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(09/02/2012 11:31:15)

Téléprésence : Orange signe un accord avec AT&T, BT avec Verizon

Malgré la promesse de meetings virtuels d'une qualité proche d'une rencontre physique, les systèmes et services de téléprésence d'entreprise ont jusqu'ici souffert de leur manque d'interopérabilité, empêchant les entreprises utilisatrices de se connecter à une société employant un service concurrent. Des lacunes liées tant aux systèmes eux-mêmes qu'entre les réseaux des opérateurs (managed services, réseau). Une situation en voie d'amélioration grâce à de nouveaux accords d'interopérabilité. Après avoir annoncé que leurs clients téléprésence allaient pouvoir communiquer entre eux, British Telecom (BT) et Orange Business Services (OBS) viennent ainsi de conclure coup sur coup des accords semblables avec des opérateurs américains.

Côté OBS, les clients équipés de points de terminaison Cisco et utilisant Orange TelePresence pourront désormais lancer des sessions de téléprésence avec les entreprises clientes de la solution d'AT&T. Un accord qui devrait simplifier le service proposé aux clients explique Andrew McFadzen, Directeur du département International Network Solutions d'OBS: «Nous avons sécurisé des interconnexions privilégiées avec de nombreux opérateurs, ce qui nous permet de mettre à disposition des entreprises multinationales une couverture large en matière de téléprésence. Les avantages de la téléprésence croissent naturellement avec le nombre d'entreprises pouvant participer à ces réunions virtuelles. C'est pourquoi notre stratégie consiste à rendre ce système aussi «sans frontière» qu'un coup de fil.»

Quant à BT, l'opérateur a conclu un accord semblable avec Verizon. Un partenariat qui réjouit Rich Lowe, CEO de BT: «Cet accord qui marque une nouvelle expansion des capacités d'interconnexion de l'industrie de la vidéoconférence, est une étape importante. La possibilité d'interconnecter les réseaux de téléprésence augmente la valeur du service. Plus un client peut atteindre de sites, plus le bénéfice est grand et plus rapide est son retour sur investissement».

ICTjournal.ch

(...)

(09/02/2012 11:25:58)

Nokia licencie 4 000 personnes pour relocaliser en Asie

Nokia a décidé de délocaliser une plus grande partie de sa production en Asie. Pour ce faire, le constructeur finlandais va licencier environ 4000 salariés d'ici la fin de l'année dans trois usines situées en Europe et au Mexique. Prises dans leur ensemble, les usines Komarom en Hongrie, Reynosa au Mexique, et Salo en Finlande, concernées par les réductions de personnel, emploient 8900 personnes. Au mois de septembre dernier, au moment où il annonçait qu'il fermerait une autre de ses usines à Cluj en Roumanie à la fin de l'année 2011, le constructeur avait prévenu qu'il procèderait à un audit de ces trois usines.


Le finlandais estime que ses usines asiatiques offrent de meilleures conditions en terme de volume de production, mais aussi de proximité avec les fabricants des composants qui entrent dans la fabrication de ses produits. « En déplaçant une plus grande partie de sa production en Asie, Nokia espère être plus compétitif, » a indiqué l'entreprise dans un communiqué. Alors que les ventes de ses smartphones sous Symbian ont chuté plus rapidement que prévu, le constructeur finlandais doit accélérer sa production de smartphones sous Windows Phone.


« Nokia veut aller plus vite pour proposer plus rapidement ses smartphones Lumia sous Windows Phone sur les nouveaux marchés que nous visons. Nous voulons aussi augmenter le rythme de sortie des nouveaux modèles, » a déclaré le CEO de Nokia, Stephen Elop, au cours d'une conférence téléphonique qui a suivi la publication des résultats financiers de l'entreprise au quatrième trimestre.

Les salariés qui resteront dans les usines concernées par les licenciements seront affectés à la « personnalisation des smartphones, » comme l'a précisé Nokia. « Par exemple, pour adapter un logiciel à une petite série de téléphones pour un opérateur particulier, » comme l'a indiqué un porte-parole de Nokia.

Au quatrième trimestre, les ventes de Nokia se chiffrent à 10 milliards d'euros, soit en baisse de 21% par rapport à l'année précédente, et le constructeur affiche une perte nette de 1,07 milliard d'euros, contre un bénéfice net de 745 millions d'euros un an plus tôt. Comme beaucoup de ses concurrents, Nokia se prépare désormais pour le Mobile World Congress (MWC) de Barcelone, où le constructeur tiendra sa première conférence le 27 février prochain.

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(09/02/2012 11:20:12)

Signature d'une convention Très Haut Débit pour la région Auvergne

La région Auvergne vient d'annoncer la signature d'une « convention pour le déploiement du Très haut débit ». Signature apposée par la Région, plusieurs collectivités qui la composent (départements et agglomérations) Orange et l'Etat. Cette convention va entraîner le passage au FTTH de près d'une dizaine de communautés d'agglomération de cette région. Un projet soutenu par l'Etat et par l'Europe et défini dès 2008 par l'élaboration d'un SDTAN (Schéma directeur territorial d'aménagement numérique) dont la convention signée hier est undéveloppement.

C'est la 1ère convention nationale pour le déploiement du très haut débit. D'autres régions adoptent d'autres formules, avec création de syndicats mixtes, nous rappelle l'Avicca. La région PACA vise un budget de 940 millions d'euros (ME) et la Bretagne de 400 ME. PACA trace un projet permettant de couvrir  70% de la population en 2020, 100% en 2030 en FTTH. La Bretagne se fixe pour sa part quatre axes (villes moyennes, zones rurales, entreprises et services publics, montée vers le très haut débit).

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(09/02/2012 11:15:48)

Annuels Interway : croissance de 14% en 2011

La SSII Interway a réalisé une année 2011 plutôt faste, que ce soit en croissance totale avec le rachat d'Eryma Services, ou en croissance organique. Cette dernière se situe à 14% pour un chiffre d'affaires total de 24,7 millions d'euros (ME). La société profite de son positionnement sur l'infogérance classique (maintenance en conditions opérationnelles de parcs, support aux utilisateurs) et maintenant dans les services managés.

Le rachat d'Eryma en décembre 2010, devenue Interway Services a été achevé au mois d'octobre dernier, Interway utilisant la méthode Itil a également réorganisé la société et modifié le système informatique. D'autres rachats ne sont pas exclus, « je reste toujours à l'écoute et en recherche » explique Patrick Benoit le P-dg. En particulier dans les secteurs de la monétique (33% du CA actuellement) et de la virtualisation.

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(09/02/2012 11:06:51)

Pour gérer ses achats, Hexapage utilise l'ERP de Compufirst

Qui connaît Compufirst ne sait pas forcement que ce site marchand BtoB exploite depuis deux ans son propre ERP associé à des fonctions de BI pour piloter ses interactions avec ses clients et grossistes. Cet outil baptisé Biorim, soutenu par OSEO, vient de trouver son premier débouché commercial. Il équipe maintenant Hexapage, un groupement de 25 revendeurs bureauticiens, qui le met à la disposition de ses membres.

« Nous voulions disposer d'un système qui fournirait à nos adhérents une interface unique pour passer leurs commandes plutôt que de devoir se connecter aux différentes plates-formes de nos fournisseurs », relate Richard Guelin, le président du groupement Hexapage. A la manière des liens EDI mis en place entre Compufirst et ses grossistes, la version de Biorim utilisée par Hexapage est d'ores et déjà connectée directement à ses fournisseurs Kyocera Minolta, Ricoh ainsi que les grossistes de Canon et de Lexmark.

Pour Hexapage, l'usage de la technologie de Compufirst est donc source d'avantages fonctionnels mais aussi commerciaux. En effet, tous les achats de ses adhérents sont désormais estampillés Hexapage chez les fournisseurs du groupement. « De cette façon, nous massifions nos achats et sommes ainsi à même d'obtenir des conditions qui vont au-delà des avantages dont disposaient jusqu'ici nos membres », explique Richard Guelin. Ce surplus d'avantages va être utilisé par le groupement pour créer des actions au service du collectif comme des opérations marketing. De leur côté, les adhérents continueront de profiter des conditions traditionnellement négociées entre Hexapage et ses fournisseurs.

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(09/02/2012 11:01:07)

Annuels Micropole : un chiffre d'affaires en progression de 9,1% en 2011

Spécialiste de BI, d'ERP, de CRM, Micropole publie ses résultats préliminaires 2011, avec un chiffre d'affaires (CA) de 111,8 millions d'euros (ME), en progression de 9,1% à périmètre et taux de change constants.  Le CA total s'élève à 120,8 ME en progression de 17,9%.

L'année 2011 a été marquée par la croissance externe et l'international. Micropole a procédé à plusieurs acquisitions hors des frontières hexagonales : Oasis spécialiste de l'ERP SaP en Belgique,  Easteq spécialiste de la BI et basé en Chine. En France, la société a racheté l'agence de communication Wide. La croissance organique se vérifie selon la société sur toutes les activités : BI, e-commerce, ERP SAP, avec de grands projets au forfait, de même qu'en région et dans la formation.

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(09/02/2012 10:50:29)

Les dérives du dossier médical informatisé à Marseille relevées par la Cour des Comptes

La Cour des Comptes a consacré tout un chapitre de son rapport public annuel publié le 8 février 2012 au système d'information de l'Assistance Publique Hôpitaux de Marseille (AP-HM). Cet établissement public regroupe l'ensemble des centres hospitaliers de la ville de Marseille. Il a voulu moderniser son système d'information mais de nombreux problèmes ont été soulevés par la Cour des Comptes. 14 millions d'euros auraient été ainsi directement perdus inutilement.

La Cour est consciente des difficultés propres au secteur hospitalier et, plus généralement, de la santé, difficultés qu'elle a soulevés dès son rapport 2008. Des améliorations ont cependant été constatées au fil des années depuis, notamment avec la réorganisation de la problématique du DMP (Dossier Médical Personnel). La T2A (tarification à l'activité) a impliqué la nécessité d'un suivi particulièrement rigoureux des prestations effectuées dans les centres hospitaliers.

A Marseille, une inadéquation du système d'information entraînant une mauvaise qualité de la facturation aboutissait à des pertes de recettes de l'ordre de 15 millions d'euros par an. La refonte du système d'information reposait pour une bonne part sur le DPI (dossier patient informatisé). L'objectif était de concevoir un dossier unique, autant administratif que médical. Une consultation a été lancée en décembre 2005. Le marché public a été remporté par un consortium composé de l'éditeur spécialisé Cerner et d'IBM.

Des procédures boîteuses

Or le projet va rapidement dans le mur. Le consortium Cerner-IBM centrait son projet sur le seul dossier médical alors que l'AP-HM voulait un dossier complet à la fois médical et administratif. Le fournisseur comptait sur une réorganisation du client, inenvisageable pour celui-ci, et la fourniture d'un progiciel en l'état alors que le cahier des charges impliquait des développements spécifiques importants. Ces divergences démontrent que la gouvernance du projet était globalement déficiente. Les réponses à la Cour de l'éditeur Cerner et de la direction de l'AP-HM sont totalement irréconciliables.

Cerner, solution moins chère sur le papier, n'avait à l'époque que des références aux États-Unis, où les modalités de facturation n'ont rien à voir avec ce qui se pratique en France, en dehors d'un appel d'offres à peine remporté au CHU de Saint-Etienne. Les CHU de Reims et de Tours se sont également retrouvés en échec au niveau de la facturation en ayant également fait le choix de Cerner, comme une délégation de l'AP-HM a pu le constater à Reims.

La Cour constate que cet éditeur avait embauché un conjoint d'un agent ayant participé à l'ensemble de la consultation, soupçonnant de ce fait des irrégularités. Dans sa réponse, la direction de l'AP-HM mentionne que l'agent concerné avait effectué une déclaration d'intérêt et a donc été écarté des phases critiques. Pour sa part, Cerner nie le moindre biais dans la consultation.


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Au bout de trois ans, l'AP-HM a constaté l'échec du projet après de multiples reports. L'absence de renouvellement du système d'information continuait de poser les problèmes de facturation des prestations effectuées en plus des coûts liés directement au projet en échec (4,7 millions d'euros). Le préjudice global a été estimé par l'AP-HM à 19,6 millions d'euros mais l'établissement avait renoncé à percevoir des indemnités de retard dans la livraison du projet en échange d'un simple décalage de la livraison qui n'a, au final, jamais eu lieu.

La Cour regrette que le marché principal n'ait pas été précédé d'un marché de définition qui aurait permis de consolider le cahier des charges et d'éviter les dérives constatées. Elle fustige également le financement du projet par une subvention nationale de 9 millions d'euros alors que l'échec était patent.

Soins palliatifs sur le projet

En 2009, pour éviter un désastre complet, des solutions complémentaires ont été mises en oeuvres à côté du dossier patient, notamment pour gérer la T2A et le PMSI et ainsi assurer la facturation. D'autres pans du projet ont également fait l'objet de dérives gênantes. A la pharmacie, des outils successifs ont été mis en place pour gérer le circuit du médicament, provoquant des conflits entre les services médicaux et la pharmacie. Le coût de ces hésitations a impliqué des surcoûts de l'ordre de 1 million d'euros. Au total, le coût direct de l'échec de la refonte du système d'information de l'AP-HM a été estimé à 14 millions d'euros. A cela, il faut ajouter environ 4,5 millions d'euros de pertes de recettes liés aux dysfonctionnements de la facturation.

La direction de l'AP-HM, dans sa réponse à la Cour, a estimé que le jugement porté était particulièrement sévère. Les logiciels acquis pour gérer la T2A et le PMSI sont ainsi destinés à rester en fonction et ne peuvent pas être considérés comme des solutions d'attente.
Pour éviter à l'avenir de telles dérives preuves de manquements substantiels dans le pilotage, la Cour recommande la mise en place d'un centre d'expertise national sous l'égide d'organismes comme l'ANAP ou l'ASIP Santé. Dans sa réponse, la ministre Valérie Pécresse a déclaré étudier cette possibilité. (...)

(09/02/2012 10:33:38)

La Cour des Comptes pointe les déficiences informatiques de l'Etat

La Cour des Comptes a publié ce 8 février 2012 son rapport annuel. Elle y fustige entre autres choses les manquements de l'Etat relatifs à ses systèmes d'information, bien au delà du seul cas particulier de l'Assistance Publique Hôpitaux de Marseille qui fait l'objet d'un chapitre entier et d'un article dédié.

Contrôles fiscaux et d'attribution de crédits insuffisants

Tout d'abord, le contrôle fiscal et son pilotage national sont sévèrement critiqués. Ainsi, la Direction des Vérifications Nationales et Internationales (DVNI) a un accès insuffisant aux comptabilités informatisées des entreprises alors qu'elle est en charge du contrôle des plus grosses firmes. De plus, les gros contribuables privés ne sont, dans les faits, statistiquement contrôlés qu'une fois tous les quarante ans en moyenne. Enfin, les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques en charge du contrôle fiscal ont vu leurs effectifs sanctuarisés alors même que le nombre de contrôles effectués est resté constant et que les outils informatiques mis en oeuvre auraient dû accroître la productivité individuelle.

Toujours en matière de finances, le contrôle des crédits du Fonds Social Européen est déficient. La Cour remarque que, malgré quelques progrès, le suivi informatique est insuffisant et les outils mis en oeuvre ne sont pas encore totalement unifiés. Dans le même ordre d'idée, la réforme visant à l'unification de la gestion des pensions de retraite entre tous les ministères aurait été, selon la Cour, vidée de sa substance faute d'unification des outils informatiques. Toujours en matière de gestion financière, la Cour souligne l'insuffisance des outils des universités comme des établissements en charge des soins périnataux. Dans ce dernier cas, il n'existe ainsi aucun suivi réel d'indicateurs de base comme le taux d'enfants nés sans vie.

Les SIRH en première ligne

Mais les outils les plus problématiques, si l'on en croit la Cour, sont dans le domaine des ressources humaines. A de multiples reprises, la Cour fustige l'insuffisance des SIRH et plus spécialement de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. C'est notamment le cas dans l'analyse d'adéquation aux besoins et le suivi de la formation des enseignants mais aussi das la gestion des ouvriers d'Etat comme du personnel des collectivités territoriales. (...)

(08/02/2012 16:13:42)

SAP adapte HANA, la base de données en mémoire, aux PME

Les PME vont disposer de la solution analytique haute performance de SAP. L'offre comprend une nouvelle édition Edge du logiciel ainsi que des outils analytiques sous HANA pour sa suite ERP (Enterprise Resource Planning) Business One. « Ces produits seront vendus par nos partenaires sur un marché où SAP compte plus de 96 000 clients, ce qui représente 79% de sa base client totale, » a déclaré Eric Duffaut, patron de la distribution mondiale de SAP, au cours d'une conférence téléphonique avec la presse et les analystes.

La technologie HANA consiste à traiter les données depuis la RAM au lieu de les écrire et de les lire sur des disques durs traditionnels, ce qui permet de meilleures performances. La base de données, qui sait gérer aussi bien les charges de travail décisionnelles que transactionnelles, est vendue sous forme d'appliance par un certain nombre de fournisseurs. « L'édition Edge de HANA est disponible. Elle est identique à la version Entreprise, » a déclaré Bobby Vetter, vice-président senior, SAP, Ecosystem & Channels Readiness. « L'édition Edge aura aussi le même calendrier de sortie que l'édition Entreprise, » a t-il ajouté. Cependant, la quantité de RAM des appliances HANA Edge sera plafonnée et moins élevée. Celles-ci pourront également être vendues en bundle avec la suite logicielle BusinessObjects Edge BI (business intelligence) de SAP.

Comme le précise SAP dans un communiqué, l'offre d'analytiques pour Business One, son application de gestion intégrée, est susceptible de répondre à tous les besoins « à petite échelle. » Celle-ci s'appuie sur une application SAP basée sur HANA facile à utiliser et intégrant des processus essentiels, notamment pour le reporting « avec Crystal Reports, lequel génère en temps réel des rapports complets à partir de données actualisées. »

Pas de prix dévoilé et une montée en charge progressive


Le produit doit entrer dans sa phase de montée en charge ou « ramp-up» (un terme utilisé par SAP pour désigner le lancement de programmes destinés aux « early adopters) d'ici la fin du mois de février. La diffusion générale est prévue plus tard cette année. Bobby Vetter et Eric Duffaut n'ont pas voulu donner de détails sur le prix des produits, mais tous deux ont souligné que leur coût sera adapté. « Nous savons que ce marché est sensible à la question du prix, » a déclaré Eric Duffaut en ajoutant que «  le prix sera juste. »

HANA est disponible pour tous depuis juin dernier. Depuis cette date, SAP est resté très discret sur sa technologie et sur sa feuille de route technique. Le mois dernier, Vishal Sikka, CTO et membre exécutif du Conseil d'administration de SAP, a révélé que l'entreprise avait l'intention d'utiliser le support HANA pour faire tourner certains modules de sa Business Suite phare d'ici à la fin de cette année. Dans le futur, HANA devrait aussi servir de base à une prochaine génération d'architecture logicielle pour les produits de l'éditeur allemand.

L'an dernier, les ventes de HANA ont atteint plus de 160 millions d'euros. « Dans l'histoire de SAP, c'est le produit qui affiche la plus forte croissance, » a déclaré l'entreprise.

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(08/02/2012 16:59:54)

Facebook promet d'effacer définitivement les photos supprimées

Sur Facebook, certaines photos, supprimées il y a 3 ans, restent toujours accessibles aujourd'hui, a révélé une enquête réalisée par Ars Technica. Le site a en effet constaté que quelques-unes des photos supprimées par les membres du réseau social étaient toujours stockées sur les serveurs de la plateforme. Facebook a répondu à Ars Technica que comme ses anciens systèmes ne supprimaient pas toujours les contenus dans un délai raisonnable, ce n'est qu'en les déplaçant vers des systèmes plus récents qu'ils seront retirés des serveurs dans les 45 jours après la demande de l'utilisateur.

« Nous avons travaillé dur pour migrer le stockage des photos sur des systèmes récents qui garantissent que les clichés seront entièrement supprimés dans les 45 jours suivant la demande d'effacement », a assuré Frédéric Wolens , porte-parole de Facebook a Ars Technica  « Ce processus est presque achevé et il n'y a qu'un très faible pourcentage de photos d'utilisateurs sur l'ancien système qui attendent la migration. », a-t-il ajouté. « Nous nous attendons à ce processus soit achevé d'ici quatre semaines à deux mois. Nous nous assurerons de désactiver les anciens clichés », précise-t-il.

Le papier du site Ars Technica a donné du grain à moudre à un étudiant autrichien, Max Schrems, qui a créé une association, europe v facebook. Elle est à l'origine d'un audit de la part de la CNIL irlandaise sur les pratiques du site de réseau social en matière de confidentialité. Facebook a rencontré les membres de l'association et s'est engagé dans l'effacement total des données de l'utilisateur. Une façon d'anticiper le droit à l'oubli numérique prévu dans le projet de directive européenne sur la protection des données.

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