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(11/06/2008 17:55:46)
Wimax en France : des résultats très loin des objectifs fixés, mais le moral reste bon
L'Arcep publiera le 30 juin prochain le bilan des déploiements Wimax en France et ce qu'il en est du respect des engagements de couverture du territoire par les opérateurs détenteurs d'une licence. Pour l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel), le résultat est sans surprise très loin des objectifs fixés. L'Avicca estime que les procédures de sélection des opérateurs Wimax ont été inadaptées. De même, la mesure des engagements de couverture est mal ficelée. Les capacités de sanction de l'Arcep par rapport aux manquements des opérateurs sont également mal dimensionnées. Selon l'Avicca, les opérateurs privés (Free, Altitude, SHD, Bolloré, HDRR) n'ont pratiquement pas investi en l'absence de financements publics. Les déploiements en cours ou effectués sont le fait des collectivités, surtout dans les départements. Les glissements de calendrier des équipementiers n'expliquent pas tout. L'Avicca exhorte l'Arcep à être ferme sur les retards de déploiement des opérateurs, voudrait que la bande des 2,5 Ghz devienne utilisable car elle est mieux adaptée aux transmissions radio, et que l'on s'assure de la taille réelle de la bande passante. Un frein important au Wimax vient des stratégies des FAI et de leur très forte concentration. Un offreur de gros se trouvera en position très défavorable auprès des grands FAI afin de couvrir les zones blanches, qui ne sont qu'une niche. En France, les zones blanches de l'ADSL représentent environ 550 000 lignes, soit moins de 300 000 clients potentiels. C'est une goutte d'eau pour les FAI nationaux. On ne peut pas compter sur France Telecom dans cette équation car l'opérateur a mis en place sa propre stratégie de desserte en boucle locale (les NRA ZO). Il ne reste donc que les FAI alternatifs pour couvrir ce marché. [[page]]L'Avicca souligne que le Wimax est une véritable technologie d'opérateurs. Mais qu'elle a comme inconvénients d'être sensible au relief et à la végétation et de se situer en France dans une bande de fréquences (3,5 Ghz) non optimale avec une bande passante réduite, alors qu'aux Etats Unis les déploiements ont lieu en 2,5 GHz, nettement plus favorables aux ondes radio. En outre, le Wimax n'est pas encore mature. Ceci dit, l'Avicca pense que la débâcle de la BLR (Boucle Locale Radio) ne devrait pas se reproduire notamment grâce au coup d'accélérateur apporté par le lancement de l'opérateur Wimax ClearWire aux Etats Unis. L'Avicca poursuit en indiquant que des retards ont été constatés en 2007 et début de 2008 par rapport aux prévisions de montée en charge aussi bien sur la normalisation que sur la livraison des équipements. La normalisation du Wimax version 802.16 e est attendue pour début de l'année prochaine, en 3,5 GHz. Il est difficile de s'assurer que les premiers réseaux déployés en 802.16 d soient compatibles avec les réseaux 802.16 e. La France est l'un des premiers pays au monde à déployer dans la bande des 3,5 Ghz en 802. 16 e et la fabrication industrielle de masse n'est pas engagée. Les équipements demeurent chers, en particulier chez les particuliers. Ceci dit, l'Avicca estime que le glissement de planning du Wimax s'est stabilisé aujourd'hui. Reste que les composants sont d'abord fabriqués pour le 2,5 Ghz. Il y aura selon l'Avicca, un an de retard entre les bénéfices apportés aux produits en 2,5 Ghz avant qu'ils n'arrivent en 3,5 Ghz. Par ailleurs, les retours d'expérience indiquent que le Wimax a une portée de dix à douze kilomètres, pour obtenir un débit de 2 Mbit/s. (...)
(11/06/2008 15:29:40)Microsoft dans le collimateur de Neelie Kroes
« Je sais reconnaître une décision intelligente lorsque j'en vois une. Le choix de standards ouverts en est une. » Cette phrase, issue du discours prononcé par Neelie Kroes, la Commissaire européenne à la concurrence, à l'occasion de l'OpenForum, à Bruxelles, illustre la teneur de son message : il faut privilégier les standards ouverts plutôt que les formats propriétaires. Partant, la représentante de la Commission s'en est pris à mots couverts à Microsoft, dont les efforts visant à donner un statut de standard à son format Open XML risquent d'aboutir à une violation des règles de concurrence. Certes, Neelie Kroes s'est habilement abstenue de prononcer le nom de Microsoft. Mais, en ponctuant son allocution de multiples allusions au géant du logiciel, elle n'a guère laissé planer de doute : une épée de Damoclès est suspendue au-dessus de Redmond et l'éventualité d'une nouvelle condamnation de l'éditeur n'est pas qu'une vue de l'esprit. Selon la Commissaire, les standards sont « les fondements de l'interopérabilité », qu'ils soient propriétaires ou non. Mais lorsqu'ils sont imposés par un seul acteur, ils s'avèrent « problématiques, en ce qu'ils ne présentent pas les garanties d'ouverture typiquement inhérentes aux standards ». De fait, Neelie Kroes estime qu'il faut rester mesuré sur les processus de standardisation et ne pas chercher à standardiser à tout crin : « il est simpliste de croire que, parce que la standardisation apporte parfois des avantages, plus de standardisation induira nécessairement un bénéfice ». Dans la ligne de mire de la Commissaire se profile évidemment la décision de l'ISO d'accorder le statut de standard au format Open XML de Microsoft. Une certification à propos de laquelle Neelie Kroes reste circonspecte : « je ne parviens pas à voir l'intérêt pour les consommateurs d'inclure des technologies propriétaires dans des standards si leurs avantages par rapport à des alternatives non propriétaires ne sont pas évidents ». Et, ciblant toujours implicitement Microsoft, la membre de la Commission européenne se fait presque menaçante, estimant que « si le contexte dans lequel se déroule le processus de standardisation est moins influencé par des questions techniques que par des incitations ou des pressions commerciales, cela risque de finalement déroger aux règles de la concurrence ». Après avoir condamné l'éditeur en 2004 pour abus de position dominante sur le marché des OS, Bruxelles a ouvert, en début d'année, une nouvelle procédure axée sur Office. Parallèlement, la Commission a envoyé un questionnaire aux différents bureaux européens de l'ISO, pour recueillir des informations sur le processus de standardisation d'Open XML. « Selon vous, y a-t-il eu des irrégularités ou des tentatives d'influencer les débats ou les votes sur la proposition Ecma 376 ? », a demandé Bruxelles. Ecma 376 désignant la demande de standardisation d'Open XML, actuellement suspendue. (...)
(11/06/2008 14:33:42)Indice Monster : légère baisse de l'emploi informatique en mai
En mai, l'index de l'emploi publié par Monster sur les tendances du recrutement en ligne s'est légèrement rétracté. Le volume des offres d'emploi à destination des professions intellectuelles et scientifiques a très légèrement diminué au cours du mois dernier. Dans l'informatique, en particulier, l'indice de mesure des offres diffusées sur Internet a ainsi reculé de quatre points. Dans la filière R&D, l'activité de recrutement en ligne est également en léger repli (-3 points). Néanmoins, dans ce secteur, la tendance globale du marché de l'emploi se situe à un niveau toujours aussi élevé. À l'inverse de la tendance nationale, l'Ile-de-France est la seule grande région du pays à voir son activité de recrutement en ligne orientée à la hausse au mois de mai. Les régions Est et Nord ont toutes deux fléchi de deux points au cours de cette période. (...)
(11/06/2008 14:30:11)La standardisation d'OOXML suspendue par un appel
Le secrétariat général de l'organisme international de normalisation ISO confirme que le Brésil, l'Inde, l'Afrique du Sud ainsi que le Venezuela ont interjeté appel de la norme ISO/IEC DIS 29500, autrement dit de l'adoption du format Office Open XML (OOXML) de Microsoft comme standard, au même titre qu'Open Office. L'ISO étudiera les dépôts des quatre pays membres. D'ici trente jours, il sera décidé si cette procédure d'appel est valable. Si c'est le cas, une commission de conciliation sera constituée pour aboutir à une solution. L'ISO précise que cette phase pourrait durer plusieurs mois et que cette procédure d'appel est suspensive. Autrement dit, le standard OOXML ne pourra pas être publié avant son achèvement. (...)
(11/06/2008 14:33:18)L'externalisation des RH va s'élargir au-delà du secteur de la paie
Les DRH en ont rêvé, leurs prestataires le réalisent de plus en plus. Le rêve, c'est de se consacrer davantage au développement des ressources humaines de l'entreprise et moins à la gestion des procédures administratives, ce qui peut passer par des opérations d'externalisation. L'externalisation de la gestion des ressources humaines arrive à un tournant. A partir de 2009, 49% des entreprises la pratiqueront, 52% en 2010. Une entreprise sur deux. Ce chiffre est de 45% cette année, contre 40% en 2007, estime Markess International dans sa dernière étude. La croissance de 12% cette année (par rapport à 2007) se maintiendra au-dessus des 10% jusqu'en 2012, selon le cabinet qui a interrogé un échantillon de 860 entreprises au 2ème trimestre. Sur 2008, ce marché devrait représenter 965 millions d'euros soit 42% du marché total des logiciels et services de RH (évalué à 2,3 milliards d'euros pour 2008). Des changements législatifs incessants Cette forte croissance concerne d'abord le domaine de la paie, le plus administratif et le plus facile à automatiser et à externaliser de tous les processus RH. Les changements législatifs incessants (Loi Tepa, loi Fillon, Dif etc...) incitent à sous-traiter cette activité devenue un vrai « casse tête ». Derrière la paie, d'autres secteurs deviennent de plus en plus sensibles à l'externalisation. C'est l'autre tendance forte dégagée par l'étude qui cite : la formation, les recrutements, la gestion des temps et des activités, la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. Ce dernier point apparaît même comme un chantier stratégique dans les entreprises, et pas seulement au niveau RH, avec l'arrivée de nouvelles normes imposées par la loi de cohésion sociale. Le recrutement s'externalise[[page]] « Le recrutement s'externalise également par des solutions de 'CV sourcing' qui permettent d'identifier automatiquement les profils les plus proches de la recherche du recruteur », nous explique Hélène Mouiche, chargée d'études senior chez Markess. Quant à la formation, l'externalisation porte sur son administration. Des acteurs comme Training Orchestra ou Ciemes arrivent sur ce créneau, d'autres s'en rapprochent, comme HR Access ou Cegedim. Des entreprises exigeantes à l'égard des prestataires Côté entreprises et côté prestataires se prépare donc un élargissement du périmètre de l'externalisation des RH. Les données technologiques laissent les entreprises clientes insensibles. En fait elles font rarement la différence entre ASP ou SaaS, hébergement, TMA ou intégration. En revanche, elles se montrent exigeantes à l'égard des fournisseurs sur la qualité de leurs prestations. Elles sont 42% à citer comme points de blocage la dépendance vis-à-vis du prestataire et 40% à invoquer le coût des prestations d'externalisation. 22% envisagent de changer de prestataire, 11% souhaitent déjà réinstaller en ré-internaliser. Markess a interrogé 27 prestataires spécialisés en notant la recherche d'accords de partenariats. Il s'agit pour plusieurs d'entre eux de compléter leurs offres avec celles de partenaires spécialisés afin d'apporter des prestations d'externalisation sur d'autres domaines que la paie. Parfois, ils recherchent également des prestations de conseil ou d'accompagnement au changement. (...)
(11/06/2008 12:30:35)Liquid Computing et NetApp préparent des offres sectorielles pour salles de serveurs
Spécialiste du stockage et de la gestion de données, NetApp vient de s'associer avec Liquid Computing, spécialisé dans la connectique des salles de serveurs. Le tout prendra la forme de solutions de « data center in the box » pour certains marchés verticaux. Dans un premier temps, Liquid Computing s'appuiera sur les logiciels SnapMirror et FlexClone de NetApp pour proposer des offres adaptées aux marchés des télécommunications (y compris IPTV), du secteur énergétique (pétrole et gaz) et de l'administration, cet été. Le détail exact des solutions, ainsi que leur prix, seront connus au moment du lancement. Les deux sociétés souhaitent ensuite s'attaquer aux secteurs financier et médical. (...)
(11/06/2008 11:29:11)La F3C CFDT appelle à une nouvelle journée d'action sur les salaires
Depuis le début de l'année 2008, les conflits salariaux se multiplient dans les entreprises qui relevent de la convention Syntec (ingénierie,Informatique, bureaux d'études, conseil). La F3C CFDT a donc décidé d'organiser une nouvelle journée d'action sur les salaires et les évolutions professionnelles, demain, jeudi 12 juin. Un appel à la grève a été lancé chez Capgemini, Atos Origin Intégration, Tibco, Comverse, T-Systems et Altran. A Paris, des rassemblements auront lieu à partir de 12H30, devant le siège de Syntec Informatique dans le XVI ème arrondissement. En région, à Nantes, Nancy, Marseille, et Bordeaux, notamment, des manifestations se dérouleront devant les Medef territoriaux. A Lyon, les salariés sont appelés à se regrouper devant le Fafiec, l'organisme collecteur de la branche, pour revendiquer la construction d'un plan formation dans le secteur. (...)
(11/06/2008 11:07:55)L'Afdel ouvre en ligne ses Assises du Logiciel
Dans le cadre des Assises du numérique lancées le 29 mai dernier par Eric Besson s'ouvrent aujourd'hui les « Assises du Logiciel », organisées par l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels) en trois étapes d'ici au 27 juin. Les échanges pourront être suivis en ligne sur le site www.assisesdulogiciel.fr. Ils commencent aujourd'hui, mercredi 11 juin, à 15 heures, par trois tables rondes portant sur l'innovation et la recherche & développement. La première évoquera l'impact du logiciel sur la croissance. La deuxième s'arrêtera sur les forces et faiblesses de la R&D française en informatique avec, notamment les dirigeants de l'Inria Transfert et du pôle de compétitivité parisien Cap Digital. Enfin, la troisième table ronde s'interrogera sur la propriété intellectuelle comme socle de l'économie numérique. (...)
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