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(09/02/2007 00:00:00)

Interview vidéo de Linus Torvalds, Fondateur de Linux

Propos recueillis par Rodney Gedda, IDG News Service / lemondeinformatique.fr (...)

(08/02/2007 17:12:06)

IBM gonfle sa plate-forme z/VM

Avec la disponibilité prochaine de z/VM version 5.3, IBM annonce l'un des outils de virtualisation les plus puissants du marché. Ce système d'exploitation pour mainframe sera en effet capable, selon les laboratoires internes d'IBM, de faire tourner 1000 machines virtuelles Linux sur un seul mainframe. Cette version supportera jusqu'à 128 Go de mémoire et jusqu'à 32 processeurs modélisés par partition logique, un rendement amélioré de 33% par rapport à la version précédente. Avec ces améliorations, IBM veut que les possesseurs de systèmes Z n'aient plus à répartir leurs charges de travail virtuelles sur plusieurs machines. « Nos clients doivent faire face à des quantités croissantes de données, et en même temps les coûts liés à la consommation électrique, l'espace de stockage et la maintenance les font hésiter à ajouter toujours plus de serveurs », reconnait Mark Anzani, vice-président des produits System Z chez IBM. « Avec cette dernière avance, IBM continue ses investissements substantiels en technologie de virtualisation pour que ses clients puissent affronter de plus grosses charges de travail en diminuant leurs coûts d'infrastructure ». D'autant plus que le z/VM ne se limite pas à faire tourner des machines virtuelles Linux, il peut aussi émuler d'autres systèmes d'exploitation pour mainframe IBM comme le z/OS, le z/VSE ou le z/TPF. En bêta-test chez des clients américains d'IBM, le z/VM 5.3 sera disponible le 29 juin 2007. (...)

(08/02/2007 17:08:49)

La collecte du 1% formation sous le feu critique de la Cour des Comptes

Sur les 24 milliards d'euros que pèse la dépense nationale (rapport de la Dares, Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) pour la formation professionnelle continue et l'apprentissage, plus du quart (5,14 milliards) relève de la collecte par les OPCA (organismes collecteurs agréés). Pour les entreprises, l'effort de financement a nettement progressé, bien au delà de l'obligation légale (de 0,55% à 1,6% de la masse salariale selon la taille de l'entreprise) pour franchir le cap des 3% de la masse salariale (tous secteurs confondus) depuis 2004 (selon la Dares). Et pendant ce temps là, la collecte des OPCA a progressé au rythme de 12% l'an (moyenne de la progression entre 2000 et 2005). « Quatre fois plus vite que le PIB », note la Cour des Comptes dans son rapport annuel. Mais une progression qui s'est fait via «des modes de collectes trop complexes et mal contrôlés », résume l'un des chapitres du rapport remis à l'Elysée ce jeudi 8 février. Au total, pas moins de 98 OPCA de branches et deux réseaux inter-professionnels (Opcareg et Agefos-PME) se partagent les subsides que leur confient les entreprises. Ce n'est pas une obligation. Mais force est de constater que les achats directs de formation se réduisent (-4,3% en 2004 selon l'étude de la Dares) au profit du rôle croissant des OPCA auprès desquels les entreprises externalisent la négociation et la gestion des relations avec les prestataires de formation. C'est ainsi que les OPCA de branches (dont le Fafiec pour le secteur informatique, SSII, études et conseil) se retrouvent à la tête de 77% des fonds collectés, le reste relevant de la collecte interprofessionnelle. Sans doute, tous ces organismes ne sont-ils pas à loger à la même enseigne concernant la qualité et l'efficacité de leur gestion. Mais la disparité des frais de gestion (de 5 à 12% selon l'organisme), les dérives de certains (doublement des effectifs au siège, modalités de délégation de paiement peu sûres, ratés des projets d'équipement informatique notamment à l'Agefos-PME) suffisent à la Cour pour tirer la sonnette d'alarme. Et de constater la responsabilité de l'Etat dans cette situation, avec des services de contrôle en sous-effectif chronique (150 personnes à la DGEFP pour 180 000 entreprises et 50 000 organismes de formation). A titre d'exemple, entre 2001 et 2003, seuls 12 OPCA (sur la centaine) ont pu faire l'objet d'un audit-contrôle. Quant au bien fondé de l'utilisation des fonds et aux mécanismes de contrôle que doivent mettre en place à leur niveau les OPCA, là aussi la carence est flagrante. S'y ajoute, selon la Cour, un manque de transparence du financement du paritarisme (chambres patronales, syndicats). Au total, bien du pain sur la planche des gestionnaires de ces fonds, pour que dans son rapport 2008, la Cour des Comptes puisse inclure parmi les satisfecit de son suivi, une amélioration de cet aspect de la formation professionnelle. (...)

(08/02/2007 16:46:55)

JBoss recrute le créateur de Codehaus pour sa communauté

Le spécialiste du middleware Open Source JBoss - propriété de Red Hat - annonce le recrutement de Bob MCWhirter, fondateur de l'annuaire de projets open source CodeHaus - à l'image de SourceForge -, au poste de responsable technique de www.jboss.org, portail communautaire de la marque. Sa tâche couvrira l'entretien technique ainsi que l'évolution du site riche, selon l'éditeur, d'une base de 500 000 connexions d'abonnés par mois, "qui ne cesse de gonfler". Bob MCWhirter est un habitué de l'Open Source. Il a notamment participé aux développements du projet Drools, un moteur de règles racheté par JBoss en 2005. (...)

(08/02/2007 16:44:42)

Microsoft marie Cardspace et OpenID 2.0

A l'occasion de la RSA Conférence, Microsoft a annoncé qu'il supporterait le framework ouvert d'authentification Web décentralisé, OpenID 2.0, et l'intégrera, à terme, avec sa technologie Cardspace, le sélecteur d'identité qui a fait ses premières armes avec la sortie d'IE7. Les deux technologies seront conjuguées dès la sortie de Longhorn Server, prévue pour l'été 2008. Techniquement, OpenID est un système d'authentification personnelle de type SSO (Single Sign-on) décentralisé qui permet de s'identifier auprès de plusieurs sites supportant le standard. L'identité numérique de l'utilisateur est partiellement enregistrée chez un fournisseur d'identité, qui stocke le mot de passe. OpenID fournit en guise d'identifiant une simple URL, utilisable alors sur les sites reconnus. En tant que standard ouvert et émergent, il souffre encore d'un manque implémentation par les sites Web et dispose également de peu de fournisseurs d'identité. Notons Myopenid ou Verisign. De leur côté, Livejournal -également à l'origine du standard-, Movabletype, Vox, Technorati -qui fait également office de fournisseur d'identité-, et bientôt Wikipedia, supportent le framework. Le sélecteur d'identité Cardspace (la version client d'Infocard), de son côté, correspond avec une base d'informations dans laquelle est définie l'identité globale et de laquelle on extrait, de façon visuelle, des jetons d'identification correspondant aux besoins de chaque site. Il permet ainsi de choisir parmi les différentes "cartes d'identités" disponibles, puis de les transmettre, de façon sécurisée, au site. Microsoft considère en effet qu'un internaute doit jongler avec plusieurs cartes d'identité, selon qu'il se connecte à sa banque, un site d'enchère, un jeu, etc. Selon Bill Gates et Craig Mundie, directeur de recherche et de la stratégie chez Microsoft, l'intérêt de conjuguer ses deux technologies serait d'éliminer les attaques de type "man-in-the-middle", source principale du phishing (usurpation d'identité en ligne). Mais, surtout, l'aspect décentralisé d'OpenID 2.0 fournirait à Microsoft la couche native adéquate pour accéder aux services Web 2.0 (encore très liés au sempiternel couple identifiant / mot de passe), a également expliqué Bill Gates. (...)

(08/02/2007 15:52:33)

Le fonds social européen finance la GPEC des pôles de compétitivité

Autour de Grenoble et de son pôle de compétitivité Minalogic, les aléas des industries informatiques et électroniques constituent de fait un thème d'exploration intéressant pour envisager les chambardements socio-économiques, mais aussi les besoins de compétences dues aux mutations technologiques. Avec Grenoble Ecole de Management pour chef de file, une étude est lancée, financée par le Fonds social européen à hauteur de 1,2 M€ (budget total de 1,6 M€) pour mettre sur pied une méthode d'anticipation des transformations industrielles (Matri). En arrière-plan de ce programme, l'observation des mouvements de fond, de redistribution et d'implication des divers types d'acteurs (industrie, recherche, enseignement) suscités par la constitution des pôles de compétitivité et autres clusters européens. L'équipe de ce projet est constituée de partenaires industriels et académiques, dont Capgemini, STMicorelectronics, les syndicats CFE-CGE, FhG Gesellschaft, AEPI (agence de développement de l'Isère), l'INPG (polytechnique Grenoble), Politecnico di Torino, Hebley Management College et Fondazione Istud. A terme, durant l'année 2007, Matri devrait être le nom de baptême d'une plateforme de connaissance accessible en ligne, destinée à diffuser et assister les bonnes pratiques en matière d'anticipation des changements sociaux, organisationnels, humains et des besoins de compétences locales. Avec une base de connaissance, des outils de e-formation, et, pour en préparer l'usage auprès des futures générations de cadres, la mise sur pied d'un programme de formation à destination des élèves des écoles de management et écoles d'ingénieurs. (...)

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