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(19/06/2007 14:44:00)

La qualité des données,source de compétitivité pour les entreprises - 7 juin 2007

Intervention de François CORONA, Responsable du département référentiels à la Banque Postale ::> Les référentiels au service de la qualité des données clients : méthodologie et mise en oeuvre (...)

(18/06/2007 18:33:10)

Bouygues Télécom et Completel envisageraient une joint-venture

Voilà plusieurs mois qu'ils discutent, Bouygues Telecom et Completel ont décidé d'officialiser leur partenariat dans un communiqué laconique : les deux acteurs coopèrent sur le marché du fixe-mobile. Selon nos sources, il s'agirait toutefois de bien plus qu'une simple coopération, les deux opérateurs étudieraient en effet la possibilité de placer leurs forces en commun dans une joint-venture. Or, qui dit co-entreprise, dit moyens financiers communs, développements techniques coordonnés et commercialisation conjointe. (...)

(18/06/2007 17:49:16)

Adobe intègre la technologie Flex à LiveCycle Entreprise Suite

En ajoutant à son offre LiveCycle le support de la technologie Flex, Adobe élargit le champ d'application de cette gamme de logiciels destinée à créer des workflows documentaires diffusant des fichiers PDF sécurisés, à remplir en ligne. Avec LiveCycle Enterprise Suite (ES), actuellement proposé en version bêta, il est possible de développer des applications Flex proposant des interfaces plus attractives et une meilleure interactivité que le formulaire PDF pour saisir les informations. Flex est en effet destiné à concevoir des interfaces riches en Flash, pour des applications transactionnelles sur le Web. Dans le cas de procédures administratives accessibles sur un site Web, par exemple, remplir un questionnaire développé avec Flex sera moins fastidieux que de compléter un formulaire aride. L'ouverture d'un compte, le traitement de sinistres ou le libre-service assisté constituent quelques exemples d'applications possibles. Les administrations mais également le secteur financier comptent parmi les grands utilisateurs de LiveCycle. Les différentes composantes logicielles de la gamme étaient jusqu'à présent vendues de façon indépendante. Désormais, LiveCycle ES est proposé en deux éditions regroupant tout ou partie de ses composants. LiveCycle ES Data Capture Edition se concentre sur la collecte de données. Il rassemble Forms (création de formulaires), Data Services, Barcoded Forms (intégration des codes à barre) et Reader Extensions (fonctions autorisant un lecteur d'un fichier PDF de remplir un formulaire). L'édition la plus complète, LiveCycle ES Business Transformation, permettra de constituer des applications de récupération de données et d'orchestrer de bout en bout des circuits de circulation sécurisée de documents et de données. Elle dispose, en plus, des composants Process Management (pour la gestion de processus), Digital Signatures (signature numérique), Rights Management (gestion des droits numériques) et Output (pour la diffusion en masse des documents). (...)

(18/06/2007 17:44:04)

180 emplois menacés chez Nortel en France

Décidément, la filière télécoms française subit de violentes secousses. Après le vaste plan de restructuration chez Alcatel-Lucent (1 468 postes menacés), voici Nortel qui s'apprête à licencier. Selon le quotidien Les Echos, l'équipementier Canadien prévoit de supprimer 180 postes en France, soit 16% de ses effectifs. La restructuration touche particulièrement la division Nortel Networks SA focalisée sur les activités GSM. Cette dernière compte 987 salariés. Le plan s'inscrit dans un projet mondial de réduction d'effectifs au sein du groupe. Après le rachat des activités 3G à Nokia, les salariés de Nortel s'inquiètent de l'avenir de la filiale française (Châteaufort dans les Yvelines et Valbonne dans les Alpes Maritimes), avec ces centres de R&D sur une technologie GSM en fin de vie. (...)

(18/06/2007 17:13:20)

Salaires : les informaticiens des SSII au bas de l'échelle des ingénieurs

Un peu plus que l'agriculture, à peine mieux que l'administration : le barème de salaires appliqué par les SSII à leurs ingénieurs reste notoirement inférieur à celui des autres secteurs d'activité. Et ce, quelle que soit la tranche d'âge. Selon l'édition 2007 de l'étude socio-économique du CNISF (Conseil national des ingénieurs et scientifiques de France), avec un salaire médian de 43 805 euros en 2006, les ingénieurs du secteur informatique (SSII et éditeurs) gagnent près de 8000 euros de moins (en brut annuel) que leurs collègues d'autres secteurs. Cette valeur médiane, avec 50% des personnes qui gagnent plus et 50% qui gagnent moins, menant, selon le CNISF, à un classement des secteurs plus fidèle à la réalité que celui obtenu avec la comparaison du salaire moyen. Ce qui donne du grain à moudre aux revendications du Munci (association d'informaticiens) qui relève, notamment, qu'en dépit de la relance de l'activité et d'un début de rattrapage salarial, la situation reste sensiblement inchangée (salaire médian 2005 en SSII, selon le CNISF : 44 000 euros). Le rajeunissement des troupes, avec l'embauche massive de ces derniers mois, joue certes dans le sens de la volonté de maîtrise de la masse salariale affichée par les SSII. Mais la pression sur les prix des prestations se répercute à tous les échelons des grilles de salaires. Pour les moins de 30 ans, le salaire médian de 34 000 euros (brut) des jeunes cadres de SSII est légèrement inférieur à celui obtenu dans l'industrie (35 800), nettement en dessous de celui du secteur banque-finance (41 700). Pour la tranche d'âge des 30-44 ans, les SSII rétribuent à hauteur de 50 000 euros, là où le salaire médian atteint 55 000 euros dans l'industrie, 62 000 euros dans le secteur bancaire, et près de 54 000 euros tous secteurs confondus. Au delà de 45 ans, seule l'administration paye moins les seniors (salaire médian : 61 000) que les SSII (70 000 euros). En croissance de 6,2% Le contraste avec l'industrie, le BTP ou les autres composantes du secteur tertiaire, plus généreuses avec leurs ingénieurs, est d'autant plus flagrant qu'au même moment, selon les statistiques officielles concernant l'activité des services marchands, ce sont les nouvelles technologies qui « portent la croissance ». Près de 98 000 emplois ont été créés en 2006 dans les services marchands, soit une augmentation de 2%. Selon l'Insee, la production du tertiaire marchand, en progression de 3,1% (2,4% pour l'ensemble de l'économie) est tirée par le dynamisme des activités liées aux services informatiques (+6,2%) et au secteur télécoms (+6%). Mais, corrélativement, les prix de production progressent de façon beaucoup plus modérée (+2,3% pour l'ensemble des services marchands), le prix de l'immobilier biaisant de plus le tableau avec une progression de 4%. Pour les services aux entreprises (services informatiques inclus), les prix de production ont augmenté de 1,2%. Ceci expliquant cela : un souci de maîtrise de la masse salariale qui, pour les SSII, rime quasiment avec blocage. Sur le même sujet Des salaires quasi équivalents en SSII et chez les utilisateurs (...)

(18/06/2007 17:03:29)

L'Open Source n'est pas une religion pour les grands comptes

Oui à l'Open Source dans les systèmes d'informations des grandes entreprises françaises, mais pas à tout prix. C'est un des messages qu'on pouvait retenir lors d'une table ronde, organisée à l'occasion de la 2e édition de Paris Capitale du Libre (les 13 et 14 juin au Palais des Congrès), sur le thème "Quelles stratégies d'utilisation des logiciels libres dans les grands comptes". Tous les intervenants sont tombés unanimes : si les logiciels Open Source sont bien vecteurs de valeur, accélérateurs d'innovation et catalyseurs d'intéropérabilité, ils ne constituent pas systématiquement la réponse aux problèmes très complexes que l'on trouve dans les pharaoniques systèmes d'information des grands comptes. Aucune chance, par exemple, de voir une DSI choisir un logiciel Open Source par simple religion ou engouement sociétal. « Le niveau dans les applications libres n'est pas suffisant pour faire des produits comme les nôtres dans la production », confesse Jean Saas, DSI de Dassault. « Si OpenOffice n'est pas à niveau, on ne va pas l'utiliser », schématise-t-il, devant une audience tout acquise à l'Open Source. Lui, comme Jean-Pierre Barberis, directeur général de Bull, préconise davantage la mixité des plateformes, où « on combine et assemble des technologies ». « Le Libre me permet d'évoluer dans des domaines où je n'aurais pas pu évoluer avec Microsoft ou IBM. [...] L'innovation est un bouquet de technologies pour faire du business », commente Jean Saas. Et Jean-Pierre Barberis de rebondir : "le Libre assez ciblé est très pertinent et efficace ». Les DSI aux prises avec l'héritage applicatif Si le Libre permet bien de remettre de l'innovation dans le système d'information, Jean-Pierre Corniou, président d'EDS Consulting, insiste sur le fait que la base installée, tant applicative qu'humaine, est l'obstacle n°1 de la DSI. « Le frein en informatique, c'est le passé ». Autre frein souligné par Jean-Pierre Corniou, l'anonymat du Libre, où l'absence de marque est notable. Mais note-t-il avec optimisme, cela tend à se réduire avec l'arrivée de grands éditeurs, qui représentent des marques. Comme IBM représentait le PC à sa création. (...)

(18/06/2007 16:53:37)

Sondage flash : la VOD doit revoir ses prix

Le secteur florissant de la vidéo à la demande doit faire des efforts sur les prix. C'est en tous cas ce que pensent un peu plus de 50% des 431 lecteurs qui ont répondu à notre sondage (soit 218 personnes). Il faut dire qu'avec des films à près de 5 € la nouveauté, la VOD est encore loin de l'attractivité de nos bons vieux vidéoclubs. Les fournisseurs de contenus en semblent d'ailleurs bien conscients puisque quelques initiatives de services gratuits, financés par la publicité, ont démarré il y a peu. Pour 28,3% (122 personnes) des sondés, la VOD doit également être plus souple d'utilisation. Si sur les box ADSL, le fonctionnement est assez simple, c'est une autre paire de manches sur un micro : lecteur à jour, gestion des DRM, visionnage limité dans le temps et interopérabilité pas toujours garantie, les griefs peuvent être nombreux sur ce point. Enfin, la qualité de l'image et du son sur les plateformes de VOD n'est pas assez bonne selon 21,1% d'entre vous (91 personnes). Outre la rareté des références HD, on peut en effet reprocher à la vidéo à la demande de ne pas se rapprocher de la qualité d'un DVD particulièrement en ce qui concerne l'audio : le 5.1 n'existe pas, les différentes versions audio (VO/VF) ne sont pas généralisées et le contenu, souvent proposée en un seul format, peut subir les saccades inhérentes à la bande passante. (...)

(18/06/2007 16:45:48)

Open XML, pour le bien des utilisateurs, selon Microsoft

Les utilisateurs doivent décider eux-mêmes de leur format de document. C'est le titre d'une lettre ouverte publiée par Microsoft, et signée des mains de Tom Robertson et Jean Paoli, respectivement responsable Interopérabilité et Standards et responsable Intéropérabilité et Architecture XML de l'éditeur de Redmond. Outre le fait de conter que la multiplicité des formats bureautiques XML (ODF, Open XML et le standard chinois UOF - Uniform office format) s'inscrit dans l'évolution naturelle des formats en général, Robertson et Paoli expliquent en substance pourquoi Open XML doit cohabiter aux côtés d'ODF et d'autres formats de documents. Leur réponse? Tout simplement parce que cela donne le choix à l'utilisateur. "Open XML et ODF sont des formats distincts qui répondent à différents besoins des utilisateurs." En clair, chaque format a sa place, et "la standardisation et l'usage d'un format ne doit pas exclure la standardisation et l'usage d'un autre [...] . Le design d'ODF peut attirer ceux qui sont attirés par un certain niveau de fonctionnalités [...]. Open XML peut en attirer d'autres à la recherche de fonctionnalités plus riches [...]. "Ce n'est pas dire que l'un est meilleur que l'autre. Mais plutôt d'expliquer comment, pour voyager d'un endroit à un autre, certaines personnes prennent leur voiture tandis que d'autres prennent l'avion", illustrent de façon très pragmatique les deux responsables. Rien ne sert de se faire la guerre, semblent-ils alors dire, alors que la bataille Open XML / ODF fait rage. Rappelons que Robertson et Paoli avait rédigé une première lettre ouverte en février dernier dans laquelle ils dénonçaient un lobbying exacerbé d'IBM sur les instances de normalisation pour freiner la progression d' Open XML à l'ISO. Inévitablement, "Open XML, ODF et UOF peuvent et vont cohabiter" assurent-ils. Tout en rappelant les efforts de l'éditeur de Redmond dans l'interopérabilité tel que le co-développement d'un traducteur bi-directionnel avec Clever Age. Ou bien d'une collaboration avec les chinois pour un traducteur Open XML / UOF. Il n'y a aucun frein ainsi à utiliser ODF 1.0 puis passer à Open XML, ajoutent-ils. (...)

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