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(16/11/2010 16:21:26)

Completel-Numericable s'offre Altitude Telecom

Completel est, depuis 2007,  la branche entreprise du groupe Altice B2B France. Altice est également actionnaire majoritaire de Numericable, qui opère, lui, sur le marché des particuliers. Altice a redressé ces deux entreprises qui avaient souffert, la première en 2001 lors de la crise internet, la deuxième de problèmes récurrents de qualité de service.

Une nouvelle étape est franchie. Un an après le rachat de B3G, acteur de l'IP centrex en grande difficulté, Completel rachète Altitude Télécom, un opérateur en pleine santé. En 2009, Altitude Télécom réalisait 52,2 millions d'euros (M€) de chiffre d'affaires avec 1,8 M€ de résultat net. Les chiffres 2010 sont de la même veine.

Le nouveau groupe représente 500 ME de CA 2010


Completel veut devenir ainsi le 3ème acteur français sur le marché des télécoms d'entreprise derrière Orange et SFR. En 2009, l'opérateur réalisait 383 M€ de CA avec 12 M€ de résultat net. Le nouveau groupe représente 500 M€ de CA 2010. Ce rachat permet également à Completel de s'implanter dans le grand ouest de la France, point fort du Groupe Altitude, basé près de Rouen. Il conforte aussi sa distribution en indirect.

Opérateur spécialisé dans les solutions IP, les VPN, les solutions d'accès fixes (xDSL, fibre optique) ou bien hertzienne (BLR, Wimax, GSM), Altitude Télécom était une filiale du groupe Altitude. Ce dernier conserve ses autres participations majoritaires : Altitude Infrastructure qui déploie des réseaux d'accès dans les collectivités locales et Wibox, lancé il y a quinze mois qui vend les connexions internet et télécoms aux particuliers dans les zones blanches par Wimax. Wibox est accessible pour le moment dans 17 départements.

Illustration: Jean Paul Rivière, PDG d'Altitude Telecom

(...)

(16/11/2010 10:57:21)

CA Technologies France se dote d'un DG

Laissé vacant depuis le mois de mars dernier, le siège de directeur général de CA Technologies France a trouvé un nouvel occupant. Fraîchement recruté par l'éditeur, c'est désormais Christophe Bouchardeau qui dirige sa filiale française, fonction qu'il va cumuler avec celle de vice-président en charge des ventes. Il remplace Laurent Du Fayet de la Tour qui a été promu comme vice-président en charge des alliances pour l'Europe du Sud.

Avant de rallier CA, Christophe Bouchardeau a occupé la direction général de BC Software France qu'il a quitté en mai 2010. Au cours de sa carrière, il fut également directeur général de HP Software France et co-fondateur de la société Temposoft revendue à Oracle. (...)

(15/11/2010 17:48:14)

Logiciels financiers : le Britannique Misys rachète Sophis

Le britannique Misys, sixième éditeur européen selon le Truffle 100, va débourser 435 millions d'euros pour acquérir son concurrent irlandais Sophis : 273 M€ pour la valeur des fonds propres de la société auxquels s'ajoutent 162 M€ pour couvrir le montant de sa dette nette au 30 septembre 2010. En fonction des performances de Sophis, 5 M€ supplémentaire pourraient être ultérieurement payés.

Misys, troisième éditeur du Royaume Uni, derrière Sage et Autonomy, est plus particulièrement implanté sur les solutions destinées aux investisseurs, c'est-à-dire les acteurs du monde financier versant sell-side (banques, courtiers, etc.) qui gèrent les investissements de leurs clients et prennent des commissions sur les ventes de titres. Complémentaire, l'offre de Sophis, est constituée de solutions conçues pour le versant buy-side, c'est-à-dire les acteurs qui recherchent et achètent des produits financiers (fonds de pension, compagnies d'assurance, etc.).

Misys, un survivant, selon le 451 Group


Dans le communiqué publié pour annoncer ce rachat, Misys précise que Sophis est très profitable avec un chiffre d'affaires de 74 millions d'euros et un bénéfice opérationnel avant impôts et intérêts de 30 millions d'euros pour l'exercice clos fin décembre 2009. A noter que le conseil d'administration de Sophis est présidé par Sergio Giacoletto qui fut pendant huit ans vice-président exécutif d'Oracle, responsable de la zone EMEA.

Quant à Misys, fondé en 1979 et actuellement dirigé par Mike Lawrie, c'est un « véritable survivant », selon l'analyste China Martens, du cabinet 451 Group, qui explique à nos confrères d'IDG News Service que la société a recentré son activité à de multiples reprises au fil des années.

Sur le marché français, Murex


Oracle, qui a procédé à une série d'acquisitions d'éditeurs métiers, était potentiellement l'un des acquéreurs possibles de Sophis. Si l'éditeur américain décide de réaliser un achat sur le secteur des solutions bancaires, il pourra se tourner vers l'un des concurrents de la société irlandaise, quelqu'un comme Calypso ou Murex, a également confié China Martens. En août 2005, Oracle a déjà mis la main sur i-flex, devenu depuis Oracle Financial Services Software Limited.

Murex est, toutes catégories de logiciels confondues, le troisième éditeur français, selon le classement Truffle 2010, le deuxième selon le classement EuroSoftware 100, derrière Dassault Systèmes et Sopra Group/Axway. Il a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires total de 265 millions d'euros avec un effectif total de 1 220 personnes. Il occupe la dix-huitième place du classement des éditeurs européens. Début 2010, Viveo, l'un de ses principaux concurrents locaux dans le secteur des logiciels bancaires, a été racheté par le Suisse Temenos. Une opération qui amorçait la consolidation du marché.

Illustration : capture d'écran du logiciel Risk Vision de Misys

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(15/11/2010 17:40:38)

Enterasys lance un outil d'administration des datacenters virtuels

Enterasys Networks, filiale de Siemens Enterprise Communications, a dévoilé cette semaine un outil de management qui apporte une visibilité, de même que des fonctions d'automatisation et de contrôle aux ressources hébergées dans des centres de données virtuels. Le DCM (Data Center Manager) est la composante clé d'une stratégie relative aux datacenters, annoncée au début de l'année par l'éditeur. Celle-ci repose aussi bien sur l'intégration de partenariats auprès de plusieurs fournisseurs, que sur les capacités d'administration de ses commutateurs. « DCM est l'outil d'administration des commutateurs d'Enterasys qui fournit de la visibilité sur les différentes briques serveurs,  stockages et applications dans des environnements physiques et virtuels », a indiqué le constructeur. La solution fournit des informations à l'aide d'un outil qui suit et dresse un historique des mouvements d'une machine virtuelle, donnant aux utilisateurs l'assurance de la bonne allocation des ressources.

Regrouper des machines virtuelles selon différents rôles

Brocade et Cisco sont également capables de faire de même avec leurs solutions d'administration des datacenters et des  commutateurs. Le premier, grâce à  une offre baptisée Automatic Migration of Port Profiles, le second via un service qui est un composant intégral de sa plate-forme d'accès serveur/commutateur/réseau baptisée United Computing System (UCS). Les capacités de DCM et de ses produits concurrents donnent aux administrateurs informatiques la possibilité de regrouper des machines virtuelles selon différents rôles. La solution détecte les enregistrements et l'authentification des machines virtuelles, le contrôle d'accès, les tâches d'administration pour VLAN, les classe et la qualité des services, et enfin le contrôle du trafic du réseau. En utilisant le service d'Enterasys, les équipes IT peuvent avoir une vue du serveur virtuel et de l'environnement réseau. Un processus d'allocation unifié permet d'automatiser des règles individuelles sur des données variées au sein de fabric du commutateur.

La solution d'Enterasys fonctionne avec les produits de virtualisation des serveurs pour Citrix, Microsoft et VMware. Le logiciel est disponible dès à présent en deux versions : l'une basique, limitée à 10 hyperviseurs ESX de Vmware ou XenServer de Citrix et 100 machines virtuelles sur le réseau. La seconde, plus avancée, supporte jusqu'à 50 ESX ou XenServer pour 1 000 machines virtuelles.

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