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(27/06/2007 11:51:51)
La bêta de Windows Server 2008 est disponible
Depuis hier, la troisième bêta de Windows Server 2008 est téléchargeable à partir du site de Microsoft. Cette version, la Customer Technology Preview, est mise librement à la disposition des abonnés TechNet ou MSDN (Microsoft Developer Network) ainsi qu'aux clients Connect de l'éditeur. La bêta met l'accent sur neuf fonctions : Active Directory, Active Directory Lightweight Directory Services, DHCP, DNS, File, Print, Windows Media Services, Windows Server virtualization et, pour la première fois, IIS (Internet Information Server) 7.0. Windows Server 2008 devrait être disponible commercialement d'ici à la fin de l'année en version 32-bit, comme 64-bit. La deuxième version de ce logiciel, Windows Server 2008 R2, est attendue pour 2009 et ne s'installera que sur des processeurs 64-bit. (...)
(27/06/2007 11:29:59)Oracle lance une solution décisionnelle packagée pour les PME
Après Business Objets, c'est au tour d'Oracle de lancer une solution décisionnelle packagée, qui se veut adaptée aux besoins et aux contraintes des PME. L'offre, intégrée, est d'ores et déjà disponible sur le marché français. Elle est distribuée, sous le nom d'Oracle Business Intelligence Standard Edition One (Oracle BI SE One), par l'intermédiaire du réseau de partenaires d'Oracle (revendeurs et distributeurs à valeur ajoutée, intégrateurs). « C'est un package global qui est livré sur un seul CD, précise Patricia Moscatelli, responsable du développement commercial Business Intelligence d'Oracle France. L'autre point important, c'est que cette solution pour PME repose sur les mêmes outils décisionnels que notre offre classique Oracle BI Enterprise Edition. » Se trouvent ainsi rassemblés dans Oracle BI SE One, d'une part, la base de données Oracle Standard Edition One, l'outil d'ETL (extraction, transformation et chargement des données dans l'entrepôt) Oracle Warehouse Builder, et le serveur décisionnel BI Server, moteur d'agrégation et de calcul, utilisé pour définir les modèles métiers et créer les indicateurs (taux de rotation des stocks, délai moyen de règlement, chiffre d'affaires moyen...). D'autre part, pour la restitution de données, l'offre PME fournit trois logiciels : Interactive Dashboard permettra de bâtir des tableaux de bord, Answers, l'outil de requête ad hoc, servira à rechercher les vues métiers destinées à construire les rapports, et BI Publisher, l'outil de reporting de masse sera utilisé pour diffuser les rapports sous différents formats par le canal choisi (impression, e-mail, fax, Web...). L'offre PME peut être déployée à partir de cinq utilisateurs et jusqu'à cinquante postes. Elle revient à 779 € par utilisateur. « Le fait d'utiliser la même technologie que notre offre décisionnelle pour grandes entreprises permet à l'entreprise d'étendre le nombre de postes au delà de cinquante sans modification, rappelle Patricia Moscatelli. Cela donne aussi la possibilité d'ajouter d'autres composants, notamment le module d'alerte Deliver, si l'entreprise veut, par exemple, surveiller certains seuils. » (...)
(27/06/2007 10:10:13)Infineon rachète les activités DSL de Texas Instrument
Infineon Technologies annonce l'acquisition des activités CPE DSL (Customer Premises Equipment, comprenant notamment les modems routeurs DSL Wifi) de Texas Instrument. Le fondeur dispose en effet d'une division spécialisée sur les équipements résidentiels et dispose d'une large palette de clients opérateurs. La transaction doit être finalisée durant l'été. Le montant n'a pas été communiqué. « En alliant les équipements DSL de Texas Instrument à la feuille de route innovante d'Infineon permettre d'offrir aux clients DSL une offre de bout en bout unique » lance le Dr. Heramnn Eul, Vice Président Exécutif et responsable des solutions de communications chez Infinéon. Infineon continuera d'assurer la ligne de produits de Texas Instrument et la continuité de service aux clients. « Nous reconnaissons le fort engagement d'Infineon dans les activités DSL. Cette transaction va nous permettre d'assurer la continuité de notre ligne de produit, le support au client et une solide feuille de route sur le DSL» souligne Dennis Rauschmayer, responsable de l'activité des passerelles résidentielles chez Texas Instrument. Après une longue période de vache maigre, cette acquisition illustre la volonté d'Infineon de se renforcer dans les télécoms. (...)
(27/06/2007 10:07:37)La cybercriminalité profite de nouvelles techniques
La cybercriminalité s'étend aux mobiles L'économie parallèle de la cybercriminalité s'étend. De nouvelles techniques telles que le spam par SMS, les jeux de loterie et chevaux de Troie se faisant passer pour des utilitaires se développent sur les réseaux mobiles. De nouveaux logiciels espions ont également été détectés sur téléphones portables fonctionnant sous Windows Mobile et Symbian S60. Le secteur bancaire toujours aussi attractif Selon F-Secure, le secteur bancaire continue d'être la cible des fraudes via Internet. Les cybercirminels intègrent de nouvelles technologies dans leurs attaques. Ils sont aujourd'hui capables de surveiller de près les activités financières en lignes des utilisateurs. F-Secure rassure en indiquant qu'une solution potentielle est sur le point de voir le jour. Le fournisseur de solutions de sécurité informatique pense qu'un domaine de premier niveau inaccessible aux cybercriminels, tels que les .bank, pourrait freiner les principales tentatives de phishing. Tirer profit des événements sociaux Enfin, autre particularité apparue au cours du premier semestre 2007, le lien entre la criminalité informatique et les troubles politiques s'est resserré. Ce phénomène a notamment pris de l'ampleur avec les récents événements survenus dans certains pays d'Europe de l'Est. (...)
(27/06/2007 09:48:20)Très haut débit : Bruxelles lance des poursuites contre Berlin
Les avertissements multiples n'ayant pas suffit, Bruxelles passe aux sanctions. L'exécutif européen a en effet décidé de saisir la Cour européenne de justice afin qu'elle se prononce sur les privilèges exorbitants conférés à Deutsche Telekom par le gouvernement allemand. Le 24 février 2007, entrait en vigueur une loi garantissant à l'opérateur de conserver une situation de monopole dans le domaine de l'accès Internet à très haut débit. Un avantage prévu pour compenser l'investissement réalisé par Deutsche Telekom pour construire son réseau. Le montant de la dépense est estimé à 3 Md€. Bruxelles avait pourtant averti Berlin à plusieurs reprises, lui rappelant que les dispositions mises en placent constituaient « une infraction aux règles communautaires en matière de télécommunications, qui existent depuis 2002. » La Commission ne récoltait, en retour, que peu de considérations du gouvernement allemand, qui persistait à défendre les privilèges accordés à l'opérateur. Quelques jours seulement après l'entré en vigueur de la loi controversée, l'exécutif européen menaçait de saisir Cour de justice. C'est désormais chose - presque - faite, la Commission devant décider dans les heures qui viennent de porter l'affaire devant les tribunaux de l'UE. En plus de chercher à contraindre l'Allemagne d'ouvrir son réseau très haut débit à la concurrence, Bruxelles entend calmer les ardeurs que pourraient manifester d'autres états membres, eux aussi tentés de privilégier leur opérateur national. François Loos, alors ministre délégué à l'Industrie, indiquait ainsi en juin 2006, en parlant de France Télécom : « il faut laisser un avantage à celui qui prend le risque de l'investissement.» (...)
(27/06/2007 09:44:01)L'association des partenaires Microsoft ouvre un bureau en France
Déjà présente aux Etats-Unis, mais aussi dans les pays scandinaves et l'Espagne, l'IAMCP (Association internationale des partenaires certifiés Microsoft) ouvre enfin une filiale française. Créée à l'initiative du bureau international, cette branche est actuellement composée de dix sociétés fondatrices, et espère dépasser la centaine d'adhérents d'ici la fin de l'année. Présidée par Frédéric Arragon de la société Anelia (SSII filiale à 100 % d'IBM France), l'IAMCP a pour vocation de développer des synergies entre partenaires certifiés Microsoft, de les aider à réaliser des contrats communs et de mutualiser les ressources et les informations. L'association profitera de la convention partenaires de Microsoft (qui se déroulera du 9 au 12 juillet prochains à Denver) pour mieux se faire connaître auprès des prestataires. Toujours dans le même souci de visibilité, une réunion d'information se tiendra le 25 septembre 2007 à Paris, rue de l'Université. L'association suivra également Microsoft tout au long de son tour de France (jusqu'au 6 novembre). Fondée en 1994, l'IAMCP compte 4000 membres, répartis sur 24 pays. En 2006, le réseau a généré 6,8 milliards de dollars de transaction « partenaire à partenaire » dont 47% ont été réalisés par des sociétés de service de moyenne, voire petite taille. (...)
(27/06/2007 09:40:14)Annuels Oracle : croissance à deux chiffres pour toutes les activités
Résultats exercice fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 18 Md$ (+25%) Bénéfice net : 4,6 Md$ (+26%) Oracle conclut un exercice fiscal 2007 solide en reportant un chiffre d'affaires en hausse de 25% sur un an et un bénéfice supérieur de 26% à ce qu'il était en 2006. Le groupe a pu compter sur une solide activité dans les services, qui génèrent 3,8 Md$, soit 33% de plus que l'an passé. Les revenus issus des logiciels, des bases de données et du middleware rapportent 16% de plus qu'en 2006 et contribuent à la hausse de 14% enregistrée par la division logiciels. La directrice financière du groupe, Safra Catz, indique que toutes les activités d'Oracle ont progressé plus rapidement que le marché. En outre, la société a ravi des parts de marché à ses concurrents - SAP, IBM, BEA - tout en voyant ses marges augmenter. Oracle espère creuser encore davantage l'écart le séparant de ses rivaux avec la sortie, le 11 juillet, d'Oracle 11g. Le groupe a réalisé, au cours des dernières années, un nombre impressionnant d'acquisitions, signant un chèque global de plus de 20 Md$ depuis 2005 pour étendre son périmètre. Cette stratégie fondée sur la croissance externe devrait perdurer, ont expliqué les dirigeants lors d'une conférence de presse, afin qu'Oracle enrichisse son catalogue d'applications. (...)
(27/06/2007 09:35:32)ITAG aide les PME IT à investir le marché américain
« L'erreur que font souvent les dirigeants français lorsqu'ils cherchent à se développer à l'international, c'est de vendre à la française », constate Daniel Baloche, fondateur d'ITAG, une société de services qui accompagne depuis 2003 l'installation d'entreprises high-tech sur le marché américain. Aux Etats-Unis, la concurrence est très forte. Une bonne technologie ne suffit pas, il faut aussi une solide démarche de marketing. » ITAG est basé dans le New-Hampshire, sur la côte Est des Etats-Unis. C'est une expertise acquise sur le terrain que son équipe de douze collaborateurs propose aux PME françaises, principalement des éditeurs de logiciels, projetant une implantation outre-Atlantique. Parmi ses clients figurent néanmoins des sociétés de toute taille : Evidian, Maporama, Ipanema, PerformanSe, Serden technologies, Neotys, Aspects, MHD... Les services d'accompagnement d'ITAG sont formalisés sous forme de kits. Pour un montant forfaitaire, tarifé entre 15 000 et 25 000 euros, le « Kit Entrée sur le marché » permettra au candidat à l'international d'évaluer ses chances de réussite. Pour aller plus loin, le « Kit Opérations » repose sur un contrat de douze mois renouvelable, période pendant laquelle le client acquitte un forfait mensuel de 3 500 à 5 000 euros, selon la nature des produits et la taille de l'entreprise. Ce contrat prévoit également qu'ITAG soit commissionné sur les ventes réalisées. « L'objectif de ce kit est de générer du revenu », explique Daniel Baloche, en indiquant que les premières ventes se font généralement au bout de six à neuf mois. Il fait remarquer que le « Kit Opérations » revient moins cher à l'entreprise que le recrutement d'une personne à temps plein. L'étude de marché est couplée à une phase de prospection L'une des premières étapes du kit « Entrée sur le marché » consiste à repositionner l'offre pour l'adapter au contexte américain et à concevoir une nouvelle approche marketing. Il faut trouver les facteurs différentiateurs par rapport à la concurrence. L'étude de marché est couplée à une phase de prospection. La cible de clients est identifiée, une campagne par e-mailing est lancée, suivie par l'intervention d'un télémarketeur, chargé d'amener les prospects sur le Web pour une présentation de la solution, effectuée cette fois par un commercial. Une méthode très courante aux Etats-Unis, même si elle peut surprendre les entreprises françaises. « Au-dessous de 50 000 dollars, l'évaluation technique du produit se fait à distance », éclaire Daniel Baloche. A partir de 100 000 dollars, les cycles de vente sont plus longs et on peut être amené à se déplacer. Le fondateur d'ITAG remarque que le business plan à l'international des sociétés françaises est souvent le prolongement de ce qu'elles font en France. « Or, ici, les challenges sont différents. Attaquer un marché international demande un regard intérieur ». (...)
(27/06/2007 09:33:59)Google essuie un revers dans son offensive contre Microsoft
La justice américaine refuse d'élargir l'étendue de la procédure antitrust visant Microsoft, comme Google lui avait demandé. Ce dernier accuse l'éditeur d'enfreindre les dispositions antitrust américaines avec le système de recherche et d'indexation de fichiers intégré à Vista. Alors que le moteur de recherche, en début de semaine, pressait la justice d'étendre le cadre de la procédure antitrust initiée contre Microsoft depuis 2002 et d'y inclure les fonctions de recherche du nouvel OS, la juge Colleen Kollar-Kotelly vient d'adresser une fin de non recevoir au groupe de Mountain View. Bien que Google reproche à Microsoft le caractère anticoncurrentiel de son outil, la magistrate estime que le moteur n'est pas partie prenante à l'action menée depuis près de cinq ans et que, de fait, sa requête ne peut être examinée. La semaine dernière, l'éditeur de Redmond avait entrepris de modifier les fonctions mises en cause en permettant aux utilisateurs de choisir l'outil de recherche interne utilisé par Vista et d'utiliser des programmes tiers. Une réaction insuffisante, aux yeux de Google, qui se tournait alors vers les tribunaux. Le refus d'élargir l'action antitrust au cas soulevé par Google ne laisse plus à ce dernier que la possibilité de plaider sa cause auprès du ministère américain de la Justice. (...)
(27/06/2007 09:31:42)L'UE précise son projet de MIT européen
Les ministres de la Recherche des 27 états membres de l'Union européenne, réunis lors du Conseil de la compétitivité, viennent d'approuver la proposition de Bruxelles de doter l'UE d'un Institut européen de technologie (IET). Souvent comparé au modèle américain du MIT (Massachusetts institut of technology), l'IET a pour but d'améliorer la compétitivité de l'Europe en réduisant « le fossé d'innovations » qui la sépare de ses concurrents, selon les mots du président de la commission, José Manuel Barroso. L'IET associera universités, organismes de recherche, entreprises, collectivités et cherchera à devenir « l'étendard de l'effort collectif de l'Europe visant à mettre sur pied un espace européen de l'enseignement et de la recherche », explique l'UE. Les 27 ministres ont entériné la décision de doter l'IET de 308,7 M€ pour sa mise en route, qui doit s'étaler entre 2008 et 2013. Pour l'ensemble de cette période, le budget est estimé à 2,4 Md€. La somme doit être prise en charge par les fonds communautaires mais aussi par les états membres, les entreprises et divers legs. A l'horizon 2015, Bruxelles estime que l'IET pourrait regrouper 4 à 5000 scientifiques, 6000 étudiants, 4000 doctorants, et fonctionner sur un budget annuel de 1,5 Md€ à 2 Md€. Les communautés de la connaissance et de l'innovation (CCI) seront le niveau opérationnel de l'institut. Elles seront choisies de façon concurrentielle par un comité directeur et mèneront des recherches sur des thématiques variées. La priorité pourrait être donnée, dans un premier temps, au changement climatique et aux énergies renouvelables. Les premiers travaux pourraient commencer dès l'an prochain. (...)
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