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(06/05/2011 14:45:02)

Gestion de parcs IT : Kaseya rachète Intellipool AB

L'éditeur suisse Kaseya, spécialisé sur les solutions de gestion des infrastructures informatiques, a racheté le Suédois Intellipool AB, fournisseur de solutions de surveillance de réseaux et contrôle des performances. Il récupère ainsi le produit Intellipool Network Monitor (capture d'écran ci-dessus) qui permet de suivre jusqu'à des milliers d'équipements réseaux, mais peut aussi se borner à n'en gérer que quelques-uns. Cette offre supporte une vingtaine de systèmes d'exploitation. Dans un premier temps, son acquéreur proposera ce logiciel comme une extension à sa gamme de modules, avant de l'intégrer complètement dans sa plateforme Kaseya 2 d'ici la fin de l'année.

Si la suite modulaire de Kaseya s'adresse naturellement aux départements informatiques des entreprises, elle est aussi très adaptée aux besoins des prestataires de services IT. Disponible en version « on-premise » et en mode hébergé, elle rassemble des outils de sauvegarde, de migration de postes de travail, de surveillance, de gestion des patchs, d'audit et d'inventaire, d'anti-virus, de monitoring réseau, d'accès à distance, de service desk et de gestion des interventions (ticketing). En s'appuyant sur cette solution pour agir de façon préventive sur les équipements de leurs clients, les SSII et revendeurs à valeur ajoutée (VAR) peuvent leur garantir un niveau de services et, dès lors, vendre aux entreprises un engagement de résultat, explique Stéphane Hauray, directeur général de Kaseya France. Sur les 10 000 prestataires informatiques présents en France, outre 300 grandes sociétés et 3 000 de taille moyenne, on dénombre une majorité de petites sociétés ne gérant souvent qu'une centaine de machines, rappelle le DG. La solution de Kaseya permet aux prestataires de services managés de prendre en charge davantage d'équipements en générant une rentabilité supérieure (x 2,5 environ) à celle d'un contrat classique.

Auditer avant de s'engager

Sur les dix nouveaux clients signés par la filiale française au cours de ce premier trimestre, 7 sur 10 étaient des prestataires de services IT et les 3 autres, des entreprises, détaille Stéphane Hauray pour illustrer l'intérêt croissant des professionnels de l'infogérance pour les outils qu'il commercialise. « L'un des gros problèmes des prestataires est le surstaffing », rappelle Stéphane Hauray. Avec une solution d'automatisation et de détection préventive des pannes, ils sont en mesure de gérer deux fois plus de machines, estime le directeur général. Il constate qu'il y a une prise de conscience des SSII et des VARs de l'importance d'un outil adapté pour s'engager sur un résultat. « A chaque nouveau client, le prestataire installe Kaseya en mode audit et le rapport qu'il obtient le renseigne sur l'état de santé du réseau et des besoins en maintenance ». Quelle est la proportion de machines anciennes, quels types d'interventions prévoit-il, quels serveurs vaut-il mieux changer d'emblée ou bien assortir d'une maintenance plus coûteuse. Le VAR ajuste au mieux le contrat qu'il va proposer en ayant une visibilité complète de l'état du parc avant de s'engager, car il est difficile de revenir ensuite sur les conditions offertes. « On mesure les risques et on limite les mauvaises surprises en connaissant bien l'infrastructure du client. Tout doit être intégré dans la rentabilité ».

Un module de facturation centralisé

Le mois dernier, Kaseya a ajouté à sa suite intégrée un module de facturation, Service Billing 1.0. Celui-ci permet aux fournisseurs de services d'infogérance d'automatiser leur facturation depuis une console centralisée. L'outil leur procure une vision complète de leurs activités pour les différents clients. Il leur permet aussi d'améliorer leur rentabilité et d'optimiser leur trésorerie. L'éditeur a également mis à jour son module Service Desk. Dans sa version 1.3, celui-ci intègre principalement  un compteur de session pour les besoins de facturation sur tous les tickets et bons d'intervention ouverts, la création de listes de tâches pour les techniciens pour chaque ticket ouvert.
Kaseya Service Billing, module de facturation
Illustration ci-dessus : le module de facturation Kaseya Service Billing, KSB - (cliquer ici pour agrandir l'image)

Illustration d'ouverture : logiciel de surveillance des équipements réseau et de contrôle de performance Intellipool Network Monitor, d'Intellipool AB (cliquer ici pour agrandir l'image)
Intellipool Network Monitor
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(06/05/2011 14:35:55)

D'ici à 2015, ARM pourrait capter 15% du marché du processeur pour PC

Alors que ARM accélère le développement de ses processeurs pour ordinateurs portables et ordinateurs de bureau, IDC avance que d'ici 2015, le fondeur captera 15 % du marché des microprocesseurs pour PC. Dans sa prévision, le cabinet d'étude ne comptabilise pas les processeurs ARM pour tablettes, qui, selon l'analyste, dérivent de ceux pour smartphones. ARM, qui vend sous licence ses designs d'architecture à des fabricants de puces, est actuellement quasiment absent du marché des processeurs x86 pour PC, dominé par Intel et AMD. « ARM pourrait récupérer des parts de marché au moment où les consommateurs considèreront les options offertes par Windows 8, puisque le futur OS de Microsoft tournera sur les processeurs basse énergie de ARM, » a déclaré Shane Rau, directeur de recherche dans le domaine des semi-conducteurs pour le cabinet d'études.

Il n'y a pas si longtemps, ARM affirmait qu'une entrée sur le marché du PC n'était pas sa priorité. Warren East, le CEO de l'entreprise, avait même déclaré au début de l'année qu'ARM continuerait à se concentrer sur le marché des tablettes et des smartphones, justifiant que leur volume ne cessait de croitre. Celui-ci avait même confié qu'une introduction de ARM sur le marché du PC serait « extrêmement coûteuse pour l'entreprise, pour un gain franchement minime, » compte tenu de la domination du marché par Intel. Les processeurs ARM équipent déjà la plupart des tablettes et des smartphones du marché, alors que la première puce Intel pour tablette tactile, nom de code Oak Trail, vient seulement d'apparaître dans certains dispositifs ce mois-ci.

Windows 8 sur puces x86 et ARM

Mais la vraie nouveauté, c'est que Windows 8, le prochain système d'exploitation de Microsoft, tournera à la fois sur processeurs Intel et ARM, et pourrait susciter un intérêt pour des ordinateurs portables ARM. Des fabricants de processeurs comme Nvidia, Qualcomm et Texas Instruments ont déjà annoncé que leurs puces ARM pourraient exécuter Windows 8. Nvidia développe également des puces - nom de code Project Denver - destinées aux mobiles, aux PC et aux serveurs. De leurs côtés, Qualcomm et TI disent ne pas avoir l'intention de développer des puces pour PC, et affirment qu'ils continueront à fabriquer uniquement des puces à base d'ARM pour terminaux mobiles. « Mais si les opportunités sont là, les fabricants pourraient développer des puces pour ordinateurs PC à base de processeurs ARM, » a estimé Shane Rau.



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« Les netbooks intégrant des processeurs ARM pourraient aider le fondeur à pénétrer le marché des PC, pour s'étendre ensuite aux ordinateurs de bureau, aux portables et aux serveurs, » a ajouté l'analyste. Des serveurs équipés de processeurs ARM pourraient être utilisés pour distribuer des fichiers multimédias ou des pages web, avec des performances largement suffisantes, tout en émettant moins de chaleur. Des netbooks intégrant des processeurs ARM - ils sont appelés smartbooks - sont déjà disponibles, mais ils utilisent des processeurs pour smartphone qui ne sont pas qualifiés pour tourner sur des ordinateurs PC, comme l'a précisé Shane Rau. « La domination d'ARM dans le domaine des tablettes et des smartphones pourrait s'étendre au PC, » estime l'analyste. « Les utilisateurs de tablettes à base d'ARM peuvent opter pour un PC ARM pour pouvoir exécuter les mêmes applications sur les deux machines, de la même façon que les utilisateurs PC tournant sur des puces x86 peuvent être attirés par des tablettes à processeur Intel, » explique Shane Rau.

Attirer les développeurs sur Windows 8 pour ARM

Microsoft a donné à ARM une raison d'envisager une entrée sur le marché du PC. « Mais le fondeur va devoir investir lourdement pour attirer les développeurs et les inciter à écrire des applications pour son architecture, » a ajouté l'analyste, la plupart des PC utilisant des logiciels écrits pour l'architecture x86. « ARM devra également réaliser des améliorations essentielles pour adapter ses puces au profil du PC, » estime encore Shane Rau. Notamment, ARM devra introduire dans ses architectures des fonctionnalités qui répondent aux performances des PC, comme l'adressage 64 bits, des connexions internes rapides, plus de mémoire et le multicoeur.

En septembre, le fondeur a annoncé qu'il travaillait sur un processeur Cortex-A15 capable de fonctionner à des vitesses allant jusqu'à 2,5 GHz et extensible à 16 noyaux dans certaines configurations. Pour l'instant, le Cortex-A15 fonctionne avec un adressage 32bits - il peut être étendu à 40 bits - mais les responsables de ARM envisagent d'ajouter l'adressage des instructions 64 bits à leurs futurs processeurs. Des tablettes et des smartphones équipés de processeurs Cortex-A15 devraient également apparaître sur le marché à la fin de l'année prochaine ou début de 2013.

Intel arrive mieux armé sur le marché mobile

De son côté, Intel ne lâche pas la pression sur ARM et fait de rapide progrès dans ses technologies de fabrication. Le fondeur vient ainsi d'annoncer des puces à transistor 3D, plus rapides et plus économes en énergie que les transistors à deux dimensions utilisés dans ses processeurs actuels. « ARM réussira, s'il apporte aux utilisateurs finaux sur PC les bonnes fonctionnalités, » conclut Shane Rau.

Crédit photo : ARM

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(06/05/2011 12:08:45)

Percée des MVNO et fort taux d'équipements mobiles selon l'ARCEP

La France comptait 65,53 millions de lignes de téléphonie mobile ouvertes en mars dernier, soit une progression de 6,4% comparé à mars 2010, selon le bilan trimestriel de l'ARCEP. Cela donne un taux d'équipement pour l'Hexagone qui dépasse les 100%. Il reste néanmoins quelques disparités entre les régions, la Franche-Comté affiche un taux d'équipement mobile de 76,5%.

Grands consommateurs de SMS, les Français ont envoyé en moyenne 178,3 messages textuels en mars. Un chiffre en hausse de 43,4% par rapport à mars précédent. Les opérateurs virtuels ont gagné du terrain au premier trimestre 2011 en France métropolitaine avec plus d'un demi-million de clients supplémentaires (570 000). La part de marché de ces opérateurs sans réseau est passée de 6,31% en mars 2010 à 8,40% douze mois plus tard.

Bien que finalement prise en charge par les opérateurs, la hausse de la TVA a encouragé les abonnés à changer d'opérateurs. L'Autorité de régulation des télécommunications a ainsi dénombré 791 000 numéros portés, ou changements d'opérateur avec conservation du numéro d'origine.

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(06/05/2011 11:48:51)

Les seniors surfent pratique, les jeunes pour le plaisir

Aux nombre de 11,8 millions, soit plus d'un tiers de l'ensemble des internautes français, les plus de 50 ans surfent principalement pour communiquer, préparer leurs achats et gérer leur argent. Plus de six Français de cet âge sur dix utilisent régulièrement les services de banque en ligne et deux tiers cherchent des renseignements ou comparent des prix en vue de leurs futurs achats. 87,5% communiquent par mails avec leur entourage.

Les jeunes se divertissent plus

Les internautes de moins de 25 ans sont également adeptes des e-mails à 77% mais préfèrent les réseaux sociaux pour rester en contacts avec leurs amis (85%). Deux tiers d'entre eux ont opté pour le chat en ligne. Les 9,3 millions d'internautes de moins de 25 ans que compte la France se tournent davantage vers le divertissement. Un jeune sur deux écoute de la musique en ligne, contre un sur dix chez les plus de 50 ans. Les trois quarts se servent du web pour regarder des vidéos, une pratique qu'exerce un tiers des plus de 50 ans.

L'Observatoire des usages Internet est une étude mensuelle réalisée par Médiamétrie par téléphone auprès de 1 000 personnes âgées de plus de 11 ans.

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(06/05/2011 11:11:52)

Baromètre HiTechPros/CIO : persistance à la baisse de la prestation informatique en avril

Comme le mois précédent, le mois d'avril 2011 affiche une baisse des demandes en prestation informatique, cette fois de 14 %. Ce sont donc deux mois de baisse des demandes qui succèdent à deux mois de hausse. Une telle situation ne permet pas de faire d'anticipation sur les évolutions à venir en 2011.

Pour ce mois d'avril, on constate un ordre similaire par rapport à mars 2011, pour les catégories techniques les plus demandées avec des chiffres quasi-constants. En effet, les compétences les plus recherchées sont actuellement : « Nouvelles technologies » (32 % des demandes) qui garde sa place de catégorie technique la plus prisée, suivie de « Systèmes, réseaux, sécurité » (24 % des demandes) et de « Consulting Expertise » (12 % des demandes).

Certaines compétences techniques restent cependant très demandées. Celles dont les demandes ont le plus augmenté ce mois-ci sont les suivantes : moyens systèmes (+ 57 %), client serveur (+ 11 %) et systèmes/réseaux/sécurité (+ 4 %).

A l'inverse, les compétences techniques les plus affectées par une baisse de la demande ce mois-ci sont CRM/décisionnel/datamining (- 9 %), Télécoms (- 14 %) et Nouvelles technologies (- 19 %, malgré tout toujours en tête des demandes).

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(06/05/2011 10:58:27)

Lafuma économise sur le traitement des factures avec Esker

Le Groupe Lafuma regroupe cinq marques de matériels et de vêtements de sport : Lafuma, Millet, Eider, Oxbow, Killy, Ober et Le Chameau. Avec ses 2000 collaborateurs, dont 900 en France, il réalise 245 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel. Avec son PGI verticalisé YourCegid Retail, il édite 300 000 factures par an, dont 60 000 à l'international.

Auparavant, les factures étaient imprimées et expédiées manuellement une à une séparément dans chaque société du groupe. Si un client devait recevoir plusieurs factures émises simultanément, il recevait autant de plis séparés que de factures, multipliant ainsi les coûts de traitement et d'affranchissement. Une dizaine de personnes était utilisée à cette seule fin. Le groupe a donc décidé d'entamer une démarche d'industrialisation et envisagé une externalisation.

Le Groupe Lafuma souhaitait notamment regrouper toutes les factures émises pour un même client dans une seule enveloppe, industrialiser l'envoi afin de bénéficier de tarifs postaux avantageux voire de faire certaines expéditions de l'étranger pour baisser encore les coûts, de permettre à ses clients de recevoir au choix une facture papier ou électronique (en favorisant cette dernière afin de baisser les coûts et d'améliorer l'empreinte écologique du groupe) et enfin d'améliorer le suivi de chaque facture et de son règlement.

Transparence et prévisibilité tarifaire


Après appel d'offres, le Groupe Lafuma a choisi l'offre externalisée d'Esker. Outre la facilité d'intégration de l'offre au SI du groupe, la transparence et la prévisibilité tarifaire ont été particulièrement appréciés. Les « usines courrier » du prestataire, situées en France et en Espagne, récupère désormais les flux de factures à partir de YourCegid Retail et assurent l'ensemble des traitements (impression, mise sous pli, affranchissement, expédition... ou envoi électronique) avec regroupement des envois à un même destinataire. Impressions et mises sous pli sont désormais totalement industrialisées. L'expédition postale à partir de deux pays différents et l'industrialisation des expéditions permettent de faire baisser considérablement les coûts postaux.

Au total, le groupe revendique une baisse des coûts sur le poste « expédition des factures » de l'ordre de 30 à 35%.

Le coût du projet n'a pas été communiqué.

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(06/05/2011 10:30:18)

Trimestriels Netgear : En pleine croissance

Le fabricant américain de produits réseaux, de stockage et de sécurité a clos le premier trimestre de l'année 2011 sur un chiffre d'affaires de 279 millions de dollars, en hausse de 31% à période comparée de l'exercice précédent. Ses activités en EMEA ont affiché un fort dynamisme avec une croissance de 51% aboutissant à des revenus trimestriels de 122,6 millions de dollars. Netgear réalise désormais 44% de ses facturations dans cette zone géographique contre 47% dans la zone Amériques. Outre-Atlantique, le chiffre d'affaires du fabricant a aussi progressé (+22%) pour atteindre 132 M$. La croissance est en revanche bien moindre dans la zone Asie-Pacifique (+5%) où les revenus se sont établis à 24 M$.

«Notre croissance impressionnante au premier trimestre est le résultat de l'introduction de nouveaux produits sur le marché lors de ces derniers mois. Nos produits pour la connexion TV et mobile, nos passerelles câble Docsis 3.0 et nos récents systèmes de stockage pour les entreprises notamment, ont enregistré un excellent accueil de la part du marché », estime Patrick Lo, le président et CEO de Netgear.

Parallèlement à la hausse globale de son chiffre d'affaires, Netgear a également enregistré un bénéfice net (norme GAAP) en progression de 54% à 21,2 M$. La marge brute (non GAAP) représente quant à elle à 32,1% de ses facturations contre 35,2% un an, tandis que la marge opérationnelle (non GAAP) recule également de 1,1 point à 12,6% du chiffre d'affaires.

 

Illustration: Patrick Lo, CEO de Netgear

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(06/05/2011 10:15:38)

Le marché du logiciel d'entreprises profite de l'après-crise

L'étude s'intéresse aux cinq principaux acteurs de ce marché : Microsoft, IBM, Oracle, SAP, Symantec, qui représentent 50,2% du marché mondial. Ils ont « élargi leurs gammes de produits, racheté d'autres entreprises, ont répondu à leurs plans d'affaires et percé dans les marchés émergents » note le cabinet. Toutefois, souligne le Gartner, deux régions, le Japon et l'Europe de l'Ouest, se montrent moins dynamiques.

Microsoft reste n°1, largement, avec 22,4% de parts de marché et une progression de 12,5%. Le n°2, IBM, avec 10,4% du marché, affiche la plus faible progression : +5,7%. Toutefois, concède le Gartner, IBM serait n°1 si n'étaient pas comptabilisées dans ce classement les ventes au grand public de Microsoft. Le troisième, Oracle, s'installe à 9,8% de parts de marché mais occupe la 1ère place en termes de performance avec 19,4% de progression.

Aux places d'honneur, on trouve SAP avec 5,% du marché mais 13,9% de progression, et, enfin, Symantec 2,3% des parts et 2,6% de hausse. Il faut aller plus loin dans le classement pour trouver des progressions encore plus spectaculaires. VMware est à +41%, Adobe à +29%, Salesforce à +28%.

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(06/05/2011 10:53:36)

Après le SAN, Brocade affiche ses ambitions sur le cloud (MAJ)

Brocade, qui annonce des équipements FC 16G et travaille déjà sur une déclinaison 32G, attendue dans les trois ans, affiche également son intention d'accompagner ses clients désirant migrant leurs ressources IT vers le cloud computing. Le programme CloudPlex définit les composants chez Brocade et chez ses partenaires qui sont nécessaires pour arriver à ce que l'équipementier appelle la « entreprise virtuelle ». L'été dernier, la compagnie avait déjà introduit son architecture Brocade One (VCS ou Virtual Cluster Commutation) pour proposer une solution de virtualisation à destination des datacenters ou comment accéder à n'importe quel élément depuis n'importe quel chemin. Avec son programme CloudFlex, l'équipementier  désire aujourd'hui montrer aux utilisateurs comment s'y prendre.

Tous les principaux équipementiers poussent aujourd'hui leur vision du cloud computing pour mieux vendre leur architecture.  CloudPlex et ses produits associés luttent contre Cisco Nexus / FabricPath, QFabric récemment dévoilé chez Juniper, les commutateurs Arista de la série 7000 et leur Extensible Operating System, Vena d'Avaya, les switchs Applications Fluents d'Alcatel-Lucent, sans oublier les plates-formes et propositions de Siemens Enterasys, d'Extreme Networks et de Force10 Networks.

Un marché très disputé

L'architecture CloudPlex va offrir un moyen pour les entreprises de gérer plus facilement des machines virtuelles, notamment pour passer rapidement d'un cloud public à un privé, et ce sur de longues distances. L'architecture pour ce faire, appelée Starlifter, sortira sur le marché en 2012. Le différenciateur pour Brocade est, comme toujours, l'accent mis sur la connectivité vers les systèmes de stockage, la résilience, et la compatibilité descendante. Certains des composants de CloudPlex sont disponibles dès aujourd'hui tandis que d'autres sont en développement ou sur la feuille de route de Brocade. Les éléments actuellement disponibles sont :

- Les réseaux composés de fabrics Ethernet et Fibre Channel sont les bases de CloudPlex, à savoir les matrices de commutation Ethernet VDX et Fibre Channel, notamment les nouveaux équipements SAN 16G. Dernière caractéristique, le support du Trill pour améliorer les connexions dans les datacenters.

- Les adaptateurs réseaux multiprotocoles Brocade CNAs qui simplifient la consolidation des Entrée/Sortie des serveurs

- Les outils de répartition de charge Brocade ServerIron - nécessaires pour équilibrer le trafic réseau entre les datacenters distribués. 

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Les briques à venir dans les prochains mois :

- Les solutions virtualisées, intégrées et rackées, Brocade Virtual Compute Blocks composées de ressources serveur, réseau et stockage. L'équipementier indique qu'il permettra à ses partenaires intégrateurs de systèmes de livrer Virtual Compute Blocks pré-groupé et pré-configuré. "Le souci avec l'entreprise virtuelle, c'est que c'est un problème trop important pour qu'une seule entreprise puisse le résoudre ", a ainsi expliqué Dave Stevens, CTO de l'équipementier lors de la conférence Brocade Technology Day 2011 à San José. La société combine donc des serveurs et des systèmes de stockage fournis par Dell, les équipements réseau maison VDX et l'hyperviseur de VMware pour la partie virtualisation. Les différentes briques porteront  le logo Brocade, mais les clients seront en mesure de les commander auprès de Dell un peu plus tard dans l'année.

- Une plate-forme de type fabric capable de supporter un certain nombre de technologies IP, SAN et mainframe, notamment l'extension Virtual Private LAN Services (VPLS), Fibre Channel sur IP (FCIP) et FICON. 

- Une extension de la technologie Brocade Fabric ID appelée "Cloud ID" qui permet l'isolement et la mobilité des machines virtuelles pour les environnements de cloud computing nativement multitenant. 

- Un cadre de gestion, d'allocation dynamique et d'intégration visant à promouvoir l'interopérabilité entre les fournisseurs de services cloud computing. Il s'agit notamment d'assurer la compatibilité des produits Brocade avec les logiciels libres OpenStack - pour le stockage, les ressources serveur et les capacités réseau - et les fonctionnalités SDN (Software Defined Networking) d'OpenFlow. 

L'ouverture vers OpenFlow et OpenStack peut être un autre facteur de différenciation pour Brocade et CloudPlex, affirment certains analystes. « Ils ont été conçus pour être beaucoup plus ouverts», explique Zeus Kerravala du Yankee Group. « Ils essaient de suivre la ligne définie par les standards. Ils sont ouverts beaucoup plus que quiconque dans l'industrie. » 

Montée en puissance des produits FC

Brocade espère également ouvrir de nouvelles opportunités de ventes avec ses produits FC 16G. Ces équipements qui ont été conçus pour aider les entreprises à migrer vers des clouds ​​privés exploitant l'architecture CloudPlex, incluent le châssis Fibre Channel DCX 8510, épine dorsale d'un réseau SAN, ainsi que le commutateur FC 6510, l'adaptateur fabric 1860, et le logiciel de gestion Network Advisor 11.1. La version 7.0 de l'OS de Brocade accompagne la sortie de ces équipements.

Le DCX 8510 travaille avec les produits FC Brocade déjà installés. En 2010 la firme de San José détenait 54% du marché de la commutation SAN (929 millions de dollars environ), selon le Dell'Oro Group.  En plus de doubler la vitesse, ce châssis améliore l'utilisation de la bande passante, supporte le cryptage et arrive avec des  fonctions de diagnostic améliorées, dixit Brocade. Disponible avec quatre ou huit emplacements, le DCX 8510 supporte jusqu'à 384 ports 16 Gbit et offre une bande passante 8,2 Térabits. La consommation d'énergie est de 0,27 watt par Gigabit 

Brocade annonce également la commercialisation du switch 6510, qui a été conçu pour accompagner les serveurs notamment dans le cadre de projets de virtualisation de bureau. Il s'agit d'un appareil 1U qui peut accueillir de 24 à 48 ports 10 Gigabit Ethernet et offrant un débit cumulé de 768 Gigabits. Il consomme 0,14 watt par Gigabit.

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Pour les serveurs eux-mêmes, Brocade a dévoilé l'adaptateur 1860 Fabric. Le 1860 prend en charge Fibre Channel, Fibre Channel over Ethernet (FCoE) et la connectivité Ethernet sur une seule carte afin de consolider les connexions au réseau local et SAN. Pour la connexion aux commutateurs, il supporte à la fois les liens FC 16G et Ethernet 10G. 

Pour gérer les clouds privés, Brocade propose network Advisor 11.1. Cette version du logiciel de gestion des LAN et des SAN de l'équipementier augmente ses fonctionnalités avec le support des adaptateurs pour serveurs et des VM, et apporte une intégration plus étroite les réseaux Ethernet filaire et sans fil, et les environnements SAN pour l'interaction entre le cloud et les ressources disponibles.

Le lien avec les outils EMC Resource Management Suite et HP Virtual Connect Enterprise Storage Provisioning a également été renforcé.

Enfin, Brocade livre une nouvelle version de son système d'exploitation Fabric OS avec ses équipements. Fabric OS 7.0 offre des fonctionnalités spécifiquement conçues pour la virtualisation et les clouds. La société a notamment amélioré les notifications de congestion et le suivi de la performance. 

Les nouveaux produits seront disponibles plus tard ce trimestre. Comme Brocade ne vend rien en direct les tarifs sont fournis par les partenaires OEM.

Ethernet pour accompagner le développement du cloud

Pour le cloud public, Brocade étend et améliore sa gamme de produits pour les fournisseurs de service. Une carte Ethernet 100G deux ports - la 100G MLX annoncée l'année dernière - est maintenant disponible. L'équipementier va également ajouter une lame huit ports 10GE au MLX-32 pour permettre au routeur de monter à 256 ports pour les offres de services cloud computing. La carte utilise 45% d'énergie en moins que les précédentes cartes 10GE pour le MLX, selon l'équipementier.

La société propose également le routeur NetIron CER doté du logiciel 5.2 qui offre des fonctions avancées d'interopérabilité avec les protocoles IPv4 et IPv6 et supporte un plus grand nombre de routes. 

Brocade a également dévoilé le switch « bon marché » 6910 (12 ports Gigabit Ethernet) pour étendre les services Ethernet, collecter le trafic mobile ou équiper les opérateurs « sur le dernier kilomètre ». Les applications visées sont l'accès métropolitain des entreprises, la collecte des réseaux cellulaires 4G/LTE, ou le routage de datacenter.

Les équipes de Brocade ont également donné quelques détails sur le châssis VDX 10G qui sera en mesure d'accueillir plus de 750 ports 10 Gigabit Ethernet et plus de 100 ports 100 GE. Il supportera également les liens 40 Gigabit Ethernet. Le commutateur sera basé sur la même pile logicielle et le même ASIC que la ligne VDX actuelle.



 





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