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(05/11/2009 17:36:44)
L'Afdel adhère au CICF Informatique pour y renforcer le poids du logiciel
« Entrer dans les instances qui permettent de peser sur la convention collective Syntec-CICF afin d'y intégrer davantage les métiers du logiciel était l'une des préoccupations de l'Afdel », a rappelé hier Patrick Bertrand, président de l'association française des éditeurs de logiciels. C'est désormais en très bonne voie. A l'occasion de son assemblée générale annuelle, à Lyon, ce mercredi 4 novembre, l'Afdel a annoncé son adhésion à CICF Informatique, l'un des onze syndicats constitutifs de la Chambre de l'Ingénierie et du conseil de France. L'association professionnelle d'éditeurs, créée il y a quatre ans, pourra ainsi intégrer les instances paritaires (organisations syndicales et patronales) qui gèrent la Commission de la convention collective nationale 'applicable au personnel des bureaux d'études techniques, des cabinets d'ingénieurs-conseils et des sociétés de conseil du 15 décembre 1987', dite 'Syntec-CICF'. Faire entendre les besoins des éditeurs en matière de formation Dans ces instances, la fédération CICF dispose de 40% des sièges patronaux (soit 4 sièges), aux côtés de la Fédération Syntec (6 sièges), explique son président François Amblard. Elle y cogère également la Commission paritaire nationale de l'emploi et le Fafiec, c'est-à-dire le fonds d'assurance formation de l'ingénierie, de l'informatique, des études et du conseil. « Nous souhaitons participer à l'offre de formation de la branche via le Fafiec et faire comprendre qu'il faut affecter massivement des budgets vers les éditeurs de logiciels », a expliqué Patrick Bertrand en rappelant qu'en tant qu'association professionnelle, l'Afdel ne pouvait avoir jusqu'alors de relations avec les partenaires sociaux. Par son adhésion au CICF, l'Afdel va pouvoir bénéficier d'une représentativité dans ces instances syndicales. Elle proposera dans la foulée de nouveaux services à ses adhérents, notamment l'accès à des rencontres thématiques et une hot-line. Le syndicat CICF Informatique a été créé il y a trois ans au sein de la chambre syndicale CICF, elle-même fondée en 1912. Il couvre quatre lignes de métiers : le conseil en système d'information, l'ingénierie système, l'infogérance Web et l'édition de logiciels. Ses cinq commissions thématiques se répartissent les questions de communication, de gestion (juridique, référentiel des métiers...), de compétence (formation, recrutement...), d'économie (marchés, financement...) et de développement durable (Agenda 21 TIC, Green IT...). Rassemblant une centaine de membres, CICF Informatique pèse environ 8% du CICF. En 2009, il a participé à la refonte du référentiel des métiers des TIC. (...)
(05/11/2009 17:33:04)Le torchon brûle entre Oracle et Bruxelles
Les rumeurs vont bon train depuis quelques heures à propos de l'avis que doit rendre la Commission Européenne sur le rachat de Sun par Oracle. Et pour les alimenter, les sources à la fois anonymes et proches du dossier s'expriment de plus en plus souvent. Il faut avouer que le sujet est d'importance. Bruxelles serait tout simplement en passe de s'opposer formellement à l'acquisition. C'est ce que croit savoir, par exemple, le quotidien économique américain The Financial Times qui cite une personne proche du dossier, et anonyme. Selon cette dernière, Oracle aurait refusé toute concession aux régulateurs européens, face aux inquiétudes de ceux-ci quant au rachat. La Commission refuse de commenter, mais des proches d'Oracle -anonymes- racontent que l'éditeur, lui, se prépare à un combat agressif, si Bruxelles mettait son veto au rachat. Les régulateurs du Vieux-Continent auraient néanmoins confirmé qu'en cas de refus, il leur faudrait prendre rapidement leur décision pour laisser suffisamment de temps à la procédure de se dérouler avant la date butoir du 19 janvier. En cas d'opposition européenne, les gants de boxe seront de sortie "Le jeu changerait du tout au tout si la Commission prenait cette direction," explique une personne familière de la façon de penser chez Oracle, qui insiste pour garder... l'anonymat. Et d'ajouter : "jusqu'ici, Oracle s'est retenu, et contrairement à ce que dit la Commission, il a donné, en grande quantité, des réponses à ses questions." Les régulateurs s'interrogent en particulier sur une éventuelle position hégémonique d'Oracle - qui récupérerait MySQL-, IBM et Microsoft dans le monde des bases de données. Selon ce même observateur, la frustration des autorités européennes est palpable. La Commission a été prévenue de l'accord début août, à un moment où nombre d'officiels sont en vacances. Seuls les moins expérimentés d'entre eux étaient aux manettes pour gérer la situation, réduisant les chances d'obtenir une réponse rapide et positive. « Si la Commission s'oppose au rachat, ce sera la guerre », confie cette personne. En référence à la gestion la plus controversée d'une fusion par les régulateurs européens, ces dernières années, elle ajoute que la tempête politique qui en résulterait s'apparenterait à l'affaire du « rachat d'Honeywell par General Electric, mais sous stéroïdes. Après un refus de la Commission en 2001, le président des Etats-Unis de l'époque, Georges Bush avait dû intervenir en personne. Même si avec Barack Obama désormais à la Maison Blanche, les choses ont changé drastiquement, le proche d'Oracle assure que les retombées politiques seraient encore plus graves. « Quand GE dialoguait avec la Commission, pas un emploi n'a été perdu chez Honeywell. Sun, lui, en a supprimé des milliers et pourrait tout simplement couler si le rachat ne se concrétise pas. » "Certains politiciens endurcis, y compris la porte-parole de la Maison Blanche, Nancy Pelosi son prêts à intervenir en faveur d'Oracle et de Sun, mais on leur aurait demandé d'attendre pour l'instant. Mais si la Commission décide émet une déclaration d'objections (SO, statement of objections) la semaine prochaine, on va sortir les gants- et il ne sera plus temps d'attendre." (...)
(05/11/2009 16:30:32)Gestion logistique : JDA Software finit par racheter i2 Technologies
Après une première tentative de rachat en août 2008, interrompue quatre mois plus tard en raison de la situation économique défavorable, l'Américain JDA Software est reparti à l'assaut de son concurrent i2 Technologies. L'éditeur spécialisé dans les solutions de gestion logistique vient d'annoncer avoir signé un accord pour acquérir la société texane pour 434,4 millions de dollars, soit 18 dollars par action i2. Un montant à comparer aux 346 M$ proposés l'an dernier par JDA. Entre temps, l'action de i2 a été revalorisée. Le chiffre d'affaires combiné des deux sociétés sur douze mois s'élevait fin septembre à 617 M$. Selon JDA, cela inclut 275 M$ de revenus de maintenance et de souscriptions récurrentes. L'activité de service pèse 216 M$. I2 Technologies a été cofondée par Sandjiv Sidhu et Ken Sharma en 1988. (...)
(05/11/2009 16:17:41)Second Life ouvre une version Entreprise en bêta
Le succès de Salesforce.com a visiblement donné des idées à Linden Lab, l'éditeur de Second Life. Cet univers virtuel en 3D n'était certes pas consacré au jeu, néanmoins, il évolue désormais clairement du côté professionnel. Linden Lab estime que 1 400 entreprises ou autres organisations professionnelles recourent à Second Life pour des réunions ou des sessions de formation. Afin de leur faciliter la tâche - et d'y trouver au passage une rémunération - Linden Lab prévoit de lancer au premier semestre 2010 une édition Second Life Enterprise, dont le programme bêta est désormais ouvert. Ce Second Life Enterprise pourra être déployé au sein du réseau des entreprises, à l'abri donc des pare-feu. Cette garantie de sécurité « permet un accès partagé aux informations propriétaires, aux prototypage et aux documents de formations en toute sécurité », explique Linden Lab. Jusqu'à 800 collaborateurs d'une entreprise peuvent ainsi se retrouver de façon virtuelle, sous leur vrai nom. Une conférence de trois jours et 200 participants Outre l'intérêt d'importer ou de créer du contenu et d'échanger des documents, ces réunions dans Second Life évitent des déplacements coûteux en temps, en argent et en productivité, indique encore l'éditeur, qui cite IBM. L'Academy of Technology d'IBM, qui compte 330 personnes chargées de réfléchir aux futures technologies et à leurs usages, avait identifié l'intérêt de recourir aux univers virtuels. Le test effectué avec Second Life - qui a tout de même nécessité plusieurs mois de collaboration entre IBM et Linden Lab - s'est révélé concluant. La conférence virtuelle a duré trois jours et a réuni plus de 200 participants, qui avaient tous été formés auparavant au maniement des avatars dans Second Life. Une économie de 320 000 dollars Au final, « IBM estime avoir économisé plus de 250 000 dollars en frais de déplacement et autres frais de conférence et plus de 150 000 dollars en gains de productivité supplémentaires (étant donné que les participants étaient déjà à leur poste de travail et qu'ils pouvaient donc retourner immédiatement à leur occupation) ». Si l'on soustrait à cela un investissement initial de 80 000 dollars, cela représente une économie de 320 000 dollars par rapport à l'organisation d'une véritable conférence. Linden Lab rentabilisera son investissement pour les entreprises d'abord en leur facturant cette version spécifique (à partir de 55 000 dollars) mais aussi en instituant une place de marché, Second Life Work Marketplace. Comme chez Salesforce.com, les éditeurs partenaires pourront y proposer leurs développements afin d'enrichir les possibilités offertes par la plateforme et de coller au mieux aux besoins des entreprises. (...)
(05/11/2009 14:00:43)PSA déploie la démarche qualité Open Source Squale
Parmi les leviers permettant de diminuer les coûts de développement, il en est un relativement peu utilisé : l'amélioration de la qualité. Le groupe PSA Peugeot-Citroën a décidé de s'en servir, en déployant à grande échelle la démarche et les outils du projet Squale. Financé notamment par le pôle System@tic et ses principaux contributeurs, la SSII Qualixo et Air France en tête, le projet Squale (pour Software QUALity Enhancement) vise à « assister les développeurs dans l'amélioration du code de leurs projets, aider les chefs de projet à atteindre les objectifs de qualité de leurs applications, et donner aux dirigeants des tableaux de bord leur permettant de superviser la santé globale de leur système d'information ». Squale propose à la fois des modèles, issus du savoir-faire des participants (SSII, grands comptes, mais aussi centres de recherche comme l'Inria), et des outils en Open Source (licence LGPL) pour afficher et interpréter les métriques. Au plus haut niveau, le portail de Squale peut ainsi évaluer 6 grands facteurs (qui seront illustrés par des notes et des pictogrammes empruntés à la météo) : « capacité fonctionnelle, architecture, évolutivité, maintenabilité, réutilisabilité, fiabilité ». Outre cette météo claire du projet en cours, le but, explique Fabrice Bellingard, de Qualixo, responsable du projet Squale, est de « proposer un plan d'action, avec les choses à corriger en priorité ». Thierry Bey, responsable entité Langages, Qualité et Processus de Développement de PSA Peugeot Citroën, explique dans un entretien exclusif avec LeMondeInformatique.fr, que la mise en oeuvre de Squale dans les projets pilotes a déjà permis une bien meilleure adhérence des développeurs aux bonnes pratiques et aux règles mises en place au sein de PSA. Et si le caractère Open Source de Squale en fait une solution peu onéreuse, il insiste surtout sur le caractère participatif de la démarche, qui résulte d'une réflexion menée avec plusieurs grands comptes. Ce qui représente une garantie par rapport à ses propres besoins, mais est aussi synonyme de crédibilité au sein de sa propre DSI. (...)
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