Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14551 à 14560.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(25/06/2008 12:16:00)
Signature, horodatage, certification.
Pascal Colin, Vice-président de la FNTC (...)
(25/06/2008 12:12:00)Le vade-mecum de la Fédération Nationale des Tiers de Confiance
Eric Caprioli, Vice-président de la FNTC, avocat à la Cour de Paris (...)
(25/06/2008 11:57:00)Politique générale de la Fédération Nationale des Tiers de Confiance
Jean Saphores, président de la FNTC (...)
(24/06/2008 18:14:55)Le TGI de Paris condamne Darty à afficher les prix des logiciels pré-installés
Selon une dépêche de l'AFP, le Tribunal de grande instance de Paris vient de condamner Darty à afficher le prix des logiciels installés sur les ordinateurs proposés à la vente. L'enseigne était poursuivie à ce sujet par l'association UFC-que Choisir et la condamnation concerne principalement Windows et des logiciels Microsoft comme le pack Office. En revanche, Darty n'est pas contraint à interrompre la vente de machines avec des OS pré-installés. Dans un communiqué, Frédéric Couchet, délégué général de l'April se félicite : « L'affichage des prix fait partie des obligations du vendeur. Mais dans le cas des ordinateurs, on ne sait jamais combien coûtent les logiciels. La plupart des consommateurs pensent que le système d'exploitation Microsoft Windows, qu'on les force à acheter avec tout nouvel ordinateur, est gratuit. Or la version la moins chère coûte une centaine d'euros. Cette décision du TGI de Paris est donc un premier pas important vers l'affichage des conditions d'utilisation des différents éléments logiciels et [...] la possibilité pour un consommateur de n'acheter que les éléments qu'il souhaite. » L'association souligne qu'en rendant une telle décision, «...les juges posent une première limite à la vente liée. » Sur le même sujet, les tribunaux avaient déjà donné raison à un consommateur contre Asus à Caen au mois de mai. L'an dernier, c'est Acer qui était lui-aussi condamné pour vente liée. (...)
(24/06/2008 17:11:06)SAP rachète un partenaire dans la gestion de production
En rachetant l'éditeur américain Visiprise et ses solutions d'exécution de la production (MES, Manufacturing Execution System), c'est un partenaire de longue date que SAP accueille sous sa bannière. Le fournisseur allemand d'applications de gestion intégrées (ERP) a collaboré avec Visiprise sur différents projets, mis en oeuvre conjointement chez des clients de l'industrie discrète. Les logiciels de Visiprise s'appuient sur la plateforme d'intégration NetWeaver de SAP et sont déjà pré-intégrés dans l'application composite xMII (Manufacturing Integration et Intelligence). Cette dernière relie l'ERP aux applications utilisées dans l'atelier afin que les équipes de production s'adaptent plus rapidement aux modifications intervenant sur les commandes, les matières premières, la qualité, etc. Le montant du rachat de Visiprise, qui doit être finalisé en juillet, n'a pas été communiqué. Cette société de 300 personnes, installée en Géorgie, dispose aussi de bureaux en Californie et en Ukraine. (...)
(24/06/2008 16:45:24)Roselyne Bachelot croit toujours au DMP
Dans le cadre de la relance du dossier médical personnalisé (DMP), Roselyne Bachelot, ministre de la santé, s'est rendue à l'hôpital Georges Pompidou (Paris 15ème), le lundi 23 juin. Elle s'est exprimée afin de donner une nouvelle gouvernance au projet et d'annoncer plusieurs modifications substantielles à celui-ci. Elle est également intervenue au niveau des organisations qui travaillent dans le domaine de l'informatisation de la médecine en créant l'Agence des Systèmes d'Information de santé Partagée, l'ASIP. Comme beaucoup d'hôpitaux aujourd'hui, Pompidou dispose d'un dossier patient numérique pour lequel il a été un pionnier. La ministre de la santé aura pu en souligner l'intérêt. Reste que la véritable difficulté du DMP sera de faire communiquer entre eux ces différents dossiers patients numériques qui existent un peu partout dans les hôpitaux, y compris dans les cabinets médicaux. La ministre a rappelé que «le DMP peut être exploité par l'ensemble du corps médical. Il permet de conserver et d'échanger des données liées à la santé des patients : vaccins, traitements, hospitalisations, examens biologiques...» afin d'arrêter de doublonner certains actes coûteux. Ce partage d'information doit aussi favoriser la coopération entre les professionnels de santé pour une prise en charge des patients plus efficace, au meilleur coût. C'est sur la base du volontariat que ce DMP est censé repartir alors qu'il piétine depuis des années. Un premier socle en 2009 [[page]] Un premier socle du DMP devra être prêt pour 2009, avec des services de base d'accès aux médicaments délivrés au patient, ses résultats de radiologie et d'analyses. En parallèle, des pilotes expérimenteront des services comme les rappels automatiques de vaccins, le dépistage et pour les professionnels de santé, il sera possible d'obtenir une vision du parcours du patient. Evolution importante par rapport aux projets précédents, ce « socle » sera hébergé au niveau national, point qui n'avait jamais été précisé explicitement jusqu'alors. Il bénéficiera par ailleurs du très attendu identifiant national de santé. Cet identifiant nouveau est différent du numéro INSEE, utilisé par la sécurité sociale. En outre, un Conseil national des systèmes d'information de santé sera créé. Et les maîtrises d'ouvrage des projets de systèmes d'information partagée seront fusionnées au sein de l'ASIP. Le GIP DMP, le GIP CPS et la partie « interopérabilité » du GMSIH donneront naissance à l'agence des systèmes d'information de santé partagée, l'ASIP. Un budget de 100 millions d'euros Le DMP bénéficiera d'un budget de l'ordre de 100 millions d'euros par an, avec un effort légèrement supérieur en phase de lancement. Enfin, une nouvelle version, appuyée sur le portail d'accès et l'identifiant de santé est attendue à partir de 2011 ou 2012. Il semblerait que les services actuellement expérimentés un peu partout sur le territoire devraient s'appuyer sur la plate-forme nationale, au même titre que les dossiers patients numériques hospitaliers, des cliniques et des médecins libéraux. L'un des rôles des nouvelles organisations mises en place sera de définir les normes d'interopérabilité entre tous ces outils. (...)
(24/06/2008 16:12:17)Deux start-up auvergnates fusionnent au sein de LaFermeDigitale
Pas de spectre de bulle Web 2.0 pour les deux entreprises régionales Brioude Internet Référencement et Periscope Creations, qui fêtent leurs dix ans d'existence en fusionnant. La nouvelle entité, baptisée « LaFermeDigitale », compte pour le moment 90 salariés. Brioude Internet Référencement, basée en Haute Loire, emploie 54 personnes réparties sur huit sites. Comme son nom l'indique, la start-up est spécialisée dans le conseil en référencement. Periscope Creations, localisée à Clermont-Ferrand, dans le Puy de Dôme, est une agence Web qui propose des prestations Internet comme le développement de sites (Welcome in Auvergne ou encore le site de promotion du Développement durable de la Banque Populaire) et la création de jeux en ligne (Le Jeu du rugby par exemple). Les activités des deux start-up sont donc complémentaires. LaFermeDigitale devrait recruter une centaine de nouveaux collaborateurs au courant des trois années à venir, et compte sur une croissance de l'ordre de 30 à 40% par an, pour un chiffre d'affaires de plus de 10 M€ en 2009. (...)
(24/06/2008 15:51:03)Chatel et Besson veulent dresser le bilan de la LCEN
Trois ans après l'adoption de la loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN), Luc Chatel et Eric Besson, respectivement secrétaires d'Etat à la Consommation et à l'Economie numérique, veulent en établir un bilan et lister ses perspectives d'évolution. Le tout dans le cadre des Assises du numérique. Il y a deux mois, les députés Jean Dionis du Séjour et Corinne Erhel présentaient un rapport poursuivant le même but. De fait, le constat sur lequel reposent les réflexions des édiles et des membres du gouvernement est le même : Internet a largement évolué depuis la création de la LCEN, notamment en raison de l'irruption du Web 2.0. Ce changement du paysage numérique a entraîné une modification des rapports économiques et juridiques entre les différents acteurs. Jean Dionis du Séjour estime ainsi que les statuts d'hébergeur et d'éditeur ne peuvent plus se contenter d'être vus à la seule lumière de la LCEN et doivent être redéfinis. Des Dailymotion et autres Youtube ne peuvent par exemple plus se réfugier derrière leur rôle d'hébergeur pour être exonérés de toute responsabilité quant au contenu publié sur leur plateforme. Mais, là où les députés réclament que le législateur se remette au travail et accouche d'une LCEN 2, les secrétaires d'Etat se font moins revendicatifs. Leur action vise en effet uniquement à « recueillir les perceptions de tous les acteurs afin d'éclairer les pouvoirs publics sur les acquis de la loi et tracer les perspectives d'éventuelles évolutions ». « Il faut plus d'audace et de courage de la part du gouvernement », rétorque Jean Dionis. Le parlementaire regrette que les acteurs de l'économie numérique - résolument opposés à toute modification législative potentiellement attentatoire à leur prospérité - se satisfassent de l'instabilité juridique ambiante et fassent pression sur Eric Besson. Ce même Eric Besson qui, à l'issue de sa visite des locaux de Dailymotion, assurait ses hôtes qu'il ne serait pas « le ministre de la castration d'Internet », rappelant ainsi son opposition à une nouvelle législation. (...)
(24/06/2008 14:27:59)Microsoft, Google, Oracle, Novell et PayPal aspirent à une identité commune sur le Web
Une fois n'est pas coutume, Microsoft, Google, Oracle, Novell et PayPal (filiale d'eBay) s'associent au sein de l'Information Card Foundation (ICF). Il s'agit de la énième tentative pour standardiser une identité numérique reconnaissable par tous les sites qui veulent l'accepter. Cette initiative se différencie des précédentes sur deux points. Tout d'abord, elle englobe des adversaires d'hier même si on note l'absence d'IBM et de Sun, pourtant très actifs sur le sujet. Ensuite, elle ne vise pas tant le volet technologique que l'interopérabilité des différentes approches. Une interopérabilité qui serait symbolisée par un logo. Les buts affichés par ICF relèvent donc plus de la promotion et de la fédération que de la standardisation technique. Toutefois, ICF pêche toujours par son approche "propriétaire". Ainsi, l'initiative Open ID, une gestion des identités Open Source et transparente, n'apparaît pas dans les premières informations diffusées par ICF. En attendant que des milliers de sites fassent leur choix, les utilisateurs auront toujours à gérer leur portefeuille de mots de passe. Au moins, ils ne risquent pas de voir leur identité passer sous le contrôle d'opérateurs privés... (...)
(24/06/2008 13:22:52)PAI grappille encore 2% du capital d'Atos Origin
Quelques jours à peine après son retour surprise dans le capital d'Atos Origin, PAI Partners se fait de nouveau remarquer. Le fonds d'investissement vient de racheter 2% des actions Atos détenus par Centaurus, confortant ainsi sa position de premier actionnaire de la SSII française, avec près de 20% du capital. PAI réclame deux sièges au sein du conseil de surveillance d'Atos Origin - une requête qui semble justifiée, le fonds d'investissement étant l'actionnaire historique de la SSII. Entre 1997 et 2000, PAI n'a pas cessé de promouvoir Atos. En 1997, le fonds a contribué à la création d'Atos, en favorisant le rapprochement entre Axime et Sligos. PAI détenait alors 100% du capital de la SSII, jusqu'à son entrée en bourse. En 2000, c'est également lui qui a contribué au succès de la fusion entre Atos et le Néerlandais Origin, donnant ainsi naissance à Atos Origin. PAI n'exclut pas d'autres achats d'actions PAI Partners souhaite « s'engager sur le moyen terme aux côtés de la direction, pour l'aider à réaliser son plan de transformation », une déclaration rassurante pour la société de services, qui a frôlé le rachat et même le démantèlement. Le fonds a également promis de ne pas travailler de concert avec un parti tiers, ni à prendre le contrôle de la société, mais n'exclut pas la poursuite d'achat d'actions d'Atos Origin. La SSII a encore une raison de souffler. Le fait que Centaurus cède aussi facilement une partie de ses actions à PAI pourrait mettre un terme définitif au conflit qui l'opposait depuis des mois à ses deux actionnaires principaux de l'époque, Centaurus et Pardus. Ce dernier n'a pas encore réagi. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |