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(06/01/2010 16:28:06)
Avec le rachat de Quattro Wireless, Apple accentue sa concurrence avec Google
Apple envisage de racheter Quattro Wireless, une entreprise spécialisée dans la publicité mobile, pour 275 millions de dollars, peut-on lire sur le blog All Things Digital appartenant au Wall Street Journal. Ce positionnement va intensifier encore plus la concurrence d'Apple sur le terrain de Google. On se souvient que Eric Schmidt, le PDG de Google, avait démissionné l'an dernier du conseil d'administration d'Apple constatant que Google était en concurrence de plus en plus marquée avec Apple dans ses principales activités, y compris celle des smartphones. Citant des sources anonymes, le blog indique que Apple pourrait rendre sa décision publique mardi au plus tôt. Cette nouvelle arrive peu après l'annonce faite en novembre du rachat par Google de AdMob, un autre fournisseur de publicité pour mobiles, pour 750 millions de dollars. AdMob comme Quattro propose des systèmes d'annonces s'affichant sur des smartphones type iPhone ou autres fonctionnant sous système d'exploitation Android de Google. Les autorités antitrust américaines examinent de près le rachat d'AdMob par Google. Des groupes de consommateurs se sont même mobilisés pour exhorter l'administration à empêcher ce rapprochement. (...)
(06/01/2010 12:15:17)10 services web à suivre en 2010
En 2010, 10 sites et services Web devraient connaître une forte croissance. Certains d'entre eux sont déjà célèbres, comme Android Market de Google ou Bing de Microsoft. Tandis que d'autres, dont le périmètre est pour l'instant restreint aux États-Unis, sont moins connus mais préfigurent peut-être les prochains phénomènes du Web. 1 - Bing sur les traces de Google Quand Bing est apparu en 2009, il a suscité le scepticisme, Google étant considéré comme l'indéboulonnable standard de fait. Comment un challenger pourrait-il prendre une part de marché significative ? Mais Microsoft a su innover en offrant la possibilité de rechercher des images et des « tweets » ou encore en intégrant les résultats de recherches provenant du moteur sémantique Wolfram. Bien que Google reste largement leader, Bing a déjà pris plus de 10 % de part et continue à progresser. En 2010, Microsoft devrait appuyer sur l'accélérateur, notamment en profitant du fait que la version Web d'Office 2010 devrait ramener des utilisateurs vers Bing. 2 - Android Market : Google sur les traces d'Apple Aujourd'hui, le système Android de Google est présent dans seulement 3,5 % des smartphones dans le monde. Mais d'ici 2012, selon Gartner, il arrivera en deuxième position, juste derrière l'iPhone. En 2009, seulement 10 modèles en étaient équipés mais cette année, ce nombre devrait monter à 50. A en juger par l'enthousiasme des constructeurs et des développeurs d'applications, ces projections pourraient même s'avérer pessimistes. L'Android Market propose déjà près de 20 000 applications (contre 90 000 pour l'App Store dédié à l'iPhone) mais fin 2010, l'écart se sera considérablement réduit. 3 - Google Voice : vers la téléphonie mobile gratuite Google Voice a créé la polémique en 2009, lorsqu'Apple, probablement sous la pression de son partenaire AT&T, l'a exclu de l'App Store. AT&T craignait en effet que ce service de VoIP qui permet d'unifier plusieurs numéros et services téléphonique, ne vienne bouleverser le paysage des services de téléphonie traditionnels. Mais la gratuité de Google Voice sur les appels longue distance pourrait finalement lui permettre de s'imposer. De plus, Google vient de racheter Gizmo5, un autre service de VoIP, complémentaire de Google Voice dans la mesure où il cible les appels courte distance gratuits (ou peu coûteux) à partir de portables. On parle depuis quelques semaines d'un Google Phone signé Google, qui intégrerait ces deux services de VoIP et qui serait déverrouillé, afin de fonctionner avec n'importe quel opérateur. Il serait paramétré pour passer le plus souvent possible par Google Voice ou Gizmo5 plutôt que par les réseaux GSM. 4 - Grooveshark : le site musical qui monte Le site Grooveshark a connu une croissance phénoménale en 2009, qui devrait se poursuivre cette année. Ses atouts : il permet d'écouter gratuitement et immédiatement, avec une qualité tout à fait correcte, n'importe quel morceau de musique. Outre la gestion de playlists, Grooveshark permet de constituer des réseaux avec les autres utilisateurs, et d'être informé de la sortie de nouveau morceau, par des personnes dont on considère qu'ils ont les mêmes goûts. 5 - Justin.tv : la vidéo (vraiment) en direct Le prochain phénomène du Web pourrait être la vidéo en direct. Non pas les bonnes vieilles séquences que l'on trouve sur Youtube mais des vidéos filmées en temps réel. C'est ce créneau qu'occupe déjà le site Justin.tv, alimenté par ses membres grâce à des caméras vidéos. D'autres sites, comme UStream Qik, permettent de diffuser des flux via des smartphones. [[page]] 6 - Clicker : un moteur de recherche orienté vidéo Ne nous voilons pas la face, la vidéo à la demande sur Internet n'a pas encore pris son envol. Les programmes sont bel et bien diffusés sur le Web mais ils sont disséminés sur des milliers de sites et il est souvent très difficile de les trouver. Il manque un annuaire centralisé facile à utiliser, qui permettrait de débusquer n'importe quelle vidéo. Clicker est probablement ce qui se rapproche le plus d'un tel service. Sa fonction de recherche est particulièrement impressionnante. L'année 2010 pourrait voir son audience exploser. 7 - Yammer : un Twitter pour travailler Dédié au travail collaboratif, Yammer fonctionne sur le principe du microblogging démocratisé par Twitter, à ceci près qu'au lieu de vous demander « ce qui se passe ? », il vous pose la question : « sur quoi travaillez-vous ? » Autrement dit, il porte l'esprit Twitter dans la sphère professionnelle. Et cela, en conservant le principe de la gratuité. 8 - Wikitravel.org : le Wikipedia des voyageurs Lorsque l'on travaille, on veut avoir le maximum d'informations sur notre destination, avant même de partir. Inspiré par Wikipedia, Wikitravel concentre des masses d'informations sur des milliers d'endroits à travers le monde. Tout le contenu est rédigé par des voyageurs, qui savent donc de quoi ils parlent. Comme dans le cas de Wikipedia, la fiabilité des informations est en principe garantie par une autorégulation synonyme de suppression rapide des informations erronées. 9 - Postabon : un réseau social pour les acheteurs Postabon gère des communautés de consommateurs à la recherche de bons plans et de prix attractifs. Dans le vocabulaire Postabon, un post est un « Bons » et un chasseur de bons plans qui postent beaucoup de Bons est un « Karma ». Que ce soit sur le navigateur d'un PC ou sur l'iPhone, les Bons apparaissent automatiquement sur une carte correspondant à la géolocalisation de l'utilisateur (effectuée approximativement via le réseau). Ce service n'est pour l'instant disponible qu'à New York mais il devrait être rapidement étendu à d'autres villes. 10 - Fancast Xfinity TV : la TV à la demande sort des limbes Après en avoir parlé pendant un an, le câblo-opérateur américain Comcast a enfin mis en ligne une version Web de ses services de télévision. Il est donc désormais possible de regarder quelque 2000 heures de programmes et autres films, sur un PC, en mode « on demand ». Les premiers tests montrent une certaine pauvreté des contenus, due au fait que Comcast a éprouvé des difficultés à trouver un terrain d'entente avec certains fournisseurs mais cela ne devrait pas durer. (...)
(06/01/2010 12:19:44)Selon IDC, la Chine sera bientôt un acteur majeur de l'offshore
Selon une étude d'IDC, le Global Delivery Index 2009, parue mi-décembre 2009, Shanghai et Pékin deviennent plus attractifs que Bangalore et Delhi pour des prestations informatiques en offshore. Plusieurs raisons entrent en ligne de compte. Les donneurs d'ordre, remarque IDC, veulent à la fois atténuer les nouveaux risques apparus (par exemple le terrorisme) et faire face aux nouvelles pressions économiques nées de la crise. Les attentas à Mumbai et Djakarta, les épidémies de grippe H1 N1 rendent l'Inde moins attractive car plus risquée. Les donneurs d'ordre souhaitent ainsi diversifier leurs destinations et cherchent des alternatives à l'Inde. Ces donneurs d'ordre ont également besoin de capacités supplémentaires, pour des plans de continuité d'activité ou des plans de reprise après sinistre, ils veulent donc s'implanter sur plusieurs régions. Ce n'est donc pas forcément la Chine au détriment de l'Inde, mais en complément de celle-ci. Les villes qui comprennent cette mutation, investissent dans les universités, les infrastructures, les compétences linguistiques. Les villes chinoises, aidées par leur gouvernement semblent bien armées. Inversement, « les villes indiennes semblent glisser vers une spécialisation sur les coûts faibles, sans perspective à plus long terme dans les services à valeur ajoutée, elles se mettent à la traîne de la concurrence mondiale «, note Suchitra Narayan, auteur de l'étude. Un "top 10" bientôt bouleversé D'autres villes se livrent à une compétition dans le nearshore asiatique. C'est le cas de Brisbane en Australie ou de Kuala Lampur en Malaisie. Pour cette dernière, le gouvernement a mis au point le Multimedia Super Corridor, un programme d'incitation aux investissements étrangers, bâti à coup d'incitations fiscales et de dumping salarial (par rapport à Singapour). D'ici 2013, prévoit IDC le « top 10 » des destinations informatique en offshore devrait se modifier, Bengalore perdant des places au profit des villes chinoises Shenzhen et Chengdu. Le recours à l'offshore sera moins une décision liée aux coûts que dépendant de facteurs plus nombreux : compétences, stabilité politique et coûts. (...)
(06/01/2010 12:19:40)Décisionnel, l'Open Source guère prisé selon le baromètre Decideo.fr
Le portail Decideo.fr a interrogé 273 de ses visiteurs (70% d'utilisateurs et 30% de consultants, intégrateurs et éditeurs) entre octobre et novembre derniers pour dresser son baromètre 2010 du décisionnel en entreprise. Premier constat, la plus grande partie des sociétés(1) interrogées (32%) déclarent que le nombre de leurs collaborateurs utilisant des systèmes décisionnels pour faire des choix se situe entre 10 et 15 personnes. Le plus souvent synonyme d'utilisateurs multiples, le décisionnel est également synonyme de solutions multiples. En effet, 84% des entreprises (1) indiquent qu'elles utilisent plus d'une application décisionnelle. Ce qui n'a rien d'étonnant, tant le nombre de domaines auxquels ces solutions sont appliquées sont variés. Ainsi, 78% des entreprises font usage d'un outil décisionnel dans le domaine de la finance / contrôle de gestion, tandis que 70% d'entre elles l'appliquent au secteur commercial / analyse des ventes, et 58% à la problématique marketing / gestion de la relation client. A noter que 61% des entreprises (1) utilisent des outils décisionnels transversaux. Et, dans le cas où elles ne devraient appliquer un outil d'analyse décisionnelle qu'à un seul domaine, il s'agirait de celui de la finance / contrôle de gestion pour 33% d'entre elles. Un bon intégrateur n'est pas un facteur clé du succès d'un projet Pour qu'une entreprise tire profit des fonctions d'une solution décisionnelle, encore faut-il que sa mise en oeuvre soit réussie. Selon les sociétés interrogées, l'adhésion des utilisateurs (79% des réponses), une bonne analyse des besoins (81%) et la qualité des données sources (70%) sont les trois facteurs principaux de succès. Seuls 22% des répondants ont estimé que le choix d'un bon intégrateur garantit la mise en place réussie d'un outil décisionnel. Pour les fournisseurs, les principaux facteurs clé de succès restent globalement les mêmes. De façon un peu étonnante, ni les entreprises utilisatrices ni les fournisseurs ne font du choix de l'outil décisionnel un facteur clé de succès d'un projet. Pour autant, ils ne sont pas prêts à opter pour n'importe quel type de solution. En effet, 60% des entreprises utilisatrices et 65% des intégrateurs considèrent qu'il est préférable d'opter pour une solution décisionnelle modulaire (basée sur les outils de plusieurs fournisseurs) plutôt que pour une solution intégrée. Les mentalités évoluent donc de façon importante puisqu'il y a un an, seulement 30% des entreprises utilisatrices montraient une préférence pour les solutions modulaires. [[page]] L'Open Source ne crée par l'enthousiasme En termes de bases de données, les produits d'Oracle et d'Hyperion (racheté par le premier) sont les plus utilisées par les entreprises interrogées (2) pour stocker leurs données décisionnelles. Les réponses se portent sur les bases de données de Microsoft et d'IBM (D2B) pour, respectivement, 24 et 9% d'entre elles. La base de données en Open Source MySQL recueille quant à elle 6% des réponses. Le Raz de marré du logiciel libre dans le décisionnel n'est donc pas encore là, que ce soit sur le plan des bases de données comme sur celui des applications elles-mêmes. 52% des entreprises utilisatrices se disent moyennement intéressées par les outils décisionnels en Open Source, 11% sont très intéressées et 13% sont déjà équipées. Chez les intégrateurs, on constate que 41% d'entre eux sont moyennement intéressés et que 12% sont déjà équipés. Concentration et hausse des prix Pour réaliser son baromètre, Decideo.fr s'est également penché sur l'impact de la consolidation du marché du décisionnel. En terme de conséquence sur le prix des licences, 57% de l'ensemble des répondants (3) déclarent que la réduction du nombre d'éditeurs a entraîné une augmentation des prix. On constate le même phénomène dans le domaine de la maintenance où les prix ont augmenté pour 55% des entreprises interrogées (3). Mais la consolidation du marché et l'évolution des applications au fil des années ont aussi apporté leur lot d'aspects positifs. Environ 90% des entreprises (3) estiment que les solutions décisionnelles sont meilleurs d'un point de vue technologique. En outre, 78% d'entre elles pensent que ces outils répondent mieux aux besoins des entreprises. Elles restent en revanche une majorité (55%) à penser que les applications ne sont pas plus simples à mettre en oeuvre que par le passé. (...)
(06/01/2010 12:13:49)Calendrier 2010 chargé pour l'Arcep
( Source EuroTMT ) L'année qui débute s'annonce, encore, très chargée pour l'autorité de régulation même si celle-ci a réussi à boucler avant la fin de 2009 deux dossiers structurants. Elle a ainsi traité l'attribution de la quatrième licence mobile 3G et le cadre de déploiement du très haut débit en zones très denses. Durant le deuxième semestre 2009, l'Arcep a donc soumis à consultation plusieurs documents importants. Ces consultations doivent déboucher sur des décisions cette année tant pour ce qui concerne la téléphonie mobile, que pour le très haut débit et l'accès aux infrastructures de France Télécom. Sans oublier la poursuite de l'attribution des deux blocs de fréquences 3G encore disponibles, puis l'organisation de l'attribution des fréquences du dividende numérique et de la bande des 2,6 GHz. 1. Fréquences 3G restantes : Après l'attribution du lot de fréquences réservé au nouvel entrant, l'Arcep doit maintenant distribuer les deux lots restants. En annonçant fin décembre qu'Iliad obtenait la quatrième licence, l'autorité indiquait que la procédure pour les deux lots n'était pas encore connue. Selon des analystes, la solution retenue pourrait être un mélange entre des enchères et des critères d'attribution (essentiellement l'ouverture aux opérateurs mobiles virtuels MVNO). La Tribune indique aussi que le gouvernement pourrait fixer un prix de réserve de 120 millions d'euros, les trois opérateurs en place militant pour un prix plus élevé (200 millions) alors qu'Iliad veut un prix plus faible (50 millions), lui permettant alors de participer à la procédure sans alourdir significativement le coût de son entrée dans la téléphonie mobile. 2. Coûts de la téléphonie mobile : En novembre puis en décembre, l'Arcep a lancé deux importantes consultations : la première concerne son analyse de marché sur la terminaison d'appel SMS (TA SMS) et la seconde sur les coûts des opérateurs mobiles. Ces deux consultations sont complémentaires. La seconde doit lui permettre d'affiner sa connaissance des coûts des opérateurs, ce qui lui permettra de valider ses modèles déterminant les tarifs des TA mobile et SMS. Concernant le SMS, des décisions devraient être prises rapidement. Pour la TA mobile, si les opérateurs connaissent déjà l'évolution des tarifs qui s'appliqueront entre le 1er juillet et 31 décembre, l'Arcep doit donc décider comment évolueront les tarifs à partir de 2011. En sachant que la Commission européenne recommande d'utiliser un modèle de coûts incrémentaux, permettant de fixer un TA mobile autour de 1,5 centime d'euro. Photo : Jean Ludovic Silicani, président de l'autorité de régulation des télécoms (D.R.) [[page]] 3. Haut débit : Autre décision très attendue, cette fois par les collectivités locales et les opérateurs alternatifs : la définition d'un cadre par l'Arcep organisant la montée en débit de la boucle locale en cuivre de France Télécom. La mise en oeuvre de cette disposition a deux objectifs : élargir le marché du DSL aux zones qui en sont encore privées et améliorer l'offre de débit dans les zones couvertes par le DSL mais dont les débits sont inférieurs à 1 ou 2 Mbit/s. L'Arcep a donc lancé au cours du deuxième semestre une consultation publique et doit publier très rapidement ses conclusions. 4. Très haut débit : Après les zones très denses, le cadre du déploiement des réseaux optiques FTTH dans les autres zones doit maintenant être éclairci. Et dans ces zones, l'accès aux infrastructures de génie civil de France Télécom est essentiel. D'où la consultation lancée par l'Arcep fin décembre sur les conditions économiques de l'accès aux fourreaux de l'opérateur historique. Si les opérateurs alternatifs ont déjà accès à cette infrastructure, ils en contestent les tarifs. La consultation devrait donc permettre à l'autorité d'apprécier la réalité des coûts de France Télécom et de faire évoluer, si cela se révèle nécessaire, ses tarifs. (...)
(05/01/2010 22:19:55)Tout savoir sur le Nexus One de Google
Google a officiellement annoncé les caractéristiques du Nexus One présenté le mardi 5 janvier 2010. Le Nexus One est fondé sur une plateforme matérielle du taiwanais HTC et sur la dernière version du système d'exploitation maison, Android 2.1. La firme parle de son terminal mobile comme appartenant à la catégorie des « superphones ». « Ils sont aussi puissants que les ordinateurs portables d'il y a trois ou quatre ans » affirme Andy Rubin, vice-président de l'ingénierie chez Google. 1. Le premier d'une vraie gamme : Google propose d'acheter le Nexus One via une boutique en ligne hébergée chez lui sur www.google.com/phone. Il s'agit d'un nouveau canal de distribution grand public pour Google. Les consommateurs devraient pouvoir acheter ainsi d'autres appareils Android sélectionnés. Google insiste sur la simplicité de cette boutique en ligne. Dans le futur, Google espère lancer de nouveaux appareils avec des fabricants partenaires et ainsi étendre la gamme à d'autres pays. 2. Vente seule ou avec l'abonnement d'un opérateur partenaire de Google : Les consommateurs peuvent acheter le Nexus One seul ou avec l'abonnement subventionné d'un opérateur partenaire de Google. Les tarifs des opérateurs et le détail des prestations figureront sur le site. Le Nexus est compatible avec n'importe quelle carte SIM GSM. 3. Des logiciels orientés Web : La plateforme du Nexus One dispose des logiciels Google Maps Navigation (des indications vocales signalent chaque changement de direction) ; email (plusieurs comptes Gmail, boîte aux lettres universelle et prise en charge d'Exchange) ; répertoire téléphonique regroupant des contacts de sources multiples, dont Facebook ; fonction Fast Contacts qui permet de passer facilement des applications de communication aux réseaux sociaux. 4. Des interactions vocales : Saisie de texte vocalement(clavier à activation vocale pour toutes les zones de texte, on dicte ses messages textuels, instantanés, électroniques, Twitter et Facebook) ; interrogation vocale via le téléphone (Pour effectuer des recherches sur Google, appeler ses contacts ou obtenir des instructions sur l'itinéraire à suivre) ; lecture des messages vocaux via l'intégration de Google Voice, les messages vocaux sont transcrits automatiquement, sans avoir à changer de numéro. [[page]] 5. Des fonctions multimédias : L'appareil photo de 5 mégapixels intègre un flash à diodes, une mise au point automatique, un zoom, des outils de localisation, la balance des blancs et des effets colorimétriques ; les images et les albums Picasa sont visionnables dans la nouvelle Galerie 3D ; on peut enregistrer des vidéos MPEG4 haute définition puis les télécharger sur YouTube d'un clic. 6. Une plateforme matérielle fournie par Qualcomm : Le processeur est une puce d'origine Qualcomm, la SnapdragonTM 3G QSD8250 cadencée à 1 GHz ; la mémoire interne comprend 512 Mo de RAM et 512 Mo de mémoire flash ; une extension de cette dernière est possible via une carte microSD de 4 Go (extensible à 32 Go). 7. Caractéristiques matérielles : Ecran AMOLED WVGA 3,7" d'une résolution de 480x800 ; une épaisseur de 11,5 mm ; un poids de 130 g ; une prise jack de 3,5 mm pour casque avec quatre contacts pour la voix et la télécommande ; Trackball : diode de notification tricolore, alertes lors de l'arrivée de nouveaux messages électroniques et instantanés, ainsi que SMS. 8. Un prix de 349 € sans abonnement : Le Nexus One est disponible dès aujourd'hui sur la boutique en ligne Google aux Etats-Unis sans abonnement pour 529$ (349 €) ou 179$ (124 €) avec un abonnement pour deux ans avec T-mobile USA. À l'avenir, Verizon Wireless aux États-Unis et Vodafone en Europe prévoient d'offrir de tels services dans les pays où ils opèrent. 9. Personnalisation la carte : Les fonds d'écran dynamiques et interactifs réagissent au toucher ; de nouveaux widgets et cinq écrans d'accueil permettent de personnalise davantage l'appareil. 10.Une commercialisation mondiale progressive : Des premières ventes réservées aux Etats Unis, au Royaume-Uni, à Singapour et à Hong Kong : Google traitera en priorité les commandes venant de ces pays. SFR proposera le smartphone en France. (...)
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