10%) que le CA global. Contrairement aux Etats-Unis, où les ventes de SGBD et de middleware ne baissent que de 9% et les ventes d'applications de 25%, ce sont les ventes de SGBD et de middleware qui baissent plus en Europe (-14%) que celles d'applications (-11%). (...)

(25/06/2009 15:33:35)

Le nouveau patron de Toshiba se défie des semiconducteurs

De formation ingénieur nucléaire, Noria Sasaki vient de prendre les rênes du conglomérat Toshiba alors que celui-ci a inscrit, pour son exercice fiscal 2008 clos en mars dernier, une perte opérationnelle de 250 Md de yens sur un CA en baisse de 13% à 6654 Md de yens. Les autres divisions du groupe n'ont pu compenser la perte opérationnelle de 323 Md de Yens (3,4 Md$) de la division Digital Devices (semiconducteurs). Alors qu'elle ne génère que 20% du CA total de Toshiba, cette division, dont le CA a baissé de plus de 25%, avait absorbé au cours de l'exercice précédent 71% de la capacité d'investissement de Toshiba. Pour l'année qui commence, le groupe ne lui accordera que 39% de ses ressources. Issu de l'activité centrale nucléaire de Toshiba, Noria Sasaki a indiqué qu'il comptait oeuvrer pour que son groupe soit moins exposé aux crises conjoncturelles et il a précisé que l'activité semiconducteur était trop dispersée. Pour l'exercice en cours, Il prévoit un CA étale pour cette division. Ces prévisions indiquent aussi qu'elle sera la seule grande division à encore enregistrer des pertes opérationnelles. (...)

(25/06/2009 15:29:44)

Les pays émergents en passe de devenir des poubelles à PC usagés

En devenant le réceptacle de nombreux PC de seconde main, les pays émergents courent le risque de devenir de gigantesques décharges IT des économies occidentales. Ce constat alarmant est dressé par Gartner, qui met en garde les pays développés et les encourage à changer leurs méthodes de gestion de leurs matériels obsolètes. Selon le cabinet d'études, plus de 37 millions d'ordinateurs ont fini leur vie dans un pays pauvre en 2008, un chiffre qui pourrait atteindre 69 millions en 2012. A titre de comparaison, il s'est vendu 302 millions de PC neufs dans le monde en 2008. Sous couvert d'envoyer les machines usagées dans les pays les plus pauvres afin qu'elles soient réutilisées, ces exportations peuvent constituer des prétextes dissimulant une volonté de jeter, voire de se décharger de la responsabilité du traitement de ce type de déchets électroniques sur les économies émergentes, « rarement équipées pour les traiter de façon responsable tant au point de vue social qu'environnemental », explique Gartner. Au-delà des légitimes considérations écologiques, Gartner met en garde les constructeurs contre le déficit d'image dont elles pourraient pâtir. « Rien ne nuit plus aux efforts déployés par les fabricants pour paraître vert que la découverte de machines portant leur marque, jetées dans un pays émergent en Asie ou en Afrique », conclut le cabinet d'études. (...)

(25/06/2009 13:32:23)

Les entreprises ne surveillent pas assez leur réputation sur les réseaux sociaux

Deloitte encourage les entreprises à tenir compte des risques engendrés par la fréquentation des réseaux sociaux par leurs salariés. 74% des 2000 personnes interrogées par le cabinet d'études estiment en effet qu'il est facile de nuire à la réputation d'une marque via des sites comme Facebook, Twitter ou YouTube, et ce même de manière non intentionnelle. 37% d'entre elles ne tiennent pourtant pas compte de l'impact que leurs commentaires, photos et autres vidéos postés sur ces sites peuvent avoir sur leurs collègues, leurs patrons ou leurs clients. Du côté des dirigeants, 58% ont conscience des risques mais, dans les faits, seuls 15% ont mis en place des solutions pour y remédier, notamment en termes de communication et de prévention. Ce qui ne signifie pas pour autant que les comportements changent. La moitié des salariés interrogés n'a nullement l'intention de modifier sa manière d'utiliser les sites communautaires, et ce quelles que soient les préconisations de l'entreprise. 24% d'entre eux ignorent si leur employeur a mis sur pied une politique à ce sujet, et seuls 15% déclarent l'approuver. Dirigeants et salariés sont également divisés sur les avantages que la fréquentation des réseaux sociaux peut apporter à l'équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. 56% des dirigeants estiment qu'ils améliorent la balance entre les deux, contre 31% chez les employés. En termes de taux de fréquentations, 44% des personnes interrogées ne se connectent jamais à des réseaux sociaux, 10% une fois par semaine et 45% plusieurs fois. Elles sont peu nombreuses à le faire depuis le lieu de travail (21%) et affirment le faire essentiellement pour des raisons professionnelles. 29% des salariés interrogés avouent que le contexte économique les pousse à être plus prudents dans leurs messages sur les réseaux sociaux. 7% confient avec eu connaissance de licenciements faisant suite à un comportement sur Internet jugé « inadapté » par l'employeur. (...)

(25/06/2009 11:51:51)

Google lance un site pour accélérer le Web

Google s'est donné un nouvel objectif : accélérer la navigation sur le Web pour la rendre aussi rapide que « tourner les pages d'un magazine ». Pour cela, la société vient de lancer un site à destination des développeurs. Outre une vidéo d'introduction, la page Web leur fournira des conseils et des outils pour améliorer la performance de leur site, ainsi qu'un espace de discussion et d'échange. Au-delà du Web traditionnel accessible par les ordinateurs (netbooks compris), Google veut aussi doper le Web mobile, accessible par les baladeurs ou les smartphones (notamment avec le système d'exploitation Android). Reste que pour réellement augmenter les performances du Web, Google devra faire plus que mettre en ligne un simple site. Le géant du Web devra notamment fédérer développeurs, fournisseurs d'accès à Internet et éditeurs de navigateurs pour pousser à l'adoption des standards les plus récents comme TCP/IP ou HTML (notamment HTML 5). (...)

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