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(06/04/2009 11:04:27)

Sun aurait rejeté la proposition d'achat d'IBM

Ce week-end n'a pas été de tout repos pour IBM et Sun. Ce dernier aurait rejeté l'offre d'acquisition du premier, samedi 4 avril, considérant le prix proposé comme trop bas, selon le Wall Street Journal. L'offre se monterait à 9,40$ par action, soit près de 7 Md$. Selon le quotidien américain en ligne, Sun voulait aussi l'assurance d'une négociation exclusive et finalement, dimanche, IBM aurait menacé de retirer complètement sa proposition. Les pourparlers qui se dérouleraient depuis le 18 mars seraient alors presque tombés à l'eau. Le Wall Street Journal ajoute que, quand IBM a proposé pour la première fois d'acquérir Sun, les banquiers de ce dernier ont fait le tour des grands du marché IT et aucun fournisseur n'aurait été intéressé. Une situation qui pourrait contraindre le Californien à accepter l'offre de Big Blue, même dans des termes qui ne le satisfont pas complètement. Il est à noter que les deux firmes persistent à ne pas vouloir commenter ce qu'elles qualifient de « rumeurs ». (...)

(03/04/2009 18:42:37)

Solutions Linux : Jean-Pierre Laisné dresse un bilan « au milieu du gué »

Dans une interview avec LeMondeInformatique.fr, Jean-Pierre Laisné, directeur de la stratégie Open Source de Bull et président du consortium OW2, revient sur 10 ans de Solutions Linux en France, et le travail accompli jusque là par les acteurs de l'Open Source. S'il est satisfait de voir que les chamailleries sont sur le déclin, Jean-Pierre Laisné estime qu'il reste encore beaucoup à faire. Du côté des acteurs du Libre, qui doivent sortir de la technique pour apprendre à faire du marketing « dans le sens de l'accès au marché », et à parler métier avec les dirigeants de PME. Le consortium OW2 n'échappe d'ailleurs pas à ce constat. Mais il y aussi beaucoup à faire du côté des éditeurs de tout poil, et notamment dans le cloud, qui à trop puiser dans le vivier de l'Open Source sans rien donner en retour risquent de tarir la corne d'abondance. Concernant l'éventuel rachat de Sun par IBM, Jean-Pierre Laisné propose une explication géopolitique : et si c'était pour éviter une OPA chinoise ? Interview, réalisée à l'occasion de Solutions Linux, à lire ici. (...)

(03/04/2009 18:35:42)

Solutions Linux : Sous le logiciel libre, le développement durable

Le salon Solutions Linux a fermé ses portes hier, jeudi 2 avril. Les allées étaient un peu plus clairsemées que les premiers jours, selon les exposants. Mais ces derniers étaient néanmoins plutôt satisfaits. Ainsi Wallix, spécialiste de la sécurité, a-t-il vu passer sur son stand davantage de visiteurs professionnels avec de vrais projets en tête que les années précédentes. De son côté, Marc Saboureau, directeur d'agence pour l'éditeur Makina Corpus a croisé nombre de SSLL (Société de service en logiciel libre) intéressées par son offre. Peu d'exposants affichaient leur intérêt pour le green IT sous quelque forme que ce soit. Une exception avec l'intégrateur SuperMicro qui se targuait sur un pan entier de son stand de construire des solutions de datacenters économes en énergie. Reste à savoir si cela traduit un total désintérêt de la communauté ou, au contraire, s'il s'agit d'une deuxième nature qu'il est inutile de revendiquer davantage. Marc Saboureau affirme lui qu'il existe « une logique pour les gens du libre à se porter vers ces thématiques. » Il évoque en particulier ses employés recrutés depuis 2006 (l'entreprise est passée de 2 à 40 personnes entre 2006 et 2007). Le Green IT donne encore plus de sens à leur métier. Les SIG libres au service du développement durable Sans qu'il en fasse un étendard, Makina Corpus, spécialisé en particulier dans les applications autour des SIG, répond en effet aux besoins liés au développement durable pour un bon nombre d'entreprises. Il travaille aussi avec les institutions idoines comme le Meeddat (Ministère de l'Ecologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire) et l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) pour certains sites de communication. Il a développé le portail consommer-responsable.com destiné à identifier et localiser les services responsables à Nantes et à Angers ou encore le site de coivoiturage Bison vert. Mais il s'attaque aussi à des projets plus complexes, par exemple avec Safe Med, système de traçabilité des navires dans le bassin méditerranéen. A partir de données récoltées par une organisation spécialisée, les divers bâtiments sont ainsi identifiés et localisés. (...)

(03/04/2009 17:52:42)

Chez Minalogic, PME et laboratoires de recherche peuvent officiellement échanger leurs cerveaux

Minalogic, pôle de compétitivité spécialisé dans les nanotechnologies et les logiciels embarqués, a présenté il y a deux jours une convention permettant aux entreprises et aux organismes publics de prêter ou d'emprunter des compétences. Différent du portage salarial ou des regroupements d'employeurs, ce modèle s'appuie sur l'article 42 de la loi 2006-1770 relatif au développement de la participation et de l'actionnariat salarié, loi qui a été votée le 30 décembre 2006. Quelques lignes dans la définition des pôles de compétitivité « dont personne n'a eu l'idée de se servir jusqu'à présent » avance Nicolas Leterrier, délégué général de Minalogic, situé dans l'Isère et regroupant 98 entreprises (78% de PME). Cette loi autorise les organismes publics et privés à procéder à des prêts de personnel sous trois conditions : les échanges se font à titre expérimental sur une durée limitée (jusqu'au 31 décembre 2010), dans le cadre d'un pôle de compétitivité et concernent uniquement les personnes titulaires d'un CDI ou bénéficiant d'un contrat de droit public. La « transaction » ne doit évidemment pas porter préjudice aux intérêts du salarié : il conserve le même contrat, la même fonction, le même salaire, la même mutuelle et le périmètre de ses déplacements est limité. Pas question de changer de région par exemple. Il est toujours payé par son employeur qui de son côté se fait reverser le salaire et les charges par l'entreprise qui exploite les compétences de son employé. Ces prêts reposent sur le volontariat. Le salarié peut refuser sans que cela lui porte préjudice comme le précise le texte. Traverser la crise sans tailler dans la masse salariale Pour Nicolas Leterrier, cette convention revêt un triple intérêt. « A court terme, elle permet aux PME de traverser la crise sans se défaire de leurs compétences internes, tout en allégeant la charge salariale », explique-t-il. A moyen terme, cette solution offre aux entreprises la possibilité de bénéficier d'expertises dont elle ne dispose pas en interne pour développer un projet collaboratif. A plus longue échéance, cette mutualisation permet de préparer la sortie de la crise, en accélérant l'innovation et en maintenant les pools de personnel qualifié. Soitec, spécialisé dans l'isolant sur silicium, a d'ores et déjà indiqué qu'il s'intéressait à cette nouvelle convention. En proie à des difficultés financières, la société grenobloise a annoncé qu'elle comptait par ailleurs se séparer de près de 10% de ses effectifs (soit une centaine de salariés). Le prêt de personnel est présentée comme une solution préférable à la suppression d'un plus grand nombre de postes. Pour le moment, l'initiative est aussi saluée par les syndicats : « tout sauf le licenciement », implore Jean-Pierre Gilquin, secrétaire général de FO Isère, qui ajoute toutefois une réserve « cette mesure n'est pas inintéressante, à condition qu'elle recueille l'accord du salarié et que le billet de retour soit clairement indiqué. »Toujours selon le syndicat, cette convention devrait essentiellement concerner des salariés issus de la R&D « habitués à fréquenter différents centres de recherche et universités, et pour qui les déplacements ne sont pas rédhibitoires », mais beaucoup moins le personnel employé dans les centres de production. (...)

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