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(18/05/2009 17:28:13)

La norme Energy Star pour serveurs dévoilée et déjà contestée

Le processus d'adoption fut laborieux, mais la norme Energy Star pour les serveurs voit enfin le jour. Initialement prévue pour le début de l'année, elle a fait l'objet d'intenses discussions entre les tenants du programme Energy Star (l'Agence pour la protection de l'environnement et le Département de l'énergie américains) et les constructeurs pour aboutir finalement à l'adoption de la quatrième version du texte. Celle-ci inclut pour l'instant les serveurs avec un disque dur et de 1 à 4 processeurs, mais ne tient pas compte des lames, pourtant particulièrement gourmandes. Elles devraient rejoindre la norme dans les deux prochains mois. Les principaux critères d'évaluation des machines sont la performance de l'alimentation (la quantité de chaleur dissipée doit rester raisonnable par rapport à l'électricité consommée) et la consommation d'énergie en veille. La présence ou l'absence d'outils d'administration à distance entrent également en ligne de compte. Mais certains, notamment chez Intel et Sun, contestent déjà l'utilité du standard. Pour eux, avec le développement de la virtualisation, le temps passé en veille des appareils est de moins en moins significatif pour l'utilisateur final. L'EPA prévoit déjà dans une prochaine version de sa norme de proposer des mesures non seulement pour la veille, mais également pour différents niveaux de charge de travail. En attendant, les constructeurs pourront désormais apposer le logo Energy Star sur leurs serveurs (aux côtés de la fiche détaillée rappelant la configuration qui a obtenu le label, afin d'éviter toute tricherie). Tout en poursuivant son travail sur les serveurs, l'EPA s'attaque aussi désormais à l'élaboration d'une norme Energy Star pour le stockage informatique, avant de passer à une norme globale pour les centres serveurs. (...)

(18/05/2009 15:37:26)

BlueKanGo ajoute un ultraportable à son offre en ligne de BPM qualité

L'éditeur français BlueKanGo a constitué pour les responsables qualité cinq solutions packagées de BPM - gestion de processus métiers - proposées en mode SaaS. L'une des originalités de cette offre est de s'accompagner d'un volet matériel, le BlueNetBook, destiné à faciliter l'usage mobile de l'application. Le prix de l'abonnement mensuel (à partir de 90 euros par mois) comprend la fourniture d'un ultraportable équipé d'une carte 3G et fourni avec une clé USB pour transférer l'existant. Les cinq solutions de BPM WeKanGo Qualité s'appliquent à la gestion des risques, à la conduite des audits et des enquêtes de satisfaction, à la gestion des EPP (évaluation des pratiques professionnelles), à la certification ISO 14001, ainsi qu'à la gestion des non-conformités. Elles s'ajoutent à la cinquantaine de solutions de BPM en mode SaaS déjà présentes au catalogue de l'éditeur dans les domaines de la gestion des ressources humaines, des achats, du SAV, de la paie et de la comptabilité. La plateforme applicative hébergée de BlueKanGo donne accès à des outils de modélisation graphique des processus et à un moteur d'exécution qui comprend un générateur de formulaires et un moteur de workflow (Blue/Business Process Execution language, BPEL). Elle comprend également des interfaces de programmation (API) et des connecteurs pour intégrer les solutions de BPM au système d'information de l'entreprise cliente. Cette dernière bâtit ses processus à la carte en choisissant dans la liste de composants que lui propose BlueKanGo. Pour le BPM Capital humain, par exemple, l'utilisateur peut choisir entre sept composants : recrutement, dossier du salarié, suivi des activités et des absences, suivi des activités et frais, postes et compétences, conduite des entretiens individuels et formation. Un millier de clients BlueKanGo n'est pas tout à fait un nouveau venu. La société, installée à Rennes et créée en 1998, a été connue jusqu'en 2008 sous le nom de QSMS Medi Système. Elle s'est initialement spécialisée dans le secteur de la santé avant d'investir aussi l'agroalimentaire, l'industrie et les services. Sa base installée compte aujourd'hui un millier de clients, tant grandes entreprises que PME et administrations. Parmi ses investisseurs figurent des fonds institutionnels comme la Région Bretagne, Bretagne Participation et Bretagne Jeunes Entreprises. La société a également bénéficié de l'aide financière d'Oseo. A noter que sur le marché français des éditeurs spécialisés sur les solutions de BPM en mode SaaS figure aussi RunMyProcess qui a récemment été distingué par Gartner. (...)

(18/05/2009 15:21:17)

WolframAlpha ouvert à tous... et à toutes les requêtes pointues

Le moteur de recherche mathématique Wolfram Alpha a ouvert ses portes à tous. Basé sur un logiciel scientifique capable d'associer et de calculer des données de toute sorte, Wolfram Alpha n'est pas un moteur de recherches comme les autres. Plutôt qu'à Google, référence en matière de recherches sur Internet, il faudrait plutôt le comparer à un automate qui irait se plonger dans le Quid ou dans Wikipedia pour formuler une réponse à une question. Depuis qu'il est ouvert à tout internaute - et victime de son succès puisque régulièrement indisponible - le grand jeu est de trouver à quoi il peut bien servir et comment le piéger. Tout en respectant les règles du jeu, c'est-à-dire en lui posant bien une question, ou bien en lui donnant une date ou encore une unité de mesure. Si on veut savoir par exemple à quoi correspondent 2 Po (deux pétaoctets), Wolfram Alpha donnera l'équivalent en gigaoctets et indiquera aussi que c'est la mesure théorique de ce qu'un cerveau humain peut contenir comme information. De la même façon, il pourra indiquer que 88 Mph correspondent à 141,6 km/h ou à 0,12 fois la vitesse du son, mais surtout à la vitesse à laquelle la DeLorean de 'Retour vers le futur' doit rouler afin de pouvoir voyager dans le temps. Plus sérieusement, une requête de type « Oracle Sun » permet en un seul clic de comparer les fondamentaux des deux sociétés et de voir comment la dernière année a été particulièrement sévère pour le cours de l'action Sun. Le moteur n'est disponible pour l'instant qu'en anglais, et laisse des pans entiers de connaissance de côté. Mais comme le souligne l'équipe de conception, il ne s'agit que d'un début, le but étant de réaliser un « computational knowledge engine », un moteur capable de trier dans la masse des connaissances grâce à un ensemble d'algorithmes. (...)

(18/05/2009 12:13:37)

La loi Loppsi veut renforcer la lutte contre la pédopornographie... et le contrôle d'Internet

Il faut sauver le soldat Internet. La loi Création et Internet à peine adoptée par le Parlement, le gouvernement s'apprête à renforcer davantage son arsenal de contrôle du Web. L'exécutif prépare en effet la Loppsi, loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, conçue pour doper les instruments dont disposent les pouvoirs publics en matière de lutte contre la délinquance et la criminalité. Après la Dadvsi et l'Hadopi, cette autre loi en 'i' s'annonce redoutable pour l'avenir du Web. Sous une intention louable - lutter contre les contenus pédopornographiques - le projet vise à mettre en place un véritable filtrage par les FAI. Plus précisément, le texte - certes provisoire - prévoit « d'empêcher sans délai l'accès aux contenus dont les adresses électroniques sont désignées par arrêté du ministère de l'Intérieur ». L'idée n'est pas nouvelle. Déjà, en février 2008, Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur, évoquait l'adoption nécessaire de nouvelles mesures de lutte contre la cyber-criminalité, parmi lesquelles la création d'un délit d'usurpation d'identité, la géolocalisation des internautes, ou le blocage des sites ne respectant pas la législation. En novembre 2008, le Forum des droits sur Internet remettait le couvert dans sa recommandation 'Les enfants du Net III', en préconisant le blocage des contenus pédopornographiques par les FAI, après que ceux-ci auront reçu une liste noire concoctée par l'OCLTIC (Office central de lutte contre la cybercriminalité liée aux technologies de l'information et de la communication). Le brouillon étant là, il ne reste plus au gouvernement qu'à en fignoler les détails pour que cette volonté de filtrage s'inscrive concrètement dans le paysage législatif. Pour Jean-Michel Planche, il s'agit d'un « enterrement en première classe de la notion de neutralité d'Internet » Une perspective qui inquiète Jean-Michel Planche, le PDG de Witbe qui siège à la CCRSCE (Commission consultative des réseaux et services de communications électroniques). C'est en tant que membre de cet organisme qu'il a été consulté par le ministère de l'Intérieur, le 27 avril, sur le projet Loppsi... et qu'il n'a pas manqué de dire tout le mal qu'il pense des mesures prévues par la loi, et qu'il nous détaille dans une interview avec LeMondeInformatique.fr. Selon lui, cette nouvelle « usine à gaz » qu'est la Loppsi se montrera non seulement incapable d'atteindre le but que le législateur entend lui conférer, mais contribuera surtout à « l'enterrement en première classe de la notion de neutralité d'Internet ». En instaurant un filtrage des contenus au niveau des FAI, « on aura placé une technique d'écoute systématique et de reroutage, à l'insu de notre plein gré, contrôlable par un tiers extérieur au coeur de tous nos échanges numériques ». Pour lui, le gouvernement français nous prépare « un Internet chinois ». (...)

(15/05/2009 17:42:47)

Start West prime les deux éditeurs Boozter Technologies et BlueXML

Pour la neuvième édition de Start West, qui s'est déroulée les 12 et 13 mai à la CCI de Rennes, pas moins de treize dossiers étaient liés aux TIC, sur les vingt-deux projets innovants présentés aux investisseurs au cours de ces deux journées. Quatre autres entraient dans la catégorie des cleantech et des greentech, les cinq dossiers restants portant sur les biotechnologies et le secteur de la santé. Les investissements nécessités par les différents dossiers s'échelonnaient de 200 000 euros à 2,5 M€, pour un montant total de 23 millions.

Parmi les cinq start-up distinguées par le jury figurent deux éditeurs de logiciels. Boozter Technologies a reçu le prix de la Région Bretagne pour son logiciel de messagerie Web basé sur une technologie brevetée d'accès direct à l'information. Compatible avec des messageries comme Gmail, Hotmail ou Outlook, l'outil assure un classement automatique des courriels et effectue une synchronisation permanente en utilisant le protocole IMAP.

L'éditeur BlueXML s'est vu de son côté décerner le prix Coup de coeur. Avec son offre, Sustainable IDE pour Alfresco, la société a conçu pour les spécialistes métiers un environnement de modélisation pour bâtir des portails documentaires intégrant des formulaires basés sur des contenus et des workflow créés avec le système de gestion de contenus d'Alfresco (logiciel en Open Source). (...)

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