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(24/11/2011 11:43:38)

Leasecom propose un financement pour le SaaS

 

 

Le nouveau financement proposé par Leasecom concerne soit l'éditeur, soit le revendeur. Le contrat avec le client final appartenant à l'un ou à l'autre : si l'éditeur est propriétaire du contrat, le revendeur agit en tant qu'apporteur d'affaires, si c'est le revendeur qui détient le fameux contrat, il agit dans le cadre d'une formule d'achat-revente, c'est lui qui sera financé par l'éditeur. Dans l'un et l'autre cas (éditeur ou revendeur propriétaire du contrat avec le client final), Leasecom s'engage à régler (peu après la signature du contrat en SaaS avec le client final), l'intégralité de la partie logicielle du contrat. C'est-à-dire des redevances d'abonnement dues par le client final (déduction faite des frais de Leasecom). C'est la  1ère et la principale somme réglée par le « leaser ». Ensuite, au fur et à mesure des échéances d'abonnement et de leur règlement, Leasecom règle une partie correspondant aux frais d'assistance.

Leasecom peut régler en 72 heures

Leasecom a mis au point une formule rapide. L'éditeur ou le revendeur doivent au préalable signer avec lui une convention d'agrément. Ensuite, à chaque contrat signé avec un client, ils doivent d'un côté obtenir l'accord de Leasecom, de l'autre faire signer au client final, un contrat de vente évidemment et un contrat avec Leasecom, suivis d'un procès verbal de livraison, après l'installation de la solution. Le tout est transmis à Leasecom qui règle en 72 heures.

Leasecom a par ailleurs lancé un extranet sécurisé (Leasecom On Line) permettant : de calculer son leasing, de faire une demande de financement, d'éditer son contrat, de l'envoyer pour une signature électronique. En dessous de 50 000 euros, Leasecom donne une réponse immédiate. Au-delà, il faut un classique accord de financement.

Autre cas de figure, et autre frein possible, celui d'une défaillance éventuelle de l'éditeur. Leasecom a prévu une assurance de continuité de services pour le client final grâce à un contrat « d'entiercement » signé avec l'hébergeur et l'éditeur, permettant à Leasecom d'assurer la continuité des prestations louées.

(...)

(24/11/2011 11:43:31)

Les outils de paiement alternatifs progressent dans le e-commerce

Payer un achat en ligne peut se faire par des moyens traditionnels : cartes bancaires, chèques, prélèvements ou virements. Mais il existe de multiples autres moyens, dits « alternatifs », dont le site peut avoir besoin en fonction des exigences marketing, même si son usage effectif est limité. Ces moyens doivent s'intégrer chacun d'une manière spécifique ou via un opérateur comme Limonetik qui a sponsorisé une étude sur le sujet.

Selon celle-ci, les moyens de paiement alternatifs sont appelés à continuer de se développer fortement. En 2015, c'est le quart du e-commerce (soit 13,8 milliards d'euros) qui devrait être réglé par l'un de ces moyens (contre environ 5% aujourd'hui). Cette tendance est notamment poussée par le développement du m-commerce (commerce électronique sur mobile) et des micro-paiements associés avec l'acquisition de sonneries, jeux, etc. en attendant l'impact de la télévision connecté, impossible à déterminer aujourd'hui. Cette croissance est aussi dopée par la bascule d'environ 20% du commerce off-line vers le on-line.

Transfuges et pure-players

Les moyens de paiements alternatifs se divisent en deux catégories : les « transfuges du off-line » et les « pure-players ».

Les transfuges sont, notamment, les facilités de paiement (crédits à la consommation, paiements répartis en plusieurs échéances, etc.), les titres pré-payés, les avoirs associés à des points de fidélité, les listes de mariage, les titres divers (notamment aides sociales et bons de remboursement d'assurances). Ces moyens transfuges devraient représenter 9% du e-commerce en 2015.

Les « pure-players » sont d'une part des équivalents porte-monnaie électroniques (Paypal par exemple ou des systèmes privatifs comme sur Price Minister), d'autre part des micro-paiements avec intermédiation de l'opérateur (numéro surtaxé de type Allopass par exemple). La monnaie virtuelle de réseaux sociaux (Facebook Credits) est également à prendre en considération, même si elle est marginale aujourd'hui. Ces moyens pure players devraient représenter 16% du e-commerce en 2015.

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(24/11/2011 11:07:39)

Google abandonne 7 services

Ce n'est pas le printemps et pourtant Google procède à un grand nettoyage de ses tiroirs. Sur son blog officiel, elle annonce par la voix d'Urs Hölzle, Senior Vice President, Operations & Google Fellow, la fermeture prochaine de sept de ses services : Bookmarks Lists, Friend Connect, Gears, Search Timeline, Wave, Knol et RE. Le premier, qui permet de partager des signets et de collaborer avec des amis, sera fermé le 19 décembre prochain. Ce service expérimental était disponible uniquement en langue anglaise.

Friend Connect, qui permet aux webmasters d'ajouter des fonctionnalités sociales à leurs sites, en intégrant quelques extraits de code, sera retiré pour tous les sites hors Blogger. Pour contrer cette suppression, Google invite les utilisateurs à migrer sur Google +.

Cessation pour manque d'intérêt ou plus grandes compétences ailleurs

Gears, qui permet de continuer à utiliser des services en ligne tout en étant déconnecté et dont le développement était stoppé en mars pour tous les nouveaux navigateurs, va cesser de fonctionner. Pour remplacer la frise chronologique de Search Timeline montrant les volumes de requêtes associées à une recherche, l'éditeur rappelle qu'on peut toujours affiner une recherche par dates en utilisant les options de la marge de gauche, faire des analyses temporelles dans Trends ou Insights for Search. Le service Wave, protocole et outil qui n'a pas vraiment réussi à convaincre (trop compliqué ?), va également fermer.

De son côté, Knol, lancé en 2008 comme alternative à l'encyclopédie participative Wikipedia, a toujours eu du mal à fédérer et à rassembler des contributeurs. Il s'est éteint en octobre. Enfin l'initiative « Renewable Energy Cheaper than Coal » dont l'objectif était d'établir des pistes de réflexion afin de réduire les coûts des énergies renouvelables sera également arrêté. Google estime en effet que d'autres sociétés sont mieux placées qu'elle pour mener cette réflexion.

ICTjournal.ch

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(24/11/2011 10:55:10)

Nokia Siemens Networks supprime 17 000 emplois

Face à la concurrence intense du suédois Ericsson et du chinois Huawei et à une baisse des dépenses des opérateurs télécoms, le conglomérat formé entre Nokia et Siemens fait face à des problèmes de rentabilité, et ce, depuis sa création en 2007. Il a levé fin septembre un milliard d'euros auprès de ses fondateurs pour financer sa restructuration. 17 000 emplois seront donc supprimés, soit 23% des effectifs. Le conglomérat se concentrera désormais sur les matériels et services mobiles à haut débit. Pour mémoire, au troisième trimestre, le bénéfice d'exploitation s'élève à six millions d'euros pour 3,41 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

ICTjournal.ch

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