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(02/10/2007 18:01:52)
Sun (ré)intègre le stockage à la division serveurs
«Je vais radicalement augmenter l'implication de Sun dans le stockage. Comment ? Je vais combiner nos équipes Stockage et Serveurs pour créer un nouveau groupe au sein de Sun connu comme notre équipe Systèmes. » Par cette annonce sur son blog, Jonathan Schwartz, PDG de Sun, annonce encore une réorganisation de la partie stockage de sa société à l'heure où celle-ci supprime de 4 à 5000 postes dont un nombre indéterminé dans les deux divisions. John Fowler, qui dirige pour l'instant la division Serveur prendra la tête de cette nouvelle entité. Pour lui, cette fusion sera source d'innovation : « nous allons consacrer beaucoup d'énergie au point d'intersection entre le lieu où vous stockez vos affaires et celui où vous faites les calculs. Vous nous verrez aussi dépenser beaucoup d'énergie sur notre portefeuille logiciel. Nous voulons avoir une plateforme réellement ouverte autour de Solaris pour permettre l'exploitation du stockage et de ses capacités, ainsi que l'utilisation d'autres matériels, logiciels et technologies en provenance de Sun. » Pour John Webster, analyste au cabinet d'étude Illuminata, avec cette fusion Jonathan Schwartz mise une fois de plus sur la propriété intellectuelle de Sun : « Jonathan essaie de tirer partie des droits de Sun dans le monde de Solaris de toutes les manières possibles et le stockage est l'une d'entre elle. Assembler ces deux organisations fait donc tout à fait sens de ce point de vue ». Plus simplement, c'est aussi une excellente façon de rationaliser ses ventes : « C'est logique d'avoir le stockage et les serveurs dans la même division car ils sont souvent vendus ensemble », explique Charles King du cabinet Pund-IT. « Vous vous adressez aux mêmes clients, il y a de véritables économies d'échelle à faire en centralisant ainsi le marketing et la publicité. » (...)
(02/10/2007 17:47:35)L'Université de Lyon débusque les étudiants plagiaires
Les étudiants ont aujourd'hui massivement recours au plagiat pour rédiger leurs travaux. Une enquête menée par l'Université de Lyon (plus de 100 000 étudiants) sur les comportement de documentation et de plagiat révèle ainsi que 4 jeunes sur 5 ont recours au « copier/coller ». Les répondants, majoritairement masculins, sont issus des filières scientifiques, notamment des écoles d'ingénieurs. Quant aux enseignants, ils sont 9 sur 10 à être confrontés au problème du plagiat sur Internet dans les travaux rendus par leurs élèves. Pour lutter efficacement contre ce fléau, l'Université de Lyon, qui regroupe 12 grandes écoles et universités de la région, parmi lesquelles figurent des écoles d'ingénieurs comme l'Insa (Institut national des sciences appliquées) ou l'Université catholique, a choisi de s'équiper d'un logiciel anti-plagiat.Edité par Six degrés, Compilatio.net a été pensé pour répondre aux attentes de l'enseignement supérieur. L'outil indique le coefficient d'authenticité du document analysé et en identifie les passages douteux, en fournissant les sources probables. Ainsi, les travaux rendus par les étudiants sont analysés par leurs professeurs qui retrouvent les passages éventuellement copiés et peuvent dissuader les plagiaires. Compilatio.net semble intéresser les établissements d'études supérieurs et particulièrement les écoles d'ingénieurs. Ainsi, l'IFIPS, l'Institut de formation d'ingénieurs de L'Université Paris-Sud, et l'UFR- 6 Mitsic (Mathématiques, Informatique, Technologies, Sciences de l'Information et de la Communication) de Paris VIII, l'ont déjà adopté. (...)
(02/10/2007 17:20:46)LessWatts.org veut réduire la consommation électrique de Linux
Intel vient de créer une communauté baptisée "LessWatts.org". Comme son nom l'indique aux anglophones, elle a pour but de réduire la consommation des composants dans tous les systèmes sous Linux. Aux côtés d'Intel, on trouve Red Hat, Novell et Oracle, lequel semble prendre son rôle dans l'écosystème Linux très au sérieux. Le site fait la promotion de divers outils et améliorations, dont des modifications au niveau des dernières versions du noyau Linux, pour exploiter de manière optimale l'architecture Core d'Intel et Nehalem qui lui succèdera. (...)
(02/10/2007 17:13:30)Sony et Qimonda feront DRAM commune
Le Japonais Sony et Qimonda, spécialiste allemand des composants mémoires, fondent au Japon Qreatic Design, une joint venture 50/50. Sa mission consiste à concevoir des composants mémoires DRAM haute performance et basse consommation pour des design embarqués ou spécifiques. Qreatic Design est présenté par Qimonda comme son premier effort de diversification en dehors du monde de la micro-informatique. Qimonda regroupe l'activité mémoire d'Infineon, société créée par Siemens pour se désengager des semiconducteurs. Au quatrième trimestre 2006, Qimonda se plaçait au troisième rang mondial derrière Hynix et Samsung (...)
(02/10/2007 16:23:19)Semestriels : Oberthur CS délocalise, réduit ses coûts et améliore sa marge
Résultats encourageants pour Oberthur Card Systems au 1er semestre en dépit d'un plan de restructuration. Le spécialiste des technologies de cartes à puce annonce un chiffre d'affaires de 278 M€, en hausse de près de 14%, pour un résultat d'exploitation de 5,9 M€. Une marge notamment liée à un processus de délocalisation des sites de production industriels de la France et des Amériques vers l'Asie et notamment la Chine. Au niveau géographique, le développement du chiffre d'affaire connaît des fortunes diverses : si celui qui a été dégagé en Europe depuis longtemps en précurseur en matière de cartes à puce croît de 24% par rapport au semestre précédent, la tendance est inverse en Amérique du Nord où les revenus baissent de 7,2% sur la même période. La palme à l'activité en Asie avec une croissance des ventes de près de 30%, mais sur un chiffre d'affaires de 20 M€ (soit 7% du total contre 25% à l'Amérique du Nord et 68% à l'Europe). (...)
(02/10/2007 15:29:01)IBM propose la gestion de fichiers haute performance pour tous
Dans la version 3.2 de son GPFS (General Parallel File System), IBM ajoute des techniques de gestion des fichiers haute performance pour étendre la base de marché des supercalculateurs. Pour démontrer la puissance de cette nouvelle version, IBM a passé plus d'un milliard de fichiers en revue en un peu plus de deux heures et demi. Ce test vise surtout à convaincre les institutions financières et la grande distribution, qui manipulent de grosses quantités de données peu structurées. Un marché qui fait l'objet de nombreuses convoitises et dans lequel Sun a marqué récemment des points en rachetant CFS, connu pour Lustre, un gestionnaire de fichier Open Source dédié aux supercalculateurs. En outre, le GPFS est capable de retrouver des fichiers sur près de 1000 noeuds en parallèle, d'indiquer suivant le type de fichier le support de stockage à utiliser, et même de déplacer les fichiers non utilisés depuis 30 jours vers des supports plus économiques. Tournant sur serveurs System p et System x, il est supporté par AIX et certaines version de Red Hat et de Suse Linux. (...)
(02/10/2007 14:43:57)Explosion de la demande de semiconducteurs en août
En août, les ventes mondiales de semiconducteurs ont fortement augmenté (+4,9%) par rapport à l'an dernier pour atteindre 21,5 Md$. En séquentiel, la hausse est aussi conséquente : +4,5%. Août est le mois du début du cycle pour la fabrication des cadeaux électroniques de Noël. A noter une hausse du prix des composants Flash NAND, résultat d'une très forte demande : +48% sur un an et +19% en séquentiel. Selon la Semiconductor Industry Association (SIA), la micro génère 40% du CA de ses membres. Cette industrie doit répondre à une forte demande dans les pays dits émergents. Par ailleurs, la croissance en volume des ventes de téléphones portables est désormais estimée à 15% pour cette année, contre 10% auparavant. George Scalise, président de la SIA souligne également que l'on trouve de plus en plus de semiconducteurs dans de plus en plus de secteurs. Et de citer l'automobile, avec la généralisation des équipements GPS et des systèmes d'asservissement. (...)
(02/10/2007 14:12:39)L'X, Télécom Paris et Orange montent une chaire d'enseignement
L'Ecole Polytechnique, GET/Télécom Paris et Orange se sont associés pour créer une chaire d'enseignement et de recherche sur le thème « Innovation et régulation des services numériques ». Ouverte aux professeurs et chercheurs de haut niveau, ainsi qu'aux doctorants et post-doctorants, cette chaire contribuera à élaborer une réflexion théorique sur la création, la production, le développement et la consommation de services de l'immatériel du secteur des technologies de l'information et de la communication. Les enseignements porteront également sur les principes et outils de régulation, leurs effets économiques à moyen et long termes et leur influence sur l'innovation. Des séminaires d'échanges interdisciplinaires participeront à l'enrichissement et à la diffusion d'une réflexion au sein de cette chaire qui sera ouverte à des partenaires universitaires. Un site Internet dédié permettra également aux différents acteurs de mutualiser leurs travaux. (...)
(02/10/2007 12:25:25)La start-up Seemage séduit tant Dassault Systèmes, qu'à la fin il la croque
Seemage, éditeur français installé à Sophia Antipolis, vient d'être racheté par le fournisseur de solutions de CAO Dassault Systèmes, séduit par l'expertise que la start-up a su développer dans le domaine de l'accès aux informations techniques sur les produits. L'éditeur de Catia avait commencé par nouer un partenariat avec Seemage il y a tout juste un mois, qui faisait le pont entre le PLM (Product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits) de Dassault et son offre de vue en 3D. Dassault Systèmes dit en effet vouloir démocratiser l'accès aux données 3D de CAO (conception assistée par ordinateur) et leur exploitation, avec l'ambition de faire de la 3D « un média universel ». Au catalogue de Seemage figure un outil de visualisation comme Viz qui permet d'ouvrir différents modèles de CAO dans leur contexte - avec définitions, concepts de conception... -, sans pourtant disposer des logiciels qui les ont créés (Adobe développe un concept similaire pour son PDF). L'éditeur propose également Mockup pour manipuler des fichiers de CAO pouvant contenir plusieurs milliers de pièces. Tout cela, précise Seemage, sans « connaissance préalable des applications de CAO ». Les solutions de visualisation et d'exploitation de fichiers 3D de Seemage avaient déjà su retenir l'attention d'investisseurs comme TechFund Capital Europe, Sophia Euro Lab et Primaveris. L'entreprise fait par ailleurs partie des candidats ayant été sélectionnés par Microsoft dans le cadre de son programme Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up), des sociétés triées sur le volet (25 par an seulement) pour le caractère innovant de leur produit et pour leur potentiel international. Outre la France, Seemage est également installé aux Etats-Unis (dans le Massachusetts). (...)
(02/10/2007 11:41:05)Web 2.0 : attention aux risques liés à Ajax, préviennent les experts
A l'occasion de l'AjaxWorld 2007 Conference & Expo qui s'est tenue fin septembre à Santa Clara (Californie), certains experts sont revenus sur les avantages mais également les risques liés à l'utilisation d'Ajax dans le cadre des applications de type Web 2.0. Ils reconnaissent en effet que la méthode de développement Ajax (Asynchronous JavaScript And XML) permet de concevoir des applications Web plus ergonomiques, car plus interactives, et qui s'exécutent plus rapidement puisque tous les traitements sont effectués sur le poste de travail sans les allers-retours avec les serveurs toujours synonymes de délais d'attente. Mais, ces mêmes experts, issus d'IBM, Oracle, Sun ou encore de sociétés spécialisées dans la création de sites Web, rappellent que les applications Ajax sont loin d'offrir la fiabilité, la richesse fonctionnelle et tout particulièrement la sécurité d'applications s'appuyant sur un serveur. Ted Farrell, architecte en chef et vice-président outils et middleware d'Oracle, rappelle déjà qu'en raison de la jeunesse des technologies, les entreprises doivent être prudentes quand au choix de leur solution : il y a deux grands frameworks sur le marché, et entre Microsoft et Adobe, il vaut mieux qu'elles ne se trompent pas car elles risqueraient alors de se retrouver coincées pour des années. Pour sa part, Danny Allan, expert d'IBM en sécurité, s'inquiète davantage de l'utilisation de sections de code fournies par les frameworks Ajax : les développeurs insèrent dans les programmes sophistiqués des entreprises des portions de codes qu'ils ne maîtrisent pas. En d'autres termes, ils perdent le contrôle de leurs développements. Pour autant les experts se veulent rassurants, l'idée n'étant pas de bannir Ajax des applications des entreprises mais plutôt de l'utiliser en bonne connaissance de cause, en commençant par clairement identifier ce qui « doit rester sur le serveur et ce qui doit aller sur le client » pour tirer le meilleur de Web 2.0, estime Robert Brewin, CTO de l'entité Software group de Sun. (...)
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