Flux RSS
PC et portables
2797 documents trouvés, affichage des résultats 771 à 780.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(05/10/2010 18:33:09)
Synergy 2010 : Le Gartner pointe les limites des solutions de virtualisation
Synergy, la conférence des utilisateurs de Citrix, ouvrira ses portes demain mercredi à Berlin. L'éditeur devrait annoncer le lancement de la nouvelle version de XenDesktop, sa solution de virtualisation pour postes de travail et également parler de son hyperviseur de type 1, XenClient. Ce dernier constitue un virage important. " Les entreprises en parlent, mais elles commencent tout juste à utiliser des produits comme XenDesktop", considère Federica Troni, analyste du Gartner. Pour elle, il apparaît cependant que son adoption tardive souligne des manques relatifs à cette technologie.
XenClient, une solution encore trop jeune
L'analyste indique a titre d'exemple, que l'administration aurait été trop lourde et que les clients se plaignaient d'avoir à utiliser différents outils pour gérer leurs utilisateurs. L'autre point faible de la VDI réside dans l'incapacité pour les utilisateurs de travailler en mode off-line (déconnecté). Citrix apporte des solutions avec XenClient, qui a nécessité plus d'un an et demi de travail et dont la sortie a été annoncée il y a un mois. XenClient est un hyperviseur bare-metal qui est directement intégré au poste de travail, à l'inverse de produits tels que VMWare Player ou Parallels Desktop qui nécessitent l'utilisation d'un OS sous jacent pour pouvoir fonctionner. Le Gartner estime que XenClient est une solution encore jeune et recommande à Citrix de ne pas faire des promesses que la première version n'était pas en mesure de fournir.
Des outils de travail collaboratifs accessibles sur smartphones
Pour Federica Troni, la solution fonctionne seulement avec des processeurs et des composants graphiques Intel, ce qui constitue une limitation majeure. D'ailleurs, les participants au salon Synergy espèrent en entendre plus que des informations sur les produits existants de Citrix. Les clients Danois de l'éditeur, représentés par René Veste, comptent en savoir davantage sur le projet GoldenGate, a indiqué ce dernier dans un billet posté dimanche dernier sur son blog. L'offre entend intégrer messagerie, calendrier, contacts et d'autres applications de travail collaboratif au sein d'un seul et même outil qui tournerait dans un datacenter et qui pourrait être accessible depuis des smartphones via CitrixXenApp. Alors que les téléphones intelligents se sont banalisés dans les entreprises, l'idée d'un projet comme GoldenGate est devenue très importante. Néanmoins, il reste qu'aucune décision n'a été prise quant à la commercialisation de cette solution, a indiqué Citrix.
Pourtant, quelques départements informatiques ont des idées d'améliorations des solutions de Citrix. L''avancée majeure résiderait dans le fait que Xenapp soit plus stable sur les longues distances et assure une meilleure compatibilité avec les pare-feux des clients, estime Mikael Areschoug, responsable d'une plate-forme pour les travailleurs à distance chez SWECO Connect, qui fait tourner XenApp auprès de 2 500 clients. Ce dernier considère que Citrix doit simplifier la configuration et l'installation de ses applications.
Livres électroniques, les distributeurs protègent le prix unique
Dans un communiqué, le SDLC indique « qu'il est nécessaire au livre numérique de bénéficier d'un environnement réglementaire qui favorise la diversité de l'offre et la concurrence par la qualité ». De même, le syndicat souligne qu'il faut « s'attaquer à la concurrence inégale dont les professionnels de la librairie souffrent de la part d'opérateurs non établis sur leur territoire ». Le SDLC préconise enfin un taux de TVA réduit (5,5%) « pour attirer le consommateur vers les offres en ligne ».
L'urgence d'une législation pour l'exploitation du livre numérique est aussi soulignée par le Syndicat national de l'édition (SNE) qui lance une lettre ouverte « en réponse à certaines initiatives d'agents » déjà signée par 31 éditeurs, notamment Antoine Gallimard, président du Syndicat national de l'édition (SNE), Teresa Cremisi (Flammarion), Jean Delas (L'Ecole des loisirs), Francis Esménard (Albin Michel), Alain Kouck, (Editis), Irène Lindon (Minuit), Sylvie Marcé (Belin), Vincent Montagne (Média Participations), Arnaud Nourry (Hachette Livre) et Françoise Nyssen (Actes Sud).
Le SNE répond ainsi, entre autres, à l'agent américain Andrew Wylie qui souhaitait exploiter les versions numériques des livres de ses auteurs. « Les droits électroniques sont des droits principaux au même titre que les droits de l'édition papier dont l'exploitation revient naturellement à l'éditeur, l'édition numérique empruntant notamment la « valeur ajoutée » du travail éditorial réalisé pour le livre papier », écrivent les signataires. Et d'ajouter : « L'acquisition des droits sur une oeuvre de l'esprit ne saurait exclure l'exploitation numérique, sous peine de voir se développer un marché numérique autonome, régulé par des acteurs extérieurs (agrégateurs de contenus, agents, etc.) susceptibles de mettre en péril l'équilibre de la profession ».
Ces prises de position apparaissent à quelques jours de l'ouverture, à partir du 6 octobre, de la Foire de Francfort (Allemagne), premier marché mondial de l'édition.
Air France-KLM inspecte son architecture SOA
Depuis la fusion des groupes aériens Air France et KLM en 2004, la réorganisation des systèmes d'information se fait progressivement. Il s'agit de faire interagir les SI hétérogènes des deux compagnies sans les remplacer globalement, stratégie trop coûteuse.
Pour y parvenir, le principe adopté est celui de la SOA (Service Oriented Architecture). La DSI d'Air France devait disposer d'un outil pour détecter, diagnostiquer et traiter les problèmes survenant dans les SI. Et cela malgré le grand nombre d'outils utilisés dans les processus métiers les plus courants, de la réservation d'une place par un passager (éventuellement via un tiers) à l'organisation d'un vol. Chaque processus est ainsi extrêmement complexe.
Les systèmes au coeur de l'activité du groupe aérien doivent pourtant être disponibles en permanence. Pour réaliser cette surveillance des interconnexions au sein de l'architecture SOA, Air France KLM a choisi de se doter d'Actional de Progress Software. Cette solution a été intégrée pour l'instant sur le système e-commerce de KLM et devrait être déployée ensuite sur l'ensemble du SI du groupe.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |