Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 2951 à 2960.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(10/08/2011 18:58:37)

Services : IBM aide à simuler les effets des politiques municipales

S'appuyant sur le projet pilote « System Dynamics for Smarter Cities » mené avec la ville de Portland, Oregon, IBM propose désormais un modèle de services et de logiciels qui permet aux  administrations municipales de prédire les effets de leurs choix politiques. L'objectif de ce « modèle dynamique pour des villes plus intelligentes » est de fournir aux maires, et aux autres responsables qui l'entourent, un système permettant de comprendre les conséquences possibles des décisions municipales. Selon IBM, le modèle a été conçu pour faire tomber les barrières de communication qui ont jusque-là empêché ces administrations d'avoir une vision globale et d'apprécier comment une décision politique prise au niveau local pouvait affecter d'autres domaines. Il serait possible de faire des prévisions allant jusqu'à 25 ans.

C'est en avril 2010 que la ville de Portland a démarré ce projet pilote. Au départ, les autorités de la ville et IBM ont consulté plus de 75 experts de la région pour comprendre les relations entre les différents services de la ville, comme le transport, le logement et la sécurité publique. « Nous avons impliqué 18 organismes gouvernementaux », a déclaré Joe Zehnder,   administrateur principal de la ville de Portland. Ensuite, en collaboration avec des chercheurs de la Portland State University et avec l'aide des systèmes logiciels de Forio Simulations Business, la ville et IBM ont rassemblé des données de la zone couverte, dont certaines datant de près de 10 ans.

Une approche plus pertinente


Cela a débouché sur un modèle informatique spécifique à la ville de Portland construit à partir de ces données et capable de montrer en quoi des changements effectués dans un secteur pouvaient influer sur un autre secteur. 
 « Le but était de dépasser les frontières traditionnelles en matière d'information et de communication », explique Joe Zehnder. Même si les services communiquaient étroitement avant le projet, l'intégration des données à permis une approche « plus pertinente», a t-il ajouté. Par exemple, dans le cadre du plan mis en place par la ville pour réduire de 40% les émissions de carbone d'ici à 2030, il a été possible de voir comment les changements affectés à un secteur pouvaient en affecter un autre. Les autorités savaient déjà que, pour atteindre leur objectif, il fallait inciter les gens à changer un certain nombre d'habitudes, comme préférer la marche à pied, ou le vélo, à la voiture. Le modèle a montré que ce changement contribuerait aussi à réduire le nombre de personnes obèses et modifierait ainsi la situation sanitaire de la ville. Selon IBM, le modèle peut également établir des relations entre l'état de santé des habitants et l'attractivité de la ville pour les entreprises, ou entre la densité de population et le bien-être. 


De quelle façon réaliser des économies d'énergie


Joe Zehnder a été surpris du résultat obtenu avec le modèle dynamique dans le secteur de l'énergie. L'administration municipale a voulu connaître les habitudes de consommation d'énergie de ses habitants et savoir si la consommation devait être réduite de manière équivalente dans tous les quartiers. « Avant le projet, nous pensions que, dans les quartiers riches, avec des maisons plus grandes, la consommation d'énergie serait généralement plus élevée. L'analyse a montré que ce n'est pas nécessairement le cas », a déclaré l'administrateur. [[page]]Les résultats de l'évaluation sont désormais utilisés aussi dans un autre projet mené par la ville, le Clean Energy Works, qui doit aider l'administration à identifier dans quels domaines elle peut réaliser des économies d'énergie. « Dans la plupart des situations, le modèle a permis de montrer comment poursuivre les priorités énoncées dans la feuille de route de la ville pour les 25 prochaines années », a déclaré Joe Zehnder. « C'est un outil très utile pour remettre en question sa façon de penser et ses hypothèses », a t-il ajouté.

Simuler des systèmes complexes


System Dynamics for Smarter Cities est d'ores et déjà disponible sous forme de logiciels et de services de consulting proposés par IBM. L'éditeur fournira les services de consultation pour son modèle System Dynamics for Smarter Cities, mais des logiciels d'autres vendeurs peuvent aussi être utilisés. À condition que le système logiciel soit capable d'analyser et de simuler des systèmes complexes et dynamiques. « Il existe  de nombreux outils logiciels dans le domaine des systèmes dynamiques sur le marché, et notre modèle n'est pas lié à un type spécifique », a déclaré Naveen Lamba, partenaire associé pour une ville plus intelligente, chez IBM Global Business Services. « Si une ville utilise déjà un système dynamique avec certains logiciels, dans la plupart des cas, le modèle d'IBM peut l'utiliser », explique le partenaire. « A contrario, nous recommandons une solution, mais nous ne préconisons pas de logiciel en particulier », a ajouté Naveen Lamba. Dans le cadre du projet pilote mené avec la ville de Portland, c'est un logiciel de simulation du vendeur Forio Business Simulations qui a été utilisé.

Dans son communiqué, IBM a qualifié sa nouvelle offre de 'service app'. « Cependant, le sens de 'app' est différent de celui utilisé pour les petites applications des Smartphones », explique encore Naveen Lamba. « Ce n'est pas une solution prête à l'emploi. Il faut l'adapter aux besoins de chaque ville », a-t-il expliqué en précisant que l'ampleur et la durée d'un projet utilisant le modèle System Dynamics for Smarter Cities dépendait de ce que la ville voulait atteindre avec le système. En dehors de la ville de Portland, IBM ne peut pas encore citer d'autres clients pour son nouveau service. Cependant, il serait en pourparlers avec plusieurs villes. La nouvelle offre est disponible dans le monde entier et peut être mise en oeuvre dans des villes de tailles et de structures différentes. « IBM doit aussi former ses consultants dans le monde entier pour faire adopter son modèle », a également souligné Naveen Lamba.

(...)

(10/08/2011 17:35:52)

Vol réussi pour un avion sorti d'une imprimante 3D

Des ingénieurs de l'Université de Southampton ont réussi à faire voler un avion fabriqué à l'aide d'une imprimante 3D. Cette expérience insolite met en scène un prototype écologique, silencieux et pouvant atteindre une vitesse maximale de 160km/h. Le projet Sulsa (pour Southampton University Laser Sintered Aircraft) est mené par les professeurs Jim Scanlan et Andy Keane. Il consiste à développer un avion télécommandé dont toute la structure, y compris les ailes, a été entièrement réalisée dans un matériau à base de poudre de plastique et moulée à partir d'une imprimante laser, l'Eos Eosint P730 nylon. Celle-ci est d'ordinaire utilisée dans la fabrication d'objets en métal ou en plastique.

L'un des avantages de l'impression 3D, c'est la possibilité de produire une aile de forme elliptique, qui améliore la traînée. La structure, rigide et très légère, s'assemble sans l'aide d'outils. Les pièces sont mises en place par pression et l'avion se monte en quelques minutes. Tout ce travail de création, d'impression et d'assemblage n'a pris à l'équipe qu'une semaine, pour un premier vol de 10 minutes.

Fort de ce premier succès, l'Université de Southampton va proposer dès le mois de septembre à ses étudiants un programme de maîtrise pour la conception d'avions sans pilote.

En savoir plus :

- sur le projet Sulsa sur le site du magazine New Scientist
(...)

(10/08/2011 17:00:51)

Microsoft ajoute le support d'Hadoop à SQL Server et PDW

La réponse de Microsoft au phénomène des « Big Data » consiste à apporter à sa base de données SQL Server et à sa plateforme Parallel Data Warehouse le support du framework Open-Source Hadoop, adapté au traitement d'importants volumes de données. Les connecteurs qu'il proposera seront disponibles sous peu sous forme de CTP (community technology preview) précise l'équipe de SQL Server dans son blog officiel.

L'expression Big Data fait référence à la multiplication des données générées par les entreprises, en particulier en provenance du trafic web et de capteurs. « Nos clients nous demandent de les aider à gérer et analyser à la fois des données structurées et non structurées, qui sont notamment stockées dans des environnements Hadoop », explique l'éditeur. Avec les connecteurs qu'il s'apprête à fournir, les clients pourront échanger des données entre ces environnements, SQL Server et Parallel Data Warehouse (PDW).

Hadoop, qui s'adosse à l'Apache Software Foundation, a été constitué par Yahoo. Il est basé en partie sur le modèle de programmation MapReduce développé par Google. Un écosystème de plus en plus étendu s'est développé autour d'Hadoop, comportant des acteurs tels que Cloudera, pour offrir des services et des distributions spécialisées du Framework.

Pas de feuille de route à long terme

La démarche de Microsoft est logique, dans la mesure où des fournisseurs de datawarehouse tels qu'EMC (avec Greenplum) et Teradata ont déjà adopté Hadoop, rappelle James Kobielus, analyste de Forrester Research. De plus en plus d'entreprises exploitent des clusters Hadoop et veulent être capables d'envoyer des données de ces systèmes vers leurs datawarehouses, ajoute-t-il. Mais, selon lui, aucun fournisseur ne peut prétendre avoir construit une offre Hadoop complète qui inclurait des distributions, des connecteurs vers des projets liés à Hadoop tels que la base de données Cassandra, des outils de modélisation et d'autres composantes. Il est évident qu'à l'instar des autres acteurs, Microsoft a des projets très sérieux pour Hadoop, reconnaît James Kobelius en soulignant toutefois que, pour l'instant, il n'avait pas encore communiqué de feuille de route à long terme.

Microsoft n'adopte pas Hadoop au détriment de ses propres développements. Il a par exemple livré récemment le projet Daytona, un modèle de programmation basé sur MapReduce à utiliser sur son cloud Azure.

Cette semaine, la société de Steve Ballmer a également annoncé qu'il avait livré une deuxième mise à jour pour Parallel Data Warehouse. Celle-ci combine de nouvelles fonctionnalités, à la fois du côté du matériel et du logiciel. Cela inclut des connecteurs supplémentaires pour des éditeurs d'outils de BI (Business Intelligence) et d'intégration de données tels que SAP, Informatica et Microstrategy. Par ailleurs, une version de PDW est maintenant disponible pour les serveurs de Dell. Les prix démarrent à moins de 12 000 dollars par téraoctet.

Illustration : projet Hadoop / Blog de l'équipe SQL Server

(...)

(10/08/2011 16:42:56)

Baidu ferme son site de microblogging

Le plus important moteur de recherche chinois, Baidu, s'est retiré du marché des services de type Twitter dans son pays en annonçant qu'il allait fermer ses sites de micro-blogging. Baptisé Baidu Talk, le site avait été créé pour que le géant puise sur le marché en pleine essor des sites de microblogging. Lancé en septembre dernier, le service se positionnait comme une plate-forme communautaire intégrant des fonctionnalités similaires à celles de Twitter. Il avait tenté de se démarquer de la concurrence en exigeant que tous ses membres s'inscrivent sous leurs vrais noms.

Au cours des trois premiers mois de son fonctionnement en version bêta, le site comptait plus d'un million d'utilisateurs enregistrés. Mais après l'avoir laissé en ligne pendant presque un an, Baidu a finalement annoncé cette semaine qu'il allait en suspendre tous les services d'ici la fin du mois. Le groupe chinois a refusé de donner les raisons précises qui l'ont conduit à fermer son service. Dans un communiqué, la firme a déclaré que Baidu Talk lui avait permis d'acquérir une expérience précieuse en matière de services liés aux réseaux sociaux. Elle a également ajouté que les caractéristiques de Baidu Talk seraient incorporées à d'autres produits.

Micro-blogging en Chine : dominé par Weibo et Tencent

En Chine, le marché des sites de micro-blogging est dominé par deux autres grandes entreprises locales du Net : d'une part le portail Sina et son propre service de micro-blogging, baptisé Weibo, qui compte 140 millions de membres, de l'autre Tencent, un site qui dispose d'un service de jeu en ligne et d'une messagerie instantanée et qui réunit 160 millions d'utilisateurs. Si Baidu Talk a échoué à gagner du terrain sur le marché chinois, c'est partiellement en raison de sa date de sortie. « Le service a été lancé alors que ses concurrents avaient déjà commencé à acquérir une part importante du gâteau »,  a déclaré Mark Natkin, directeur général du cabinet de conseil Marbridge Consulting.

« Le moteur de recherche chinois a également lutté pour créer des produits à succès en dehors de son coeur de métier. » Baidu a en effet tenté de combiner son moteur de recherche avec l'e-commerce en créant le site Youa. Mais le portail n'est pas parvenu à gagner une part importante sur le marché Internet national. En avril, Baidu  a donc décidé de migrer la partie e-commerce de son site vers d'autres plateformes et a fait de Youa un site sur les styles de vie. Le groupe aura davantage de succès soit par le biais de partenariats ou en aidant des sociétés à gérer des produits qui se situent en dehors de la sphère des moteurs de recherche, a précisé Mark Natkin. C'est notamment le cas de Qiyi.com, un site de vidéo en ligne chinois, qui a été  lancé en avril 2010 et dont Baidu détient une participation.

(...)

(10/08/2011 14:55:39)

Apple fait barrage aux ventes de Galaxy Tab 10.1 en Europe

Le constructeur californien Apple a confirmé hier qu'il avait obtenu d'un tribunal allemand une mesure provisoire pour empêcher Samsung de vendre ses tablettes Galaxy Tab 10.1 dans les différents pays de l'Union européenne, à l'exception des Pays-Bas où un autre procès est en cours entre les deux constructeurs. Le fabricant de l'iPad va tenter d'obtenir une mesure similaire auprès d'un tribunal de La Hague avec le même objectif. Jeudi, il devrait demander à cette cour que les ventes de smartphones Galaxy soient également arrêtées.

Cette information a été communiquée et expliquée par Florian Mueller sur son blog spécialisé sur l'actualité des brevets liés aux terminaux mobiles. Lui-même a cité l'agence de presse Deutsche Presse-Agentur et indiqué que Samsung avait, de son côté, déclaré à Bloomberg qu'il n'avait pas été informé par Apple de cette action. Le constructeur sud-coréen encourt une amende de 350 000 dollars (plus de 240 000 euros) pour chaque violation constatée s'il ne respecte pas cette injonction. La décision du tribunal allemand se réfère à la propriété intellectuelle relative au design de la tablette et ne concerne pas de brevets liés aux logiciels ou au matériel.

Une tablette qui ressemble beaucoup à l'iPad

« Ce n'est pas une coïncidence si les derniers produits de Samsung ressemblent beaucoup à l'iPhone et l'iPad, de la forme du matériel jusqu'à l'interface utilisateur et même le packaging », a indiqué par e-mail une porte-parole à nos confrères d'IDG News Service, en soulignant qu'Apple devait protéger sa propriété intellectuelle quand des entreprises volaient ses idées.

Apple et Samsung s'affrontent en ce moment dans le cadre de différents procès dans plusieurs pays, depuis avril dernier. Le fabricant de l'iPad a engagé les poursuites, Samsung a riposté quelques jours plus tard invoquant lui aussi une violation de sa propriété intellectuelle.

Illustration : La Galaxy Tab 10.1 (crédit : Samsung)

(...)

(10/08/2011 13:12:35)

Plainte visant Mac OS : une bataille Android par procuration, selon un expert

Selon un spécialiste en brevets, un procès en violation de propriété intellectuelle visant Apple pourrait être le dernier coup de la bataille impliquant actuellement Mac OS et le système d'exploitation mobile Android de Google. Dans une plainte déposée devant un tribunal fédéral de Floride, Operating Systems Solutions (OSS) affirme que le système d'exploitation Mac OS X d'Apple et les ordinateurs Mac tirent profit d'un brevet qui décrit une « méthode permettant de démarrer rapidement un système informatique », exposent nos confrères de Computerworld.

Ce procès, dont le blog Patently Apple s'est fait l'écho en premier, attire l'attention parce que la plainte avait été initialement portée contre LG Electronics, le fabricant sud-coréen de smartphones et de tablettes sous Android de Google. Voilà quelques mois qu'Apple et plusieurs fabricants d'appareils sous Android - dont Samsung et HTC - sont aux prises avec la justice pour des questions de brevets. Le consultant chargé de défendre Google a dernièrement accusé ses rivaux, dont Apple, de mener une « campagne hostile contre Android » en se servant « des brevets comme prétexte ». Le brevet d'OSS est une réédition du brevet n° 6.434.696 initialement déposé en 1999 par LG Electronics, lequel avait été ensuite cédé à une autre entreprise coréenne, pour se retrouver en 2008 dans les mains d'une entreprise du nom de Protimus Technologies. Selon le bureau de l'US Patent & Trademark, la réédition de ce dernier brevet a été achetée par OSS en mars 2011.

Une action menée par une société récemment créée


Selon l'expert en brevets Florian Mueller, l'enjeu juridique entre OSS et Apple n'est qu'un coup de plus dans la guerre opposant Apple et Android. L'expert estime cette fois que la bataille a lieu par procuration. « Cette action juridique effectuée en Floride par un plaignant dont personne n'a entendu parlé, pourrait être pilotée par LG », a déclaré Florian Mueller sur son blog. « Dans ce cas, on doit l'interpréter soit comme un coup de semonce ou comme le début d'un conflit plus large entre Apple et LG, ce dernier estimant que l'affrontement est inévitable. » L'expert fonde son analyse sur plusieurs éléments, notamment les récentes pratiques d'Apple en matière de contentieux et le peu d'informations disponibles sur OSS.

Selon la base de données commerciale de l'État de Floride, la société OSS a été enregistrée il y a moins de huit mois et dispose d'une adresse à Miami. Mais on ne peut trouver nulle part le numéro de téléphone, ni l'adresse électronique de l'entreprise ou de son dirigeant, Daniel Sherr. Florian Mueller fait remarquer que les produits LG tournant sous Android sont l'objet de poursuites de la part de plusieurs entreprises, dont Alcatel-Lucent et Sony, qui a déposé une plainte en décembre dernier auprès de l'U.S. International Trade Commission dans laquelle elle désigne un certain nombre de téléphones de la marque LG. « Nous attendons de voir si Apple et LG entament ou non des négociations en direct », a déclaré l'expert. « Si cela se produit, nous allons probablement assister à une escalade rapide, semblable à celle qui a eu lieu entre Samsung et Apple : aujourd'hui les deux entreprises sont en procès l'une contre l'autre dans 9 pays sur quatre continents. LG possède également des brevets dans de nombreux pays et les défend de manière très agressive. »

Pour l'heure, le plaignant en titre, OSS, réclame des dommages - notamment un triplement des dommages-intérêts  pour « mépris délibéré des droits du demandeur » - et une injonction interdisant la vente des produits Apple enfreignant ces brevets. Contactés, les avocats de OSS n'ont pas voulu commenter l'affaire plus avant.

Illustration : D.R.

(...)

(10/08/2011 12:08:39)

Les concurrents de l'iPad doivent ajuster leurs tarifs, estime Forrester

L'iPad écrase le marché des tablettes, avec une part de marché d'environ 70% en Europe (contre 80% aux Etats-Unis). Selon une étude menée par Forrester et publiée ce mardi 9 août, les concurrents de l'iPad n'ont d'autre choix que de revoir leurs prix à la baisse s'ils souhaitent pouvoir rivaliser avec la star d'Apple.

Pour Forrester, les concurrents doivent absolument faire un effort sur leurs prix pour espérer concurrencer Apple. "Un concurrent d'Apple devrait réunir le bon contenu, le bon prix et la bonne stratégie de distribution. Il n'y en a aucun qui a les trois. Actuellement il n'y a tout simplement pas d'alternative convaincante à l'iPad", explique l'analyste Sarah Rotman Epps, responsable de cette étude. Pour elle, une tablette concurrente à l'iPad doit nécessairement être vendue moins chère, donc moins de 489€ en France.

Baisse du prix des HP TouchPad un mois après leur sortie

La tendance va dans ce sens puisqu'un mois seulement après sa sortie, HP a réduit le prix de son TouchPad aux Etats-Unis, passant de 499 à 449$. De son côté, Samsung suit la politique tarifaire d'Apple avec son Galaxy Tab 10.1 proposé au même tarif d'entrée de gamme que l'iPad. Quant au français Archos, qui tire les prix vers le bas, il tentera de rivaliser avec sa prochaine génération de tablettes G9 attendue fin septembre à partir de 249€.

Sur un échantillon interrogé par Forrester, seuls 2% des Français possèderaient une tablette et 10% compteraient en acheter une prochainement. L'Europe représente aujourd'hui 30% du marché, contre 50% pour les Etats-Unis et 15% seulement pour l'Asie.

Illustration : tablettes iPad 2. Crédit photo : Apple (...)

(10/08/2011 11:30:03)

Orange lance deux applications de suivi de la consommation

Orange Travel permet de consulter en temps réel sa consommation mobile (voix, SMS et Internet) à l'étranger directement depuis son téléphone. L'application crée un historique de voyage dans lequel sont mémorisés en temps réel tous les usages de l'abonné. Il a accès aux tarifs voix, SMS et Internet appliqués dans le pays où il séjourne et peut ainsi évaluer le budget de ses consommations.

L'application Orange Travel est disponible via l'Appshop d'Orange pour les clients dotés d'un terminal Android. L'application sera progressivement rendue compatible avec les iPhone et les BlackBerry.

Quant à la nouvelle version d'Orange et moi, qui permet de gérer son compte et ses consomations en France, elle se veut plus rapide et ergonomique. Déjà disponible sur depuis l'Appshop d'Orange et l'Android Market, elle sera très prochainement mise à jour sur l'App Store.

(...)

(10/08/2011 11:08:39)

Semestriels Logica : CA en hausse de 5%

Logica annonce ses résultats semestriels. Le CA global passe de 1,903 milliard de livres à 1,998, en progression pro forma de 5%. En termes de rentabilité, le profit opérationnel ajusté passe de 125 millions de livres à 113 entre le 1er semestre 2010 et celui de 2011. La marge opérationnelle ajustée, dans le même temps, passe de 6,7% à 5,7%, le profit opérationnel de 93 millions de livres à 83, la marge opérationnelle de 5% à 4,2%.

L'outsourcing progresse de 20%

Pour la France, ce CA passe de 415 millions de livres à 455, en hausse, pro forma, de 10%. Logica France a connu au 2ème trimestre 2011 son 7ème trimestre consécutif de hausse. Le profit opérationnel ajusté se monte à 41 millions de livres, contre 34 au 1er semestre de 2010.

L'outsourcing se distingue avec 20% de croissance en France, il représente 46% de l'activité, contre 42% au 1er semestre de 2010. Logica France se spécialise sur les grands contrats pluri- annuels avec des références comme Michelin (contrat renouvelé et étendu), Orange et Gdf Suez.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >