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(09/10/2006 17:46:09)
Piratage de logiciels : le filet va t-il se resserrer ?
Les entreprises françaises sont toujours en ligne de mire de la BSA (Business Software Alliance), association regroupant les principaux éditeurs de logiciels et chargée de lutter contre le piratage. Avec 47 % des logiciels utilisés sans licence dans les entreprises françaises, l'Hexagone figure (après les Etats-Unis et la Chine) dans le tiercé mondial des pays où l'on pirate le plus. La BSA estime le préjudice évalué à 3,19 milliards de dollars. Mais ce n'est pas le seul. « l'utilisation de copies illégales peut à la fois mettre en danger la qualité du travail dû à l'instabilité du logiciel fourni et faciliter la propagation des virus », précise l'association. Depuis la publication de ces chiffres, en mai 2006, la BSA avait décidé de doubler les contrôles car désormais lutter contre le piratage est devenu plus que jamais son cheval de bataille. Aujourd'hui, l'association passe à la vitesse supérieure, en lançant une campagne de communication sur les risques liés à la contrefaçon de logiciels. Illustrée par des exemples : une entreprise de papeterie a ainsi été condamnée, en février 2006, à verser 35408 euros aux éditeurs. Une autre, un fabricant de peintures, a été condamnée pour le même motif à payer 111 500 euros. Thème retenu pour cette campagne : le filet, accompagné du slogan suivant : « le filet s'est déjà resserré sur eux ». Statistiquement, la BSA devrait effectivement ramener dans ces filets quelques entreprises indélicates : lors des précédents contrôles, le taux moyen de logiciels pirates a atteint 71% du parc. (...)
(09/10/2006 17:43:27)R&D : la France adopte un rythme de dépenses supérieur à celui de l'Europe
Les dépenses de recherche et développement des entreprises françaises ont progressé plus rapidement entre 2004 et 2005 que dans le reste de l'Europe. C'est l'un des principaux enseignements du tableau de bord 2006 de l'UE sur les investissements en R&D industrielle. Avec 14 MdE dépensés en R&D en 2005, la France affiche une progression de 6,8% sur un an. Si ce taux de croissance reste inférieur aux 7,7% constatés pour les mille plus grandes entreprises extra-communautaires, il dépasse l'augmentation moyenne des sociétés européennes qui atteint 5,3%. Autre évolution notable, l'Europe semble afficher une volonté nouvelle d'investir dans la recherche. Les 5,3% de croissance observés en 2005 contrastent en effet nettement avec le maigre taux de 0,7% enregistré l'année précédente, et encore davantage avec le recul de 2% en 2004. En valeur absolue, les sommes dépensées par les industries françaises se situent à la troisième place européenne, derrière leurs homologues allemandes (27,6 MdE) et britanniques (14,6 MdE). En revanche, la France tombe au sixième rang lorsque l'on rapporte les investissements en R&D aux revenus des entreprises recensées : ce ratio atteint 3,9% dans l'Hexagone, loin derrière les 5 à 9% des pays scandinaves, ou les 5,5% observés en Allemagne. Au total, les 2000 principales entreprises mondiales - de par leur taille - ont investi 371 MdE en 2005. Forte présence des entreprises IT Au sein des sociétés françaises recensées par Bruxelles, les entreprises spécialisées dans l'IT sont largement présentes. Elles sont ainsi 40 - éditeurs, SSII, équipementiers, opérateurs, etc. - à figurer parmi les 112 groupes hexagonaux figurant dans le rapport de l'UE. Alcatel se classe au quatrième rang de toutes les entreprises françaises avec 1,8 MdE investis en R&D en 2005 et occupe la tête de liste des groupes oeuvrant dans la technologie. Ramené au classement européen, Alcatel occupe le 17e rang. Au niveau mondial, l'équipementier arrive 49e. Notons une forte présence des prestataires français de services informatiques dans les mille premiers groupes européens (GFI, Ares, Prosodie, Sword, Sopra) et surtout des éditeurs. Ces derniers sont 18 à figurer dans le classement publié par l'UE avec Dassault Systemes et Business Objects en fer de lance (respectivement aux 69e et 108e places européennes). Cette forte présence des entreprises IT en France se retrouve à l'échelle mondiale. Sur les 2000 premières entreprises - tous pays confondus - les équipementiers et constructeurs de hardware sont ceux qui dépensent le plus en R&D (19% des revenus). Les éditeurs et prestataires de services informatiques arrivent en cinquième position avec 6,8% des revenus investis en R&D. Poursuivre les efforts Face à cette progression des investissements en Europe, Bruxelles espère transformer l'essai, continuer sur cette bonne lancée et oublier les années de vaches maigres. C'est ce qu'indique le commissaire européen Janez Potocnik, chargé de la Science et de la Recherche : "Si cette tendance se maintient, nous pourrions combler progressivement le déficit des investissements dans les activités de R&D. J'espère qu'au sommet de Lahti qui se tiendra dans le courant de ce mois, les leaders européens appuieront les propositions de la Commission visant à aller plus loin pour stimuler l'innovation en Europe". (...)
(09/10/2006 17:44:21)Des failles dans des machines à voter électroniques européennes
Des chercheurs néerlandais ont trouvé plusieurs séries de failles dans des systèmes de vote électronique utilisés notamment aux Pays-Bas, en Allemagne et en France. Publiée vendredi 6 octobre, leur analyse technique des machines du constructeur Nedap pointe du doigt des failles déjà mises en avant sur des machines à voter américaines de Diebold par des chercheurs comme Edward Felten, le directeur du centre pour les politiques sur les technologies de l'information de l'Université de Princeton. En l'occurrence, les machines à voter ES3B développées en commun par Nederlandsche Apparatenfabriek NV (Nedap) et par l'éditeur Groenendaal pourraient être ouvertes simplement par une même clé. Elles seraient aussi susceptibles d'écoutes électromagnétiques et pourraient de ce fait être manipulées à distance. Felten et des chercheurs de Princeton avaient déjà publié un rapport similaire le mois dernier sur des machines à voter AccuVote-TS de Diebold indiquant qu'il leur fallait moins d'une minute pour y installer un logiciel de trafic de votes. Nedap a depuis publié une FAQ sur son site web, qui note qu'aucun système n'est inviolable, mais qu'il reste bien plus difficile de manipuler un vote électronique qu'un vote papier. Une maigre consolation... (...)
(09/10/2006 17:44:56)Salesforce.com ouvre son langage Apex à ses clients
Salesforce.com devrait profiter de sa conférence utilisateurs "DreamForce", qui s'ouvre aujourd'hui à San Francisco, pour annoncer la mise à disposition de son langage de programmation Apex et de sa plate-forme de développement. Apex est un langage de programmation dont la syntaxe est proche de Java et qui est utilisé par les développeurs de Salesforce.com pour créer son logiciel de CRM hébergé. Apex a été spécifiquement optimisé pour bâtir des applications multi-clients. En rendant Apex et les outils associés accessibles à ses clients, Salesforce espère créer une troisième source de revenus pour compléter la vente de ses services hébergés et les revenus de licences qu'il tire de son réseau de partenaires AppExchange. Avec Apex, les clients pourront personnaliser les différents composants de Salesforce ou bâtir leur propre code pour remplacer certaines fonctions développées par l'éditeur. Salesforce.com s'interroge toujours sur le mode de facturation qu'il devrait utiliser pour Apex. La plate-forme Apex devrait être incorporée dans la prochaine version du logiciel CRM de la firme, Salesforce Winter '07, prévue pour le quatrième trimestre 2006 tandis que le langage Apex sera mis à disposition des clients au premier semestre 2007. (...)
(09/10/2006 17:43:52)OpenAjax se méfie des mashup exogènes
Ajax, aussi, expose les entreprises à des risques de sécurité. A l'occasion de l'AjaxWorld Conference, David Boloker, fondateur de l'OpenAjax Alliance (*) et CTO chez IBM, interviewé par nos confrères d'Infoworld, a pointé du doigt les menaces que constituent les services d'agrégation de contenu exogène (ou mashup) pour les systèmes d'informations. Les "mashup", symbole de l'avènement du très en vogue Web 2.0, sont des sites Internet permettant à l'internaute de fédérer et syndiquer du contenu provenant de sources extérieures, en s'appuyant sur l'éventail des technologies couvertes par Ajax, notamment Javascript, DOM, et CSS. Pour David Boloker, ce principe représente deux dangers : un premier très connu, représenté par le scripting côté serveur, et dont on peut se protéger. Le second, davantage lié à une brique fondamentale d'Ajax, Javascript, qui nécessite une exécution sur le poste client. "Si vous créez des mashup à partir de sources internes ou de partenaires - des sources de confiance -, les mashup sont sécurisés. Le problème intervient surtout quand on crée des agrégations entre ma société et une personne inconnue, qui peut soit injecter du code Javascript malformé, soit essayer de prendre le contrôle de ma machine. Comment alors sécuriser les mashup en autorisant ou non leur accès ?" Un problème que l'OpenAjax Alliance compte par ailleurs résoudre en travaillant en collaboration avec ses membres et le W3C. Encore trop de développeurs inexpérimentés Plus globalement, les problèmes de sécurité ne seraient pas uniquement liés au fonctionnement de Javascript, mais également à l'immaturité des développements provoqué notamment par un manque d'expérience de certains développeurs. "Si les projets de mashup ont abouti grâce à des développeurs chevronnées, certaines personnes développent en Javascript sans savoir comment écrire le code. Et dans le cas de mashup, cela peut être catastrophique", note-t-il. Un manque de repère, en somme, que le consortium prévoit de combler courant 2007 avec OpenAjax Hub, sa première implémentation de référence du modèle de programmation Ajax (*)L'OpenAjax Alliance est un consortium créé en février 2006 qui rassemble l'essentiel des grands acteurs du secteur (dernier en date, Sun) dont l'objectif est de développer et de promouvoir l'utilisation des technologies de clients riches Ajax (Asynchronous JavaScript and XML). (...)
(09/10/2006 14:04:20)Oracle se paie le Français Sunopsis pour intégrer les données
Pour Oracle, l'intégration de données hétérogènes passe par une énième opération de croissance externe. Pour compléter son offre d'ETL (Extract, Load & Transform, extraction, chargement et transformation de données), le géant de la base de données met la main ce lundi 9 octobre sur Sunopsis, éditeur français spécialiste de l'intégration de données. Le montant de la transaction, très discrète, n'a pas été communiqué. Dans un communiqué, Oracle indique que Sunopsis et lui-même ont des produits complémentaires. La société de Larry Ellison promet une intégration prochaine des solutions de Sunopsis à Oracle Warehouse Buidler, son offre d'entrepôt de données. Mais la technologie Sunopsis sera également incorporée à l'offre de gestion des données de référence (MDM) du middleware d'Oracle. Sunopsis avait peu à peu constitué une offre d'intégration d'applications (EAI) basée sur ses outils d'intégration de données, et se vantait de proposer une offre SOA intégrée, pour le marché des entreprises de taille moyenne. Oracle propose déjà une offre de hub de données (Customer Data Hub), mais ses multiples acquisitions pour étoffer son middleware rendent en effet nécessaire de posséder en propre un outil d'ETL. Cela promet encore quelques mois de plus pour intégrer toute l'offre. Toutefois, Oracle est encore loin, dans ce petit jeu des acquisitions, d'IBM, qui pour la seule partie intégration de données a racheté Ascential, DWL ou encore Trigo. (...)
(09/10/2006 13:47:26)Microsoft publie la version RC2 De Vista
Microsoft a publié la semaine passé une nouvelle version "Release Candidate" en anglais de Windows Vista, Vista RC2 (build 5744). Cette mouture apporte des milliers d'améliorations par rapport à la version RC1 lancée en septembre a expliqué Jim Allchin le co-président de la division plates-formes de Microsoft. "Il y a plusieurs milliers d'améliorations en termes de qualité depuis Vista RC1. Vous noterez probablement les progrès en termes de performances, de compatibilité applicative ainsi que les aspects d'ergonomie et de finition d'interface. Nous continuerons à améliorer la qualité jusqu'à la mise en production" écrit ainsi Allchin aux testeurs de la RC2. Un point important à noter pour ceux qui voudraient installer cette mouture est la note jointe au logiciel : "Cette version pourrait ne pas avoir le même niveaiu de support ou de maintenance via Windows Update que la version RC1. Vous pourriez aussi ne pas pouvoir mettre à jour de cette mouture vers la version finale de Windows Vista". Comprenne qui pourra... Plus raffiné, mais avec encore quelques problèmes Reste que cette mouture paraît effectivement plus raffinée que la mouture antérieure. La gestion de l'énergie ainsi que les fonctions multimédias, notamment Windows Media Center, ont été améliorées et la stabilité est toujours excellente. Le support des périphériques reste toutefois un point faible de l'OS avec un manque assez patent de pilotes pour certains périphériques et composants (notamment dans le monde des PC portables), même s'il est souvent possible de s'en sortir avec de "vieux" pilotes Windows XP. Ce n'est toutefois pas toujours le cas. Par exemple, un des problèmes persistants reste l'absence de pilotes pour les dispositifs de pointage UltraNav des ThinkPad d'IBM/Lenovo, un problème que même l'utilisation de pilotes XP ne peut régler...A un mois et demi du lancement des versions finales de Vista pour les entreprises, le non support de tels périphériques pour l'une des marques de portables les plus utilisées par les entreprises fait désordre... Un autre problème qui pourrait ralentir le cycle d'adoption par les entreprises est la compatibilité logicielle. Par exemple, des antivirus existants comme Nod32 ou des utilitaires comme Symantec Ghost 9 déclenchent l'allergie de Vista de même que certaines piles Bluetooth comme celle de Toshiba. Bien sûr chaque entreprise devra évaluer au cas par cas la compatibilité de ses configurations avec le nouvel OS. (...)
(09/10/2006 13:48:10)Google négocierait le rachat de YouTube
Selon le Wall Street Journal, Google aurait entamé des négociations avec YouTube pour acquérir le service de partage de vidéos en ligne. Les négociations valoriseraient YouTube à environ 1,6 Md$. Selon plusieurs études, YouTube détiendrait environ 46 % du marché des sites de vidéos en ligne aux Etats-Unis (en nombre de visites), soit plus de quatre fois plus que les 11% contrôlés par Google Vidéo. Un rachat propulserait donc Google au premier rang des sites de vidéos en ligne et lui assurerait aussi la domination (au moins provisoire) du marché publicitaire sur ces sites. Les négociations confirment aussi l'intérêt des géants de l'Internet pour les sites dits "sociaux". En août, Google avait déjà payé 900 M$ à News Corp pour contrôler la distribution publicitaire sur son site MySpace (21% des visites sur les sites de vidéos en ligne). (...)
(09/10/2006 12:34:03)Données passagers : Bruxelles et Washington entérinent un accord
Après une semaine d'âpres négociations, l'Union européenne et les Etats-Unis sont parvenus à un accord sur le transfert des données personnelles des passagers voyageant entre le Vieux et le Nouveau continent. Les deux parties naviguaient dans un flou juridiques depuis que la Cour de Justice européenne avait annulé une décision de Bruxelles, adoptée en 2004, aménageant les modalités de transfert des PNR (passenger name records). L'Union européenne avait jusqu'à 30 septembre pour façonner un nouveau texte censé permettre aux Etats-Unis de prévenir le terrorisme et aux compagnies aériennes européennes de se poser sur le sol américain. C'est finalement le 6 octobre, soit quelques jours après l'ultimatum, que les deux parties ont entériné un accord reconduisant dans les grandes lignes du précédent texte adopté en 2004. Les compagnies devront fournir aux autorités américaines une séries de 34 données concernant les passagers (incluant nom, adresse, nature du moyen de paiement, etc.) dans les 72 heures précédent le départ. Ces éléments, précise Bruxelles, respecteront les dispositions de la directive sur la protection des données fournies à des pays tiers et ne pourront être conservées que pendant trois ans et demi. Les Etats-Unis obtiennent toutefois de pouvoir transmettre les données , recueillies en premier lieu par le Département de la sécurité intérieure, à d'autres instances de lutte contre le terrorisme ou la grande criminalité comme le FBI ou la CIA. (...)
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