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(29/09/2011 17:03:17)
Bull met de l'extreme computing dans ses mainframes gcos 7
Le groupe français Bull fait passer ses mainframes gcos 7 à l'échelon supérieur en leur faisant profiter de l'architecture MESCA (multiple environment in a scalable architecture) qu'il exploite dans ses supercalculateurs bullx et ses grands serveurs novascale gcos 8.
Les modèles novascale gcos 7010 que le constructeur vient d'annoncer apportent deux fois plus de puissance que la précédente génération de systèmes gcos 7, avec lesquels ils sont compatibles. Les utilisateurs pourront continuer à faire fonctionner leurs applications tout en interopérant avec d'autres environnements, Windows, Linux, Unix, ainsi qu'avec d'autres mainframes. Au sein des novascale gcos7, on peut exploiter des applications Windows et gcos 7 dans des environnements indépendants (processeurs, mémoire et sous-système de stockage). Du côté des bases de données, le logiciel SQL XT permet d'accéder à Oracle, Microsoft SQL Server, ainsi qu'à la base Open Source PostgreSQL, sans installer d'environnements spécifiques sur gcos 7. Bull propose une offre de services associant conseil et mise en oeuvre pour aider ses clients à faire migrer leurs bases de données existantes vers PostgreSQL, afin de réduire leurs coûts de possession.
21 modèles à base de Xeon E7
La gamme novascale gcos 7010 se compose de 21 modèles de serveurs, exploitant des processeurs mono-coeurs et multi-coeurs Intel Xeon E7 serie 4800. L'architecture MESCA permet d'héberger sur un seul système novascale 7010 jusqu'à quatre serveurs gcos 7 qui seront administrés à partir d'une seule console. Bull souligne l'intérêt de cette option pour consolider les infrastructures dans les grands datacenters. Le constructeur a cherché à réduire la facture d'électricité liée à l'utilisation de ses systèmes, par l'utilisation de composants à basse consommation, le recours à des blocs d'alimentation active/passive brevetée par Bull, et par une meilleure dissipation thermique. L'encombrement des serveurs au sol a également été réduit.
En France, la Régie des Transports de Marseille a déjà adopté le système novascale gcos 7010. Une autre société est intéressée en Allemagne, Sonepar, spécialisée dans la distribution de matériel électrique.
Illustration : Novascale 7010 de Bull (crédit : D.R.)
Brevets : Microsoft passe un accord avec Samsung sur Android
Les smartphones et les tablettes Android Galaxy de Samsung vont devenir une vache à lait pour Microsoft. Selon nos confrères de PC World, en concluant un accord croisé autour des brevets, l'éditeur de Windows touchera des redevances pour chaque vente de smartphones ou de tablettes Samsung équipés du système d'exploitation développé par Google. Cela fait plusieurs mois que Microsoft et Apple font pression sur Google et sur les fabricants de smartphones et de tablettes tournant sous Android , au motif que l'OS utilise une partie de leurs technologies. En apparence, ce sont de mauvaises nouvelles pour Android. L'OS est censé être utilisé librement, mais Microsoft a déjà commencé à percevoir des royalties de la part de Samsung et également d'HTC, qui ont produit, à eux deux, plus de la moitié des smartphones Android vendus aux États-Unis.
Contribuer au développement de Windows Phone
Du coup, Samsung, HTC et d'autres fabricants seront certainement moins motivés pour créer et commercialiser des terminaux mobiles sous Android, sachant qu'ils devront verser une partie de leurs revenus à Microsoft. En outre, l'accord Samsung-Microsoft a des implications encore plus importantes concernant Windows Phone, car Samsung devra, selon les termes de la transaction « coopérer à son développement et à son marketing ». Le Coréen commercialise déjà des smartphones équipés de Windows Phone, mais met surtout l'accent sur Android.
Reste qu'en signant ce contrat, Samsung pourrait revoir ses priorités. La transaction conclue entre Microsoft et HTC ne présentait pas les mêmes stipulations, ou tout du moins Microsoft n'en a pas fait mention dans son communiqué de presse de l'époque. Mais comme le géant des logiciels cherche à engranger davantage de revenus sur les licences d'autres fabricants de smartphones, il s'empresse de passer des accords tels que celui conclu avec Samsung,
Pour ceux qui utilisent Windows Phone et qui souhaitent le voir prospérer, ce sont plutôt de bonnes nouvelles. A l'inverse, les partisans de Google risquent d'être extrêmement contrariés. « A défaut de réussir sur le marché des smartphones, certains n'hésitent pas à recourir à des mesures légales pour extorquer et tirer profit des réalisations accomplies par d'autres, quitte à entraver le rythme de l'innovation », s'est indigné Google dans un communiqué.
(...)
Oracle parle de l'avenir de Sparc et (maj)
Oracle a dressé pour sa famille de processeurs Sparc une feuille de route particulière, une manière de se détacher un peu plus de l'héritage de Sun Microsystems.
En rachetant Sun, début 2010, Oracle mettait dans son panier une entreprise en difficulté qui venait aussi d'abandonner le développement d'une puce Sparc 16 coeurs nom de code Rock. Sun travaillait depuis 5 ans sur ce projet, à un moment où l'ensemble du marché se tournait de plus en plus vers des systèmes x86 moins chers. A l'origine, elle prévoyait de livrer sa puce Rock en 2008. Jusqu'à ce que Sun abandonne le développement de sa puce Rock, l'avenir de Sparc, et par extension, celui du système d'exploitation Solaris, est resté incertain. Puis il y a eu la reprise de Sun par Oracle, et des bénéfices en baisse pour Solaris - moins 3,2% en 2010 - « les utilisateurs finaux affichant un certain scepticisme quant à l'engagement d'Oracle pour la plateforme Solaris », avait rapporté Gartner à l'époque
L'annonce d'une puce Sparc T4 et de systèmes prêts à la supporter, clarifie l'avenir et montre qu'Oracle veut tourner la page. Cette orientation s'affirme d'autant plus que Mark Hurd, vice-président Oracle, a déclaré cette semaine que l'entreprise investissait dans le développement de Sparc, et qu'elle fournirait la semaine prochaine une roadmap traçant la voie à plusieurs générations de puces. Notamment, le successeur à la puce T4, le T5, est déjà programmé, « ce qui signifie en fait que celle-ci est déjà en phase finale de conception, » comme l'a précisé le vice-président d'Oracle dans une interview. « Il existe évidemment des opportunités qui nous incitent à davantage développer Sparc », a déclaré Mark Hurd. Solaris profitera aussi de ces investissements, de façon à « coupler » la puce au système d'exploitation et profiter « de la meilleure association possible», a-t-il ajouté.
Le haut de gamme visé en priorité
Nathan Brookwood, analyste chez Insight 64, a déclaré que le T4 était « le processeur Sparc le plus sophistiqué et le plus performant depuis longtemps ». L'analyste pense que sous la direction d'Oracle, les objectifs de l'équipe d'ingénierie de Sparc sont « beaucoup mieux ciblés », notamment en termes de prise de risque pour le projet et également pour ce qui concerne la livraison de mises à jour à date donnée. L'idée de Sun était de construire une famille de puces T1 pour faire tourner ses systèmes bas de gamme, et de concevoir en parallèle un processeur Rock pour des systèmes haut de gamme. « Après le rachat, Oracle a estimé que le développement simultané de deux types de semi-conducteurs était trop ambitieux et trop risqué, » a déclaré James Staten, analyste chez Forrester Research. « A la place, Oracle a pensé pouvoir s'engager dans la conception d'un seul processeur haut de gamme et répondre aux exigences élevées, liées à son développement, » a déclaré l'analyste. « La conception était plus cohérente, avec une feuille de route et des délais beaucoup plus réalistes », a ajouté James Staten.
Chacun des huit coeurs du T4 peut tourner à 3 GHz, contre 1,65 GHz pour le précédent T3. Mais la puce apporte aussi un traitement des données différent. « C'est ce qui fait que la puce gagne autant en performance, » a déclaré Nathan Brookwood. En effet, « La T4 est la première puce Sparc à utiliser un traitement des données out-of-order (OOE), » a déclaré Brookwood. « Cette technique permet au processeur de réordonner les instructions afin d'optimiser les performances. Il exécute les instructions selon un ordre guidé par la disponibilité des données, ce qui permet d'éviter les retards. Par opposition à l'approche classique, où le processeur prend les instructions dans l'ordre où elles sont codées, » a-t-il expliqué
La Hadopi dresse son bilan d'activité sur le téléchargement illégal
La Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) a présenté, son premier rapport d'activité sur la période janvier 2010-juin 2011. Il en ressort qu'elle a déjà envoyé près d'un demi-million de recommandations aux internautes suspectés d'avoir téléchargé illégalement des oeuvres protégées.
Sa présidente, Marie-Françoise Marais, a indiqué qu'Hadopi reçoit en moyenne chaque jour 71 613 saisines transmises par les ayants droit. Au total, 1,023 million de demandes d'identification ont été adressées aux fournisseurs d'accès lesquels ont répondu dans 89% des cas.
Près d'un demi-million premiers avertissements
En termes d'avertissements, quelque 470 935 premières recommandations ont été envoyées aux abonnés par e-mail, suivies seulement 20 598 fois d'une seconde réprimande. Toutefois, seuls quelques dizaines de cas pourraient actuellement donner lieu à des poursuites devant les tribunaux.
Pour mener à bien son action, l'Hadopi dispose d'un budget annuel de douze millions d'euros.
Cloud Personal : Microstrategy cible les utilisateurs Excel
MicroStrategy espère que, avec le service Cloud Personal, offert gratuitement pour l'instant, son logiciel de business intelligence (BI) trouvera un public auprès des utilisateurs de Microsoft Excel qui souhaitent élargir leur environnement de travail. Pour utiliser Cloud Personal, actuellement disponible en version bêta publique, rien de plus simple : après avoir créé un compte pour accéder au service, les utilisateurs envoient leurs données vers le datacenter de MicroStrategy, pour ensuite les exploiter à l'aide d'une série d'outils de visualisation et enfin les partager éventuellement avec d'autres personnes via les sites de réseautage social ou par mail.
Ce service de création de tableaux de bord personnels en mode hébergé prêt à l'emploi accepte des fichiers Microsoft Excel et les organise en tableaux. Une contrainte, la première ligne de chaque colonne doit être identifiée par un titre. Par ailleurs, « pour le moment, les fichiers comportant des tableaux croisés dynamiques, ou d'autres formats de fichiers, ne sont pas traités », comme l'a expliqué Microstrategy dans une FAQ. « Cloud Personal peut notamment travailler avec des ensembles de données publiques, comme celles que l'on trouve sur des sites institutionnels du genre Data.gov (nom adopté aux Etats-Unis), » a ajouté Microstrategy. Grâce à un framework de sécurité, les utilisateurs peuvent déterminer qui a le droit de voir leurs rapports et révoquer les autorisations données à un individu pour voir ses tableaux de bord à tout moment. La solution tourne entièrement dans l'interface d'un navigateur Internet, et ne nécessite pas d'installation locale. Cependant, elle a besoin du Player Flash d'Adobe pour fonctionner. MicroStrategy a prévu, pour les possesseurs d'iPad, une application mobile gratuite qui leur permet de télécharger les fichiers PDF et voir les tableaux de bord créés avec Cloud Personnal.
Une adoption par le gratuit
Microstrategy aimerait inciter les utilisateurs à soumettre « leurs tableaux de bord les plus pertinents» sur un site web, et en faire profiter tout le monde. Environ 20 modèles de tableaux de bord ont déjà été mis en ligne sur le site. Cloud Personal prend un peu exemple sur des entreprises comme Tableau, qui a offert pendant un certain temps une version gratuite de ses outils de visualisation de données. L'objectif est de sensibiliser les utilisateurs au produit et de rendre ses fonctionnalités indispensables, pour ensuite vendre des licences payantes aux entreprises qui les emploient.
MicroStrategy poursuit ainsi sa stratégie de fournir des services de BI prêts à l'emploi et de proposer des outils que les salariés d'une entreprise peuvent adopter sans passer par le service informatique.
Lancement de Topinge.com, site d'emploi spécialisé dans les métiers de l'IT
Avec 50 nouvelles offres déposées quotidiennement, 2 000 candidats inscrits et un réseau de 150 écoles d'ingénieurs, Topinge.com est un site d'emploi qui permet aux entreprises d'optimiser le recrutement de profils liés aux métiers de l'IT. Le dépôt des offres d'emploi et gratuit, choix qui coïncide avec la volonté de proposer aux candidats un volume important d'offres de stage et d'emploi. Il s'effectue à partir d'un espace « Recruteur », où il est possible de gérer le suivi des offres déposée et de les supprimer dès que le poste est pourvu. Les propositions sont accessibles via un moteur de recherche dès la page d'accueil et transmises directement par mail aux candidats inscrits à Job Alert.
Une meilleure identification des écoles d'ingénieurs
Les entreprises peuvent également choisir le moyen de recevoir les CV, directement par mail ou via un formulaire sur leur site web. Le portail est, en outre, partenaire de la plupart des outils de multi-diffusion (de type multiposting) permettant de sélectionner directement les sites d'offres d'emploi lors de la création d'une offre. Il propose aux écoles d'Ingénieurs de se faire connaître autrement que par le simple affichage d'un logo sur le site.
Celles-ci font en effet l'objet d'une présentation détaillée et peuvent ainsi être mieux identifiées tant par les recruteurs (qui disposent d'une meilleure visibilité auprès des jeunes diplômés) que par les étudiants ou salariés (qui peuvent savoir où se former). Parmi les écoles partenaires du site, on peut citer l'Isen, l'Estia, l'Esti, l'Ensiie, l'Ensai ou encore l'Esigetel. (...)
Apple officialise sa keynote sur le prochain iPhone
Apple a envoyé hier une invitation aux médias américains pour son évènement «Let's talk iPhone» le 4 octobre prochain. Voilà qui mettra donc un terme aux spéculations sur l'appareil. Sur la base justement du titre de l'invitation, la dernière rumeur veut que le nouveau smartphone soit doté d'une fonction de reconnaissance vocale, baptisée «Assistant».
Bien que le terme explicite d'iPhone 5 ne soit pas mentionné dans l'invitation, c'est selon toute vraisemblance la dernière version de son smartphone qui devrait être présentée mardi à 19h. Jusqu'ici peu d'informations ont filtré sur le futur appareil. Il devrait toutefois être équipé du nouveau processeur A5, d'une mémoire vive de 1 Go et d'une caméra de 8 mégapixels. Pour le reste, il faudra faire preuve de patience...
Le compteur intelligent Linky généralisé à partir de 2013
Le compteur électrique Linky, capable de mesurer en temps réel et à distance sa consommation, se généralisera à l'ensemble du territoire entre 2013 et 2020. Le ministère de l'Industrie a officiellement lancé, mercredi 28 septembre, le déploiement du dispositif testé localement depuis début 2010.
Le ministère a par ailleurs assuré que le coût du déploiement national de Linky ne sera pas à charge des consommateurs. La première vague d'installation à grande échelle, sept millions de Linky, sera initiée à partir de 2013.
A l'image de Linky, les compteurs dits « intelligents » sont des appareils évaluant la consommation de gaz et d'électricité dans un logement. Contrairement aux dispositifs qu'utilisent la plupart des Français actuellement, ces compteurs ont la capacité de s'adapter en fonction des paramètres météorologiques, des saisons, de la température et du nombre d'habitants dans un foyer.
L'UEFA choisit le cloud d'Interoute pour son informatique et les télécoms
L'Union des associations européennes de football (UEFA) a choisi les services cloud paneuropéens d'Interoute pour supporter l'ensemble de son activité, les compétitions et les événements, durant les trois prochaines années. Interoute hébergera tous les systèmes et applications directement utilisés par l'association européenne, dont la plateforme FAME (Football Administration and Management Environment) et le site web uefa.com.
FAME est la plateforme informatique sur laquelle reposent les principaux services de l'UEFA, comme les réservations des médias, les accréditations, la gestion des compétitions, mais aussi les services pour les arbitres et les partenaires commerciaux. Quant au site web, il nécessite une infrastructure robuste, en raison du grand nombre de visiteurs et de contenus multimédias proposés. Lors de la finale de l'euro, la plateforme a été visitée par 343 millions d'internautes.
Daniel Marion, Directeur des Technologies de l'Information et de la Communication de l'organisation, explique: « Interoute a conçu, construit et déployé avec succès une plateforme qui nous fournit à la fois la fiabilité et la stabilité que nous demandions, mais aussi une souplesse d'adaptation aux événements. Le site uefa.com est l'un des dix sites web les plus visités au monde pendant les grands rendez-vous de football, il fournit des vidéos de haute qualité aux amateurs de football à travers le monde. Nous avons trouvé en Interoute le partenaire capable d'allier les hauts niveaux de performance avec la qualité dont l'UEFA et ses compétitions ont besoin.»
(...)(29/09/2011 09:45:29)Centrex et Box pro dynamisent le marché de la ToIP/VoIP
Première surprise de l'étude, le Centrex refait parler de lui. Célébré au début des années 2000, il semblait être atteint d'anémie. 2010 a marqué un réveil, aujourd'hui 7% des entreprises (en moyenne) en sont équipés : 14% dans les grands comptes, 11% dans les PME (50 à 499 salariés), 6% en dessous. Par secteur, les services, le commerce, les entreprises multisites semblent les plus favorables au centrex. « De nouvelles offres opérateurs ont réveillé le marché » commente Xavier Lemuet qui a piloté l'étude.
Autre poussée, mais là c'est une confirmation, celle des box adsl. Elles poursuivent leur progression jusqu'à atteindre 55% du marché (de la TPE au grand compte). C'est 16% de plus qu'en 2010. La box est le deuxième type d'équipement en France, derrière le Pbx qui atteint 70%. Loin derrière : les logiciels de téléphonie (7%) et le Centrex (7%). Par rapport à 2010, la box grand public en entreprise baisse au profit de la box Pro, signe que cet équipement est très ancré dans le monde de l'entreprise dans des configurations de 10 à 15 postes.
Fort potentiel de croissance des PBX IP-enabled
Mais la grande découverte de cette nouvelle édition tient au fort potentiel de croissance des PBX IP-enabled. Des PBX hybrides qui fonctionnent aussi bien en TDM qu'en IP. Depuis trois ans, il ne se vend que des PBX de ce type. « Mais, nous observons un fort décalage entre l'équipement en PBX et l'utilisation des services IP » note Xavier Lemuet. Soit les installateurs ne savent pas préconiser une utilisation complète de ces PBX, soit les entreprises clientes rechignent à dépenser pour accéder à une connexion IP. En convertissant ce parc, la ToIP/VoIP pourrait toucher 60% des entreprises ! Actuellement, 40% des entreprises françaises (de la TPE au grand compte) font de la ToIP.
Autre donnée, les usages restent dans le grand classique. 94% des entreprises citent : l'accueil téléphonique, la messagerie vocale, le transfert d'appels. Le changement, sur cette question des usages, vient des sujets audioconférence et visioconférence, le premier passe de 8% en 2010 à 16% en 2011. La visio, progresse de 5 à 7%.
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